Je plia ma couverture, remplis ma gourde à ras bord et partis vers les montagnes. J'avais décidé de faire un voyage vers les plus hauts sommets. J'entama ma quatrième journée de marche vers les seuls chemins entre la terre et le ciel. En fait j'avais entendu dire qu'un ermite y vivait et y cultivait une rare plante. Plus précisément, sur le côté du levant, de la montagne entre celle du diable et celle de l'infini, à partir de l'orée du bois. Et moi, ben, j'étais encore dans le bois mais j'étais bientôt rendu aux montagnes. Donc, j'étais en direction pour visiter les jolis monts enneigés et j'écoutais les petits animaux - seule activité vivante dns cette forêt - effrainés dans leurs besaces. Je vis des petits fruits et les mangea. Ce qui me fit mal à la gencive. Effectivement, en mangeant du lapin, la veille, il y avait un petit os pointu qui était rentré dedans et avait fait un petit trou. J’accéléra un peu le rythme et regarda une maman ou un papa oiseau donner à manger à ses petits. Ce qui me fit tomber par terre. Shimata! Je venais de me prendre les pieds dans une grosse branche. Je me releva et épousseta mes pantalons en repartant tout en regardant un peu vers le sol. Finalement, je sortis de la forêt et le spectacle que j’avais devant moi me coupa le soufle. Les montagnes s‘élevaient jusqu’au ciel. Le soleil, en arrière plan, se levait et répendait ses rayons lumineux partout. On pouvait apercevoir, vers le haut des montagnes, le manteau blanc qui les recouvraient. On devinait qu’il se poursuivait vers le bas qui était encore dans les ténèbres. Et s’en était époustoufflant! Je décida de passer à côté des six premières montagnes pour gravir la septième. Car d’après les renseignements l’ermite serait sur celle-là. Le chiffre du diable est 666 donc 6. Et le signe de l’infini est un 8 sur le côté donc 8. En gravissant cette élévation je remarqua que dans le bas il y avait un peu d’arbres et un ou deux pièges. Étrange… Plus je gravissais plus la neige augmentait. Ça devenait de plus en plus difficile de marcher. J’entendit du bruit et fut prise dans une tempête de neige. Ma vision étais quasiment nul et j’avais de la neige jusqu’aux genoux. Tout en continuant j’entendis un ou deux gémissements. J’essayais de voir ce que c’était. « Ah ! » Quelque chose en un claquement venait de se refermer vivement devant moi et j’en était tombé à la renverse. Finalement je distingua une ombre dans la tempête. Cette ombre avait le forme d’un animal. Un chien ou un loup pour le moment, était devant moi, échine hérissée et toutes griffes dehors. Mais que faisait un loup ici ?

[Gomen]

Je remarquais qu'il y avait quelque chose qui bloquait la patte arrière de l'animal et voyais bien que le loup devant moi ne se calmerait pas. Alors je décidas d'attendre que la tempête se calme pour pouvoir mieu regarder, et si possible, calmer la bête qui était enrager. Donc je m'installa en tapant la neige autour de moi pour me faire un soi-disant sol et étendit ma couverte dessus. Je m'étais éloigner un peu car il pouvait toujours tenter de me sauter à la gorge malgré la douleur que pouvait y infliger la chose qui le retenait.

Gravir cette montagne m'avais ouvert l'appétit, il me restait encore un peu de petits fruits que j'avais ramasser la matin même. Je l'ai mangea et fini se que j'avais d'eau. Je vais p'être pouvoir attraper quelque chose quand la tempête se calmera. Mais pour le moment je dois me contenter de ça... Je soupirais. Que c'était long!

Je reporta finalement mon attention vers le loup ou la louve. Je ne pouvais pas distinguer pour le moment. Mais pourquoi il ou elle était là? Pour venir chasser aurait été une bonne solution, mais, d'habitude les loups ne chassent-il pas en groupe? Ils ne l'auraient tout de même pas l'aissé là. Ou bien c'était un/une loup/louve solitair/e et il/elle faisait une petite promenade de santé. Ou chassait. Tout de même ça devait être douloureux. Je sais!! Après que la tempête sois terminée je vais essayer de l'aider. Sans me faire tuer.

L'animal fit encore quelques essai pour se libérer et pour me sauter dessus mais cela s'étant avéver inutile il/elle arrêta. Sois par trop de douleur ressenti, sois pas épuisement ou sois pas intelligence en se disant que de un: ça ne servait à rien et que de deux: il valait mieux garder ses forces.

La tempête se calma enfin et je pus constater que l'animal était finalement une femelle. Elle était très belle et majestueuse. On pouvais ressentir de le fierté émanant d'elle et de l'impuissance aussi. On dit souvant de ne pas regarder un loup dans les yeux, mais je ne pu m'en empêcher. Je découvris une grande intelligence et une grande rage dans ses yeux vermillon. En descendant mon regard vers son pelage ébène et soyeux pour finalement découvrir que c'était un piège qui la retenait prisonnière. Un liquide rouge suintait des blessures infligées. Je sentais son regard sur moi. Elle aussi "m'inspectait".

La louve s’était assise et semblait s’être calmée. Avec tout le sang qu’elle perdait, elle allait finir par s’évanouir. Elle devait avoir faim, comme moi d’ailleurs. Avec cette tempête il devait sûrement avoir eu une ou deux chèvres qui s’étaient égarées. « Aller, hop! » Je me levai et contournai précautionneusement la louve, tout en ne la perdant pas de vue. Rendue de l’autre côté de l’animal, qui s’était levé entre temps, je commençai par reculer en m’éloignant car se n’était jamais bon de tourner le dos à un animal féroce. Quand je fus asez loin je me retourna et vis, comme un ange tomber du ciel, une chèvre dans la neige. Mon ventre gargouillla à cette vision magique. Je n’avais même pas eu besoin de chercher. Je sortis un kunaï, m’approchai tout doucement et le lui plantai en pleine tête. Cela en était même presque trop facile.

Je transportai le cadavre vers l’endroit où j’avais laisser mes choses. En arrivant près de la louve, je la contournai encore et elle regardait, avec la geule entre ouverte, notre futur repas. Elle ne devait pas se douter que j’allai partager, mais je ne serait jamais capable de dévorer une chèvre complète et elle aussi devait manger. Je fis un trou dans la neige, j’enlevai le kunaï de la tête de la bête et découpai un gros morceaux de viande. Je le jetai dans le trous et y envoya un parchemain explosif. Après la déflagration, je regardai dans le trou et ramassai la viande. Pas assez cuite. Je jettai un autre parchemain dedans et repris la viande parfaitemant cuite à mon goût. Je m’assis sur ma couverture et déposa la viande sur la neige à côté de moi. Je me relevai sur mes genoux et dans un élan, envoyai le reste de la carcasse, qui était assez grosse pour nourrir un ours, à la louve. Qu’elle resevit à c’est pattes la viande ne la fit guère réagir, car suspicieus, elle sentit la viande, la toucha du bout du museau et retourna sont attention sur moi. Je ne réagissais pas car je croiyais, qu’elle pensait, que j’avais mis quelque chose dedans pour lui faire du mal. Tout en continuant de me fixer, elle pris un mini morceau de chair et le mangea. Voyant que je ne réagissais pas plus, elle reporta son attention sur son buffet et mordit à pleine dents dedans. Je souris car elle avait pris se que je lui avais donner.

Quand nous eûmes fini de manger, j’essayai de m’approcher d’elle pour pouvoir aller porter plus loin se qui ne pouvais pas être manger dans la carcasse. Quand j’approchai ma main, elle s’avança la tête et essaya de me mordre. Je me reculai vivement pour l’empêcher de refermer c’est cros sur mes doigts. Je retournai sur ma couverte et baillai. Je me couchai en petite boule et mis ma cape sur moi. Je m’endormis et rêvai que je devenais amie avec cette louve. En me réveillant, je vis que la louve dormait sur son flan droit. Je vis la petite mare de sang qu’avait fait ses blessures, mais ça coulait encore. Je m’approchai doucement pour ne pas faire de bruit. J’allongeai le bras pour voir comment le mécanisme du piège fonctionnait et frola la patte de la louve qui ouvrit les yeux. Elle essayai de se relever mais elle en était incapable et à bout de force elle ce rendormis, enfin, je croyais. Avec mes deux mains je pris les machoires en acier et les ouvris. J’appuyai fort pourle réenclencher. J’enlevis doucement la patte de la louve et la mis dans la neige. Je déclenchai le piège qui se referma en un claquement métalique et l’envoyai plus loin. J’allai chercher des bandages pour couvrir les plais. Je nettoyai, grâce à de la neige, le plus que je le pus les blessures en essayant de lui faire le moins de mal possible et bandai ses blessures. Je retournai à ma place et je la veillai.

Sentant qu’on la secouait légèrement, Seika se réveilla. Elle se retrouva avec une louve devant elle. Voilà, ma dernière heure à sonner. Elle va me sauter à la gorge et me manger. Elle fermit les yeux et retint son souffle en attendant le douleur qui annoncerait l’heure fatidique. Tout se qu’elle entendit, fut le son de la neige qu’on écrase. Elle ouvrit les yeux et vit que la louve s’était assise à côté d’elle, tout en faisant attention à sa patte. Et la regardait, la tête un peu penchée sur le côté.

-Ce que t’es mignone comme ça. Alors tu ne vas pas me faire de mal, demanda Seika à l’animal.

-…La louve pencha sa tête de l’autre côté.

-Ouais, bravo. Tu parles avec une louve ma vielle, réalisa Seika en soupirant. Elle se décida de tenter sa chance en la caressant. Alors, elle tendit la main, doucement sans faire de geste brusque, et l’approcha du museau de la louve pour que celle-ci puisse la sentir. Comme ça elle pourrait avoir plus de chance pour la toucher. Quand ce fut fait, elle approcha sa main de la tête de la louve, qui la baissa, comme pour lui dire de ne pas s’en faire et qu’elle n’allait pas la mordre. Les doigts de Seika toucha finalement le pelage noir de la louve. C’était doux et chaud. Elle eu une envie subite de la prendre dans ses bras comme un toutou et de se frotter la joue contre son pelage. Mais elle s’abstint car c’était quand même un animal sauvage.

« Grrrg » Seika pencha la tête vers le bas et regarda son ventre. Elle avait faim, apparement. Elle se leva et décida de partir en chasse. Mais cette fois,elle le savait, ce serait plus ardu. Elle se tourna vers la louve et malgré qu’elle savait pertinemment qu’elle ne pouvait comprendre un mots de ce qu’elle disait, elle lui demanda de rester là et lui dit qu’elle reviendrait. La louve en réponse se coucha et la regarda. La fille aux yeux vairons se retourna et partie à la recherche de nourriture. Après dix minutes de recherche intensives dans cette étendue de blanc immaculé, elle n’avait encore rien trouvé. À part une grotte qui pourrait leur servir d’abri. Elle retourna voir la louve qui n’avait pas bougée. Elle ressembla ses choses et essaya de communiquer avec l’animal.

« J’ai trouvé une grotte. Vien, on va pouvoir se réchauffer un peu. Il n’y aura pas de vent ni de neige pour nous geler.»

Puis, elle partie en espérant que la louve la suive. Elle se retourna et vit que l’ombre la suivait. Étant presque arrivées à destination, elles virent à l’entrée de la grotte, des traces de pas qui arrivaient en sens inverse. Les traces faisaient au moins trois fois la taille de celles de Seika. Elles se lancèrent un regard et avancère prudemment jusqu’à voir à l’intérieur de la grotte une bête gigantesque. Ça ressamblait à un humain avec : un pelage gris, des pattes de loup – mais en plus gros - , une queue et des cros. La bête était pour le moment endormie.

« Désoler, elle n‘était pas là, la dernière fois. Je crois qu’il faudrait qu’on parte de la au plus vite et que j’arrête de parler à une louve qui ne comprend pas ce que je dis, murmura Seika à sa compagne et à elle même.»

Trop tard. Ses paroles devaient avoir réveillées la bête, car elle était en train de se lever et ne semblait pas très sympatique. Les deux ‘amies’ reculèrent et la bête ici présente, qu’on va appler yéti, avança et attaqua en donnant un coup de patte vers Seika qui se pencha pour l’éviter. La louve s’était déplacer et mordit la patte arrière droite du yéti pour le faire tomber, car il se tenait sur ses pattes arrières. Le yéti secoua sa patte et propulsa la louve un peu plus loin. Elle s’écrasa sur la neige avec quelques grognements. Seika, entre temps, avait dégainer ses armes et attaqua en sautant dans les air et en retombant sur son dos, tout en enfonçant ses saïs dedans, le yéti. Il tomba à la renverse, en écasant Seika. Plus c’est gros, plus ça tombe de haut et plus ça fait mal. Le yéti de se releva, leva ses bras dans les airs et les descendit vivemant vers la jeune fille encore à terre, qui bloqua avec ses mains les avants bras du monstre. Seul le plus fort vaincrait et Seika savait, indubitablement, qu’elle n’avait aucune chance. La louve, relevée avec vertige et dificulté, ne pouvait bondir sur la bête à cause de sa blessure, autant dire qu’elle ne pouvait rien faire pour aider l’humaine. Alors, elle fit quelque chose d’extraordinaire et peu probable : elle se transforma en humain, pris son arc et tira une flèche vers le monstre, qui alla se loger entre ses deux yeux.