Je mettais ma planche de surf sur le dos, je m'habillais avec un short maillot, une chemise de type hawaïenne ainsi que des lunettes de soleil. Je sortais de Suna, le village où m'avait été donné la mission quelques minutes plus tôt. Je croisais la vieille dame que j'avais rencontré il y a fort fort fort longtemps, dans mon ancien village. Elle s'approcha de moi d'un air assez saugrenue et peu convaincu de sa vision.


Elle s'approchait avec ses doigts crochus, son bouton de fièvre sur la lèvre, un énorme bouton sur la pointe de son nez tordu. Je m'éloignai d'elle au rythme de son avancé, car la peur face à cette atrocité de la nature était bien plus avancé que ma politesse... Pour couronner le tout, elle me suivait jusque dans une ruelle, une musique venait de se rajouter en fond, musique digne des dent de la mer, stridente, rapproché, les notes n'avait qu'un demi ton d'écart. Enfin, je ne pus aller plus loin: mon dos se heurta contre un mur, mes mains étaient plaquées contre celui-ci. L'index tordu et affreux de la vielle dame se rapprochait petit à petit de mon visage. Un cris s'échappa de ma gorge.

" AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH! NE ME TOUCHEZ PAS!! QUI ETES VOUS?! "

La vieille grand mère semblait choquée, outragée par ma remarque, elle se recula de deux pas, tout au plus et, d'après son visage, elle était déçue à cause de cette réaction puéril, enfantine. Cependant, au lieu de fuir, comme je le pensai, elle se ressaisit pour me dire quelque chose qui me... enfin, vous verrez.


Je la vis, s'élever dans les airs, tel euuh... l'air qui s'envolait vers le ciel, une âme, soul spirit, je n'en savais rien mais le résultat était à la fois magnifique et triste, j'aurais aimé qu'elle reste mais.. avec ses cent cinquante deux ans... Il valait mieux qu'elle repose en paix.. Sa vie avait été certainement magnifique. Je levais les bras au cieux ainsi que mes yeux.


Je partais en direction de ma destination, Hi no kuni, à la recherche des bandits pour pouvoir le mettre une bonne raclée dont il se souviendrait toute leur vie. Lorsque je quittai Suna, un sentiment bizarre me submergeait, un sentiment d'avoir oublié quelque chose d'important. C'était sur ce sentiment que je m'occupai de ma mission.
Voilà deux heures que j'avais quitté Suna, je me déplaçai d'arbre en arbre tel un singe dans la forêt, heu.. tel un ninja expérimenté en mission. D'arbre en arbre, je réfléchissais, je mettais en route toutes les neurones, toute ma matière grise présente dans mon cerveau pour pouvoir penser à la manière des criminels. Comme dirais mon grand père germain, aucun rapport avec la Germanie hein! Si tu veux savoir ce que pense une grenouille, il faut penser comme une grenouille, vivre pour les grenouilles! Donc ici il fallait que je pense comme un brigand, que je vive pour les brigands et que je devienne un brigand! Oui! A ce moment là de l'histoire je sentais ma force sur la compréhension des bandits prendre forme, prendre vie!
Qu'était-ce un bandit finalement? Peut être un banc qui dit quelque chose genre... le banc dit "hey salut, ça va? Tu veux venir te faire la malle avec moi ma ptite valise? -Non désolé, j'ai trop de bagage avec moi...- Ah... pas grave alors, à la prochaine!" Peut-être était-ce tout simplement ça non? NON! Un bandit c'était bien plus que ça! Ils étaient bien plus subtile qu'un banc avec une valise.
Soudain, je me rappelai l'indice de ma grande maman: " les bandits se trouveront là où le petit sanglier de l'arbre en cerisier se trouvera! ". Je remerciai ma grande maman encore une fois pour l'indice précieux qu'elle m'avait offert, ironiquement bien sûr, après tout, où pouvais-je trouver un endroit si précis dans un pays aussi vaste? c'était tellement n'importe quoi... En fait cette foutue vieille avait été envoyé pour me faire perdre mon temps, maintenant, à ce niveau là de ma vie, j'en était certain. Quoi que... Avec ce qu'il se passe par la suite... bref, je divague, je reprend où nous en étions mes chers lecteurs.

Je m'arrêtais dans cette plaine, circonspect par la stupidité de la situation. Qu'y avait-il au milieu de cette plaine? Le petit sanglier avec, au dessus de lui, un arbre en cerisier, autrement dit, un cerisier en fleur. Ceci était vraiment une situation quelque peu... risible. Bon, je n'allais pas m'en plaindre n'est-ce pas? Elle était ici, alors tant mieux. Maintenant il fallait que je trouve l'entrée d'une cachette si planque il y a. Je pensais à lancer un ail pour devenir un jedi et ainsi voir si des ennemis étaient autour ou sortaient de quelques part mais je m'y résignai. Cette idée n'était pas très bonne, je ne pouvais l'utiliser. De ce fait, j’optais pour quelque chose de plus... révoltant et intelligible. En effet, je fis apparaître deux kage bushin de moi afin de crée une diversion bien distrayante. Une fois les deux nouveaux Minato invoqués, ils enlevèrent leurs habits. Je leur donnai les ordres et leur dit d'attendre mon signal avant de faire quoi que ce soit. Bien entendu, le signal était connu par la pensée vu qu'ils faisaient partit de moi même donc les commander n'étaient pas très compliqué. Je me déplacé, tout en faisant le tour de la plaine pour me positionner dans un endroit assez élevé, j'avais trouvé l'arbre le plus haut, le plus proche et qui donnait la meilleur vu sur le petit sanglier de l'arbre en cerisier. Je montai dessus et arrivai enfin au sommet. De là, le plan commença, je mis mes mains autour de ma bouche et commença à faire le son du hibou:


Le premier clone sortit de sa cachette et s'élança dans le plaine complètement à poil tout en faisant des cris assez morbide ressemblant à des cris de guerre d'hommes sauvages. Cette scène était assez hilarante, il faut bien l'avouer si nous nous éloignions de notre propre peau un moment et prenons du recul sur nous même et la situation, un homme blond courant nus dans les bois pour attirer des gens... absurde.. Mais cela marcha assez bien à vrai dire. Deux hommes sortirent d'en dessous du sanglier, oui, d'en dessous, une trappe c'était, en effet, ouverte sous le ventre du sanglier. J'ouvrai grand les yeux, repensant à ce que m'avait dit Katsumi. C'était donc là, elle m'avait donné la réponse depuis le début. M'enfin, je continue mon récit. Le Minato nudiste était toujours en train de courir nus autour de l'arbre en criant des mots incompréhensible. Nous aurions pu confondre cette situation avec un rituel de noire, enfin, d'affro man. Toujours est-il que la diversion marchait. C'est ainsi qu'arriva le second signal.

" Hou Hou Hou Hou"

Tout à coup,des centaine de Minato nus sortait des bois. Tous se dirigeais vers la planque des brigands, essayant de rentrer. Qu'est ce que je faisais pendant ce temps? Oh, et bien figurez vous que j'étais parmi tout les Minato présent, oui, j'étais à poil moi aussi. M'enfin, mon rôle était quelque peu différent, je ne voulais pas attirer l'attention sur moi, le vrai. J'arrivai derrière les deux hommes et, avec une simplicité enfantine je les assommai à coup d'un gros gourdin fait de bois. Un bruit se fit entendre. Tout mes clônes disparaissaient petit à petit mais... le bruit ne venait pas de là. Je tournais la tête, observant les alentours.

Je me tournais dans tout les sens, cherchant d'où venez cette voix. Une idée me vint enfin, laquelle? celle de vérifier les corps étendu par terre. Rambo quatre continuait toujours à parler dans l'espoir qu'Adriane, la fille que je fouillais sans me retenir, et rookie deux se relèvent. Il pouvait toujours attendre que rookie et Adriane reprennent leurs esprits respectifs. Enfin, après avoir chercher la chose, qui émettait les ondes sonores, en profondeur sur et dans Adriane, je la trouvais dans l'oreille de Rookie. J'attrapais le type.


L'herbe sous le sanglier se leva, laissant apparaître une échelle se glissant dans la terre et sous les profondeurs éternelle de notre mère nature. Sans me questionner sur ce qui allait se passer, moi, normalement, je descendais par ce magnifique trou sombre, étroit et humide. L'espace était complètement vierge de végétation, pas une seule forêt noire dans ce gros trou. Bon, en même temps je descendais juste une échelle donc il fallait que j'arrive tout en bas avant de dire quoi que ce soit.
Après des minutes interminable et vraiment longue, je sautais de l’échelle et amortis la chute en invoquant Gamatabi.

Oui, ce qu'il était en train de dire montrai l'aversion qu'il avait pour la situation présente. Vous vous demandez certainement que se passe-t-il? Pourquoi est-ce qu'il y a autant d'atrocité dans sa voix? et bien d'autre questions encore sont incrustées dans votre tête à la lecture de cette scène. Et bien sachez que je ne peux décrire les atrocités que j'ai commise, qui m'ont, d'ailleurs, bien amusée. A cause de la censure les lignes précédentes ont donc été intentionnellement enlevé de l'oeuvre originale. A la place de la scène magnifique de torture, vous aurez le droit a un résumé complètement mal décrit et absurde lors de la lecture. Voilà, place au synopsis.
Bonjour, je m'appelle Minato, je suis dans une base ennemi, faisant une mission pour espérer passer Junin. Seulement voilà, je suis un idiot, qui cherches toujours à s'amuser, invoquant donc ses grenouilles sans but vraiment justifié a part celui de... rigoler et les prendre pour des bêtes de foires! Pendant que mon vénérable et preux Gamatabi m'indiquait que quelqu'un venait par ici, moi, qu'est ce que j'ai fait au lieu de me cacher? Je lui ai montré que j'étais vraiment là, dans leur repère. le signal d'un individu qui n'est pas des leur a donc été lancé. Seulement, le garde qui faisait sa ronde pensait que je n'étais qu'un petit homme, capable de rien, rigolant pour rien, et idiot comme pas possible (ce qui n'est pas totalement faux). De ce fait, avec toutes ces idées en tête, le garde me sauta dessus. J'eus juste à faire un pas sur le côté pour le faire trébucher. Et le torturai en lui coupant les doigts, les pieds, les oreilles et tout le tralala pour avoir une carte de cette base de biiiiip. (résumé fait par Gamatabi).

" Voyons Gamatabi! Tu sais bien que je te prend pas pour une bête de foire! Soit un peu plus objectif dans tes résumés!
Ah ouais? Alors qui est-ce qui m'a fait sauté par un anneau de feu?! Hein? qui c'était?! Dis le moi!!! QUI??!!
Allons! Pas besoin de t’énerver! Nous rigolons bien ensemble, en plus tu t'es bien foutue de ma gueule quand j'ai fait la même chose! Souviens toi de grand maman qui nous faisait des petits gâteaux, moi ils étaient au framboise et toi au mouche. Souviens toi de notre enfance, nous avons de bons et merveilleux souvenirs ensemble n'est-ce pas?
Oui c'est vrai... On en a vécu des choses... ralala...
Voilà, amis pour la vie. Maintenant disparaît comme tu es apparut! I love you ma grenouille! "

Gamatabi disparut dans un merveilleux nuages de fumée. L'alarme était enclenchée, les si et les la aiguës devenaient réellement agaçant pour mes oreilles. Je courrai, suivant les indications de l'homme que j'avais torturé pour trouver la carte. j'arrivais enfin dans une pièce ou deux coffres étaient posés. je m'approchai de ces deux et ouvrais celui qui était tout à droite. Au fur et à me sure que je levais le toit du coffre, une lumière dorée s'en échappé tout en étant accompagné par une musique d'ouverture de coffre à la Zelda. A la fin, je plongeais dans le coffre car celui ci faisait presque deux fois ma taille et ressortis, carte à la min, les mains au dessus de la tête en criant Hourra. Soudain, je regardai le deuxième coffre. La situation fut exactement la même, rien ne changea, la même musique, la même lumière, le même saut pour arriver dans le coffre et de même pour en ressortir. Encore une fois, je levais les bras en l'air tenant quelque chose de différent. Je me vis moi, à la troisième personne, une boussole à la main et une bulle de jeux vidéo en dessous de ma taille dans laquelle était écrit: bravo, vous avez trouvé la boussole du dongeon. Fier de moi, je sortais de la salle en sifflotant le thème de zelda twilght princess. Je tombai nez à nez face à un ninja ennemi en ouvrant la porte. Scène assez comique à vrai dire car il prit la parole en levant ses mains à la façon stargate.


Un coup de Katana emprunté à Gamatabi dans la gorge le calma. Je pense qu'il comprit trop tard pourquoi j'avais dit "au revoir l'ennemi... m'enfin, mieux vaut tard que jamais n'est-ce pas les amis? Je déplaçai le corps dans la salle des coffres et partit en suivant la carte. Je devais maintenant trouvé la grande clé qui me permettrai d'aller dans la salle du boss. Je faisais des détours et encore des détours pour me retrouver dans une salle secrète on ne sait trop comment. Dedans, un coffre bleu était eu milieu, je l'ouvrai, encore une fois la lumière dorée, la musique et la bataille pour aller jusqu'au fond du coffre. Je levais mes bras en l'air pour avoir.... la clé du boss!

" Tin sérieux, pourquoi faire des coffres aussi profond... C'est un monstre le chef de cette base? Ah... une girafe peut-être.. "

J'allumai la pièce, ce que j'aurais dû faire en premier mais je voulais garder le suspens et trouvai, tout autour du coffre des centaines de dynamite. J'invoquai toutes mes grenouilles et fis quelques clones. je chargeais à tout le monde d'éparpiller les tubes de dynamite dans la base, pendant ce temps, j'allais me rendre chez le boss.
Après moulte épreuves passées, comme des flèches qui sortaient du mur, une boule géante qui te poursuit, des piques sortant du sol, fin bref, après tout ses pièges je me trouvais face à la salle du boss. Enfin, j'étais proche du but, j'allais pouvoir attraper une nouvelle arme, peut-être le boomerang ou encore excalibur, ou un lance pierre, ou un arc ou un grappin. Je rentrai la clé dans le trou étroit et humide et tournai. Je poussai la porte dans un grand fracas tout en faisant un cris de guerre. Je me ravisai. Pourquoi? Et bien.. Que ferez vous si, en face de vous, quelqu'un mi homme mi taureau, était en train de se taper une mi femme mi chèvre? Haha, mauvaise situation.

Ganondorf me fonça dessus, corne en première ligne. Je ne fus pas assez réactif car il m'érafla le flanc. Une bonne entaille même et je ne supportai pas la vue de mon propre sang. Il allait payer, il devait payer pour cet affront. Il fit exactement la même chose, seulement.... ça ne marche pas deux fois avec moi. Au moment où ses cornes allaient m'empaler je sautai par dessus sa tête pour m'asseoir sur son dos, je gueulais comme un recordman de dos sur taureau. Pour finir toute cette plaisanterie je fis passer un courant électrique dans son corps pour le paralyser. Je sautais de son dos pour aller voir la chèèèèèèèèvre. Je pris une chaise et m'assis devant elle.


Je commençai à traire sa chèvre en faisant bien attention de ne pas en verser à côté. Beaucoup de lait, vraiment, beaucoup de lait sortait de ses tétons. C'était... étrange. Enfin, Ganon prit la bonne décision.


Je commençai à sortir de la salle jusqu'à voir une petit clin d'oeil de la femme chèvre. Elle chuchota quelque chose de vraiment nul...: "Tu m'as rendu toute chèèèvre. A la prochaine mon beau bouc." Bien entendu, cela me fit réellement peur. Je partais en courant, ne laissant rien dans la base sauf.. une étincelle qui alluma toute la poudre reliant les dynamites. Je reprenais ma route en direction de Suna avec une grande explosion derrière moi ainsi qu'un seau remplis de lait de chèvre. Ma mission était finie.