*Un loup... Un enfant... Cours petit, le loup arrive... COURS ! Trop tard... Le loup est rassasié. La mère ne verra plus son enfant...*
La nuit du ninja aux pupilles nacrées avait été particulièrement difficile ! Un cauchemard mettant en scène son petit-frère se fesant dévorer par un loup, dans la forêt hostile de Konoha. C'est ce que Hizashi avait donné comme argument à son fils, afin de ne pas lui avouer que son frère avait été envoyé dans un autre village pour ne pas mourrir sous les coups de son bon à rien de père ! Hinâto lui, était resté, car à douze ans, il se rebellait déjà et attaquait son père. mais, à vingt-deux ans, il n'y était toujours pas arrivé ! Il avait passé la nuit à suer, se reveillant régulièrement, et étant obligé de prendre l'air. La matinée fût aussi longue : il n'avait pas quitter sa salle de bain. Il était plongé dans une profonde crise de pannique. Pourquoi ? Il ne le savait pas... Il tremblait, seul dans sa pièce, enfermé entre quatres murs. Sans savoir pourquoi, par pur instinct, il fracassa la porte, et quitta la demeure de son clan. Il se trouvait dans la rue, il criait, il souffrait. Il quitta le village, et se refugia dans la forêt, auprès d'un arbre. Cet arbre n'eut guère de chance : la colère du Hyûga avait detruit l'arbre, le privant du tiers de son écorce, et arrachant partiellement le tronc. Après quelques heures en décompression, il réintégra le village caché de la feuille, encore légèrement nerveux. Dans les rues, une foule improbable ! Des cris, des rires, des sourires radieux, des pleurs... Les aléas du quotidien quoi... Il se hâta en direction du bureau de Hokage, dans l'espoir d'y trouver une mission lui permettant de se confronter à quelques adversaires ! Il pénétra dans la grande tour, et devant la porte du bureau, contempla la fiche alors scotché à la porte de bois :"Votre Maître Hokage n'est pas disponnible pour le moment. Veuillez récupérer les parchemin à vos nom, et, si possible, réaliser les objectifs inscrits dessus.". Il baissa son regard. Dessous, une trentaines de parchemins, collés au bas de la porte. L'un d'eux était inscirt au nom d'Hinâto ! enfin ! Le Hokage avait pensé à lui ! Il allait pouvoir se défouler ! Il n'en pouvait plus d'impatience, il tournait en rond, en déroulant le morceau de papier neuf. La déception fût rude : il devait aider Ichiraku, le célèbre cuisinier, à décharger sa cargaison du mois. Il devait en plus de celà, se méfier de possibles mauvais coups des concurrents. Il avait rendez-vous à quinze heure. Il regarda rapidement l'heure, sur l'horloge murale, au-dessu de la porte d'entrée : quatorze heure cinquante-deux ! Huit minutes pour atteindre le restaurant du chef, avant que ce dernier ne se plaigne. Il entamma une course tranquille.
Devant le restaurant, une odeur divine ! Des nouilles toujours aussi parfaites ! Comment faisait-il ? Nul ne le savait. Hinâto allait-il enfin connaître le secret pour des nouilles parfaites ? Probablement pas. Le gros bonhomme tapait du pied sur les pavés solides du village caché de la feuille. Il le salua brièvement, s'excusant rapidemment de son retard. Il demanda instinctivement le début de la décharge. Un énorme chariot trônait derrière la boutique. Dedans, probablement des centaines de cartons, pesant chacun plus de trente kilos. Ce travail durerait probablement jusqu'au soir, ne laissant aucun répis aux deux hommes. Ils entammèrent donc leurs boulots. Après plusieur cartons, le vieillard demanda à Hinâto de continuer seul, car soit disant son vieux dos l'emêchait de soulevait des poid lourd !". La fénéantise... Un atout autorisé, pour des hommes comme Ichiraku. Une chose étrange attira tout de même l'attention du ninja aux pupilles nacrées : un homme passait environs toutes les demies heures, et scrutait la cargaison, avec des yeux impatient ! Un concurrent ? L'Hyûga créa un clone, qui attrapa et ramena l'homme, au cours de son prochain passage. Seul face à l'espion, le Génin de Konoha le questionna. Maisbien entendue, le bonhomme ne rétorqua rien. Le Konoha-Jin devait user de ruse : il prît possession d'unde ses Kunais, et le plaça sous la gorge du garçonnet. Enfin, il avoua. En détail, le voisin d'en face, le restaurant concurrent, avait donné quinze ryos à l'enfant, si celui-ci acceptait de verifiait "le bon déroulement des opérations". Quelles opérations ? Il fallait fouiller le chariot ! Il prit la peine de vérifier tout le contenue des cartons déjà sortis, alors que la nuit venait de tomber. Bien sûr, il utilisait son Byakugan ! Il retenait encore et toujours l'enfant. Dans près de deux-cents cartons, rien à signaler. Il reprît donc son entreprise, en vérifiant un à un les contenus. Plus que quelques cartons, et toujours rien... Puis, un carton différent : beacoup plus abîmé que les précédents... Avait-il été secoué durant le trajet ? Hinâto se concentra sur son Byakugan. Dedans, une quarantaine de parchemins explosifs ! Il extirpa les derniers cartons non-piégés, et referma le chariot.
- A nôtre tour de péger ce vieux renard de Pakuto ! venait juste de dire le cuisiner le plus connus de Konoha.
Hinâto plaça l'enfant sur la calèche.
- Petit, écoute moi bien : tu vas retourner voir le vilain monsieur, et tu vas lui dire que l'explosion à détruit la cuisine de Ichiraku. Tu vas poursuivre en lui disant que tu à trouvé le secret de ses nouilles, et que tu à mis les recettes dans le cartons du fond. Après, tu te descend, et tu cours ! D'accord bonhomme ? Tu cours très loin et très vite !
l'Hyûga infligea une tapette sur l'arrière train de la bête tireuse. Le cheval entamma son trot, jusqu'au restaurant ennemis. Un edizaine de minutes plus tard, un énorme BOUM se fît entendre, dans la nuit noire de Konoha. Un petit corps passa devant les deux hommes sur la terasse du restaurant. En face d'eux, un léger filet de fumé. La cuuisine avait-elle prît feu ? Probablement... Hinâto salua le chef, et rentra chez lui, fatigué comme jamais.
Sujet: [Mission Rang D] ~ Une cargaison piégée ! ![[Mission Rang D] ~ Une cargaison piégée ! Icon_minitime1](https://2img.net/i/fa/m/icon_minitime1.gif){kind=icon}
Ven 18 Mar - 23:50