Théorie. [PV Madara, examen Juunin.]

Invité

Maybe tomorrow.

Grottes.

Tu ris dans l'obscurité en attendant la main qui viendra t'étrangler.
Tu fuis, tu fuis.
Depuis ce jour où tu réclames ton dû, enfin, la lumière séraphine vient t'englober. Tu sais que tout iras pour le mieux. Tout va toujours très bien.
Sonate calme du clair de lune. L'alcool coule à flots, il ne regarde que ses pieds.
Que ses pieds. Que ses pieds.
Tu ne sais rien. Rien du tout.
Tu te perds.
Les rues sont désertes. Un vent acide se mélange à ta salive sèche. Ils lui tournent autour. Serpents. Venimeux. Parasites. Le sable s'entiche de tes pieds nus et de son corps fin. Les bâtisses s'écroulent. Grains ardents. Volcaniques. Et les brûlures, sur tes bras, tu ne les sens pas. Les sens pas. Les puits se creusent. L'eau s'écoule de fentes que tu ne connaissais pas. La force du groupe apparait comme l'évidence pour la vérité. Tout va bien. Tout va bien. Troubles obsessionnels de langage. Répète-le... Répète-le. Tes iris stoïques le mirent comme s'il était le messie. Calme-toi. Tout va bien. Et ce rythme auquel tu cherches à obéir n'est que plaie béante sur ton front vaniteux. Saignes-toi. N'hésite pas. Tu es cruel, fourbe, large, barge, bagre, près de la berge, oui. Tu as quitté ta cage pour le maribaudage. La marécage, derrière lui, loin de toi s'assèche. Son calme t'effraie. Tu ne comprends pas. Oublies ça. Oublies ça. Et ta façon de penser, terriblement simple, fait bailler d'ennui tes feu aïeux perchés sur les balançoires pour volatiles. Les plumes ne te procurent aucune notion de plaisir. Ce que tu aimes, c'est être là, large, barge, près de la berge, non. Quitter le port pour les autoroutes. Tu lèves la tête et qu'aperçois-tu? Des arachnides. Des arachnides. Son pendentif se colle contre son poitrail discret, il serre le médaillon de sa poigne la plus solide. Inébranlable. L'eau monte. L'eau remplit les cuves. Les jarres. Ô nuit d'Arabie. Mille et une folies. Il s'asseoit. Tu le regardes faire, inerte. Toi, ton corps est vide et vulnérable. Vulnérable. Il n'y a plus de lumière. Tout ce qui t'attire, c'est cette divinité en face de toi. Eden? Fous-lui la paix. Laisse-la vivre. Le poults s'affole. Le pire est derrière lui, loin, son dernier acte de bravoure a été de tirer sur le Père. Quartier friqué, noblesse et tasse de thé. Infusions subtiles d'herbes vertes radioactives. Les cristaux sont la source d'énergie la plus sûre. Il y a de l'argent à faire. Tu comptes les lignes, toi? C'est nouveau. Ca te plait? Ca te plait? Tu y arrives, et pourtant c'est fini. Tu cherches les mots, les sème, les parsème, les omet. Ce que tu fais, tu ne le sais même pas toi-même. Mais il faut le poser, il faut le contenir. Tu as des millions de choses à faire, tu sais? Oui, tu sais. Oui, tu sais. La beauté du noir qui noie ton esprit. Ne réfléchis pas, pense. Les premiers mots. Papillon. Il y ressemble. Pourquoi? Qui es-tu? Que fais-tu? Et lui, il t'observe, lointain, assis, calme. Il est heureux, tu le sais. Et lui sourit. Il sourit de toutes ses dents, se relève, vient te voir. Une main amicale sur l'épaule. N'aies aucune crainte. Tout se passera bien. Les semelles pataugent. Tu es sûr? Certain. Il n'y a pas de fond sonore. Aucun bruit. Autisme. Mutisme. Ce qu'il te faut, c'est un endroit où vivre en harmonie avec ce qui t'entoure. Et tu sais, c'est compliqué à trouver. Et c'est juste sous ton nez. Hé, regarde. Qu'est-ce que tu fabriques? Aucune idée.
Aucune idée.
Mais qu'est-ce que c'est que cette communauté ignoble, anarchique? Que fais-tu? Tu t'amuses, tu profites, tu cherches du son et tu l'embrasses. À pleine bouche. Il ne te repousse pas. Vous êtes bien. Et le rêve se poursuit, toi, ce que tu fais, tu t'en vas. Tu t'en vas. Tu cherches le moyen le plus rapide pour sortir d'ici. Quelques pas, des grilles surgissent du sol, perforent le liquide béni. Volte face, tu reprends ta route. Il en va de même pour les quatre côtés que tu es susceptible d'emprunter. Il lève les yeux. Il n'y a pas de toit. Tu te sers des grillages pour te hisser jusqu'en haut. Les torrents t'attendent en dessous. Mais tu sais quoi? Tu sais quoi? T'as peur de l'eau, t'as toujours eu peur de l'eau, alors tu rentres dans la cage et, lui fait face. Lui fait face. Son sourire t'emporte à des lieux d'ici. Tu es ailleurs. Tu es perdu. Et il te fonce dessus en hurlant. Ton seul réflexe est de te baisser. Tu t'accroupis. Il passe par-dessus, tombe dans l'eau. Elle arrive jusqu'aux mollets. Les mollets. Il se redresse, haineux, te regarde fixement, terrifiant. Terrifiant. L'auxilliaire. Le monstre. Il cherche à t'agripper la jambe et tu es là, tu cherches à te défendre. Te défendre. Il dévoile des canines extrêmment longues, tu lui brises la machoîre en un coup de talon. Tu es fou. Il tombe au sol, se relève. Vaillant. Te saute dessus, tu fuis, attrappes les barreaux de ta cage et essaye de hurler. Hurler. Mais tu sais, ici tout est insonorisé, alors tu auras beau crier, tu es seul. Seul. Apprends à te défendre [esquive] par tes propres moyens, cherches à survivre comme tu peux. Il s'esclaffe. Tes yeux tremblent d'une lueur qui t'est inconnue. Tu as peur? Peur? Il attrape tes poignets, te couche contre la paroi, ta joue se fend sur le coup. Et tu ris. La créature immonde sort de sa torpeur et de son inhumanité, et rit de plus belle. Tu lui brises une jambe grâce à cette diversion. et l'alcool coule à flot. Escalade [attention] accroche-toi au plafond. Tes jambes pendent. Et lui avide de chair tente de te tirer vers lui, mais tu le repousses et pries le ciel pour que l'on t'aide. L'eau les submerge. L'autre s'étouffe et survis. C'est perdu d'avance. Perdu.

Assis sur Hiruko, le jeune homme des Sables avale la dernière pilule qu'il lui reste. Ce mal de crâne était vraiment atroce.

La distorsion du décor troglodite en face de lui s'afficha. Il devait être soit réellement fatigué, soit réellement en danger. Réflexes. Hiruko lui offrit son antre, dans laquelle il pénétra en se faufilant dans l'ouverture du dard articulé. L'Uchiwa finit par apparaître devant lui. Juste à temps. La carapace de mise, tout était fin prêt. Les pantins avaient été lustrés pour l'occasion. Examen Juunin. Un examen. Encore un. L'ennui mortel de ce genre de cérémonie le déprimait. Pire encore, il sentait le sang circuler à proximité du lobe occipital. Horreur d'un mal de crâne persistant. Migraineux. L'anonyme semblait prêt à agir. Un combat simple, a priori. Rien n'était moins sûr. Le fer de la queue s'agita. Les caresses qu'elle cherchait n'existaient plus. Madara Uchiwa esquissa quelques pas timides vers l'avant, n'haussa pas la voix. À croire qu'il fallait tout faire, ici. Miséricorde. Prêt à attaquer, les liens unissant le maître aux esclaves s'établissaient. Trois possibilités, trois marionnettes simultanément. Cela serait largement suffisant.

- Un combat basique, je présume.

Et il se tut.

Evolution.

[Aucune statistiques. C'est mon choix. Faisons-nous confiance.]

Invité

×De multiples examens, en même temps, de quoi divertir un peu le chef de l'Akatsuki. Tout d'abord, celui de Sasuke, qui s'avérait être intéressant, celui ci possédait de très bonnes et puissantes capacités, une capacité intellectuelle impressionnantes, des stratégies fondées après de courts laps de temps. Suivait ensuite le blondinet, Namikaze Minato, un assez grand prodige, si l'on peut le dire. Ses capacités étaient assez élevées, à lui aussi, mais il manquait de stratégie, de puissance, son Fuuton et ses invocations ne suffisaient pas, c'était une raison pour laquelle il était passé au grade supérieur. Sa technique de déplacement instantané, la base de sa puissance, il l'obtenait à ce grade de ninja confirmé. ×

×Ici, maintenant, l'examen allait être exécuté, de nouveau, pour un ninja plus récemment entré dans l'organisation criminelle qu'est l'Akatsuki. Il ressemblait plus à un marionnettiste, mais un détail montrait le contraire, le fait qu'il ne possédait pas de ninja pour contrôler cet marionnette. Malgré ça, cet "objet" semblait puissant, intéressant lui aussi. Rien qu'à voir cette queue de fer, il paraissait surpuissant, hors norme. Ses capacités allaient être d'autant plus démontrées, rien que par cet examen, qui allait se dérouler sous forme de combat. Un combat assez simple, sans but précis, le fait d'attraper les clochettes étaient impossible contre Madara, simplement à cause de sa dématérialisation.×

×Celui ci fit son apparition dans l'arène des Juunin après une brève préparation. Son ninja était là, par la même image que d'habitude, ce même monstre à longue lame de fer. Madara s'approchait assez lentement, en vue de l'aptitude meurtrière de ce shinobi, il fallait être prudent. Ils étaient à présent séparés. Cinq mètres de distance, ce serait assez, largement assez. A son habitude, l'Uchiha croisa les bras, regardant cette bête de son seul oeil disponible, l'autre oeil à l'Izanagi caché par ce masque. Cette cachette était plutôt utile, personne ne savait pourquoi un des deux yeux était caché, qu'est ce qu'il contenait. En cas de trahison, ça pouvait servir, toujours.×

- Un combat basique, je présume.

«Exactement. Ton but ici sera simplement de me montrer tes capacités. Marionnettiste ou non, tu n'auras sans doute pas la moindre occasion de me toucher. Montres moi l'ensemble des techniques, et ta stratégie. C'est tout ce que je veux voir. »

×Il avait été direct, comme toujours. Il leva son bras droit au dessus de sa tête, et baissa simplement le tranchant de sa main, pour montrer que le combat pouvait à présent commencer. Il recroisa ses bras, observant encore ce même shinobi caché, attendant la première offensive.×

«Bien, à toi l'honneur. C'est quand tu veux.»

×Peut-être commencerait-il son assaut dès que ces paroles furent prononcées, peut-être attendrait-il un peu. Une analyse du terrain était avant tout importante, pour piéger son adversaire dès que possible dans une faille, ou une stratégie préparée. Même si ici, le Chuunin était confronté à un ninja de taille, possédant une technique infaillible à toute attaque.×

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Comme tu veux. Bon combat à toi.

Invité

Double-faced guy.

Intérieur.

- Bien, à toi l'honneur. C'est quand tu veux.

Hiruko, de l'intérieur, ressemblait au monde des lullipuciens. Son siège était recouvert d'un long voile de velours vermeille, et le harnais qui cintrait son maître une fois assis en son sein se liait comme un corsage. Deux crochets reliés à ce harnais se fixaient sur les flancs internes de la machine afin qu'elle soit imprégnée du chakra de l'illusionniste au mieux. La vision s'optimisait avec cedit chakra. Même s'il n'y avait aucune fente oculaire, le bambou avait été taillé très finement, permettant ainsi à l'utilisateur grâce à une petite concentration de lui ouvrir un champ visuel tout à fait normal. Cependant, avec cette finesse dans la composition, le pantin risquait de se fracturer au moindre choc. C'est pour cette raison qu'il fut renforcé de l'extérieur par un enduit à base de fer fondu, qui lié avec le bois donnait une carapace légère et efficace. En soi, Hiruko n'était pas lourd; le plus encombrant n'était pas la coquille, comme tous ces ennemis ridiculeusement niais semblaient le croire. C'était la mécanique interne. Hiruko n'avait pas, techniquement parlant, de grande défense impénétrable. Il avait une mécanique hyper élaborée et si complexe qu'elle pesait lourd dans les dégats infligés et dans sa propre protection. Les engrenages et rouages composaient cette machinerie discrète dans son intégralité. Seulement, un problème se posait. Le bruit. Le bruit généré par toute l'installation ne permettrait plus à l'utilisateur d'entendre les sons extérieurs à sa carapace. Pour remédier à cela, un poison inédit avait été créé. Il baignait entre les pièces de métal et étouffait leur vacarme incessant. De plus, lors que la destruction d'Hiruko, ce poison se libérerait, et selon le moyen employé pour sa mise hors service prendrait posséssion de l'arène ou de l'ennemi de différentes façons. Hiruko était une magnifique pièce à vivre. À l'intérieur trônait Lami. De même, il y avait une source de lumière. N'ayant pas accès à l'extérieur -par le simple fait qu'Hiruko soit complètement hermétique- une cage de verre contenant six bougies créées à partir d'un extrait de plante qui leur donnait une apparence immuable et ne les faisant pas fondre avait été fixée aux points caridaux. Les bougies, si elles s'éteignaient, étaient renouvellées par une technique Fuinjutsu de Nomishi installée à l'intérieur-même de la marionnette. Un parchemin dans lequel avaient été scellées de très faibles flammèches destinées à se rallumer automatiquement une fois éteintes. Hikuro était très confortable. Le siège épousait les formes de celui qui pouvait s'aventurer en son sein, et se mouvait pour aider les fils de chakra à atteindre la partie du corps de la marionnette visée. Ainsi, l'illusionniste possédait le plein pouvoir sur les mouvements de la marionnette, qui grâce à ses articulations ondulait comme un être humain.

Lui, caché, avait revêtu son masque bauta. Anonyme, même sa voix était par l'occasion modifiée. Plus grave. La partie basse du visage était visible. La spirale face à la Commedia del Arte. À chacun son personnage. Il alluma une cigarette en toute impunité. L'avantage d'Hiruko, c'est qu'il avait été conçu pour son unique maître. Discrète devant l'aîné Uchiwa, le jeune homme du sable tira une ouverture située derrière la tempe droite du pantin. La fumée s'en échappa, mince filet disgrâcieux. Puis il la referma. Privilège de démarrer lorsqu'il le souhaitait.

- C'est trop de privilèges.

Un temps. Un temps long. Il consuma la moitié du cylindre de tabac, ouvrant et fermant l'ouverture trop fine pour y faire entrer quoi que cela soit. C'était un tout petit trou, simple à souhait, et pourtant si utile. Puis le bel en eut assez d'attendre. Comme ça. De minces tubes pointant sur la peau d'Hiruko apparurent, soulevant le manteau noir et rouge de l'organisation. Un souffle puissant fut créé, retirant au pantin son vêtement, dévoilant sa mécanique impénétrable à l'ennemi. Et la queue s'agita, s'étira. Index gauche. Le plat de son membre s'abattit de tout son long en direction du masque vulgaire. Esquive ou pas, la stratégie était déjà en place. La queue, une diversion. La bouche qui s'ouvrait, le bandana qui se soulevait, une diversion. Tout était fait pour voir ses réflexes. Les aiguilles qu'il prépara étaient venimeuses. Madara devrait fuir, se cacher. Elles furent lancées, par centaines. C'était une question de survie.

Réaction.

Invité

×L'examen des Juunin, Madara contre Sasori, celui ci commençait. L'honneur était à ce marionnettiste de commencer. Sharingan activé, le chef de l'Akatsuki observait chacun des mouvements de ce shinobi caché. Premièrement, un nuage de fumée. Celui ci s'échappait par une ouverture sur ce monstre en bois. Le nuage s'approchait, assez rapidement. L'Uchiha fit quelques pas rapide vers l'arrière, il fallait garder une vision malgré tout ça. S'il était prit dans le nuage de fumée, non seulement il pourrait être empoisonné, mais en plus son champs de vision pourrait être entièrement coupé.×

×Eviter cette fumée, le mieux qu'il puisse faire. Il continua ses bonds, il fallait quelque chose pour faire reculer cette fumée, pour qu'elle ne progresse pas plus vite. Il concentra rapidement son chakra dans ses mains, il avait une technique en tête, créant une explosion pour faire reculer cette même fumée. Cette concentration se termina rapidement, il pouvait passer à l'action. Prochaine technique, la technique de la boule de feu en quelques sortes explosive.×

«Katon, Endan !»

×Une boule de feu se créa des mains de l'Uchiha et partit en direction du sol, juste devant la fumée. Elle toucha le sol, une explosion. Cette explosion fit reculer toute la fumée, il n'y en avait plus en sa direction, il pouvait donc voir les prochaines attaques. D'un autre côté, la queue de fer, celle ci s'étendait de tout son être pour venir frapper Madara, la base du coup devait être portée au masque. La vue de ce chef de l'Akatsuki était centrée sur cette queue, il ne voyait pas les senbons qui arrivaient.×

×Un saut sur le côté suffisait pour éviter ce coup de queue de fer, il freina sur le sol, regardant justement passer devant lui un senbon. Un senbon. Il regardait cette aiguille comme passer au ralenti. Il tourna la tête. Une multitude d'aiguilles, sûrement empoisonnées. Il devait toutes les éviter, une seule pourrait être mortelle. Sharingan activé, il se dématérialisa automatiquement, apparaissant par la suite derrière Sasori.×

«*A peine le combat commence qu'il a déjà réussit à prendre l'avantage. J'ai eu de la chance que ce senbon ne me touche pas, et d'avoir une dématérialisation instantanée. Un autre ninja aurait été touché. Ce ninja est tout simplement impressionnant. J'ai hâte de connaître ses capacités au niveau ANBU, et de connaître les capacités de son coéquipier. A deux, ils pourraient être un duo imbattable.*»

×Une autre technique, une offensive, pour donner un peu de rebondissement à cet examen. Il fallait aussi étudier les capacités défensive de ce shinobi. Il commença des mudras, préparant sa technique de type Katon. Le marionnettiste était dos au chef de la lune rouge, il pourrait profiter de cet avantage pour une contre-attaque direct. Il balança sa technique du Ryuuka no jutsu. Le dragon partit directement en direction du dos de ce monstre en bois. Il allait se préparer à voir une prochaine esquive. En tout cas, il partait vraiment bien. C'était un ninja digne de ce nom, digne d'être à l'Akatsuki.×

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Je crois que j'ai pris toutes tes attaques en compte, MP moi si j'en ai oublié, ou si j'en ai mal compris une. Il me semble pas avoir fait d'abus, bravo à toi pour ce premier tour en tout cas.

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Théorie. [PV Madara, examen Juunin.]

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