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| Deux nouveaux membres. [Pv : Sasori et Deidara (si tu peux)] | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Deux nouveaux membres. [Pv : Sasori et Deidara (si tu peux)] Dim 22 Mai - 10:42 | |
| Coopération. Les trois ninjas s'observaient, se dévisageaient. Par la proposition de Madara, les deux ninjas semblaient changer d'avis. Bien que ne partageant toujours pas le même accord, ils partirent dans une discution pour le moins mouvementée. L'Uchiha ne pouvait qu'attendre que les deux vagabonds n'aient fini leur débat, et ce n'est qu'ensuite qu'il pourrait intervenir. Après tout, le choix qui leur était proposé était inhabituel, et il méritait réflexion. Il attendit, réponse sur leur capacité. Inattendue.
-Un cirque, oui. C'est déjà ce que j'avais remarqué. Enfin, je trouverai bien un moment pour les discerner, tant pis. Un regard indifférent s'inscrit sur leurs visages. Ils devaient partir à présent, ils étaient à côté de cette même grotte de l'Akatsuki. Ils n'avaient qu'une colline à contourner et à marcher une centaine de mètres pour s'y retrouver. Il fit signe de le suivre, ce qu'ils commencèrent à faire. Ils débutaient tous les trois leurs chemins, jusqu'à une disparition momentanée du chef de l'Akatsuki dans cette même organisation.
Effectivement, il était parti dans sa dimension, où il avait prit soin de mettre des bagues et capes de l'organisation un peu auparavant. Il avait le nombre exact pour le restant des membres qu'il fallait. Soit, ils étaient déjà trois dans l'organisation, il avait donc six pairs de bagues et de cape dans sa cachette impénétrable. Il les prit dans ses bras, et réapparut aux côtés de ces shinobis qui continuaient leur chemin. Ils arrivaient quasiment à la grotte d'entrée, c'était le moment de leur donner quelques explications.
-Nous y voilà. De cette falaise, vous pouvez voir en dessous une rivière, et juste en face, une gigantesque pierre. Cette roche est la "porte" d'entrée de la cachette de notre organisation. L'entrée y est scellée pour les ninjas ne portant pas de bagues de l'Akatsuki. Heureusement pour nous, nous en portons tous, tout le temps. Soit, avec ça, il vous suffira juste de poser votre main sur cette même porte. Il envoya à chacun de ces membres une cape et une bague. Cette marionnette avait une main de libre, il put la mettre dessus, tandis que la cape, elle était assez large pour lui. Le blondinet lui n'aurait aucun problème pour mettre la bague et enfiler la cape. Il sauta sur l'eau, utilisant sa technique pour marcher dessus. Il s'approcha de la roche, et déposa sa main dessus. Elle s'ouvrit alors, un bruit sourd quasiment inaudible à partir de vingt mètres de distance de ce portail. Il leur fit de nouveau un signe, montrant qu'ils pouvaient venir.
Ils suivirent le mouvement, et entrèrent à trois dans cette immense grotte. La roche se referma derrière eux, ainsi il pourrait commencer la fin de son discours à propos de ces deux nouveaux membres.
-Bien, pour finir. Nous sommes à présent cinq dans cette organisation. Avec nous trois, il y a Namikaze Minato, un blond aussi aux cheveux en pics, et Uchiha Sasuke, un autre Uchiha. Vous pourrez donc facilement le différencier. Je vous déconseillerai vivement de vous en prendre à eux, les bagues ont le pouvoir de télépathie, je pourrai être mis au courant d'une quelconque attaque. Et enfin, toi le blondinet, tu prendras la chambre numéro quatre, et toi tu prendras la chambre numéro cinq. Seules les chambres ne sont pas partagées, mais vous pourrez vous entrainer dans les salles d'entrainement ensemble. En ce qui concerne vos examens, venez me voir dans ma chambre, de numéro 1. Je vous ferai passer l'examen que vous devez passer. Fini, il leur laissa à présent le soin de se balader librement dans la grotte et de prendre connaissance de ce qui les entourait. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Deux nouveaux membres. [Pv : Sasori et Deidara (si tu peux)] Mar 24 Mai - 19:50 | |
| We are the strange. Anneau.
L'art de s'évader en deux mouvements, bercé par quelques notes d'albâtre et un -E mineur ravageur. Soixante treize touches noires et blanches. De lourdes trainées sur le sol poussiéreux, alors qu'à ses côtés se tenait l'être le plus gracieux de cet univers régi par les Diables. Sa queue jonchait le sol, rampait à sa suite. Demoiselle d'honneur de fer. La plus belle mariée au monde. Elle semblait ailleurs. Le regard bas, elle pensait à ses infidèlités. Ces envies de meurtres qu'elle tentait anormalement de maîtriser, de contenir. Un Uchiwa. Un seul suffisait à la rendre malade, verte de jalousie. Rire jaune, fleur bleue. Le Scorpion, après que l'inconnu lui ait tourné le dos, s'était emparé de l'orangée. Dissimulé sous un voile qui composait son accoutrement, il la fit passer par quelque passage secret et la déposa dans le ventre de Charybde. Ses doigts n'avaient exercé qu'une légère pression. Hiruko trembla, se secoua, avant de se mettre en route. La nymphe ne pu se résoudre à avancer d'un pas. Il les laissa partir, loin. C'était sans compter l'intervention d'un marionnettiste irrité de cette attitude intolérable qui, suite à un accès de colère, resta de marbre et se contenta d'user de sa technique de contrôle du corps humain par les fils pour le faire se mouvoir. Soixante treize râles incessants et bruyants. Répétition du mouvement classique, ordonné. Une oeuvre d'opéra. L'art de paraître aussi froid que la neige sans risquer d'attirer le regard sur soi. Soixante treize lueurs inscrites sur un visage mort. Les yeux vides, l'échine courbée, le seul risque qu'il avait à craindre était celui d'une attaque surprise. À son horizon, un Uchiwa, ravageur dicotomial aux multiples salves. À sa droite, malgré un silence qui en hurlait suffisamment, l'artificier le plus reconnu de toutes les Roches, et de toute la galaxie. La mort aux trousses, personnes ne pourrait les vaincre. Ici, c'était le dortoirs des grands. Sans doute le prélude d'une histoire très brève, à raconter avec parcimonie. Une extase sans nom. Un examen précoce. Lorsque les cubes s'empilèrent, les pierres ne surent où s'entreposer. Eboulis. Et ils avançaient. Ils avançaient sans rien montrer. Des pantins, tous. Des loques, omniprésentes. De larges comédiens, un avenir à tracer. L'espionnage et le terrorisme. Carrière profitable, dignes des plus invisibles ds fantômes. Soixante treize façons de passer outre les barrières visuelles. Un théâtre explosif, solidement brisé. Il suffisait de peu pour retrouver cet oracle.- Nous y voilà.L'art de l'Eveil. Une roche imposante, gravée au pied d'un lac paisible. Une petite prairie qui ne payait pas de mine. Un voyage au bout d'une colline, éprouvant. Hiruko agita son articulation principale, ne montra aucun signe avant courreur d'une certaine impatience. Il fallait que tout aille très vite, à présent. Plus de temps à perdre.- De cette falaise, vous pouvez voir en dessous une rivière, et juste en face, une gigantesque pierre. Cette roche est la "porte" d'entrée de la cachette de notre organisation. L'entrée y est scellée pour les ninjas ne portant pas de bagues de l'Akatsuki. Heureusement pour nous, nous en portons tous, tout le temps. Soit, avec ça, il vous suffira juste de poser votre main sur cette même porte.Réveille toi! Attrape un pinceau et met toi un peu de maquillage, attrape un pinceau et met toi un peu de... Cache les cicatrices pour effacer un peu les blessures, cache les cicatrices pour effacer un peu les... Pourquoi laissais-tu les clefs sur la table ? Te voilà en train de fabriquer une autre fable. Tu voulais, attraper un pinceau et te mettre un peu de maquillage, tu voulais, cacher les cicatrices pour effacer un peu les blessures, tu voulais, Pourquoi laissais-tu les clefs sur la table ?! Tu le voulais... Je ne pense pas que tu fasses confiance dans mon propre suicide moral. Je pleure quand les anges méritent de mourir. Réveilles-toi! Attrapes un pinceau et mets toi un peu de maquillage, attrapes un pinceau et mets toi un peu de... Cache les cicatrices pour effacer un peu les blessures, cache les cicatrices pour effacer un peu les... Pourquoi laissais-tu les clefs sur la table ? Te voilà en train de fabriquer une autre fable... Tu voulais, attraper un pinceau et te mettre un peu de maquillage. Tu voulais, cacher les cicatrices pour effacer un peu les blessures. Tu voulais... Pourquoi laissais-tu les clefs sur la table ? Tu voulais... Je ne pense pas que tu fasses confiance dans mon propre suicide moral... Je pleure quand les anges méritent de mourir... Dans mon propre suicide moral... Je pleure quand les anges méritent de mourir... Père, Père, Père, Père, Père, entre tes mains je commande mon esprit. Père, entre tes mains, pourquoi m'as-tu abandonné? Dans tes yeux m'as abandonné? Dans tes pensées m'as abandonné? Dans ton cœur m'a abandonné, oh... Aie confiance en mon propre suicide moral, je pleure quand les anges méritent de mourir. Dans mon propre suicide moral, je pleure quand les anges méritent de mourir... Ceci est notre... Nous sommes enfermés dans l'obscurité comme si nous étions prisonniers d'une cage de glace. Quand nous nous échappons enfin de cette obscurité, nous continuons de chercher une réponse et de traverser des lieux inconnus. Le futur que nous avons imaginé est un avantage. Nous continuons de penser que ce jour arrivera. La promesse que j'ai écrite dans le sable sera tenue. La mer la dissolvera sans merci. Le coeur qui se reflétait dans le ciel bleu est désormais capturé par des nuages noirs et il est trempé de pluie froide. Une justice sans pouvoir est impuissante, mais y'a-t-il un sens à avoir du pouvoir sans fierté ? Même si tout le monde est un ennemi, relever un défi sans capituler est difficile. Ceci est notre, oui, notre justice. Les pièges nous ont rendu insensible face à la tristesse. Nous sommes pris dans ces derniers. Combien de temps encore allons-nous croire à un miracle et faire des prières vides de sens ? Nous ne pouvons pas être aussi forts que le nombre de larmes que nous avons versé, pourtant. Pour le bien de chacun, nous essayons d'être nobles. L'espoir a fleuri sur la surface d'un rocher. Un vent plaqué d'argent soufflera et disparaîtra dans la vallée, plein de rêves et d'illusions. La route que nous avons laissée dans un champ enneigé est illuminée par une lune rouge. La prairie danse silencieusement et sourit. Les idéaux n'ont jamais été réalisés. Et si nous ne les avions jamais eu, auraient-ils pu devenir réalité ? Même si cette quête est pleine d'obstacles, nous suivrons notre voie sans aucune hésitation. C'est notre façon de vivre. Une justice sans pouvoir est impuissante, mais y'a-t-il un sens à avoir du pouvoir sans fierté ? Même si tout le monde nous trahi, nous poursuivrons le but de réaliser nos idéaux. Ceci est notre justice. Ils les lance. La queue s'interpose entre les faciès des deux artistes et se tend en direction de l'androgyne, qui s'empare d'une longe toge noire, brodée de symboles rouges cernés de blanc. Les cheveux noirs comme l'ébène, la peau pâle comme la neige, les lèvres rouges comme le sang. Blanche Neige et ses attributs féériques. Rapidement, il déplia le vêtement, curieux, tandis que le pantin géant s'attribua le reste des présents. Un manteau. Un manteau, qui à en croire la mine déconfite qu'il s'amusa à montrer, n'était visiblement pas à sa taille. De même, enveloppé dans l'inconscient, le jeune homme des Dunes semblait perplexe quant aux mesures de cedit vêtement. Stoïcisme et flegme à son comble.- Tiens, j'crois que c'est à toi.- De même.Echange de bon procédé. Non sans difficultés pour un certain cadavre, il eu revêti son apparat. Le sculpteur, lui, resta impassible et ne daigna pas enfiler le tissu sur son échine macabre. Refusant l'appartenance à cette caste. Puis, il y eu les bagues. Deux, qu'il ne pu ramasser sans l'aide des doigts fins du jeune homme, qui portait son manteau sur l'épaule. Il les lui montra. Leurs expressions? Inexistantes.- Tu veux laquelle?- La rouge.- J'prends la bleue, du coup...- Le lapis-lazuli va parfaitement bien avec tes yeux.- Bien, pour finir. Nous sommes à présent cinq dans cette organisation. Avec nous trois, il y a Namikaze Minato, un blond aussi aux cheveux en pics, et Uchiha Sasuke, un autre Uchiha. Vous pourrez donc facilement le différencier. Je vous déconseillerai vivement de vous en prendre à eux, les bagues ont le pouvoir de télépathie, je pourrai être mis au courant d'une quelconque attaque. Et enfin, toi le blondinet, tu prendras la chambre numéro quatre, et toi tu prendras la chambre numéro cinq. Seules les chambres ne sont pas partagées, mais vous pourrez vous entrainer dans les salles d'entrainement ensemble. En ce qui concerne vos examens, venez me voir dans ma chambre, de numéro 1. Je vous ferai passer l'examen que vous devez passer.Ils avaient eu le temps de tout calculer. Les entrées et sorties, les passages, les portes, la moindre serrure. Sur les anneaux étaient gravés les mots Sphère et Azur. L'Azur trouva une place de choix sur l'index gauche. La Sphère reçu les faveurs d'un roi, et se plaça sur le pouce gauche. Non. La Sphère n'était pas sur Hiruko. C'était un leurre. La Sphère, en otage, séquestrée, sur le pouce du Scorpion. Tout était fait pour ne pas être logique. C'en devenait parfaitement clair. La spirale les avait laissé à l'abandon. Deidara réagit avec un grognement malsain au second Uchiwa présent dans les parages. Sasuke. Le plus jeune, sans doute l'un des plus puissants. Quant à Minato Namikaze, son nom lui était familier. Un ninja de Konoha, sans doute. Cours d'histoire défaillant. Ils furent seuls. Et ils décidèrent de se rendre devant les chambres. Il fallait gravir un escalier, longer un couloir, prendre à gauche, longer un autre couloir, tourner à droite, puis de suite à nouveau à droite, là, il y avait un escalier à descendre, un autre couloir, une salle vide, demi-tour, remonter les escaliers, prendre à gauche, monter un autre escalier, tourner à gauche, continuer tout droit, arriver à un escalier à descendre, descendre cet énième escalier, prendre un couloir interminable, ouvrir chacune des portes sur le passage, chercher, fouiller, monter, descendre, longer, gravir, ouvrir, fermer, pour, finalement, trouver les portes numérotées quatre et cinq. Chacun pila devant sa poignée. Silence. Être séparé. Chacun derrière un mur. Une chambre solitaire, la pudeur garantie, un confort personnel assuré, et surtout, l'absence d'un corps parasite dans les même draps que soi. Un temps. Ils se regardèrent. Le Scorpion, un sourire feint, rompit le calme ambiant.- On casse le mur?- Ouais.L'art du partage. Soixante treize raisons d'y céder. Pour le meilleur et pour le pire.Alliance. |
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