« Oh, ce soleil brulant et chauffant, utilisons nos parapluies en guise de gratitude … » Chantonnait un vieux croûton Enka à quelques mètres de ma belle demeure.

Quelques heures passaient, s’écoulaient à vive allure, alors que je m’ennuyais un peu plus tôt, je marchais à pas de grenouille en direction d’un lac ou d’une rivière quelconque ou je pouvais être tranquille avec mes Jutsu d’affinité Suiton. Je me faisais un peu vieux depuis que j’avais arrêté de m’entrainer au village, le sourire machiavélique que j’exprimais à l’égard de mes rivaux ne suffisait plus, le maître incontesté des musiques Enka commençait à me gaver avec ses chansons. Ce vieux qui chantonnait non-loin commençait à m’agacer, était-ce normal qu’un vieux dans son genre soit à Kiri no Kuni ? Aucune idée, mes yeux rivés constamment les arbustes aux feuillages verdâtres et aux troncs marronné qui n‘avaient rien de vraiment spécial. Par une poussée remplie de force, je me levai de ce siège/chaise reposant ou je m’asseyais depuis des heures, je me dirigeais d’un pas ferme et je bondissais rapidement contre le sol d’en face sous l'envoi d'un coup de pied latéral contre le visage couvert de rides qu’avait ce vieux croûton.

Peu de temps après, je coursais ma cible qu'était le lac à l'allure d'une personne qui coursait la montre, je bondissait d’arbre en arbre sans arrêt. J’y réalisais des prouesses d’athlète afin d’accélérer mon parcours vers une rivière ou un lac qui se situerait peut-être en dehors du village qui fut caché par un brouillard constant. Je sortais peu de temps après du village toujours en direction d’un lac que j’aurais aperçu par hasard dans ma course à pied. Oh, des morceaux de feuilles se retrouvaient coincés dans l’une de mes sandales, cela donnait vraiment l’envie de stopper la course que j’avais entamé quelques temps plus tôt, car je ne pouvais supporter ce gêne. En quelques fractions de secondes alors que j’étais sous un effet planant, je dirigeais mon regard et mes bras vers la sandale qui se situait à ma gauche. Par malchance je percutai subitement un tronc qui faisait quatre fois mon poids ou mon dos se fracassa avec rapidité.

Un second freinage qui se déroulait dans la journée, que c’était agaçant de supporter les inconvénients de la vie … Je chutais au sol continuellement, au sol, plusieurs feuilles lévitaient au-dessus de moi sous le frôlement incessant du vent qui redonna à mon esprit un espoir de trouver un endroit, calme, reposant et sans aucune personne qui chantonne aux alentours. Je tournais alors la tête sous un effet bleuté et brillant qui illuminait mes yeux à un point que je ne pouvais le supporter, je fixais cette chose bleue tel la couleur du ciel qui parvenait à me montrer l’endroit ou se situait le paradis des lacs. Oh, je souriais une fois de plus sous cette vue incessante de l’eau, mon affinité ultime, avec lequel je communiquais en quelques sortes. Il n’était pas trop tard pour passer une journée de tranquillité, se lever n’était qu’un jeu d’enfants, mes genoux supportèrent le poids de ce corps qui aida à me relever du sol. Un léger coup de vent venait au bout de mon nez, les yeux fermés je me dirigeais tout droit vers l’eau, l’odeur de l’eau, je la sentais à des kilomètres loin.

Le vent chantonnait à son tour à l’allure du vieux de Kiri no Kuni, le ciel bleuté et le soleil brulant percutait tout ce qui se trouvait en face de lui, sous les pas que je réalisais un effet reposant qu’était l’ombre recouvrit mon corps, les arbres et leurs feuilles permettaient de créer l’opposé de ce soleil que l’on nommait : les ténèbres. Qu … Un chakra, je le sentais en face de moi, cette chose bleutée qui illuminait mes yeux était-elle vivante ? Un visage familier flottait sous la direction de ce lac, je remarquais que des yeux fixaient le ciel et qu’un corps était fusionné à l’eau.

« Qui es-tu étranger ? Ton odeur de poisson arrive jusque mes narines alors je te conseille de partir ailleurs »

Ce Chakra, il me rappelait quelqu’un mais qui ? Je reconnaissais cette odeur tel un requin n’oubliait jamais l’odeur de ses proies ou de ses compagnons d’autrefois.



« Suikoudan no Jutsu » Entonna ma voix grave et effrayante suivi d’un sourire de requin marin !

Sous une multitude de mudras je réalisais aussitôt le Jutsu qui créa une colonne d’eau qui se dirigea vers l’ennemi. Le bout de cet eau qui allait continuellement vers le rival créa instantanément une tête de requin qui ouvra sa grande gueule pour se fracasser contre l’adversaire. J’étais du genre dynamique et bruyant pour un shinobi, le silence n’était pas mon point fort et les missions d’infiltrations, encore moins. Je ne connaissais toujours pas le dérangement ! Qui était-il ?

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Les pieds au bord de ce fameux lac, un sourire banal se formait de plus en plus sur mon visage, le dragon aqueux mythiquement japonais se dirigeais rapidement contre cette personne inconnue qui ne semblait aucunement épeurée face au Jutsu qui allait en sa direction. L’eau se déchaîna sous telle une tempête qui passait dans les parages, elle commençait par emporter tout ce qui se trouvait sur son passage. Cette chose aux allures bleutées et illuminant fut emportée avec le courant avec facilité sous les quelques vagues que ma techniques créait. Hum … La personne au Chakra reconnaissable venait de se mettre sur ses deux pattes pour ne pas se noyer, peut-être, il semblait bien éveillé cette fois-ci et sa silhouette ne m’était pas méconnaissable comme je le pensais ! Des habits plutôt colorés tel qu’un T-shirt violet ainsi qu’une tenue qui avait plutôt le style : pas de village, Nuke-nin qui trainait peut-être dans ce vaste lac dont la tranquillité n’était plus d’actualité. Quel malade serait sorti de son village pour venir dans un lac abandonné et calme qu’était celui d’en face dans le simple but de prendre un bain ? (A part moi)

Je ne distinguais que la couleur de sa tenue, celle des ses cheveux bleuté tel ce ciel qui nous entoure tous ainsi qu’une gourde qu’il avait en ses mains. Ma main droite partait peu à peu en direction de mon front, mes yeux ne pouvaient nullement voir avec perfection le visage de l’ennemi ombré. Malgré cela, la gourde, oui la gourde ! Argh, je n’aimais pas être une personne facilement oubliable et pour cela je devais connaître ce gars-là. Qu’est-ce qu’il était long, il prenait énormément de temps pour boire sa gourde, il avait l’intention de me provoquer avec sa lenteur ? Fallait un peu plus pour me faire perdre mon sang froid et me mettre dans ce que les humains nommaient : La colère. Les feuilles des arbres aux alentours se dirigeaient tous dans un seul sens pour se lacer de leurs branches.

Alors que l’ennemi était dans un embarras soudain, je me trouvais bien à l’ombre, sans aucune lumière du soleil qui aurait pu me donner une envie de boire de l’eau. En face de moi se trouvait d’immenses vagues d’eau qui enterraient sûrement le mystérieux personnage qui disparut instantanément, par surprise du lac alors qu’il buvait sa gourde. Ou était-il ? Pas besoin de chercher, il se cachait forcément sous l’eau pour ne pas se faire attaquer une fois de plus avec un but précis qu’était de découvrir son adversaire. La chaleur se faisait de plus en plus forte dans ce coin ci, l’eau s’évaporait sous la forme de plusieurs petites bulles de vapeur dans le but de reformer plusieurs nuages qui stockerait cet eau qui formait la pluie dans les coins du village. La main droite quitta alors quelques minutes après le carnage le coin de mon front puis se dirigeait dans l’une de mes poches qu’avait mon pantalon, les effets néfastes de mon Jutsu se dissipait en quelques minutes pour rendre ce lac dans un état banal, ce calme qu’il donnait depuis que je le scrutais.

Le temps s’écoulait de plus en plus, le gars se cachait très bien mais je pouvais sentir son Chakra sans même le voir. Je n’étais pas le Byakugan pour autant, mais il devait forcément se trouver à l’intérieur de cette étendue d’eau verdâtre. Ah, une piste, ses cheveux bleutés réapparaissaient une seconde fois à quelques mètres du bord de ce lac ou je me situais à l’instant-même ou il sortit sous la forme liquide pour rendre son corps humain. Aucun doute, c’était un Hôzuki de Kiri no Kuni, sous une fraction de seconde son visage devint de plus en plus familier à mon égard, il souriait comme à son habitude d’ailleurs et fixait ma personne sans même dire un mot.

Aucune expression quelconque apparaissait sur son visage, même ce sourire là n’avait aucune pensée fixe et elle n’exprimait rien. De plus prés, son bandeau n’était plus celui d’autrefois, il était désormais barré d’un trait qui séparait les vagues qui étaient marquées sur le bandeau frontal du shinobi qui était la descendance même du Clan Hôzuki. Il était aujourd’hui un Nuke-nin du village de Kiri no Kuni ? Ce gars avait le visage de celui qui aurait tranché les têtes de ses rivaux s’il le pouvait, qu’il soit un déserteur ne m’étonnait pas …


« Oh ! Kisame-senpai ! Ça fait un bail dis donc ! Tiens... Super ton jutsu hein ? Je me suis presque fait dévorer ! »
Déclinait-il en envoyant un p’tit sourire en plus !

La technique que j’avais utilisé dés mon arrivée dans ce coin ne servait qu’à reconnaître le nageur qui se situait en face de moi, il était devenu très fort et très grand qu’avant et il se liquéfiait à la perfection non comme autrefois ou il n’était qu’un débutant dans leur Jutsu de groupe qui leur permettaient de se liquéfier en fusionnant ou en se métamorphosant en une sorte de flaque d’eau à part entière. Le lac reprenait sa fonction naturelle, le vent était très refroidissant, alors qu’une bonne partie de cette eau se trouvait sur mes mains et mes pieds, ils se mirent à sécher au simple contact du vent comme le corps et les vêtements de ce cher Mangetsu qui se trouvait en face de moi. Un vent qui soufflait et qui rejetait un son comparable à des milliers de cries d’un public qui se serait retrouvés au beau milieu d’un jeu de foot et ou leur équipe favorite aurait marquée avec une minute d’espoir (Quelle imagination). Quelques secondes de silence et toujours ce sourire que je dégainais à chaque fois que je voyais ou que j’affrontais une personne.

«  Hôzuki Mangetsu ! Hum … Quelle surprise de voir un tas de flaque dans ton genre ici au beau milieu de ce lac. A ce que je vois tu n’as pas bien changé, toujours aussi insouciant qu’avant. Je suppose qu’un gars dans ton genre ne se trouve pas ici pour faire mumuse avec de l’eau. C’était donc toi qui avait cette odeur de poisson *rire hypocrite* Si je suis ici ce n’est sûrement pas pour te provoquer en duel à moins que tu ne veuilles combattre ton senpai !  » S’exclama le requin que j’étais avec une p’tite d’humour qui n’avait pas l’air d’être tellement drôle.

*Tiens … Tiens j’aurais bien besoin d’un gars pour m’entraîner, surtout que ce coin est plutôt avantageux pour chacun d’entre nous deux car il n’y aura nul besoin de gaspiller du Chakra pour créer de l’eau. Haha*

Alors que je réfléchissais attentivement le ciel et les alentours de ce terrain, une idée d’entrainement commençait à se former dans cet esprit tordu que je possédais en moi. Les oisillons chantonnèrent à leur tour une musique à l’aide de plusieurs sifflements qui ne prenaient jamais fin. Cela rappelait énormément ce vieux-croûton qui se trouvait au village de Kiri no Kuni, malgré cela je ne voulais pas me mettre à gaspiller de la force inutilement et surtout que je ne possédais aucun shuriken pour faire taire ces bestioles puantes et poilues d’un pelage jaunâtre. Jolie être, jolie être, quel goût avait-elle ? Une vision de l’action que je réalisais dans ma mémoire se reformait alors, des dents emplumées de plusieurs plumes jaunes, du sang qui coulait de mes lèvres et qui couleraient au sol sous chaque goutte qui prendrait une douceur intense à cette chose qu’était le cauchemar de voir des êtres ou des choses périr au fil du temps.

Bref … Cela n’avait en rien quelque chose en rapport avec le poisson crue d’en face qui avait un débardeur au style de celui que portait Suigetsu. La jeunesse, un p’tit frère de ce jeune garçon qui se trouvait en face, il avait une gueule d’ange, toujours à sourire quand il fixait chaque regard passant en tenant la main de son grand frère Mangetsu. Beau souvenir non ?
Le temps s’écoulait la réponse était en faveur du p’tit Hôzuki qui se nommait Mangetsu !


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hrp : On est deux alors !

Le temps s’écoulait déjà un peu plus depuis que je me trouvais dans ce coin-ci, l’ancien compagnon de mon village natal ne supportait plus les cries incessants de ces créatures volantes qui se trouvaient à quelques pas de l’endroit ou nous nous trouvions pour discuter, il lançait encore et encore des sourires répétitifs qui ne s’arrêtaient jamais pour disparaître quelques secondes et réapparaître un instant plus tard. Je n’avais point eu le temps et l’obligation de sortir l’armement pour tuer ce groupe d’oisillons qui chantonnaient en chœur, lorsqu’un silence pesant se mit subitement à revenir dans ce petit coin du Lac que je fréquentais déjà comme ma prochaine cible. Les oisillons ne dégageaient plus de leurs gueules ce son strident et incessant tel une nouvelle craie qui se fracassait afin de former des caractères qui créaient ce son qui faisait hérisser les personnes les plus faibles.

Des bruits de shurikens se dirigèrent sur les oisillons qui n’eurent le temps de contrer cet objet métallique en forme d’étoile, le descendant des Hôzuki exclama d’un air bien heureux sa belle victoire face aux êtres que ce bas monde avait créé. Le vent, eh oui, toujours ce bon et vieux vent qui restait le meilleur ami des possesseurs de l’élément Fûton rehaussa d’une fraction de seconde sa force. Elle refroidissait énormément les gars dans mon genre, ceux qui portaient toujours et tous les jours des tenues bien lourds et recouvrant.

*Rapide, dois-je dire… hum*

Les p’tites plumes orangées/jaunies des créatures aériennes lévitèrent pour se faire emporter par un énorme coup de vent. Cette herbe verdâtre fut recouvert d’un rouge de sang qui aurait figé n’importe quelle personne qui aurait peur du sang, pour les deux shinobis que nous étions la peur restait une chose inconnue qui ne sortait que très peu ou pire, pas. Le déserteur avait déjà cette envie de me combattre dans un entrainement sur ce lac, dans une simple envie de Tuer le Temps, il voulait tuer le temps ? J’aurais bien aimé le tuer pour qu’il ne s’aperçoive plus du maudit temps (e.e), malheureusement j’avais l’obligation de le combattre afin de connaître un peu plus de techniques Suiton, cet ancien shinobi de Kiri qu’était un de mes compagnons de groupe connaissait forcément mes capacités ce qui allait rendre l’entrainement, tueur de temps !

Hôzuki Mangetsu, le Nuke-nin de Kiri no Kuni gonfla subitement son torse d’une respiration profonde, il avait comme l’intention de créer un Jutsu de type Suiton sur le terrain à en croire ses gestes. Le combat était désormais inévitable entre nous deux, sous un ralentissement de temps qui apparut en face de moi, il prit soudainement un Katana, d’après les renseignements que j’avais eu sur lui dans le cahier du village caché du brouillard, il était l’un de plus redouté au niveau du Kenjutsu (l’art de manier les sabres) il n’était donc pas si nul que ça voir très fort. Son torse se gonflait encore plus qu’au début de son inspiration, il n’était plus là pour papoter et cela ne me déplaisait pas pour autant, le Jutsu qu’il allait réaliser était fort connu pour une personne de mon genre qui l’utilisait plusieurs fois pour ses missions « importantes ».

Un second bruit de Katana se retentit subitement, c’était celui de Mangetsu, le possesseur se mettait à tenir fermement son sabre de balade, cet objet pouvait venir de n’importe quel village (quelle déduction), un manche marronné et une lame qui envoyait des rayons de lumière qui provenaient de ce soleil, les yeux éblouis, je tournais la tête un bref instant pour me retourner et fixer d’un air de requin les yeux de mon rival tel un combat de regard comme les cowboys mais sans musique.

« Oh eh vous deux !... »

Lorsqu’une voix aigüe d’un ton efféminé se retentit non-loin caché par les innombrables arbres des alentours du lac. Mes pieds grincèrent contre les bouts de terres qui s’espaçaient pour dupliquer la forme que ma sandale avait, les yeux incrustés de plusieurs veines rougeâtres ainsi que le visage se dirigèrent vers le lieu ou se trouvait exactement la voix de l’interlocuteur de l’instant décisif de notre combat. Pendant ce temps le poisson déserteur se prenait une fois de plus le plaisir de frimer en restant calme et insouciant sous cette voix douce mais cruelle.

Oh, une dame ? On imaginerait tout de suite une belle déesse qui apparaitrait sous les multitudes d’ombres, pointant d’un regard de revolver chaque personne qui dérangerait son petit paradis en provoquant un combat de mercenaires. Malheureusement, non, c’était bien une femme mais elle était accompagnée d’une bande de délinquants qui avaient sur eux des peaux de bêtes qui leur servaient de vêtements, un groupe qui n’avait aucun bandeau frontal sur leurs parties corporelles, qui se faisaient donc passer pour des Nuke-nin ! Tient, tient des amis à Mangetsu ?

Au vu du regard qu’ils rejetaient avec animalerie sur les deux shinobis que nous étions ils n’étaient pas très copains que ça ! La femme elle avait une tenue bleutée mais qui était à la fois sombre, un visage d’ange mais un caractère moral d’animale. Mangetsu le professionnel de la liquéfaction se mettait à dégonfler pour cette fois son torse, l’air qui était stocké dans ses poumons furent libérés, il n’avait plus ce même air de jeu qu’au début. La femme qui se trouvait en face de nous, semblait craintive et elle voulait nous combattre à l’aide de ses dix compagnons. Un léger sourire sortit et apparut sur mon visage tout bleu, il fallait que l’on combatte avec sérieux les amis de cette jeune ennemie. Mais pour cela, il fallait que moi et Mangetsu, soyons prêt à se partager le butin sans s’entretuer.

«Moi, Zakuro, du groupe de Nuke-nin je vous ordonne de quitter cet endroit sur le champ ! »

Zakuro ? Si cela se trouvait, elle était une Grenade … Elle ne cessait d’ordonner Mangetsu et moi de quitter ce lac-ci qui ne semblait pas si banal pour les personnes dans son genre. Un clan ? Tant de question, cette demoiselle cachait bien des secrets, son visage paraissait bien mystérieux, insensible, sans aucune pensée apparente à ce moment-là. Lorsqu’une colère apparut soudainement sur elle, elle n ‘était pas si insensible que ça et donnait une mauvaise impression !

« Vous osez venir dans un lieu sacré et interdit, notre clan ne supporte aucune personne qui marche ou baigne dans ce lac ! Attaquez-les » Disait alors la jeune dame qui s’exclamait d’un ton agressif, d’un regard qui perçait les plus sensibles, une fureur et cette rage de nous pourchasser sans aucune raison ! 

*Ce Mangetsu nous met vraiment dans un pétrin délirant*

Les dix gardes apparaissaient alors sous un nouveau jour, tous avaient une tête de délinquant et ils étaient bien armés. Tous possédaient le même Katana que celui du Hôzuki, l’entrainement qui allait tuer le temps devait être reporté à plus tard ce qui ne m’empêchait pas de combattre les personnes qui se trouvaient en face de moi.

« Mangetsu-kun, on se partage les parts du gâteau ?*sourire* »

164+10+78 = 252 Lignes Disponibles