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| Sujet: Une garde ennuyante [Mission de rang D] Jeu 19 Mai - 0:20 | |
| - Hinata Hyûuga a écrit:
- Mission de rang D
Description: Rester une journée aux portes du village. Il est possible qu'un marchand ambulant tente de rentrer. Ne le laissé passer sous aucuns prétextes ou s'il est trop insistant, emmenez-le aux cellules. Lignes minimum: 50 Salaire: 60 Salaire du Hokage: 50 A peine le temps de se reposer que déjà je suis reparti pour une mission. L’avantage c’est que celle-ci est beaucoup plus simple que la précédente. Je passe des enfants à la porte. Surveiller la portes principales et filtrer les entrer voila un travail ennuyant et amusant à la fois. Ennuyant car on ne fait pas énormément de chose mais amusant car nous pouvons croiser de drôle de personne. D’après le détail de la mission, un marchand ambulant trainerais dans le coin et il ne faut surtout pas que je le laisse entrer, c’est la perfection même, dommage qu’il ne soit pas indiqué : permis de tuer. Là je me serais fais un grand plaisir, mais bon, je ne suis pas là pour ça après tout !
Trêve de plaisanterie, direction les portes. Dans ma tenue aux couleurs si étrange je m’installais à l’entrée du village au niveau du poste de garde et attendais bien sagement les entrées et sorties des villageois. L’avantage, c’est que même si on n’a encore jamais fais ce genre de choses, à force d’entrer et sortir, on sait comment ça marche. Je regardais attentivement la liste que l’on m’avait donné, apparemment aucun ninja n’étais sorti durant la veille ainsi personne ne devrais normalement rentrer. Enfin c’est ce que je croyais car une autre liste me fut rapidement apporter, des ninjas partis depuis plusieurs jours, personne ne sais quand ils doivent rentrer ainsi je dois garder l’œil ouvert. Quoi !? Ça veut dire que je dois réellement surveiller tout le monde ? Non mais ils sont fou ses romains ! La première personne à passer répondait au nom de Choza Akimichi, il sortait du village pour une mission des plus banales, mon boulot ? Noté son nom sur ma fiche puis plus tard de pointer son retour. Ma journée allait être merveilleuse. Merci Hinata-sama, j’aurais préférer aller promener un chien, je me cerais certainement plus amusé. Des roulé de pouces, des étirements par ci et la, et aller et retour devant la portes, voila à peu près à quoi se résumais ma journée, un grand n’importe quoi, je n’avais ainsi rien à faire, quelle poisse. Qui a eu l’idée de confier cette tache à une genin, surtout qui a eu l’idée de ME confier cette tache ! A moi, Kimary ! La fille qui aime le sang. Ce n’est pas sur ce genre de mission que je vais pouvoir m’amuser en tout cas, cela est sur ! Mais qui sais, peut-être que cela finira par devenir intéressant à un moment ou un autre. Rapidement, je feuilletais mes papiers afin de voir les personnes non désirer dans le village. Ainsi donc il y a ce vieux bonhomme, un marchand ambulant apparemment. D’après les indications, il faut sois le faire partir gentiment, sois le faire enfermé. Gentiment ? Mais qui as osé dire que j’étais une gentille fille ? Donc rien ne contre-indique l’usage de la force, cela signifie donc que tout les coups son permis mais qu’il me faut le garder en vie ? Cela risque de s’avérer difficile, mais si je n’ai pas le choix j’appliquerai les consignes à la lettre. J’espère qu’il va venir comme ça je vais pouvoir m’amuser un peu ! Les minutes passaient, toutes aussi longue les unes que les autres, quand soudain un vieille homme apparut. Il trainait avec lui un charriot caché d’un voile, surement pour que l’on ne voit pas se qu’il portait avec lui. Quand je regardais son visage, il ressemblait trait pour trait à l’homme de la photo. C’est lui, c’est l’homme que je ne dois pas laisser entrer au village, j’en suis sure à deux cent pour cent. Je pris route afin de me placer juste devant lui.
« Excusez moi mademoiselle, j’aimerais entrer dans le village, pourriez vous me laissez passer ? »
« Bonjour monsieur, un minimum de politesse je vous pris. Je suis en charge de la bonne navigation aux portes du village, veuillez décliner votre identité ainsi qu’avoir l’amabilité de bien vouloir me signaler la nature de votre transport de marchandise s’il vous plait. »
« Vous les jeunes, vous ne nous laissez plus les libertés que l’on avait en mon temps, pourquoi tant de formalité ? Avant on passait et on ne disait rien ! Qu’est ce qui te ferait plaisir ? Un katana, un lot de kunai, tout ce que tu veux j’ai de tout ! »
« Je rêve ou bien vous êtes en train d’essayer de m’acheter là ? Ceci ne prend pas avec moi, il va vous falloir trouver une autre victime, mais moi j’ai un petit jeu pour vous ! Vous prenez vos clics et vos clacs et vous faites demi-tour. Le village de Konoha n’a nullement besoin d’un marchand de votre genre dans ses rues. Je n’aimerais pas devoir utiliser la manière forte voyez vous malgré que cela ne me dérangerais guère ! »
Histoire qu’il comprenne que mes intentions allaient avec mes paroles, je me fis simplement craqué les doigts. Si avec cela il n’est pas capable de comprendre que je n’hésiterai pas à lui rentrer dedans s’il me cherche de trop alors je crois qu’il ne pourra rien comprendre de tout ce que je puisse m’efforcer à lui expliquer.
« Tu ne peux pas comprendre. Ce chariot, il représente tout ce que j’ai, sans lui je n’ai plus le moindre emploi. Il me permet de gagner ma vie. Pour ce faire, il me faut aller dans les différents villages et aujourd’hui ma route m’a conduite à Konoha, tu dois me laisser entrer. Je suis prêt à tout pour entrer, s’il te plait, ai pitié d’un pauvre vieil homme ! »
« Pitié ? Vous croyez vraiment que ce genre de paroles puisse m’atteindre ? La pitié je ne l’éprouve pour personne, détruire des gens oui je le fais, et cela me plait. Tuer ? Si le besoin s’en fait ressentir alors je le ferais, vous croyez que le fait d’être vieux et pauvre m’empêchera de vous faire du mal ? Laissez-moi-vous dire que vous vous mettez le doigt dans l’œil ! Maintenant vous avez deux choix, le premier vous prenez votre charriot et vous quitter le village et ne tachez pas d’y remettre les pieds. La seconde, vous ne m’écoutez pas et insister, dans ce cas j’utiliserai la manière forte croyez moi. Je n’aurais même aucun regret à vous laissez croupir dans nos cellules alors réfléchissez bien avant d’agir ! »
« Je te le demanderai donc une dernière fois, laisse moi passer, c’est la seule façon que j’ai de gagné ma vie ! Si tu ne me laisses pas passer, tu me condamnes à mourir de faim, c’est ce que tu veux ? »
D’un coup, je ne sais pas ce qui venais de se passer dans ma tête mais je me poussais le laissant passer, mais au moment de son remerciement, je sautais derrière et lui mis un kunai sous la gorge.
« Vous devriez savoir que l’on ne dois jamais diminuer son attention ! Je vous ai pourtant dis que je ne vous laisserais pas passer il me semble ! Vous avez combien j’ai de gorge à mon actif ? On ne dirait pas comme ça mais d’après certaines personnes j’ai une maladie très grave, la soif de sang. Les personnes osant me défier ou s’opposer à moi je les tue sans scrupules. Vous ne voudriez pas que cela vous arrive tout de même ? Donc je vais être très gentille car on m’a demandé de ne pas vous tuez, une chance pour vous mais pas pour moi. Je vais vous faire entrer à Konoha, mais sans votre charriot qui va sagement rester là avec mon collègue. En ce qui vous concerne, le moindre mot ou le moindre faux pas et vous le regretterez ! Cela commence à partir de maintenant !»
Pas de temps à perdre, j’ôtais le kunai de la gorge du pays et lui mis un grand coup dans le haut du dos avec le manche. Ceci le fit tomber à même le sol, instant durant lequel, je lui marchais accidentellement dessus, j’ai eu le malheur de ne pas le voir malheureusement. A la suite de ce petit accident volontaire, je mis un genou sur son dos et à l’aide d’une des ficelles, je lui attachais fermement les mains ensemble. Tellement fermement qu’il en aurait les marque quand on lui enlèvera ses liens, mais cela mets complètement égal, on ne doit pas se payer ma figure, jamais ! Ainsi je pu donc tranquillement lui faire parcourir Konoha jusqu’à la cellule du village.
« Bonjour, j’ai ce vieil homme à vous confier. Sous ordre du hokage, tout séjour dans le village lui était refusé. Après refus d’obtempérer je fus dans l’obligation de vous l’emmener. Voici l’ordre de mission ! »
Je sorti le fameux parchemin que je présentais au garde qui le lu aussitôt et récupéra le nouveau prisonnier auquel je mis une grande claque.
« Je suis désolé, elle venait du fond du cœur. C’est ma façon de vous dire à très bientôt, je serais là le jour de votre sortie ! A moins que vous ne mourriez avant ! »
Je pris donc le chemin inverse afin d’aller informer le maitre hokage de l’achèvement de cette mission pour le moins ennuyante. Heureusement pour moi que ce punching-ball est arrivé. |
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