Une seconde mission est confier pour moi, j’étais telle une rose des sable fleurissant dans ce désert, cette mission consiste à retrouver une cargaison importante pour le village de Suna une cargaison à première vue volé par des bandits, enfin cette hypothèse est donné par radio locale et donc asses facile à tromper, elle aurait eu quelque problème à la frontière du pays, ce qui peut me laisser supposer que c’est un pays ennemie qui cherche à poser des ennuis à Suna et qui sais voir même déclencher une guerre, non je pense quand même cette hypothèse peut probable surtout en regardant la force de se pays. Toutes ces idées sont de simples hypothèses faites en fonction des informations reçus. Tout ça est bien joli, mais il me faut me mettre en route, je me prépare et fonce en direction de la grande porte de Suna. Par malheur il me faut encore traverser ce maudit désert, un désert que j’éviterais si je pouvais enfin bref, je suis une femme forte, je ne vais pas me laisse battre par se climat plutôt hostile quand l’on n’a pas l’habitude, je me mets à crée mets deux belle ailes d’ange pour survoler ses dune de sable qui ne finisse pas, d’un petit bon léger je me mets à entamer mon périple, je voyage en vitesse de croisière évitant de m’épuiser pour rien le chemin va déjà être long et dure, je ne vais pas en rajouter en me pressant, ce qui est sûr c’est que le chemin va être bien plus long que dans ma dernière mission, oui je dois traverser entièrement le déserts pour atteindre les frontière qui sont simplement à la fin de ce même désert, quelle ironie du sort je vais atteindre l’autre bout du déserts pour devoir faire ma mission puis repartir pour atteindre le point de retours. Mon chemin va être long surtout que je n’ai pas spécialement l’habitude de me promener dans ce genre de climat, un climat ou le soleil tape sans arrêt devenant plus une plais qu’un plaisir. Mon chemin est long car je ne connais que trop peu les manières de faire pour faire un trajet dans le désert enfin à force de faire des chemin dedans je vais bien m’y habituer et trouver mes repaire, mes méthodes pour pouvoir bouger plus simplement et rapidement. Je regarde autour de moi ne voyant rien que du sable, à gauche, à droite, devant, ha tien derrière eeeuuux non c’est toujours du sable… .
Seul quelque petit animaux arrivait à faire changer le paysage en montrant leur rare présence, je me demande même comment ils font pour survivre sans rien à manger et boire, enfin après ils doivent bien trouver. Mon chemin est long mais me voilà en train de voir la frontière en voyant les première dune qui ne sont pas formé de sable et de la verdure en présence d’une couleur verte et non jaune, je voix aussi plusieurs fleurs, de magnifique fleure qui me parlait rien qu’avec leur forme, elle disait tellement de chose , la rude vie que leur donne cette chaleur et leur envies de vivre, si les homme prenez plus de temps à écouter plutôt qu’à penser à leurs propres envies. Je ne suis pas là pour rêvasser je suis en mission tout de même, je m’éloigne de ce désert tant détesté, je regarde autour de moi puis me décompose afin de trouver les bandits ou même un indice, tous les papiers qui formait mon corps prennent la formes de papillon, des papillon allant dans toutes les direction s’enfonçant de plus en plus dans le paysage bien plus joli que ce que j’ai vue dans ma traversé, un paysage fait de nombreuse couleurs et formes, donnant à ses lieux une image plutôt artistique. Dans ma recherche je me mets à voir un groupe de bandit ayant posé campement près d’une rivière faite surement pour se ravitaille en eaux sans avoir à la chercher à des lieux d’ici, tout cela est parfait car dans ce camp se trouve la cargaison tant recherché, une cargaison qu’il n’ont pas réussi à ouvrir, c’est un petit coffre ou il y a de marque Suna dessus asses simple à deviner que c’est ça la cargaison, dans ce campement je peux voir quinze hommes, quand j’ai fini d’avoir les renseignements que je veux je me mets à me recomposer pas très loin de leur camp, mes papier en forme de papillon se mettent à revenir au lieux que j’ai choisi afin de recomposer mon corps, plus les papiers viennent plus mon corps retrouve de partit pour qu’à la fin je retrouve mon corps en entier.
L’aura caché je m’avance pour me trouver une planque je me mets à me cacher et à utilise mon sensoriel afin de vérifier les mouvements de ses bandit, après quelque temps je voix deux des leurs s’éloigner du camp je m’approche de leur destination et quand je suis près d’eux, je fais apparaitre deux papiers en formes de Shurikens, les prenant dans ma main je les lance sur mes deux cible, chacun une, et cela fait deux morts pour deux Shuriken ce n’est pas parfait, c’est Shuriken se sont bien planqués dans le haut de leur crane avec cela c’est la mort assuré, maintenant qu’il y a deux morts c’est une question de temps pour que les autres ne se rendent pas compte que quelque chose cloche ici. Il reste treize cibles, pour moi c’est simple de les tuer, mais je dois cacher le plus possible ma vrais force et donc éviter de montrer mes capacités. Toujours cachet j’attends que plusieurs autres se posent des questions sur le temps que mettent les deux que j’ai tué, afin de les éliminer eu aussi, un peu comme tout bon film d’horreur qui se respecte quoi. J’arrive à en tuer cinq autre comme cela, il venez chacun leur tout un par une, et moi je les tue par derrière changeant de méthode pour m’occuper un peu, l’un avec une épée l’autre avec une lance, d’autre en lançant un Shuriken en plein cœur, toutes ses attaque était fait de papier, mais de méthode diverse et cela avant même qu’il ne se rend compte que ses hommes sont mort par ma main malgré ça ils ne m’ont pas retrouvé et il ne reste plus que huit membres dans leur groupe. Ses huit hommes ne semblent plus vouloir se quitter ce qui semble plutôt logique, il doivent suivre le précepte ensembles nous somme plus fort, ben je vais faire pareil allors, je fais donc des clones de papier afin de les encercler, quand ce fut le cas moi et mes clones se mettent à lancer des Shuriken de papier pour liquider ses hommes, tous sont morts dans cette action c’est plus que je ne l’espérais, je pensais qu’il allait en ester un ou deux voir plus mais faire une sans faute et tuer les huit dernier en un seul assaut c’est ce que j’appel du travail bien fait, tranquillement marchant autour des cadavres je m’approche du coffre afin de le ramener à Suna. Le coffre ne pèse pas très lourd et donc mon chemin du retour ne fut pas plus pas moins chiant que l’allés. Plusieurs fois j’ai eu envie d’ouvrir le coffre, malgré cela je ne l’ai pas fait, pourquoi je le ferais pour trahir ma couverture, ce qui a dedans ne m’intéresse pas le moins du monde, Bon me revoilà au point de départ, heureuse quand même de retrouver ce village et de quitter se maudit désert, une chaleur étouffante qui me donne hâte de retrouver le logement que je loue le temps de mon séjour dans ce pays. Malgré tous la mission n’est pas totalement fini, le coffre toujours en ma possession si je le garde je ne toucherais pas l’argent de mon travail ce qui m’est indispensable et comme dans l’habitude je donne mon rapport et ce qui va avec au chef du village avec mon aire toujours aussi froid et sans sentiment qui n’a pas l’air d’ennuyer le Mizukage, prés avoir rendu le rapports je ne me fait pas prier pour quitter le sale et repars avec mon salaire en main, peu d’argent malgré cela je pourrais continuer à faire ma collecte pour mon armement un armement sui me rendra bien plus puissante que je ne le suis maintenant.
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Dim 29 Jan - 18:33
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