Marche Mortel dans un Désert [Pv Yuu] Terminer

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L'arrivée aux portes de Suna

Je venais de finir de vidé ma gourde et de nettoyer les dernier os de mon maigre repas, plutôt savoureux d'ailleurs. Qui aurait pu croire que la chaire d'un nouveau né puisse avoir un goût si relevé malgré que la viande soit crue. Certainement pas moi, je ne sait d'ailleurs que très peut de chose, je ne me souvient même pas de mon propre nom. Mes souvenirs les plus ancien remonte à moins de deux jour. J'étais mourant, les quelques personnes m'ayant sauvées mon raconté que je faisait parti d'un groupe de shinobi censé escorté une caravane et un jeune seigneur. Nous avions échoué , suite as celas sous leurs directive nous sommes partis en direction de Suna, enfin en direction est beaucoup dire, nous avons erré dans le désert en direction de ce soit disant village dont je ne sais rien je doutais même de son existence. Lors de ce voyage mes compagnons d'infortune moururent les un après les autres. Je finis par marcher seul avec un nouveau né dans ces landes de morts que sont les désert. Lais bientôt as cours d'eau je ne pus faire qu'une seul chose, mettre fin à la vie de cet enfant pour me repaitre de ses chaires as m'abreuver de son fluide vital . Qui l'eut cru cet acte que l'on qualifie d'anthropophagie m'as permis de survivre et d'apercevoir les fameuses portes d'on parlais sans cesse les cadavres laissé sur mon chemin.

Je me mis donc en route pour rejoindre les fameuses portes , je n'avais plus qu'as priez pour que ce ne soit pas un de ces mirages que l'on as rencontrer lors de notre errance et qui on couter la vie de mes « compagnons ». Étonnamment je parviens as me souvenir de chacun des mots que je connaissait avant mon amnésie et de leurs sens. Continuant de marché je me diriges toujours en directions de ces « portes », lentement, pas après pas je me rapproche de ma cible, pas après pas cette silhouette deviens de plus en plus nette, de plus en plus grande .
En avançant je me rend compte que ce que j'avais pris de loin pour « les portes » n'est autre qu'un immense Mur de terre ou de sable, je ne saurait le dire de ma positions actuelle mais une chose et sur je me rapproche de mon étape final. Une fois arrivé je pourrais enfin me détendre manger m'abreuver correctement et surtout prendre un long bain bien chaud histoire de me décrassé. Rester donc près de deux jours dans un désert as transpirer et marché sans pouvoir vraiment vous reposer, sans n'avoir grand chose à manger ni boire et vous saurez alors que ces petites choses peuvent faire le bonheur d'un homme.

Je suis enfin aux pied de cette murailles, je peut sentir le chaleur émise par celle ci cet chaleur que vous procure votre doux foyer. Foyer terme étranges venant de ma part, je ne suis même pas sur que ce village ne soit mon « foyer ». Si celas ce trouve je serait peut être accueillie les armes à la main et dans ce cas je mourrait. Je n'ai plus la force et certainement pas l'envie de me battre. Pitié faite que la mort ne guète pas mon mon arriver et ne vienne me chercher des mon entrée dans ce village.
Je repris ma route longeant la muraille et puis constater que cette dernière et incurvé comme ci elle formait un cercle. Je marchas près d'une heures toujours en longeant ce mur d'enceinte si lice et sans aucune imperfections. Rien ne vint déranger ma marche silencieuse, étonnant d'ailleurs depuis le temps que je tourne autour de ce village un sentinelle aurais du me repérer depuis longtemps. Ce village fait il tellement confiance au désert pour s'occuper des indésirables qu'aucune sentinelle ne surveille les alentours ou bien ces dernières prennent tellement peut lors rôle au sérieux qu'elle ne m'ait pas repéré ou pire encore pensent elle que je ne suis qu'un mort en sursis dont il n'est même pas la peine de s'occuper, je serait bientôt fixer j'aperçois enfin quelque chose ressemblent as une porte de bois massif .

La dite porte est entrebâiller, je m'approche lentement mes forces me quittent, je m'écroule sur place . Mon voyage ce finit il donc ici, ma dernière heure vient elle de sonnée? La mort m'attendais donc belle et bien ? Foutaise comme si une entité aussi puissante pouvais être là rien que pour moi, je dois lui être aussi insignifiant qu'un grain de sable perdu aux milieu de ce désert. Ne souhaitant pas faire plus ample connaissance avec ce sol sableux, et brulant je puisent dans les dernière force qu'il me reste et me remis debout . Avançant as en claudiquant, d'une démarche nonchalante je m'aproche de ces porte , personne.

*Hé haut !, il y as quelqu'un!*

Ces paroles presque inaudible, lancé sans grandes convictions réstère en suspend dans les airs, cherchant as trouvé quelques oreilles auquel délivré mon message.

« Il n'y as vraiment personne, tout ce chemin pour rien, non je n'abandonnerais certainement pas ici pas maintenant »

La gorge sèche, les lèvre pleine de sable et les yeux mis clos je me remit en route et traversa ces portes. Si il y avait des gardes dans le coin, pas un ne fit ne serait-ce que jeter un œil dans ma direction, pas un ne me vint en aide ou ne m'acheva. C'était comme si je n'existait tout simplement pas. Cette impression s'accentua aux fur et as mesure que je remontais les rues, m'égarant et trouvant inlassablement des culs de sacs au bout de celles ci. Si un jour ce village fut le mien, alors ce dut être dans des temps reculer voir immémoriaux car rien absolument rien ne fis remonté de souvenirs as la surface. Épuiser comme je l'était je finis par m'adosser à l'ombre d'un mur et plongeât lentement dans un sommeil qui serait sans doutes le dernier.

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L’espoir n’abandonne personne, c’est l’homme qui l’abandonne. Lorsque le monde nous dit tout simplement d’abandonner, il est là pour nous murmurer à l’oreille de continuer. Après de maintes pensées, de tels proverbes s’appliquent parfaitement au monde dans lequel se plongent les shinobis. D’ailleurs ne permet-il pas à quiconque osant lui tendre la main de faire des choses que les autres ayant optés en l’abandon, n’auraient jamais ne serait-ce même imaginés? Quiconque en fait, pourrait en témoigner autant. Pas besoin d’être un ninja pour le savoir, en fait. Mais en être un nous expose légèrement plus à la chose, pourrait-on dire. La pensée elle-même s’avérait plutôt amusante. Après tout, chaque shinobi eut traité le sujet au moins une fois dans sa vie. Il n’y aurait même aucune exagération à dire qu’elle en était convaincue. Bref, elle se voyait divaguer. Était-ce le soleil qui lui tapait si fort sur la tête? Pourtant, en matière de chaleur, il y avait eut des journées bien pires. Assise au pas de sa porte, adossée au mur, la kunoichi avait le visage recouvert de l’ombre du livre logé sur sa tête. Pourquoi était-elle dans une telle position, demandez-vous? La flemme, pas de doute. Manquer d’énergie, de volonté pour simplement lire… Puis ce n’est pas comme si les rues étaient bien achalandées à ce temps de la journée. Surtout pas sous le soleil tapant! Alors personne n’aurait à lui jeter un drôle d’air pour avoir tentée de motiver sa lecture en plein air. Lecture qui pourtant, aurait finit sous l’usage d’un parasol. Sa lecture elle-même s’associait tout bonnement aux proverbes sur lesquels elle rêvassait. L’espoir, la volonté… Qui lui casserait les pieds aujourd’hui ou la démotiverait davantage à son intérêt pour les jutsus médicaux, hum? Ce bouquin contenait bien des pages, il était lourd même. Personne ne voudrait le recevoir à la figure, certain!

Zieutant le ciel, ou du moins, ce qu’elle pouvait en voir au-delà des bâtiments et de sous son livre, la kunoichi laissa s’évader un long soupire de ses lèvres. Une longue et pénible journée s’annonçait, génial. Un peu de piquant n’heurterait point, mais qui était-elle pour se plaindre d’un calme si banal? La force ne venait même plus à elle pour se pointer aux entraînements. Non, elle avait sans doute les idées ailleurs… Dans son bouquin. Ce dernier ne manqua ironiquement pas au même moment de glisser le long de sa chevelure et de s’effondrer au sol, dévoilant finalement son air imprégné de paresse et de démotivation à… Personne en fait. Du moins c’est à quoi elle s’attendait. Mine de rien, elle détourna le regard vers l’objet qui venait de s’effondrer dans le sable seulement pour voir une silhouette apparaître à l’autre bout de la rue. Tiens, de la compagnie. Alors elle n’était pas la seule possédant une mentalité déjà affectée au point de ne plus se soucier des coups de chaleur… Lorsqu’elle s’apprêta à saisir son livre, elle remarqua toutefois que quelque chose clochait. Ses yeux ne quittèrent pas la personne qu’elle venait d’apercevoir, qui se dirigea nulle part d’autre que contre le mur de l’une des bâtisses. La silhouette malgré la distance se fut de plus en plus claire, un homme. Mais aucunement familier. Pas un voisin dans ce cas… Mais étrange, à en juger par sa posture, la fatigue ou l’encombrement semblait émaner de lui. Pas de bonne augure, si vous lui demandiez. Elle eut donc pour réflexe de se lever, sans même se soucier de son bouquin, puis de retourner à l’intérieur se procurer un verre d’eau. Drôle direz-vous, mais ce ne serait pas la première personne en état de déshydratation qu’elle aurait croisée dans ses ruelles! Certaines journées sont peines perdues dans ce château de sable. Pourquoi ne pas jouer les bon samaritains, hum? De plus ce n’est pas comme si cela ferait du mal à quelqu’un.

À peine une minute plus tard, elle passa de nouveau le pas de sa porte seulement pour être aveuglée par le soleil. Elle éleva sa main libre devant son visage, question de rejeter un peu cette lumière soudaine. Parfois elle se demandait pourquoi être née derrière ses dunes… Bref, elle hâta le pas en direction de l’étranger adossé au mur. À vrai dire qui dit que ce n’est pas un criminel, un blessé, quelqu’un en fuite ou un autre truc du genre… Mais comme on dit, il faut savoir aider son prochain. Lorsqu’elle parvint à ce dernier, elle s’efforça quand même à lui offrir un charmant sourire ne désirant pas laisser transparaître l’ennui qui l’habitait depuis le début de la matinée, puis s’arrêta à un mètre afin de prendre parole, mine de rien.

"Dit, est-ce que tout va bien? Tu as l’air de pas savoir où tu…"

Elle n’eut point finit ses mots qu’elle réalisa que les paupières de ce dernier se fermaient peu à peu… Comme s’il sommeillait. Non en fait, il sommeillait vraiment. Une simple fatigue, des nuits blanches? Qui sait mais… Après qu’elle eut abaissée le regard, elle en jugea autrement. Les lèvres de ce dernier, tout comme ses vêtements apparemment, étaient couvertes de sable. Sauf s’il avait décidé de se rouler dedans tel un phacochère, il était largement redoutable que rien n’était arrivé à ce dernier. Il n’y avait pas eut de tempête de sable aujourd’hui non plus, donc… Sortait-il du désert? Un autre voyageur qui fut victime des dunes? Si c’était le cas, ils grandissaient en nombre! Oh mais une seconde… Allait-il s’écrouler là devant elle? Il était debout et il fermait les yeux… Mince! Avant qu’une telle chose n’arrive, Yuu se précipita sur lui et lui glissa le bras par-dessus les épaules afin de le soutenir. Naturellement plus lourd et plus grand en taille, la kunoichi dut y mettre de ses forces avant de prendre parole à nouveau,

"Oh là! Hé! Tu es toujours parmi nous, dit? Combien de yeux est-ce que j’ai? Oh!"

Point gênée de nature, paniquée à l’idée qu’il perde conscience sous ses yeux, elle osa lui verser son verre d’eau en plein visage sans le lâcher des yeux afin de le rappeler à la réalité. S’il venait vraiment du beau milieu du désert, on parlait bien de déshydratation à son maximum et de fatigue extrême… Perdre conscience pourrait s’avérer fatal, maintenant! Alors qu’elle beau réflexe eut-elle de le porter, ou du moins de le traîner, jusqu’au pas de sa porte, là où il s’exposerait à un peu plus d’ombre. Elle désirait avant tout de s’assurer d’une chose, soucieuse de n’importe qui comme elle est dans son petit subconscient. Elle le fit donc asseoir dans les marches à l’entrée, le lâchant presque sans galanterie au sol, puis s’assura de le tourner afin qu’il ne lui fasse face. Elle ne prit même pas la peine de regarder s’il entrouvrait les yeux, qu’elle craqua les os de ses mains avant d’en lever une, s’apprêtant à lui assener une baffe. Elle ne pourrait point lui faire de tort celle-là, non? Elle n’allait pas attendre qu’il perde conscience et que elle, aille sa sur la conscience! Oh quel magnifique jeu de mot.

"Tu vas te réveiller toi…"

Aurait-elle une réaction avant d’en avoir fait autant? D’ailleurs à quel point serait-il surpris si c’était le cas… Enfin, voir une parfaite inconnue prête à lui assener un coup ou qui sait encore! Après tout elle ignorait à travers quoi il venait de passer, ni qui il était non plus. En recevoir une en retour serait plutôt ironique mais pour l’instant, elle ne désirait que faire le nécessaire afin de le ramener les deux pieds… Dans le désert!

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Réveil Prématuré

Adossé comme je l'étais, à l'ombre d'un mur, je sentis le calme et la paix revenir en moi, enfin « revenir », disons plutôt que je le ressentais pour la première fois, depuis mon réveil au beau milieu des décombres et des cadavres, jonchant à présent le désert, ou peut être dévorer par de quelconque bête ou voyageur égaré tel que moi .Toutefois adossé comme je l'était, jetant un regard pour observer la ruelle, j''aperçus une silhouette passer ce qui semblerais être une porte. Rien de plus qu'une ombre, cherchant sans doutes, elle aussi comme toutes les autres à fuir ma présence. Comme si j'étais porteur de malheur, ou l'élément déclencheur de divers cataclysme. Ce qui peut être étai réellement le cas, à près tout le caravane dont je fut partis as été détruite, les personnes m'accompagnant lors la recherche de ce village sont mortes les unes après les autres. Tout celas en moins de deux jours, et qui me dit que celas n'était pas dé jas le cas avant mon amnésie, je ne suis sur de rien mais tout et possible dans ce monde invraissemblable . Je commençais à plonger dans un sommeil réparateur ou mortel qui sais , lorsque j'entendis une voie plutôt féminine :

"Dit, est-ce que tout va bien? Tu as l’air de pas savoir où tu…"

« Ou je suis? Celas je le sais, je suis perdu au baux milieu d'un gigantesque châteaux de sable, peuplé de pantins animés par l'envie de me fuir. Est ce que tout vas bien ? Plutôt comique la petite , je me réveille aux beau milieu d'un désert sans souvenir, sans but, sans rien.... Et elle me demande si tout vas bien ? Laisser moi donc rire j'ai marché pendant des heures et des heures sous un soleil brulant et par un froid glacial lors de la nuit, desséché, affamé et épuisé comme je le suis, je ne peut qu'aller bien voyons. Les gens n'ont aucun sens de l'observation ou quoi? , mes vêtement sont couvert de sable, ma peaux est desséchée et brulée , ais-je l'air d'aller bien. »

Passons, je ne prix même pas la peine de lui répondre et glissait lentement dans un sommeil de plus en plus profond . Je n'avais plus qu'une envie dormir et ne pas me réveiller avant plusieurs heures voir jour, après tout j'étais as bout de force, rien ne me ferait plus plaisir qu'un long et paisible sommeil. Mais les choses ne ce sont pas passé tels que je l'espérais, je sentis quelque chose passé sous mon bras et s'agripper en dessous de mon aisselle, comme si l'on voulait me soutenir. Je n'y prêtas pas attention. Mais j'entendis la même voix féminine s'écrier, mais sa voie avais quelque chose de particulier un peut comme si elle paniquait, lorsqu'elle prononça ces paroles :

"Oh là! Hé! Tu es toujours parmi nous, dit? Combien de yeux est-ce que j’ai? Oh!"

« Si je suis toujours parmi vous ? Naturellement puisqu'une certaine personne semble tellement enclin à ne pas laisser m'endormir. Que peut bien me vouloir cette femme, alors que toutes les autres personnes, lorsque je quémandait leurs aide m'ignorait, maintenant que je veut juste avoir un peut de paix, elle vient me déranger. Quel Villageois étrange, lorsque l'on as besoin d'eux, on ne les trouves pas et dès que l'on est tranquille, ils viennent nous déranger. Toujours aussi comique la petite avec sont «Combien d'yeux ais-je?» Logiquement tu n'en as que deux, mais qui sais peut être est ce une mutante aux multiple paires d'yeux ? Je n'ai même pas l'envie de vérifier. Qu'est ce donc que cet chose humide et froide glissant sur mon visage, de l'eau ? Peut importe je ne veut plus boire je veut seulement dormir, vas t'en. Mon corps bouge tout seul ? Non elle me déplace, si elle croit que je vais la laissé me déranger plus longtemps. Je vais user de tout mon poids pour la décourager ainsi peut être me laissera t' elle ici? Raté elle me traine sur le sol, pourquoi s'acharner ainsi sur un inconnue? Mon corps n'est il pas assei meurtris as ton goût ? »

Victoire elle finis par ce lassé et me lâché, enfin je vais pouvoir me reposer calmement, cette petite auras été bien dérangeante. Je suis plutôt satisfait de m'en être débarrasser. Erreur j'entendis un craquement, que peut elle bien faire encore, n'est elle donc pas prête as me laisser dormir?

"Tu vas te réveiller toi…"

« Pour celas il faudrait déjà me laissé dormir, mais tu n'en as manifestement pas envie »

*Aouch !! Non mais sa ne vas pas?! Vous aller finir par me laisser dormir oui !! Je commence à en avoir marre de votre petit jeu !!*

Ces quelques paroles on raviver ma soif, si longtemps oublier . Et je pu constater que la jeune femme ce tenant devant moi était, comment dire plutôt mignonne, le teint très pâle, plutôt petite et ses yeux oscillant entre le gris et le jaune sont tout simplement … Magnifique.
L'idée me traversa l'esprit en écoutant ma soif, qu'elle ne voulais peut être pas m'ennuyer mais tout simplement m'aider. La douleur provoquer par sa gifle avais manifestement dissipé le voile de brouillard masquant mon esprit .

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Qui a dit que l’on récolte ce que l’on sème? Car dans le cas présent, c’était plutôt drôle les quelques remerciements qu’elle reçut. Du moins, ses mots qu’elle interpréta de tel, car en toute sincérité, ils sonnèrent plus comme du mécontentement mais elle s’en balançait un peu. Pas le premier, pas le dernier! Mais bref, les bras maintenant croisés, elle le regarda attentivement l’air légèrement amusé par sa réaction, par-dessus tout contente qu’au moins, il ait put lui en balancer quelques uns. Mieux que de l’avoir vu sombrer d’un sommeil dont il ne reviendrait peut-être jamais après tout, vous ne pensez pas?

"Aouch !! Non mais sa ne vas pas?! Vous aller finir par me laisser dormir oui !! Je commence as en avoir marre de votre petit jeu !!"

Le laisser dormir? S’il tenait tant au coma que ça. Un autre coup derrière la tête et il pourrait amplement y tomber de nouveau… Mais quelles étaient ses manières? Et ça, un jeu? Sans doute avait-elle l’air de prendre la situation à la légère, mais bref elle était née de la sorte. Le sérieux n’est-il pas un parasite contraignant? Si vous lui demandiez… Mais enfin, il se portait bien et c’est en gros, ce qui importait. Elle le fixait comme s’il était un tas de mensonge, sans doute suite à ses mots. Les yeux clairs de ce dernier trompaient presque, retenant son attention de sur les tâches de sang sur ses vêtements. Douteux, plus que douteux. Il aurait chassé le chameau dans le désert? Non, ça restait douteux. Mais elle ne laissa pas ses doutes visibles sur son visage, puis enchaîna aussitôt en lui tendant la main. Qu’il la prenne ou non…

"Tu as l’air d’avoir passé un sal quart d’heure, en tout cas! Mais comme tu le demande, oui moi ça va très bien ~"

Presque pas d'humour. Elle ne pointa surtout pas de son autre main ses vêtements… Ou sa personne, tout simplement. Quoi que cela laissa transparaître quelques doutes mais enfin, rien ne prouvait encore qu’elle était kunoichi. Son devoir serait sans doute de reporter cela éventuellement mais pour l’instant, fallait bien creuser l’affaire un peu. Le type après tout n’était sûrement pas d’humeur à danser la salsa! Elle lui offrit toujours sa main, puis détourna le regard un instant dans la ruelle, une main sur ses hanches, l’air nonchalant. Bref, elle ignorait toujours à qui elle avait affaire et l’idée même s’avérait un peu suspecte… Était-il même de ce village? Ou était-il tombé ici après un long périple hasardeux comme nombreux autres? Sans doute verrait-elle, ou bien jamais. Pour l’instant, elle patienta un peu et s’écarta un peu, lui laissant amplement l’espace de bouger ou de se lever s’il en désirait autant. Quant à elle, elle suggéra alors,

"Peut-être avais-tu l’intention d’aller quelque part? Je ne te gênerais pas davantage, très cher! Si tu veux je peux quand même aller te chercher un autre verre d’eau… Mais à qui ai-je l’honneur?"

Elle insista un peu sur ses derniers mots, emprunts de sarcasme toutefois. Ne restait plus qu’à voir comment lui réagirait. Cet inconnu dans un état… Plutôt sal et sanguinaire à la fois. Légèrement troublant, mais elle ne pouvait rien de plus que se poser quelques questions, offrir de l’aide et… Rester sur ses gardes à son égard. Qui n’en ferait pas autant? Il avait l’air d’avoir été piétiné par un amas de chameaux…Non, elle ne le lâcha pas des yeux, espérant ne pas trop l’intimider non plus.

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Cette jeune femme, si belle soit elle avait maintenant de la méfiance a mon égard, Bien sur son visage ne laissait rien paraître mais j'ai bien vu dans ces yeux lorsqu'elle m'examinas qu'elle n'était pas tout à fait à l'aise. Mais qui pourrait lui reproché, et surtout qui ne le serait pas face à un homme couvert de sang et de sable,et puant la mort. Surtout lorsque les première paroles que vous lance ce dernier sonnent sur un ton d'agression et de mécontentement. Étonnamment elle réussis facilement à faire abstractions de ses craintes lorsqu'elle me tendit la main, non sans rester sur ses gardes, après tout je pourrais m'avérer dangereux pour un inconnue me voyant dans cet état. Je l'entendit prononcé ces paroles :

"Tu as l’air d’avoir passé un sal quart d’heure, en tout cas! Mais comme tu le demande, oui moi ça va très bien ~"

« Toujours aussi drôle la petite, même si ma réactions à l'aire de l'avoir quelques peut contrarié. Je peut le comprendre car si comme je le soupçonne, enfin j'en suis quasiment certains maintenant, elle souhaitait simplement m'aider, il est clair qu'il y as mieux comme remerciement. »

La jeune femme jetas un regard dans la ruelle, avait elle donc peur d'être seul avec moi, je le conçois mais alors pourquoi cet air nonchalant ? Et pourquoi continuer de me tendre la main si elle est mal à l'aise, pourquoi si je lui inspire de la peur rester près de moi elle aurait pu tout aussi bien s'enfuir et me laisser là, ou tout simplement ma laisser.... il faut me rendre as l'évidence, mourir.
Elle émit tout de même un mouvement de recul, peur, malaise ou tout simplement pour me laisser respiré, qui sait ? Elle m'adressa de nouveau la parole :

"Peut-être avais-tu l’intention d’aller quelque part? Je ne te gênerais pas davantage, très cher! Si tu veux je peux quand même aller te chercher un autre verre d’eau… Mais à qui ai-je l’honneur?"

Aouch touché en plein coeur, lorsque j'entendis cette dernière phrases je ne put m'empêcher de verser une larme qui coula jus qu'as rencontrer mon masque que je retiras et laissa tomber aux sol pour essuyer cette dernière. Si seulement je savais qui j'étais, d'où je venais et où aller... Rien ne me ferais plus plaisir au monde, je donnerait tout ce que je possède, car je doit bien possédé quelque chose même si je ne m'en souvient pas. Je donnerais tout, absolument tout pour ne serait ce que savoir mon propre nom. Cette femme n'as aucune idée du mal que peuvent faire les quelques mots qu'elle vient de prononcé. Personne ne sait et personne ne pourrait comprendre car quoi qu'il fasse même si il essayait de comprendre il ne le pourrais pas car il se servirait d'éléments de leurs passé. Personne ne pourrait comprendre le vide que nous laisse et le mal que provoque la perte total de tous ses souvenirs. Je pris appuie sur le mur et me relevas avant de lancé ces quelques mots :

*Je suis désoler Mademoiselle, pour les mots que je vous ais adresser plus tôt , je comprend maintenant que vous essayer simplement de m'aider, mais mon esprit était flou. Je sombrais dans un sommeil qui ne cessait de m'appeler à lui et sans vous je serait probablement mort, pour celas je vous remercie . Et puisque vous me le proposé je crois que je vais accepter le verre d'eau, le désert m'as complètement asséché. Mais je ne puis toutefois pas répondre as vos questions , je suis désolé.Quand à l'intention d'aller quelques part, il est vrai que je souhaiterais aller n'importe où me permettant de manger, dormir et surtout me laver, je ne peut plus supporter cet odeur pestilentiel.*

Ces quelques mots, si simple as prononcé en temps normal furent tellement éprouvant as formuler, le gorge sèche et déshydraté comme je le suis que je ne puis rester debout sans m'adosser au mur, sous peine de m'écrouler et de ne plus pouvoir me relever. À ce moment précis je devais avoir l'air plus que pitoyable.

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La réponse fut l’une des moins attendues. L’étranger retira sans plus attendre le masque qui reposait sur son visage pour dévoiler un air… Qui afin de ne pas mentir, témoignait d’un certain malaise. Le mot malheur semblait être imprégné sur son front en fait. Curieuse, la kunoichi ne put que pencher légèrement le regard, comme si elle cherchait une réponse à ce drôle d’air sur son visage même. Qu’avait-elle dit? Qu’avait-elle fait? Elle leva une main afin de se gratter un peu derrière la tête, se sentant plus ou moins à l’aise elle-même maintenant. Une certaine culpabilité venait de la frapper de plein fouet, comme si une fois de plus, sa grande trappe venait de lui jouer des tours. Elle n’oserait même pas en demander davantage maintenant, de crainte d’empirer la situation! Non mais quel air maussade auraient-ils tous les deux si cela continuait de la sorte? Quoi qu’elle fut à la fois surprise et attentive lorsqu’il prit parole,

"Je suis désoler Mademoiselle, pour les mots que je vous ais adresser plus tôt , je comprend maintenant que vous essayer simplement de m'aider, mais mon esprit était flou. Je sombrais dans un sommeil qui ne cessait de m'appeler à lui et sans vous je serait probablement mort, pour celas je vous remercie . Et puisque vous me le proposé je crois que je vais accepter le verre d'eau, le désert m'as complètement asséché..."

Voilà ce qu’elle voulait entendre! La positivité revint donc s’installer sur le visage de cette dernière alors qu’elle le laissa se relever de peine, s’adossant à nouveau au mur comme pour se soutenir. Le fait qu’il ne veuille point répondre ou dévoiler son identité? Très certainement louche. Mais pas un mot ne peut sortir de la bouche d’un homme mort, alors le questionnement, il viendrait plus tard. Il était quand même de son devoir de garder un œil sur ce qui se passait dans les ruelles de ce village, non? Rien comme soutirer volontairement quelques paroles. .. La confiance est un atout et une arme parfaite. Mais s’il ne s’avérait pas une menace, elle n’aurait point à jouer le jeu. Mais d’où venait-il donc, enfin… Le moment était plutôt aux observations et en bref, à s’occuper un peu de ce type. Sinon il allait vraiment crever au pas de sa porte, puis passer le balai sur un cadavre? Très peu d’intérêt. Elle hissa temporairement un sourire sur ses lèvres alors qu’elle passa à côté de lui, ouvrant la porte. Plein de vie, celui là! Notez le sarcasme ~

"Je te laisse une heure, après ça, c’est aux autorités du village que tu t’adresseras, hum?"

Un ton digne d’une enseignante? Quoi, elle est directe et honnête après tout… Sans même se retourner afin de voir s’il entrait de peine et misère, elle pointa largement une chaise à table, là où du moins il pourrait s’asseoir confortablement et puis fila un moment dans une autre pièce afin d’en revenir avec un verre d’eau qu’elle posa sur la table, ainsi que quelques… Brownies dans un plat. Elle n’eut point encore jeter un regard à la porte ou autour d’elle afin de déterminer où le perdu en était rendu, mais elle ne se gêna toutefois pas pour s’adresser à haute voix à son égard,

"Pas très consistant comme repas mais si tu as si faim que ça, j’imagine que tu te plaindras pas. En fait combien de temps as-tu passé dans le désert, à te regarder? Oh et puis, avant que j’oublie, moi c’est Yuu. Bienvenue à Suna, le grand!"

Ses derniers mots furent emprunts d’humour, chose dont elle ne peut se passer. Elle ignorait bien s’il avait déjà mis les pieds ici mais en sortant du désert de la sorte… Il pouvait très bien provenir d’ailleurs. Au moins il pourrait se reposer un peu maintenant, le minimum. Ensuite, il faudrait bien qu’il y aille… Pour quelconque raison il aurait finit ici aussi, d’ailleurs. Était-il un shinobi? Pourquoi un tel doute planait-il en elle, juste à le regarder? Le sang, sans doute. La simple pensée animait la curiosité de la kunoichi qui se contenta toutefois de siffloter un peu en attendant qu’il se mette à l’aise et ose dire quoi que se soit. Ne serait-ce que parler de fromage… En fait, non. Puis même s’il gardait le silence à l’égard de détails personnels, elle ne pourrait point le blâmer! Elle-même s’avérait être une étrangère après tout ~ Assez folle pour recueillir des perdus sans son genre?

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Je pensais que mes mots la détendrais un peu, mais tout de même je fus surpris de constaté à quel point elle ce détendit, pour tout dire elle paraissait même heureuse de ma réponse. Et je crois même l'avoir vu sourire un instant, je n'en suis pas sur, ma vue étant un peut brouillé. Mais je crois bien qu'elle as sourit lorsqu'elle est passé as côté de moi avant de lancé :

"Je te laisse une heure, après ça, c’est aux autorités du village que tu t’adresseras, hum?"

Me laissé une heure mais pour quoi faire, me laissera telle donc assouvir chacune de mes requête ?
Je me sentit revivre à la simple idée de pouvoir manger, boire, dormir et aussi de me lavé. Mais qui est donc cette personne pour accédé ainsi aux demandes d'un parfait étranger, Un ange? Si tant soit peux que ces créatures existe. Je me résolue à suivre cette fascinante créature du regard, puis le suivit pour ne pas la perdre de vue. Elle ne fesait même plus attention à moi, mes paroles avais du la mettre en confiance, et pourtant elle devrait faire plus attention si il lui en fallait si peut, elle pourrait un jour ce retrouvé en grand danger. Perdu dans mes pensé je l'as vis à peine m'indiquer un siège avant de disparaître. Elle avait peut être réussis as me faire confiance mais pour ma part je ne lui avait pas encore totalement accorder la mienne. Je la vit revenir avec un verre d'eau et un plats contenant manifestement une sorte de pâtisserie qu'elle posât sur une table sans même vérifier que je sois bien là. Étrangement elle s'adressa une nouvelle fois as moi, était elle donc si sur que je le suive pour ne même pas vérifier ma présence en ce lieu ?

"Pas très consistant comme repas mais si tu as si faim que ça, j’imagine que tu te plaindras pas. En fait combien de temps as-tu passé dans le désert, à te regarder? Oh et puis, avant que j’oublie, moi c’est Yuu. Bienvenue à Suna, le grand!"

Toujours aussi drôle la petite, le grand voilas donc ce qu'elle pense de moi ou bien est ce la seul chose qui lui sois venue à l'esprit. Je ne sais pas si elle as dit celas pour détendre l'atmosphère toutefois je me relâcha. Après tout elle ne ce serait pas embêté à me sauver pour m'assassiner juste après. Elle ce mit à siffloté. Je décida donc de m'avancer vers cette table et m'assis de manière à garder cette femme dans mon champ de vision. Je vida le verre qu'elle avait préparé as mon encontre d'une seul traite et me mis as dévorer les pâtisserie, les unes après les autres jusqu'à ce qu'il n'en reste plus une miette. Recouvrant quelque force grâce à ce repas je prit la parole .

*Tu as dit t'appeler Yuu, c'est bien celas? Enfin bon peut importe, je n'ai qu'une chose à dire, Merci.*

Je gardas le silence quelques minutes, réfléchissant à ce que je pourrais bien lui dire, l'histoire d'un amnésique pourrait paraître invraisemblable, mais je décida toute fois dit lui dire la vérité. Je n'ai rien as perdre après tout, elle vient de me sauvé la vie peut être croirait elle à mon histoire.

*Yuu quel nom charmant, tout comme la jeune femme portant ce nom. Si je ne t'ai pas donné mon nom lorsque tu me l'as demandé, c'est simplement parce que je ne le connait pas moi même.*

Je fis une courte pose avant de raconter le reste de mon histoire.

*Mes souvenirs les plus ancien remonte à approximativement deux jour. Je me suis réveillé au milieu des décombres et des cadavres. Les autres survivant mon raconté que nous appartenions as une caravane se rendant ici même, dans cette caravane devait ce trouvé un jeune seigneur. D'après leurs dire je fesait partis d'un groupe de shinobi censé défendre cet personne et nous avions manifestement échoué. Ne me souvenant de rien et ne sachant que faire je suivis le groupe de rescapé. Nous avons erré dans le désert près d'une journée et demie presque sans eau et sans nourriture. Tous moururent les uns après les autres, je suis le dernier survivant. Je finis par trouvé Suna il y as quelques heures, mais il n'y avait personne aux portes. Je suis donc rentrée dans la ville et j'ai erré jusqu'à ce que tu me trouve. La suite tu la connais.*

Croirait elle as mon histoire, j'en doute. Celle ci est plutôt invraisemblable mais je n'ai rien d'autres à lui proposé. Désormais mon avenir repose entre ses mains.

Invité

Emplit de vie, celui là. Il ne perdit pas une seconde lorsqu’il s’installa à table pour vider le verre ainsi que dévorer les brownies sans retenue. Au moins ils auront servit à plus que de sucrer son propre bec! Elle ne put qu’assister à la scène avec un léger sourire. Aider ne procure-t-il pas plus de joie que de nuire à quelqu’un après tout? C’est sans doute la question la plus stupide à se poser aussi. Ne désirant pas l’effrayer en le regardant manger ni le porter à confusion, elle détourna son regard par la fenêtre, s’aveuglant presque avec la lumière qui en émanait. Amusant quand même… Quiconque un jour eut bâtit ce village devait être légèrement cinglé pour le situer au milieu du désert, non? Mais à la fois la folie n’a-t-elle pas donner le jour à de nombreuses et remarquables choses?

"Tu as dit t'appeler Yuu, c'est bien celas? Enfin bon peut importe, je n'ai qu'une chose à dire, Merci."

Son attention fut interpellée aussitôt qu’elle entendit son nom, forçant sa tête à se retourner en cette direction. Précisément vers l’étranger, en fait. Elle fit mine de rien, un merci? Ce mot est parfois si couramment utiliser et à des fins ne le nécessitant même pas qu’il perdait de sa valeur mais… Bon sans doute s’appliquait-il parfaitement dans la situation présente. Elle ne sentit point le besoin d’ajouter quoi que se soit, se contentant de patienter jusqu’à ce que ce dernier n’ose ajouter quelques mots encore,

"Yuu quel nom charmant, tout comme la jeune femme portant ce nom. Si je ne t'ai pas donné mon nom lorsque tu me l'as demandé, c'est simplement parce que je ne le connait pas moi même."

Oh mais quel compliment. Bah quoi, il faut savoir s’admettre flattée! Quoi qu’elle ne put camoufler un léger rire après de tels mots, ne désirant pas s’y éterniser. Non, disons qu’elle porta toute son attention sur ce qu’il élabora alors. C’est avec bien de l’attention d’ailleurs, qu’elle guetta chacune de ses paroles. Il ne se souvenait réellement plus de son nom? Comment est-ce possible? Enfin disons que l’amnésie à un si haut point ça sonne pas aux portes de tout le monde. En plus s’il disait vrai, de perdre les souvenirs d’une vie entière au beau milieu du désert et de se réveiller entouré de cadavres… Nom d’un chien il y avait vraiment eut un tel incident de la sorte il y a deux jours, sur le territoire de Suna? Le sérieux revint peu à peu se dessiner sur les traits de son visage. Pas de doute qu’une telle chose devrait être enquêtée… Qu’il mente ou non. À en juger par son état il s’était bien passé quelque chose de toute façon! Pas de doute qu’il est de son devoir qu’elle devrait reporter une telle tragédie aux autorités afin de l’enquêter… Mais elle en revint rapidement à écouter la fin de ses mots.

"…Tous moururent les uns après les autres, je suis le dernier survivant. Je finis par trouvé Suna il y as quelques heures, mais il n'y avait personne aux portes. Je suis donc rentrée dans la ville et j'ai erré jusqu'à ce que tu me trouve. La suite tu la connais."

Venait-il réellement de passer à travers de tout cela? Disons qu’elle se sentait légèrement mal de ne pas savoir quoi lui répondre. Elle posa une main sur la table, détournant légèrement le regard à nouveau. Il y a de ses moments où jeter une remarque humoristique ne peut même pas ramener un sourire, alors elle dut s’efforcer avant de prononcer ses quelques mots,

"À la fois n’est-ce pas une bonne chose que tu ne te souviennes point de ce qui s’est passé… Si c’est aussi désastreux que tu viens de le dire?"

Peut-être cette remarque ne serait point appréciée ou de trop, mais à quoi bon ne pas répondre de façon honnête à ses propres réflexions? Il fallait oser. Aussitôt que ses paroles furent lancées, cette dernière se leva debout et saisit la vaisselle, sans même croiser le regard de l’étranger, puis retourna sur ses pas afin d’en débarrasser la table. Comme s’il était question de le laisser seul ne serait-ce qu’un instant. Après tout, qui était-elle pour juger de son vécu? Ou ce dont il se rappelait de ce dernier… Mais c’était étrange quand même, une telle cause d’amnésie. Pourquoi s’en retrouvait-elle intriguée en fait? Certes elle devrait reporter l’incident, considérant que le tout s’était passé aux alentours de Suna mais… L’amnésie. Douteux. De tels cas étaient si rares, ou du moins elle n’en avait jamais vu elle-même. Sa carrière en tant que kunoichi médicale avait commencée depuis peu très certainement mais, il ne fallait pas être professionnel dans le domaine pour savoir que la chose est rare! Elle revint donc dans la pièce afin de se joindre à l’inconnu, ne dévoilant point de traces de soucis ou de surprise sur son visage. Mais se fut sans retenue qu’elle imposa son regard sur lui, avant d’admettre,

"Alors tu es un shinobi, hum? Le moindre que je puisse faire maintenant est de t’amener aux autorités. T’inquiète, aucune torture ne t’attends, c’est tout simplement pour ton bien. Que tu tiennes à rester ici pour longtemps ou non, tu trouveras ce qu’il te faut dans son village… Quant à ta mémoire, je crains que toi seul ne puisse y remédier…"

Elle se hissa sans plus tarder jusqu’à sa porte qu’elle ouvrit, puis invita d’un signe de main l’homme à la suivre. Il n’aurait pas à marcher très loin puis, une fois passé sous les autorités du village, il aurait amplement plus de liberté. Sans compter que certaines informations pourraient s’avérer cruciale. Mais il serait entre de bonnes mains, pas de doute. Un sourire lui fut lancé alors qu’elle incita afin qu’il ne la suive.

"Oh et encore une chose… Si jamais ta mémoire te revient, tu pourras aisément me retrouver à l’hôpital, j’y travaille assez souvent. Au bonheur d’un jour entendre ton nom!"

Rien comme l’honnêteté! Et sur ce, elle passa le pas de la porte… Espérant avoir acueillit cet inconnu comme il se doit. Ce drôle d’inconnu, d’ailleurs… Quant à ce cas d’amnésie, très certainement elle voudrait en entendre des nouvelles un de ces quatre. Sans sonner comme un docteur fou non plus, voyez. Puis sa journée aura eut le piment qu’elle désirait…

Invité

Elle avait littéralement bu toutes mes paroles, Retenant sont attention sur chacun de mes mots et paraissait soucieuse. Lorsque je finit des prononcé mes dernières paroles, je crois qu'elle fut envahi par une sensations de malaise, avant de me poignarder de nouveaux en plein coeur.

"À la fois n’est-ce pas une bonne chose que tu ne te souviennes point de ce qui s’est passé… Si c’est aussi désastreux que tu viens de le dire?"

A peine eut elle prononcé ces mots, qu'elle se levas et pris la vaisselle posé devant moi sans même me regarder. Ses mots avait du lui couter beaucoup de courage car si elle ne pouvait me regarder, elle se sentais gêner et dans ce cas là avait hésiter avant de les prononcer. Cet dernière ne pouvais comprendre ce que signifie une perte de mémoire. Une bonne chose ? Certainement pas, si je le pouvais je souhaiterais faire un millier de fois l'expérience de ce qu'elle qualifie de désastreux si celas pouvais me rendre la mémoire. Aux bien sur une personne possédant tous ces souvenirs ne verrais aucun inconvénient as oublier celas. Mais pour ces quelques souvenirs, aussi désastreux soit ils sont tous ce que je possède. Je souhaite même les conserver à jamais, je ne veut plus rien oublier, pas une seul chose car désormais, Aussi maigre que soient ces souvenirs, ils sont toutes ma vie. Elle finit par revenir dans mon champs de vision et me fixa intensément, comme si elle souhaitais imposé sont regard puis reprit la parole:

"Alors tu es un shinobi, hum? Le moindre que je puisse faire maintenant est de t’amener aux autorités. T’inquiète, aucune torture ne t’attends, c’est tout simplement pour ton bien. Que tu tiennes à rester ici pour longtemps ou non, tu trouveras ce qu’il te faut dans son village… Quant à ta mémoire, je crains que toi seul ne puisse y remédier…"

"Aucune torture ne t'attends ? Rassurante la petite, l'idée ne m'avais même pas traversé l'esprit, est ce donc celas la vie de ninjas? Combats, morts et tortures? Comment ais-je pu choisir un tel chemin, quel genre de personne étais je avant cet incident ? Pour mon bien? Je n'en doute pas. Quand à rester ici, je ne pense pas avoir le choix. Aussi lorsqu'elle ouvrit la porte et me fuit signe de la suivre en me souriant, je ne pus que me lever à mon tour et commencer à la suivre."

"Oh et encore une chose… Si jamais ta mémoire te revient, tu pourras aisément me retrouver à l’hôpital, j’y travaille assez souvent. Au bonheur d’un jour entendre ton nom!"

Elle souhaitait donc me revoir, ce n'est pas pour me déplaire. Je ne connais pas cette femme depuis longtemps, mais je pense que je l'apprécie déjà. Ce seras donc avec joie que je retournerais la voir, lorsque je me souviendrais de mon nom. Et qui sait peut être la reverrais je avant celas.
Elle passa le pas de la porte et je n'ai eu d'autres choix que de la suivre. Nous marchâmes quelques minute avant d'arriver devant un bâtiment plutôt étrange. Puis elle reprit la parole:

*Voici le bureaux du Kazekage, tu devras t'adresser aux personnes présentes ici. *

Sur ses mots elle me laissa là et disparue avant que je n'ai le temps de la remercier. Que faire à présent vais je franchir ces protes et me confronté à ce mystérieux Kazekage? Qui est il ? Sans doute un personnage important,puisqu'il fait partie des autorités du village . Comment devrais je réagir devant lui et que vas t'il me faire ? Peut importe je pris mon courage à deux mains et poussât les portes pour rentré à l'intérieur du bâtiments. Alea jacta est , advienne que pourras.

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