Meï Terumi

Nom : Terumi
Prénom : Meï
Âge : 33 ans
Sexe : Féminin
Village de naissance : KiriGakure no Saton
Village désiré : KiriGakure no Sato
Nindô : La force de l’âme

Physique de Meï :
°Meï qui maintenant différemment à lorsqu’elle était plus jeune, voir enfant, elle peu se distinguer entre les canons des villages car maintenant, elle a ce qui lui manquait le plus, une apparence personnalisé et à elle. Avec le temps, elle apprit à accepter que son état semi-divine lui monta à la tête et elle n’a plus honte de le dire maintenant. Elle aime ses formes, ses couleurs, ses balancements et ses proportion, peut-être bien qu’au fond, elle n’a jamais vraiment été si moche qu’elle le prétendait. Ainsi, plus que le temps avançait, plus que la Kunoichi avait de le temps de s’occuper de son corps afin de bien l’entretenir pour le garder jeune et en santé. Pour sa pure satisfaction d’enfant, cette femme laissa allonger sa chevelure flamboyante sous des reflets auburn, ils éblouissent. Époustouflante pagaille, délicatement ramenée en un chignon dérisoire Ils expriment toute sa liberté, et sa sauvagerie, ils explosent littéralement plutôt que de descendre en cascade ordonnée, jusqu’’à ses pieds.
°Comme bien des gens, Meï adore sourire et il est surtout agréable de sourire lorsque notre bouche est parfaite. Le sourire de cette femme est quelque chose de doux et de mystérieux, il attire les regards et les gardes prisonniers entre ses divines lèvres d’ange. Il est fin et délicat, mais comme toutes belles choses, il a un double sens. Cette magnifique bouche peut très bien embrasser comme elle peut cracher un venin mortelle. La membre du clan Terumi a également plusieurs sourire : Il y a celui qui l’amuse, celui qui l’attendrit, celui qui exprime son désir, celui qui trombe ainsi que celui qui ment. Ses lèvres s’étirent doucement pour laisser découvrir ses dents magnifiquement blanches et droite, à peine car il est inconvenant de les montrer entièrement. Mais tout est dans l’expression de l’étirement. A demi, franchement, rehaussé. Tous ces adjectifs qui modulent le sourire et donnent sa vraie signification.
°L’autre chose qu’une femme affectionne beaucoup sur elle-même dont Meï en particulier, ce sont ses yeux. Ceux qui pleurent souvent, de joie comme de tristesse, ceux qui se souviennent d’évènements sanglants et horribles, ceux qui ont tout vous mais surtout, ceux qui séduisent tant les hommes en un seul regard. Ce qui est dommage avec les yeux de MeÏ, c’est qu’ils montrent toujours ce qu’elle s’efforce de caché contrairement à son sourire mal-saint. Ces perles sauvages d’un vert électrique renferment beaucoup de sa personne même s’il laisse parfois quelques fragments s’échapper. Certains bon lecteurs peuvent voir jusqu’au plus profond de son âme car celle-ci n’est pas très fermée et ni très bien cachée. Espièglerie qui se traduit par un reflet métallique vif et passager. Fierté par une lumière permanente proche de la pupille. Et amour, plus profond, englobant toute l’iris, qui fait des vagues dans la couleur de mes yeux.
°Meï se vêtit de vêtements légers, même très car elle tient à montrer ses formes aux gens. La membre du clan Terumi porte une robe moulante et sexy de couleur bleu océanique. À son décolleter versant sur la magnifique et généreuse poitrine se trouve un filage avec de large tous cousus à sa robe. Une fermeture éclaire se trouve dans le haut de la robe de madame arrêté à la ceinture blanche que celle-ci porte au-dessus de ses haches. Cette courte robe se sépare en deux au dessus de sa magnifique cuisse gauche recouverte d’un bas de niellons troué. Du bout de ses oreilles jusqu’au haut de son mollet, la Kunoichi porte de long bas minces ressemblant à des bas de niellons opaque de couleur blanc où pardessus elle porte des sandales de ninja blanches. Quoi de mieux que cet habillement sexy pour montrer ses soigneuses formes de femme fatale.
°Aimant se comparer aux autres afin de montrer que son physique est le plus magnifique, cette ninja n’hésite pas à viser haut et même peut-être à complexer certaines femmes, en voici quelques exemples : La volumineuse et magnifique poitrine de Meï est de même taille que celle que Tsunade mais semble moins lourde car celle de la membre du clan Terumi reste en place avec fermeté et confort. Même si sa poitrine semble avoir été améliorer manuellement car elle est haute pour la taille généreuse qu’elle l’a, c’est seulement parce qu’elle n’a pas descendu. Les magnifiques hanches de femme que possède Samui ne sont rien comparé à celles de Meï qui elle, sait bien serpenter son bassin contrairement à la ninja de Kumo pour attirer l’agente masculine. La kunoichi a de magnifiques jambes interminables et musclés, encore plus douce et sensuelles que celles de la belle Konan.

Mental de Meï :
°Lorsque nous vivions dans un monde si cruel et élevé par la guerre et la violence, il n’y pas de place pour les faibles, les rêveurs et les peureux. Parce que les morts étaient nombreux et soudains, il a fallut se détacher de tous et ne plus les considérer que comme des équipiers, le mots amis disparut dans des souvenirs effacé. Des rêves, des désirs, elle en avait. Mais, tous furent détruits par le régime de l’époque mais elle ne s’en faisait pas car ce n’était pas d’une grande importance selon elle. C’était grâce à sa volonté de fer qu’elle réussit à tout laisser derrière elle sans y revenir. Elle voulut aller vers l’avant au lieux de toujours tout ramener avec elle tel un fardeau. Était-ce pour cela qu’elle était partit ? Ou était-ce parce qu’elle était partit qu’elle est devenue ainsi ? Mystère bien épais, pour sa personne aussi. Elle changeait tellement qu’elle avait oubliée, qu’elle n’y avait pas même fait attention. Meï était ainsi. Elle savait ce qu’elle désirait et y parvenait toujours, par quelques moyens que se soit. Défier les autres, défier la nature et le commun des entendements étaient dans sa nature. Mais parfois, par des nuits froides et silencieuses, lui arrivait-elle de douter ? Jamais sur ce qu’elle était en train d’entreprendre car Meï a toujours et sera toujours confiante et sur d’elle. On lui avait appris à se méfier de tout, et à vivre avec cette continuelle pression sur chacune de ces décisions. Meï a toujours eu une très grande confiance en elle et c’est ce qui la pousse à continuer.
°Meï appel les hommes des enfants. Des enfants. De l’amour. Multiplication d’amour par le nombre d’enfants. Et l’homme. Encore de l’amour pour lui. Puis mariage. Toujours des promesses. L’amour n’étant qu’un mystère et pouvant être qu’un comédie et du faux, personne ne pourra jamais vraiment profiter des sentiments de cette femme, personne ne pourra même la toucher sauf s’il est suicidaire à moins d’en avoir la permission. Meï n’a jamais aimé les promesse et n’a jamais vraiment apprécier que quelqu’un lui promette quoi que ce soit car en qui faire confiance dans ce monde ? La plus part son des traitres et des lâches, comment peuvent-ils promettre quoi que ce soit ? Elle, personne n’osera la posséder. Pas d’amour, pas de promesse. Ce n’est pas parce que les hommes n’en veut pas, c’est bien parce qu’elle préfère rester libre et loin de ces pervers qui ne veulent jamais tout en même temps ce qui comprends le corps, l’esprit et les émotions, certains ne cherchent que le corps des femmes et c’est ce qu’elle déteste chez ces enfants qui ne savent pas ce qu’ils veulent. De nombreuses fois elle fut rejeter par l’agente masculine de nombreuses fois son cœur fut écrasé par des baratineurs dans leurs genre qui osaient repartir chez leurs femmes après avoir abusé de Meï. De ces horribles mensonges, une affreuse personnalité s’était créée à mesure que le rejet s’opérait. Les histoires de prince et de princesse, d’amour et d’émotions, de coup de foudre et de mariage. Rien de tout cela lui mettait un sourire au visage. Lorsque l’on a peur de souffrir, on fait en sorte de ne plus jamais souffrir en sacrifiant ce qui nous fait le plus mal même c’est quelque chose d’essentiel.
°Elle n’est plus la jeune fille quelle était autre fois, Meï a trente-trois ans, toujours célibataire et un cœur en lambeau cousu de fils noirs voulant représenter le mal que tous ces hommes lui avait fait. Ne cherchant point de façon de se venger, elle préféra la fuite pour se recueillir et changer. Meï était vielle maintenant, même si elle était en pleine santé, elle ne se sentait plus comme avant. Elle s’était lassé de toutes ces promesses, de ces tendresses, de ces hommes qui passaient entre deux draps pour partir à la guerre le lendemain matin sans revenir. De tous ces enfants qui prétendait pouvoir la posséder et qui mourraient, oubliés. Du plaisir, éphémère, secret, que l’on sait purement physique. Et pas de mensonge. La seule chose qui pouvait être certaine d’avoir toute son attention, tout son amour, toute sa fidélité, c’est Kiri. KiriGakure, la seule chose qui a peut posséder le cœur et l’âme de Meï, n’étant pas un hommes ni un être de chaire, il avait sut tout lui promettre sans rien dire et celui-ci tenait ses promesses. Une femme torturée. Qui se bat continuellement. Voilà ce qu’elle est finalement. Partagée dans ses sentiments, dans sa façon d’être. Ses attitudes sont parfois déplacées, mal interprétées. C’est que sa démence se développe peu à peu, lentement mais sûrement. Et qu’il n’y a personne pour l’aider. Après tout, elle n’en a point besoin n’est-ce pas ?


Histoire :

Teste RP
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