Konoha est un village magnifique, des paysages qui en ferait rêver plus d'un, une atmosphère paisible et puis un ciel magnifique. Il était bleu ce jours d'été, sans nuages, sas rien en vue pour gâcher cette si belle journée. Effectivement c'était un jour important pour la petite lily, qui n'était plus si petite que ça après tout aujourd'hui elle avait quand même 20 ans. Elle déambulait joyeusement dans les rue du village, cherchant un gâteau pour le soir, certes elle le fêterai surement seule, mais elle voulait avant tout ce faire plaisir à elle même. La jeune femme n'avait pas beaucoup d'ami, enfin elle ne cherchait pas vraiment à en avoir, car elle avait peur qu'il ne meurs comme ses parents et ça personne ne le savaient. Les gens disaient juste qu'elle était dangereuse, que personne ne savait d'où elle venait, ils racontaient même qu'elle était une espionne, cela faisait bien rire lily, mais au fond de son coeur ça la blessait.

Le moment était arrivé, elle entra dans le magasin en criant un bonjours amical, mais, quand elle regarda mieux la magasin, elle remarqua qu'il était plein de sang, les murs n'était plus bleu, mais était d'une couleur mauve qui tirait un peu vers le rouge, le carrelage était maculé d'un liquide rouge. Elle marcha doucement vers la comptoir, tremblante et angoissée, et regarda par dessus. Là, devant elle, gisaient deux corps, le pâtissier et sa femme. Restant là, terroriser, elle avala sa salive et couru hors du magasin, appelant au secours, hurlant même pour que quelqu'un l'entende.

Quand enfin les Anbus arrivèrent, sans aucune surprise, elle fût traiter comme une suspecte et enfermer dans la prison du village. C'est vrai que ne pas pleurer quand on trouve des personnes mortes c'était suspect, mais le pire c'est qu'elle riait, comme le jours de la mort de ses parents. La phrase de sa mère restait graver dans sa mémoire. Ce n'est que le lendemain qu'elle fût libéré, finalement c'était des bandits de passage qui avaient voulut voler l'argent du vieil homme et qui l'avait tué , ainsi que le lendemain qu'elle fût libéré. C'est à ce moment qu'elle compris qu'elle devait aider et sauver ceux qui allaient comptés pour elle.