Exam Chuunin

La plaine avait disposé d'une quelques terre rousse. Des craquelures qui assombrissais l'ensemble venait d'endroit divers. Le ciel, dessus, était aube. Un peu loin, la montagne se pencher en droiture, l'élan se disloquer dans le vide grandit par l'espace. C'était une falaise haute qui surplombait de sa grosseur la fine rivière qui goutte a goutte ruisselait au long et ennuyeux chemin de son courant. De l'autre penchant de ce vide, une seconde et téméraire montagne s'était implanter, sa racine était plus basse que la première, car le vide, lui, était légèrement pencher vers la gauche. Mais la rivière semblait ne pas s’épandre - peut- être que ce qui l'a bordait suffisait a lui faire prendre un aller. Le second et immense monticules devenait plus roux que l'autre a chaque aube, toujours, par matinée, il changeait de son entier une couleur du clair au foncé. A ce moment, il semblait être d'un roux de pénombre. Ces deux grands corps de Nature ne se supplanter point l'un a l'autre, ni l'un ne semblait plus épais, ni l'autre ne semblait plus fragile. Et le ciel, encore pourpre et miel, s'assemblé a leur seul différence : la décoloration. Oui, l'éther s'animer a de long trait superposé qui avait un coloriage d'enfant. le rouge était primaire, le vert s'allié a un bleu et jaune. Le tout descendait sur la falaise et rendait un comblement au paysage creusé dans sa masse.

Sur la moitié de montagne de droite, un homme semblait attendre, il avait un air de doute et de recommencement. Le blanc de son habit se remuer dans du noir. Son flanc était légèrement protéger par des plaques de fer. Dans son dos, son arme de géant ornée sa grande puissance. Sur sa tête, un masque noir voiler de deux bouts son visage. Tous, ne pouvait voir que ses yeux. Sa bouche, son nez, étant cacher toujours. Dans sa main tendus vers le bas, l'homme fermé quelques feuille de papiers qui tremblait dans le vent. L'écriture sur ceux-ci était difficile, une encre pouvait avoir été projeté faiblement ou alors sans enthousiasme, la calligraphie étant, notamment, presque invisible. - C'était un brouillon, on y voyait les rayures qui traitait des pensées de l'erreur. Dessous cette écriture, le sens disait qu'il attendait une personne particulière, et le tout était ainsi formé pour proposer une phrase distincte :

" Sandaime, puissiez-vous me rejoindre près du village vers le nord de Tsuchi. Je vous y attendrais ..."

Plus tard, après quelques heures. La personne se montra enfin, a l'horizon son visage était informelle, il n'était qu'une ombre qui surmontait une ombre originelle. Il devint au dos de l'homme. Celui-ci avec sa lourde chevelure blanche avait pressentis ses pas. Sa bouche sous le masque, commencer a faire plisser le mélange de ce tissus entre lui-même. L'homme se parlait en espérant que le Sandaime l’entendrait.

" Jadis, je fus un festin immense ou des vins s'écoulaient. J'ai assis la Richesse sur mon genou. De mon autre jambe, j'ai su porté la Gloire. De cela, je devins un opéra fabuleux, je vis que tout les êtres ont une fatalité de bonheur. Je vis que toute personne avait une naissance pour soi. Mais lentement, mon inverse vint me traîner. Je devins un pied brisé d'une table crasseuse d'ou les vins on couler et d'ou ils ont sécher. Je fus un opéra ou les mousses de tout les sièges bavaient. Je vis que tout les êtres ont une fatalité du malheur. Je vis que toute les vies ne nous fîmes pas naître ... "

Un léger silence s'entamea puis l'homme repris.

" Je ne saurais trop vous expliquer ... je veux redevenir un festin de l'immense. "

L'homme attendait une réponse.

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PS : Quel rp merdique ...
PS : Ce que je te propose c'est de me donner un rp a faire. Comme celui d'un juunin.

Invité

Shodaime mizukage et Nidaime mizukage. Tous deux avait été chef des sabreurs en plus d’être le chef du village. Obakee était le seul à ne pas être sabreur et qui n’a donc pas eu ce titre de chef. Mais il s’enfichait puisqu’il possédait lui aussi des épées aussi puissantes que celle d’un épéiste. Certains des sabreurs avaient eu l’audace de s’enfuir auparavant et Obakee était bien décidé à les retrouver et à les tué pour leur traitrise. Il ramènerai ensuite leur épée à Kiri puisqu’elles lui reviennent de droit. Seul pour les deux précédents mizukage il serait impossible de ramener leur arme étant tout deux disparut sans aucune trace. Chaque épéiste avait une fiche d’eux et de leur épée ainsi qu’une photo. Même celle d’Hanzo y était mais bizarrement pas celle du Shodaime. Comme ci il avait volontairement effacé ces informations avant de disparaître. La liste des épéiste déserteurs se dressa: Momochi Zabuza, Kyūseishu Law et Chikuno Nazuki. Chacun d’eux possédait des épées avec des pouvoirs différents. Il fallait étudier leur dossier afin de trouver leur point faible et des pistes sur leur localisation avant de partir à l’enquête.

Soudain la porte s’ouvrit. Un garde s’occupant des messages arrivant par oiseau entra et donna une lettre au kage. Ce-dernier l’ouvrit et le lut:

" Sandaime, puissiez-vous me rejoindre près du village vers le nord de Tsuchi. Je vous y attendrais ..."

Un peu loin quand même et cela pourrait peut-être être un piège. Mais Obakee avait comme le pressentiment que cette lettre ne cachait rien de diabolique et qu’on contraire, Kiri aurait quelque chose à gagner de ce voyage. Sur le dos de son fidèle oiseau de glace, Obakee quitta le village en direction du pays de la terre. Arrivé au pied de la montagne, il désinvoqua son oiseau et continua à pied. A l’horizon, il distingua la silhouette d’un homme assis le dos tourné. Celui-ci avait de long cheveux blanc et portait des plaques de fer comme armure par-dessus d’un haut blanc. Mais quelque chose le frappa. L’épée qu’il possédait derrière son dos. L’allure de cette-dernière était identique à celle de la fiche de l’épée du déserteur épéiste nommée Nazuki. Ces cheveux blancs correspondait également avec ceux de la photo de Nazuki. C’était peut-être lui ou une personne ayant pris son épée. Quel qu’il soit, Obakee avait l’intention de reprendre l’épée et d’égorgé la personne si il le fallait. Mais le Sandaime su se retenir de lui sauter dessus afin de voir la raison pour laquelle un déserteur convoque le kage de son ancien village sachant très bien que ce-dernier veut sa mort. L’homme commença à parler à vois assez basse:

- Jadis, je fus un festin immense ou des vins s'écoulaient. J'ai assis la Richesse sur mon genou. De mon autre jambe, j'ai su porté la Gloire. De cela, je devins un opéra fabuleux, je vis que tout les êtres ont une fatalité de bonheur. Je vis que toute personne avait une naissance pour soi. Mais lentement, mon inverse vint me traîner. Je devins un pied brisé d'une table crasseuse d'ou les vins on couler et d'ou ils ont sécher. Je fus un opéra ou les mousses de tout les sièges bavaient. Je vis que tout les êtres ont une fatalité du malheur. Je vis que toute les vies ne nous fîmes pas naître ...

Il s’exprimait de façon étrange et énigmatique. Était-il un genre de poète ninja? Mais malgré ces étranges métaphores, Obakee le comprenait. L’homme à la chevelure blanche continua:

- Je ne saurais trop vous expliquer ... je veux redevenir un festin de l'immense.

Cet homme était bien le déserteur de Kiri que cherchait Obakee. Mais celui-ci n’était pas là pour se battre mais pour redevenir ce qu’il était avant, un épéiste fidèle et dévoué pour le village. Mais Obakee devait être sûr de sa sincérité et de ces compétences. Comme pour lui donné un défi, Obakee lança:

- Tu me fais part de bel parole mais quel preuve ai-je de la vérité de tes dires? Tu me semble être un honnête homme qui souhaite regagner sa gloire passer. Je peux t’aider à cela mais avant il va te falloir passer mon épreuve…

Il marqua une pause le temps de réfléchir. Un sourire malicieux se dessina soudainement sur ses lèvres. Le mizukage reprit ensuite:

- J’ai justement un défi pour toi. Le pays de la terre est entouré d’une longue et grande chaine de montagne faisait tous son tour. Certains de ses mont culmine à plus de 4000 mètres alors que d’autres n’atteignent que les 1000 mètres. Nous sommes justement sur une des montagnes de la chaine. Voilà ton défi. Tu as 24h chrono pour passer par le sommet de toutes les montagnes. Je te retrouve ici même dans 24h et peut-être moins. Ne t’avise pas de tricher, je te surveille…

Durant ces paroles, Obakee avait caché une de ses mains dans son dos. Une petite araignée de cristal d’un centimètre se créa alors dans la paume de cette main. L’insecte de cristal descendit de la main en glissant sur la pantalon et se dirigea vers Nazuki où elle alla se caché sous son armure de plaque de fer. Obakee ajouta ensuite:

- Le chrono à démarré lorsque j’ai dit : « Voilà ton défi ».

Grâce à l’araignée caché, Obakee allait pouvoir suivre tous les mouvements de l’épéiste et connaître donc si il franchi en effet chaque pic. Nazuki allait-il être à la hauteur de ses dires et réussir le défi du Sandaime?

Spoiler:

Le plafond proche blanc de son lit gris auprès
Du seuil noir blanchit ; gris - le lit bétonnée -
Avance sans étreinte dans le joug partis,
Vers l'Illumination des Stances des Poésies.

Le ciel tombait, toujours, le vent craquait dans l'arbre troué. La pluie absorber et rejeter en glissade la grève profonde des vagues d'un sable bleu. Le souffle jaune sous le seuil émanciper et noir de l'homme rendait un écart a cette route. Longuement il avançait depuis une ou deux heures, sa voix s'était trembler d'un peu, puis il s'était sentit élastique, sa voix était devenus large et elle soufflait. Le ventre gros du sol savoureux devenait tout tangible, le pas harmonieux de l'homme s'y couler lentement. Sa larme dénudé d'une tristesse, lisser son front et ses joues en de petites humidité. Son masque, tuméfier, s'élargissait ; puis s'allonger sans retard a de l'origine - Gonfler, l'origine. - Le lieu devenait grandissant, horrible étrangement, les cieux devenait en deux et il se séparait ; La nuit était alvéole dans le soleil tombant. Le pourpre avec le miel, laisser a la mure et a du jais le tiroir redondant et imberbe et innocent ! de l'éther. - J'allais dans ce chemin, le poing gonflé dans des poches sans tissus. Le fer de mon paletot ne me laisser pas aux flammes attendrissante du cheveu d'une laine. J'étais Feu-follet, je brasser dans les arbres leur siège décharné ! baver dans leur racine quand mon ventre crevé ! Était une lumière ; des champs verts de la nuit ! Un trousseau assommer de mon mal endormis ! -

L'école devenait plus ample dans le chemin gris, le toit imagé d'une lueur petite avait une senteur d'une aurore sauvegardée. - On entrait aisément par un trou qui se creusé du dehors au dedans. - L'homme, plier, gardait a sa main charnue et ferme le peu des vivres - qui rapetissait cruellement - pour les goûter sans une perte de l'aspect. L'homme décida d'entrer dans l'école au parement sombre. Son pas premier fit craqueler une légère surface au dessous de son entier. Ce bruit fit son étincelle jusqu'un coin proche. La main de l'homme détourna un bois qui s'était venus ici. Il le lançait avec prudence vers un endroit éclairé ; mais le cognement du bâton dans l'endroit ne fit aucun retentissement. L'ombre se fluctuer ça et la, puis se devenait des infinis. L'homme prolongea sa marche méfiante. Il y avait de la peur dans son génie. Son épée de puissance s'était même assourdis du silence trop plein. Des petits picotements avait débuter leur effluve dans les genoux de l'homme. Il y avait de l'incertitude dans sa démarche. Puis ses petites choses qui bondissaient dans l'air et qui reparaissaient dans la chair ; divulguèrent a croissance leur teneur. Elles n'était pas de visuel, mais de vision. Des pattes arborèrent le front de l'homme. La mission lui revenait a l'esprit. Il fallu qu'il aille a reculons, sans quoi, il n'aurait jamais de son festin immense qu'il voulu. - Et qu'il commander a Jamais - Pardonnez-moi du jeu de mot-. Mais, un éclair tria de son esprit le plus clair. Il devait avancer dans ce sombre, vers la clarté nouvelle qui allait dans une porte. - Durant ce moment, dans le coin que déblayait sans force, la lumière ; de l'obscure. Un étrange être - et inconforme - au deux yeux de fort rouge - dedans, millier d'iris - remontrer avec constatation ce qu'il apercevait. Ses huit pattes lui servait d'un échafaud, il était collé dans le plafond de plâtre- noir et jaunis. Son poil, dorer sous la lueur de l'ombre blanche. Son seul sentiment est qu'il constatea ce qu'il pouvait. Constater sans inconstance. Toujours. Il le fallait. - L'homme était avancé a cette lumière de la porte. Il l'entrouvrit et y fut avaler. - Du dehors l'octopède pouvait encore distinguer l'homme, mais de ses yeux de globules ; celui-ci ne bougeait plus. Il stagner dans une sorte d'entretien de l’être immobile. - Dans l'endroit de l'homme, le blanc avait fait place a un jaune éclatant. Sur un banc de marron de couleur, un vieil homme, de l'age a peine d'une vieillesse, était assis normalement. Sans trop d'attrait poreux et sales et désavantageux sur son visage, ni trop de vagues qui bavaient au début d'un ventre divers - ventre de cette personne qui semblait vigoureux - le vieillard sembla marmonner dans ses propres chambard qui mécaniser son teint de paille.

" Veux-tu t'en aller au loin d'une musique ? Dans le champs d'un mais qui meurt du transgénique ? Ou alors vas a moi, dans les champs de céréales pures ! entendre mais écouter, un son du "bruit qui pense" ! Trouvons du sol gris, le rouge d'un vermeil ! Suis, suis mon chemin ! Et "tu aura la barbe de ceux qui sont puissant" et sage ! Va, va dans mon pas ! "

L'homme ne doutait pas de la sagesse du vieillard, et il pensait - merveilleusement - que son cheminement était sa voie.

"J'aurais a vous donner, des sommets qui culminent, la foi de vos haleurs ! La sagesse de ce qui doit etre votre barbe et que vous ne semblait pas portait. Mais, la, n'est pas ce qu'est notre question. La sagesse des fois, se confond dans la femme ! Nous sommes, nous les hommes, pourront etre imberbe ! C'est la femme de première qui nous fait assagir. Nous sommes indéfinis. Nous hommes avec des barbes. Nous hommes, nous sommes des femmes ! "

Sur ces paroles, le vieux personnage ne trouva pas de réplique. La réflexion est silence de cette homme. Il amena dans son chemin, loin-haut des sommet qui culminent, son nouvel apprenti. - Derrière cette endroit, dans cette carence d'une fantaisie, dans le concret de l'octopède, l'homme avait disparu ; le monstre de l'oeil rouge fabuleux était berner. -

Crapuleux, dans le ciel caresser les nuages et Soleil. Un vert trompé, sortit de la bulle d'une fantaisie, marchant a voie le pas en endroit. Il passait des paysages plus commun. Il fit des chemins clair ou son ombre s’épaississait - ou toutes les allures se niaisent - ou tous sont deux quand il n'est qu'un.
Il trouvait - dans un passage simple - d'un désert autour d'une belle circonvolution des vaux. Parfois, voyait de points en tour - comme l'hiver tant des nuages blancs furent de cette couleur immense - on parcourut l’œil de l'homme au travers des lieux beaux - les soirs avait sachant la vague - parcours a d'un astre gris - serpentait les moussons. Et se passait ainsi :

Comptant chaque les nombres de vues a cela - au numéro de trois.
L'homme courait doucement son pied a l'appui - sur un paysage ouvert des monts brisées en des fentes. Les rochers noir abritait souvent des mondes inconnus de minceur obligeante. Au large de tout ces insectes furé ! entrer, machinalement un souffle d'hymen - comme une vapeur monta dans l'aurore symbole - encore -. L'aura presque orange - au couleur d'une rouille. Développait ses vergues dans l'immense - Tout coloriée l'image des cieux et des environs - et trompait d’une faible pompe - d'un tuyau ou descend les célestes pralines - et cela devenait un régime.
Autre - le paysage grand, plaines beiges - aux boues sortant des sillons de blé jaune - avancait les humeurs d'ondes très anciennes - l'odeur enfouie dans la charpente même des masures ruinées.
L'encens des terreaux a la computation des ferreuses ligne de tranche supplanter - et le toucher laineux de la mouche Diptera !
Autre - la vase des eaux coulait hors des sentiers trous ! a des marrées de poisse ou pouvait plonger n'importe quel homo- sapiens avait une nage liquide qui cavaler dans ses dédales argentée. L'arbre laisser passer la légère mire des lumières qui endiablées la rivière de l'illusion d'un courant toujours nouveau - pourtant que l'eau entrait dans la même direction.

Des heures plus tard, la voix mielleuse du jour trompait de nouveau le ciel en y jouissant plus sa teneur que par du rouge. Les herbes moelleuses se levait du sommeil fini. L'arbre troué se combler de nouveaux de fruit roux. Le vent craquant s'allonger délicatement sur les plantes menues. Le souffle jaune sur son lit bleu se reposait sans remous. Le remuement des pas sonnant qui avait écarter la route n'était plus. L'homme avait magie, aller sans fatigue dans le croisement fière ou l'ombre informel l'attendait encore. Ainsi, simplement, amener par le bruissement doux des vagues des fantaisies. Comme l'aurore s'en va quand le soir n'est plus - xeee voici l'éternité !

" Mizukage, j'ai triché dans le triomphe."

Invité

Avis aux admins pour son passage ou non. Personnellement je n'ai presque rien compri à son rp '^^

Invité

Mmmmh, même si je connais ton niveau de rp, il faut dire qu'il est assez... bizarre.. Je serais d'avis que tu lui donnes une deuxième missions parce que c'est vrai que le rp est vraiment incompréhensible...

Invité

Mission pour le grade Chuunin
Description: Escortez un marchand jusqu'à mizu no kuni en passant par kaminari no kuni et hi no kuni qui sont ces escales de vente.
Ligne: Libre mais niveau chuunin.
Salaire: grade chuunin.

Je refuse cette mission. J'ai pas fait ça pour ne pas y être juger.

Nazu, ton rp ne te donne pas le droit au grade de chuuunin, tu te dois de faire beaucoup mieux, soit la nouvelle mission, soit tu restes genin.

M'en fous je reste genin. Smile

EDIT : BON ! d'accord aller, j'arrete de faire mon chiant ... J'accepte la mission ... ù_ù
EDIT ² : Puis-je reprendre la dernière mission en l’agrandissant - et peut-être en la clarifiant - mais ce n'est pas dit car j'aime rp comme cela - ?

Invité

Bah heu moi je suis pas contre du tout mais ça serait bien qu'elle soit un peu plus compréhensible dans ce cas, et en l'agrandissant, t'es largement capable de mieux!

J'ai rajoutai 22 lignes, c'est suffisant ? Embarassed

Up -_-

Je vais être très gentil et te valider car je sais que tu vaut largement plus que cela. Si ton prochain examen est de ce niveau, tu seras recalé.

Merci. - il sera de ce niveau. -

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