Aujourd'hui, je me levais tranquillement d'une plaine enneigé, torse nus. Une télé arriva comme par magie, devant moi, et fonctionnai sans électricité, bizarre hein? En fait la prise était bien là mais... débranché. M'enfin bref, toujours est-il qu'une télé tomba du ciel pour se poser devant moi. Que fis-je? Et bien comme tout homme sensé, je m'assis et me mis à la regarder. Je zappai les chaines l'une après l'autre et tombai sur canal plus a un moment donné.


Il arriva dans un nuage de fumée.


Je mis ma veste comme il me le conseilla et je sombrai maintenant dans l’univers apocalyptique et futuriste de star wars, Chewbaka était vraiment un personnage phare de cette trilogie doublé. Il faut bien le dire, à chaque mauvaise situation il suffit d'un grognement de cet animal, si l'on peut appeler ça un animal, pour que Luc dise un truc du genre "Tu as raison, nous allons faire comme tu nous le dis! Merci, tu nous as sauvé! ". Je suis certain que le scénariste n'avait juste pas envie de fournir une explication détaillé du plan, Chewbaka était donc égale a un jeu d'acteur pour flemmard, il y avait juste un costume de pédobear à enfiler et hop, l'acteur est né! Tout cela pour en venir a ma situation future.
Au beau milieu d'une action absolument phénoménale, une bataille mythique entre le bien et le mal, la télé nous lâcha. Nous nous énervâmes dessus, criâmes de toute nos force, pleurâmes toute les larmes de notre corps car nous n'allions plus revoir notre pédobear préféré. Puis, après une multitude de plainte, d'insulte adressé a Dieu ou je ne sais qui, la télé se ralluma avec un Homme portant un masque. Il se mit à parler avec voix déformé, certainement pour que personne ne puisse le reconnaître.


Je regardai Gamatabi, il me regardai, je le regardai, nous nous regardions, j'entendai un oiseau, je vis qu'il me regardai, je le regardai, il regarda Gamatabi, il nous regarda, nous le regardions. Bref, je n'ai rien compris. Une situation extrêmement bizarre, il faut bien le dire. Imaginez vous à ma place, vous regardez star wars, tranquillement, dans la neige, puis d'un coup, un flash spécial, un mec qui vous parle sans se présenter, qui vous donne votre examen anbu et qui repart en faisant un cris de Chewabaka... Franchement, plus d'un serait surpris et abasourdit par un tel moment... Moi le premier, je m'en remis petit à petit et capta les quelque mots les plus importants: Examen, Anbu, suite de mon passage Juunin, Ganondorf. C'était bon, je savais quoi faire, je connaissais déjà la planque de la deuxième moitié.

Flash back

Ganondorf me fonça dessus, corne en première ligne. Je ne fus pas assez réactif car il m'érafla le flanc. Une bonne entaille même et je ne supportai pas la vue de mon propre sang. Il allait payer, il devait payer pour cet affront. Il fit exactement la même chose, seulement.... ça ne marche pas deux fois avec moi. Au moment où ses cornes allaient m'empaler je sautai par dessus sa tête pour m'asseoir sur son dos, je gueulais comme un recordman de dos sur taureau. Pour finir toute cette plaisanterie je fis passer un courant électrique dans son corps pour le paralyser. Je sautais de son dos pour aller voir la chèèèèèèèèvre. Je pris une chaise et m'assis devant elle.


Je commençai à traire sa chèvre en faisant bien attention de ne pas en verser à côté. Beaucoup de lait, vraiment, beaucoup de lait sortait de ses tétons. C'était... étrange. Enfin, Ganon prit la bonne décision.


Fin du flash back.

Je me levais, tout doucement pour ne pas trop chambouler le reste de mon esprit encore vivant. Je désinvoquai Gamatabi en lui souhaitant d'être heureux avec Alphatabi, sa petite grenouille. Enfin, je me téléportai, heureusement j'avais déjà imposé ma marque de téléportation dans ce pays et je m'étais déjà rendu dans un village du nom de gouetanamou, je savais donc par où il fallait passer pour y arriver. Bon, toute les choses étaient réunies pour que je puisse faire de cet examen un succès. Maintenant il ne restait plus qu'à.... Trouver le chemin jusqu'à ce village. J'étais très mal partit, je ne savais pas où j'étais, néanmoins, je commençai à marcher sans connaitre ma route, sans connaitre mon chemin. J'avais toujours vécu comme ça, je laissai la vedette à mon destin pour me montrer le sentier sur lequel je me devais d'arpenter. La chance, les suppositions, les prédictions, les doutes sur les choses que nous faisons, les changements que nous produisons, les intuitions, tout cela n'est dû qu'à une seule et même chose: Le destin. Je pense que c'est ce même destin qui m'a conduit là où j'en suis aujourd'hui, qui a fait de moi ce que je suis maintenant. M'enfin, tout le monde change, celui-ci nous fait rencontrer des personnes avec lesquelles nous nous entendons plus ou moins bien, des personnes avec qui nous nous lions d'amitié plus que certaines, des personnes qui nous font changé, l'un de ces personnes peuvent peut-être devenir quelqu'un avec qui nous ferons notre vie, ces deux personnes peuvent être séparés, ou être déjà séparé par une distance immense tel que huit heure de routes à vol d'oiseau. Malgré ces distances, si le couple est fort, si ils ne souhaitent que de se voir, si ils ont des amis pour les aider lors de leur problème émotionnelles, s leur sentiments sont assez puissant alors j'ose penser qu'ils se trouveront, les années passent et ils ne changement pas. Certes, il y a des mésaventures, certes il y a des moments tristes, des pleures, des disputes mais personne ne pourront nier que ces moments sont toujours mariés au bonheur et à l'amour pour donner naissance à des sentiments plus puissant que la vieille, une vie pour nous seul est difficile à construire alors pourquoi ne pas vous laisser vous accepter tel que vous êtes? Les défauts comme les plus que chacun a en lui. Comme je l'ai dit, une vie à bâtir tout seul est quelque qui n'est pas donné à tout le monde et même... si on vous tente avec ce présent, surtout, ne l'accepter pas, jetai le, faîtes confiance à celle ou celui qui vous aime, laissez cette personne construire votre vie avec vous, construisez votre vies.Tout cela, toutes ses raisons, tout ces mots que j'ai construit petit à petit, toutes ces petites choses qui nous arrivent, aussi futiles soient-elles, sont envoyées par le destin pour nous apprendre qui nous sommes, pour nous forger du mieux que nous le pouvons, et pour, encore une fois, faire de nous ce que nous serons plus tard. Bref, tout cela pour dire que c'est grâce à lui que j'en suis là maintenant et que je ne regrette aucunement toutes les actions que j'ai faites. Bien, parenthèse faîtes, repassons maintenant à un passage de mon passé.


Et je continuai à faire des mix de chansons, je continuai à marcher tout droit sans savoir la direction. C'est alors, qu'après deux heures de marches je me trouvais pantois, devant l'entrée de gouetanamou, si vous y allez un jour vous ne pourrez jamais manquer le panneau d'entrée, ni la population d'ailleurs, ils avaient tous une chose en commun... La couleur noire! Pas un seul résident était blanc, jaune, rouge, les yeux bridés et ect... Non, pas un, ils étaient tous noirs mais noirs comme après avoir fait cuir un steak trop longtemps, ce n'est même plus grâce à de la crème autobronsante arrivé à ce point là! bref, toujours est-il que je n'étais pas le bien venu ici à cause de ma belle couleur de peau et de cheveux, aucun homme n'était blond aussi, tous avec des cheveux noirs, pour changer de couleur quoi... M'enfin, je traversai le village avec une vitesse assez incroyable et partis en direction du nord de celui-ci. Sur ma route je voyais des arbres avec des... poupées vaudou accrochées. Glauque, c'était vraiment glauque.... Je me demandai sans cesse ce qu'il pouvait bien faire avec toutes ces...choses... Enfin, après des heures de marches, j'arrivais dans une grande plaine, une immense plaine. Au milieu de celle-ci se tenait le châtaigner avec, en dessous de ses branches, le pélican qui semblait se faire protéger par ce même arbre.
J'avais réussi la première partie, j'avais enfin trouvai la planque, maintenant il me fallait trouver un moyen pour rentrer dans cette planque. Je m'approchai de l'animal sous l'arbre, me mis à quatre patte pour regarder dans le trou sous le pélican (Oui, j'ai osé o:). Que vis-je? le trou était profond, noir mais il semblait y avoir quelque chose de rond et dur à rentrer à l'intérieur pour faire craquer la port (oui j'ai encore osé à mettre autant de conneries perverses). Toujours est-il qu'après avoir visité le trou je me trouvais sur une voie assez boueuse, pourquoi? Je n'en sais rien mais de la boue était apparut sous mes pieds. Quelque chose attira particulièrement mon attention, une forme toute dure, rose, visqueuse sortait du lot, nous pouvions la voir à travers toute cette boue. Directement je sautai dessus, elle me glissa des doigts à cause d'un liquide qui la protégeai. J'eu une idée, je m’induisais les mains de chakra raiton assez puissant pour que la chaleur fige la boue, pour que celle-ci deviennent plus dure si vos voyez ce que je veux dire. La récupération de l'objet allait être beaucoup plus simple à partir de maintenant. Comme convenu, en deux temps trois mouvement et la chose dur se trouvait dans mes mains... Qu'était-ce? un bout de fer servant à la pénétration du trou du pélican. Sans attendre je me mis derrière le pélican et l'enfonça bien profondément sans crier gare. Rien ne se produisit.


Soudain, j'entendis une voix, une voix douce, faible et fine.


Je la remerciai et essayai de lui parler en lui disant que je retrouvai peu à peu ma mémoire, que je savais qui elle était maintenant et que, même si je ne l'avais encore jamais vu, je savais que Tsunayoshi Sawada était quelqu'un d'important pour moi et pour elle. Je savais aussi que nous étions amis de longue date, voire peut-être même plus mais... tout cela, n'était que des suppositions, peut-être était-ce seulement l'imagination de ma conscience pour pouvoir subvenir à mes besoin de tout découvrir, peut-être que était-ce de l'autosuffisance? Je n'en savais rien encore, dans tout les cas, ce n'était ni le lieu, ni le temps pour penser à mon enfance et à ma mémoire perdu. Je devais passer cet examen coûte que coûte. je changea mon bout de fer de trou après tout, quand la voie centrale est bloquée on passe par la voie boueuse non? M'enfin, toujours est-il que le pélican se cambra après un véritable cris d'un jouissance faciale (bizarre quand même) pour laisser place à l'ouverture d'une porte ainsi qu'une échelle qui descendait jusqu'au tréfonds de l'antre des bandits. Toute cette discrétion que j'avais jusqu'à maintenant produit et prôné me prit soudain par la tête, j'en avais marre. Après tout ma mission était de tous les tuer, alors soit, tuons les tous un par un, faisons les souffrir tous autant qu'ils sont. La discrétion n'était plus d'actualité, ce sera juste lorsque je ferai couler leur sang que je pourrai me sentir satisfait. Je me mordais le doigt, fis des signes quelconque et posais la main au sol.


Tous apparurent ensemble et demandèrent en coeur pourquoi j'avais besoin de leur aide. Je leur expliquai rapidement la situation et leur tint un discours qui leur montra que je n'avais pas le temps pour ces broutilles, j'avais un mauvais pressentiment, je voulais finir cette mission au plus vite. Gamabunta resterait avec moi, quand à Gamatabi, gamasushi et Gamaken, détruisirent le plafond de leur faible base pour faire un carnage assez violant dans celle-ci. Je m'éloignai avec Gamabunta de l'endroit pour attendre les grenouilles. Elles arrivèrent enfin après une demi heure.

Je me concentrai, fis des mudra nécessaires à la technique la plus puissante que je connaissais jusqu'à maintenant. Quatre piliers sortirent du sol, entourant la totalité de la base adverse, je l'activai et une décharge violente commença à brûler tout ce que se trouvait à l'intérieur de périmètre du carré. La terre se trouvait en cendre, le pélican et le châtaigner aussi. Je demandai à Gama de m'amener jusque là, pour vérifier qu'aucun survivant n'était là. Je posai les pied au sol et commençai à marcher, je vis des corps, beaucoup de corps, tous méconnaissable à cause de la carbonisation de leur visage, puis, au loin, un cris. Je marchai tranquillement jusqu'à la source du son et trouvai un homme, par terre, rampant jusqu'à une trousse médicinale. Juste avant que celui-ci n'arrive à la prendre avec son bras droit, je lui marchai dessus et lui écrabouillai la main.


J'écrasai un peu plus sa main et lui pris la tête par les cheveux, je le fis me regarder dans le blanc.

Je me téléportai avec lui dans une forêt maudite qui regorgeaient d'animaux encore inconnus. Je lui plantai un kunai dans chaque main à la mode Jésus Christ parce qu'il a mal et lui coupait les tendon d’Achille pour lui laisser aucune chance d'échappatoire. Je partais en direction de mon examinateur après m'avoir retourné une fois pour lui lancé des insultes ainsi que pour lui dire que je priai pour qu'il tombe sur un animal transgénique qui aimait le cul des bandits. C'était finis, cette bande de malfrats et brigands était morte jusqu'au dernier.

hrp: Il doit y avoir entre 180 lignes et 200 lignes. Voili voilou!

Je laisse l'avis aux admins, m'enfin pour moi c'bon ^^