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| Sujet: Kyôki Kyofu. [Terminé] Mer 11 Jan - 4:01 | |
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Votre personnage
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✘ Nom: Kyofu.
✘ Prénom: Kyôki.
✘ Age: 23
✘ Nindo: Regarde moi , puisque je suis la dernière chose que tu vera.
✘ Village désiré: Konoha
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Description psychologique
- Manipulateur.
Kyôki est un manipulateur née, il adore prendre le contrôle et manipuler toute personne qui pourrais lui être utile. Il adore jouer avec les sentiments des autres, leur faire croire qu'il on le dessus et pour le reprendre au meilleur moment et les déstabilisées. Il s'amuse avec des ninjas comme s'il était des pantins eux-même. Il adore voir la peur et la surprise dans les yeux de SES pion lorsque tout éclate et qu'il comprene qu'il on perdu et on simplement été des petits pion dans le jeu d'échec de Kyôki , il prend un malin plaisir a jouer avec ses victimes.
-Stratège.
Kyôki est un grand stratège a force de manipuler des pantins et ne jamais vraiment se battre lui-mêmes il a apprit à faire des bonnes stratègie puisque que lorsqu'il contrôle des pantins il devient beaucoup plus vunérable. Il peu ainsi faire croire a son adversaire qu'il est en désavantage lorsque que c'est totalement le contraire. En mission il à toujours son plan B , parfois il à même plus d'un plan B et c'est se qui fais de lui un excellent ninja. Si jamais tout tourne mal il aura toujours une stratégie qui pourrais tourner la situation en sa faveur.
-Froid.
Kyôki est une personne très froide. Il montre c'est sentiment difficilement , rare sont les personnes qui l'on vue pleurer. Il garde toujours son calme et tente de ne jamais laissés ses sentiments prendre le dessus puisqu'il sait que cela peu s'avérer fatal. Lorsqu'il parle il a un ton de voix neutre et dira que le strict minimum selon lui , mieux vaut écourté que rallongée puisque se temps perdu pourrais être utiliser pour faire autre chose de beaucoup plus utile. Kyôki reste toujours de glace devant un mort , puisqu'il n'ai pas temp de se lamentée en mission ou en temps de guerre , mais plutôt d'agir. Il n'hésitera pas a tuer ou sacrifiée quiconque se mettra dans son chemin pour le bien de la mission , excepté les personnes qu'il considère très cher.
-Intelligent.
Kyôki utilise plus son cerveau que ses muscles , puisqu'il se bat avec des pantins étant un utilisateur de Kujustu. Il doit donc priorisée la tactiques à la force brute. Il réfléchit toujours à deux fois avant d'agir mais a une vitesse phénoménale , il réagit énormément vite pour quelqu'un qui pense autant. Parfois c'est adversaire se demande s'il agit au hasard , il élabore des plans éfficace très rapidement qui pourrais mettre l'adversaire dans une situation de désavantage. C'est pour cela qu'il est un utilisateur de Kujustu très doué et mortelle.
-Imponctuel.
Kyôki n'est pas une personne très ponctuel. Il est souvent en retard même un peu trop parfois et fait beaucoup attendre les autres. Ce qui exaspère plusieurs de ses amis , les seuls moment qu'il n'ai pas en retard c'est lorsque son frère Omei kyofu le convoque ou une fille mais il n'hésitera pas a prendre son temp si il considère que c'est nécessaire.
-Narcissique.
Kyôki est narcissique. Oui, littéralement parlant. Il s'adore, il n'accepteras pas les remarques désobligeante envers sa personne. Il se trouve parfait, il trouve que les Dieux, l'ont construit à son image. Il est tellement admirateur de son ego, qu'il s'arranges pour créer des parties de corps avec son Kugutsu pour s'assurer d'être parfait, d'être l'homme sans fautes. Il n'accepteras en aucun cas d'être discriminer, ou de se faire reprocher qu'une partie de son corps n'est pas parfaite. Du genre assez pour tuer quelqu'un en plein milieu d'une ville. Il n'a pas besoin d'autre raison.
Description physiologique
Les cheveux de Kyôki Kyofu sont de la couleur de la flamme. Un rouge brûlant comme les flammes de l'enfer, un rouge qui semblait prendre le contrôle du monde pour le détruire. Qui prenaient de l'ampleur dans l'âme comme dans le monde, semblant toujours grandissant. Les flammes de l'enfer brûlent éternellement, et ses cheveux semblent montrer au monde que l'enfer, sera la dernière chose que les hommes verront lorsque Kyôki Kyofu se présenteras devant vous. Combien de vies êtes vous prêt à sacrifier pour rejoindre cet enfer existentiel, là ou hommes et femmes, enfant et vieillards se retrouvent tous d'une façon ou d'une autre. L'Apocalypse prendra soin de tous vous y emmener, aucune classe économique. Personne ne survit, personne ne résiste. L'Apocalypse gouverneras.
L'oeil droit de Kyôki Kyofu à la couleur de l'or. L'or est un trésor inaccessible, il est l'eldorado des capitaliste, des monstres qui gouvernent ce monde. À travers l'esprit manipulateur de Kyôki, ses yeux reflètent la richesse de la manipulation ,des corps de gens. La beauté des choses qu'il pourra un jour contrôler, qu'il pourra manipuler. Que ce soit avec des fils de chakra qu'avec la beauté et la cruauté de son oeil, ou simplement avec son esprit manipulateur, il s'arrangera à tout coup pour prendre le plus de ce que vous posséder, que ce soit votre richesse matériel que culturelle, mentale ou non. Son oeil dorée, tout comme son envie, ses yeux n'ont pas de limites. L'oeil dorée de Kyôki Kyofu est lié à la technique animale de son clan, lui permettant de voir à travers l'oeil d'un animal quelconque. Malheureusement, l'âme de Kyôki étant plus animale qu'un animal lui-même, il semble en permanence en train de regarder à travers ses propres yeux, déchiré entre le monde des animaux, et le monde des humains, sans jamais savoir vers quel côté se tourner.
L'oeil gauche de Kyôki Kyofu est de couleur bleu, sa pupille semble incroyablement petite, comme si elle était un océan qui était mort depuis longtemps, la terre étant devenue une abysse noire interminable entourant ce petit amas d'eau qu'est ça pupille. L'oeil semblant petit, certes, mais ayant vu des centaines de choses. Lorsqu'un oeil voit trop, il meurt. Il tombe dans l'abysse infernal de l'oubli, ce trou noir béant qu'on ne peut refermer. Si son oeil à encore un minimum de bleu, c'est parce qu'il n'as pas perdu toute son humanité. Un jour, qui sait, peut-être que le bleu disparaîtra. Le bleu de la mer peut disparaître d'une façon aussi radicale que l'esprit d'un homme. Bien fait pour Kyôki, il n'a pas d'esprit.
La peau de Kyôki Kyofu semble vieille, comme si l'âge avait cesser de fonctionner sur cet homme qui vieillissait. La peau lisse, d'une couleur quasi-cadavérique, sans marques de combat, sans cicatrices, sans histoire. Il n'as pas de marquer de guerre, ni de tatouage, ni de marques prouvant qu'il avait combattu qui que ce soit à travers toute sa vie. Alors s'il n'avait rien vécu, pourquoi était-t'il un ninja? Simple. Il a vécu. Mais personne n'as jamais put l'atteindre. Personne n'as jamais pu le toucher. Les marques n'avaient pas pu se former parce que son habilité à esquiver ou à se défendre avec ses pantins. La peau cadavérique de Kyôki Kyofu prouve à quel point cet homme n'est pas d'une nature amicale, ou d'une expression quasi-aimable envers les gens. Elle est aussi morte que l'expression qui orne son visage à travers les combats comme à travers ses long discours. Personne ne parles aux morts sans avoir une bonne raison. Est-ce que cet homme serait mort? Son visage étant la seule partie abîmer de son corps, pour des raisons strictement techniques, à travers des combats contre son ami de toujours, Omei Kyofu.
Kyôki Kyofu utilise son bandeau dans son cou, pour montrer à quel village il appartient, certes, mais aussi pour montrer à quel point il s'en contrefiche. Il reste là, jours après jours, au dessus de ses muscles. Simplement pendouillant, semblant n'avoir aucune véritable raison de s'y trouver. C'est dans les règles des Ninjas de montrer son village, mais Kyôki se foutais complètement de son village. Après tout, qu'est-ce qu'un village? C'est un endroit qui finiras par exploser, l'Apocalypse étant la personne qui détruirait ce village. Après tout, il mourraient tous un jour, pourquoi s'en préoccuper maintenant?
Kyôki Kyofu ne portes pas de gilet. Pourquoi porter un gilet quand on est si fier de son corps? Il adore se montrer. Peut-être un peu nudiste, qui sait. Il est aussi fier de ses muscles qu'un cordonnier est fier de ses bottes. Il s'est entraîner durant de nombreuses années pour obtenir ce qu'on peut appeler un corps parfait. Il n'est pas totalement humain, mais bon, il est tout de même fier de ce qu'il as réussi à accomplir. Kyôki est un homme fier. Pour quelque raison que ce soit, il est quasiment narcissique. Du genre, il n'accepterais pas de se faire insulter sur son apparence à quel point il se trouve beau.
Votre Histoire
"Les gens sont trop stupide pour se contrôller eux-même...Ils nous ont emmener des guerres et des tueries qui ne cèsseront jamais. Les gens passent leurs vies à se faire manipuler par des gens qui eux, pensent avec leur têtes. Et moi, qu'est-ce que je fais? Je manipules."
Kyôki est né dans une famille modeste, qui gagnaient bien leur vie. Fils d'un agriculteur hors pair, qui gagnait sa vie honnêtement. Son père, Yumei Kyofu était réputé comme étant un homme qui ne mentais pas. Il donnait tout ce qu'il récoltait à son village, à des prix qui étaient équitable, autant bien pour sa famille que pour le village, et ça, ça rendait le village encore plus prospère. Certains agriculteurs suivaient même sa façon de faire les choses, parce qu'ils la trouvaient de loin très bien pensée, ce qui rendait les choses encore plus belle pour le monde lui-même. Yumei Kyofu était un père de famille de trois enfants. Kyôki étant le plus jeune des trois, il admirait son père. Un des deux frères de Kyôki avait déjà quitter la maison familliale pour s'installer avec sa femme plus loin, dans le pays de la foudre. Un pays chalereux parait-il... Mais bon. La mère de Kyôki était une femme très amicale, aimante, du genre que tout le monde connait et que personne ne reprocherait le plus grand des pêchers. Elle pourrait tuer un homme, et avoir le sang de l'homme sur elle, la tête dans les mains, et le couteau dans son autre main, et personne n'accepterais de croire qu'elle a commit le meurtre. Ils mettraient la faute sur la société s'Il le fallait, mais jamais sur elle. La petite Mayin Kyofu était réputé pour tout l'amour qu'elle donnait à ses enfants, et ça, c'était quelque chose de magnifique. Mais la famille elle même cachait un secret sombre, un secret qui un jour les obligerais à agir d'une certaine façon, mais ça, c'est une histoire que nous parlerons un autre jour.
Bref, ce jour là, Kyôki venait d'avoir ses cinq ans, et il était horriblement heureux de l'être. À cinq ans, il pourrait enfin travailler dans les champs, aider sa famille à nourrir le peuple, et aider le monde à mieux aller. C'était comme ça que son père l'expliquait.
"Tu sais Kyôki...Dans ce monde, il existe une personne là haut qui va un jour nous reprendre ce qu'il nous a donner. Ce jours là, quand je serai mort, ne pleures pas, mais souviens-toi que Dieu donne, et Dieu reprends."
"Pourquoi, papa?"
"Parce que l'Apocalypse est une chose que nous, les Kyofu, attendons impatiemment depuis de longues années... Et si tu as la chance de la voir vivre un jour, alors tu comprendras ce qu'est le vrai bonheur..."
Cinq ans. Kyôki commençait sa route pour devenir un homme, et ça, c'était incroyablement important pour lui. S'il devennait un homme, son père pourrait enfin être fier de lui et le lui dire. Ce jour là, il eu une conversation avec son père qu'il se souviendra toute sa vie, une conversation qui lui vallut les plus grandes pensées de sa pauvre existance;
"Aujourd'hui, Kyôki, tu comprendras quelque chose. Nous, les Kyofu, somme un clan de guerriers, d'honnêtes hommes, de ninjas hors pair. Tu as le choix de ta destiné. Ton frère est partit devenir un Ninja dans un autre pays, et ton autre frère s'est décider à rester pour aider dans les champs et reprendre la demeure familliale dans le future. Toi, que veux-tu faire, mon fils?"
"Quand je vais être grand, je veux pouvoir m'amuser!"
Riant tranquillement avec son fils, Yumei se contenta de répondre;
"Tu comprendras un jour que les choix des gens mènent à certaines choses qui ne permettent pas de "s'amuser" pour gagner sa vie...Mais bon, tu es jeune. Continue de rêver, c'est ce qui fait de toi un humain."
Sur ces mots, deux ninjas de Konoha entrèrent à l'intérieur de la maison, les portes claquant sur leur passage, comme si rien ne les importait. De leur regards ils cherchèrent le frère de Kyôki, demandant au même moment à la famille de leur trouver celui-ci. Pourquoi? Il venait de tomber en âge d'aller se battre, et ils avaient besoin de guerriers pour défendre la nation, peu importe ce que serait le prix. Mourir? On est déja mort si on ne se bat pas. Ne pas se battre, c'est abandonné. Abandonné c'est mourir, et ça, la nation ne le permettais pas.
Kyôki vit son frère littéralement se faire enlever par les ninjas de Konoha, qui semblaient fort, grand, puissant. Mayin Kyofu pleurait dans son coin, son deuxième enfant forcé de quitter la maison familliale, serrant Kyôki contre elle, Yumei tentant de dissuader les ninjas d'emmener son deuxième fils, semblait perdre tout contrôlle sur la situation. Mais sans broncher, les deux parents partirent dans un coin et laissèrent leur fils se faire enlever. Kyôki ne le pardonna jamais à ses parents, de ne pas s'être battut pour garder leur fils. Pourquoi? Son père lui répondit seulement que le Hokage a toujours le dernier mot. Était-il si stupide? Allait-il vraiment se laisser marcher sur les pieds par un simple homme? Allait-il vraiment se laisser contrôller? Kyôki, ce jour là, décida de ne pas finir comme sa famille. C'était simple pourtant, non? Selon la logique des choses, si on est stupide, on se fait contrôller, et si on est intelligent, on contrôlle. Alors Kyôki cathégorisa sa famille comme étant stupide, inacceptable même. Il en eût honte toute sa vie...Une famille qui ne défends même pas ses idéaux, qui se laisse se faire mettre à terre par de simple hommes parce qu'ils ont des armes et eux, non... Ne savent-ils pas qu'un homme qui perds la vie pour défendre ses idéaux continueras de vivre comme héro, alors que quelqu'un qui vit en ayant abandonné ses valeurs meurt comme un lâche, un sans espoir. Kyôki ne voulait pas finir comme ça, et il ne finirait pas comme ça.
Toute l'admiration de Kyôki venait de partir en un clin d'oeil, et ça changerais sa vie au grand complet, mais pour être franc, ce n'était pas la seule chose qui finirait par détruire cet admiration. Une petite erreur ne change pas le cours complet de la vie de quelqu'un. Il faut bien plus que cela, mais malheureusement, Kyôki le savait que trop bien...
"Je me souviens d'une journée en particulier. Une journée qui hantes mes nuits et qui animent mes jours. Pour vous mettre dans le contexte, j'était jeune, ma famille était pauvre, et où je vivais, il y avait des gangs. Des mafias, des gagnes de rues, des conneries dans ce genre là. Le genre de gens qu'il ne faut pas fréquenter, qui nous détruisent la vie, qui nous rendent triste, qui nous manipule. Mes parents à moi, ils sont manipuler. Chaques jours de leur vies. Ce sont des marionnettes sans vie, qui croient toujours être meilleur que les autre. Ils pensent contrôler leurs vies, mais la seule chose qu'ils controlent, c'est la marque du savon qu'ils choisissent, et ça, je n'ai jamais put accepter de vivre de cette façon."
"En gros, c'était une journée de Juin, on récoltait le blé, je faisait partit de la famille après tout, alors j'aidait à ma façon, j'avais beau être jeune, je m'en foutais. Il fallait que je fasse ma part, c'était tout ce qu'il y avait à faire. Quoi de mieux que de travailler un bon vieux Samedi...
Il y avait une mafia, qui s'appellait eux-même les Skarners. Une sorte de gagne d'animaux qui ne faisaient qu'obéir aux ordres de leur chef, ils tueraient si ce même chef le demandait, ils pilleraient si leur maître le disait. Ce n'était que des chiens en laisse. Bref, ces hommes, se sont présenter, comme à chaque mois, réclamant leur due, je me souviens de ces mots, qui résonnent chaque soir dans mon esprit, qui me hantent plus que mes propres pensées."
"Eh...Tu sais quel jour on est, vieillard. Tu dois payer, sinon on emporte ta femme. Tu connais les règles!"
"Messieur...S'il vous plait..Ce mois à été difficile, nous avons fait notre possible mais il nous manque de l'argent, nous avons même tout prit celui qui serait revennu pour nous nourrir..."
"Il n'y a pas de mais, vieillard. Tu connais les règles."
Deux de ces animaux attrapèrent ma mère, et la jettèrent sur le sol, là, elle était impuissante. L'un la tennait, les bras dans son dos, elle se mit à pleurer, mon père tentat quelque chose, mais les deux autres se mirent à le tenir sur place. Il ne restait que moi Un pauvre gamin. Il ne s'en préoccupèrent aucunement, ils me laissèrent dans mon coin. C'est lorsque j'ai vu le premier homme enlever la culotte de ma mère que je me suis mit à me demander ce que je devais faire, mon père regardait avec horreur et impuissance. Les deux étant des êtres extrêmement pacifique, ils n'allaient rien faire contre. Les émotions se mirent à passer à travers ma tête. La rage, la tristesse, la colère...Que faire? Des dizaines d'options s'ouvraient à moi, aider ma mère? Tuer ces hommes? M'enfuir? La réponse était faite.
"Si tu bouges, on la tue. C'est clair?"
Je m'avançai et pris les Kunai de la poche d'un des Skarners. Il semblait trop préoccuper avec les adultes. Ma décision me sembla moins facile, tuer cet homme? Mais je suis un pacifiste? Je suis un des Kyofu, je ne suis pas censer me battre...C'est du moins ce que je croyais des Kyofu avant cette journée. Je pris le Kunai pour l'enfoncer dans la colone vertebrale de l'homme. Son discours fut annuler, l'homme s'écroula, je tremblais...La peur s'emparait de mon corps. Les autres hommes se levèrent et se dirigèrent vers leur ami, inerte. Pour s'assurer de sa vie ou de sa mort. Là était ma chance, je me mit en position, et trancha la jugulaire du plus prêt, pour ensuite enfoncer mon Kunai dans l'oeil de l'autre, restant figer. Le dernier tomba sur le sol, et se traîna avec ses mains vers un coin de la sale, tentant de s'enfuir. Le sourire que j'avais était si grand, que mes parents ne me reconnurent pas. Mes muscles dans ma bouche se fendirent, le sang se mit à couler. Tout ce qu'on voyait, c'était une ombre, un sourire irréel et des yeux jaune, illuminant à travers la nuit. L'homme me regardait, suait, sentait la mort approcher. Le le pris par la gorge et je la fit exploser à travers mes mains, pour ne laisser, à la fin, que des lambeaux de chair humide sur le sol...Mes parents regardèrent la scène, horrifier, de me voir aussi cruel...Je suis un Kyofu, je suis un pacisfiste, et non un assassin... Ce jour là, j'ai compris. Je ne suis pas fait pour être un simple pacifiste.
"Tu les as...tuer..." Dit mon père, dans une voix effrayer...
"Oui. C'était la seule chose à faire, vous êtes sauf..."
Je me rapprochai d'eux pour les serrer dans mes bras, mes mains ensanglanter, je les avais oublier...Mon père me frappa au visage, pour me faire reprendre la raison...Il n'avait toujours pas compris, que la seule chose que j'avais découvert, ce jour là, c'était que tout ce qu'ils m'avaient enseigner était faux. Mon père me chassa de la maison, je ne put jamais revenir. Tel était la destiné de l'homme qui tue de l'épée. J'appris plus tard que d'autres membres du gang étaient revenu finir le travail. Mes parents mourrurent, et mon frère, mourrut aussi à la guerre. C'est beau la vie, non? Les marionettes agissent, et les marionettistes pensent...Ce jour là, je compris que je devais penser au lieu d'agir. Être celui qui tire les ficelles...
Je passai un total d'environ 8 ans seul, sans argent, sans famille, à voler les pauvres comme les riches pour me nourrir. J'avais 14 ans la première fois que je l'ai rencontrer. J'était déja Gennin de Konoha. Cet homme, il allait changer ma vie. Il s'appellait Omei Kyofu. C'était un ami, un gennin du village aussi. Il avait 13 ans, et à voir son nom de famille, il devait faire partit de mon clan, de ma famille même. Il était un ami... C'était simple. Un jour, je me souviens très bien, il m'emmena chez lui, pour jouer à un jeu quelconque, le genre de truc que les gamins faisaient toujours. Je me souviens du visage de mon père, et de celui du père d'Omei. Le même, identique, la même corpulence, la même tache de naissance...Papa!?
Je lui sautai à la gorge et l'attaqua, sur le point de le tuer, mais celui-ci se releva, me frappa au visage, et me poussa dans un coin. D'un air sérieux et dominant, il me dit simplement :
"Tu es un invité chez nous et tu oses t'attaquer à moi, le maître de la maison?"
Bouche bé, je ne reconnaissait pas mon père, mon père n'était pas violent, et n'avait pas ce ton de voix. Qui était cet homme?
"Vous..Vous êtes pareille que mon père...Son...son double..."
L'homme me regarda d'un air perplexe, mais sentait le trouble qu'il y avait dans ma voix. Il m'apprit plus tard que mon père et lui étaient frère jumeaux, et que les Kyofu l'avaient exclu à travers les champs parce qu'il était un "non violent". Les Kyofu sont un clan de guerrier, d'animaux féroces, qui utilisent la nature à leur guise, pour la faire exploser autant que pour la garder comme allier. Ça, mon père ne l'avait jamais compris.Mon père était un faible, une arbre sans tronc, un corps sans colonne. Bref, il était un pantin. Les Kyofu étaient de base des assassins, des meurtriers, des ninjas accomplit. Et ça, Kyôki en était fier. Il était solidement trop fier de se rendre compte à quel point est-ce que les Kyofu étaient sans pitié. Son père, lui, il ne lui avait rien enseigner de tout ça. Cet imbécile et sa non violence...Mais qu'est-ce qu'il croyait accomplir? Il aurait laisser sa femme se faire violer pour s'assurer de ne pas porter attaques à un homme... Tuer ou être tuer. Et son père s'était laisser tuer. Cet imbécile s'était laisser tuer... Quel fin atroce pour un homme qui n'utilisait même pas l'épée. Mourir par l'épée après avoir suivit une vie de pacifiste...
En gros, moi et Omei, ont était cousin. Ça m'a incroyablement surpris, mais il s'en foutait. Il ne se préoccupait pas du fait qu'on était cousin, mais du fait qu'on était amis. On devint partenaire d'entrainement. Les deux étant gennins, on s'entre aidait pour devenir de plus en plus fort, un jour surpasser ce dit Apocalypse que nos parents nous avaient tant parler. Après tout, si on devenait assez fort, on serait capable de rejoindre son armée! Le père d'Omei était un utilisateur de Kugutsu. Oui, il était un manipulateur. Ça m'impressionnait. En faite, il était un penseur. Il utilisait sa tête au lieu de ses muscles. C'est ça, que je voudrais faire plus tard. Manipuler. Cet homme m'inspirait le plus grand des biens, il était le père que j'aurais toujours voulu. J'enviais mon cousin, son père était le père que je n'ai pas eu, l'homme qui manipulait au lieu de manipuler...Un vrai marionnettiste qui fait son spectacle pour moi, et pour personne d'autre.
Omei et moi, on était inséparable. On était des gens que les autres ne comprenaient pas, et on en était incroyablement fier. Les autres, il ne méritaient pas notre présence, ils ne méritaient pas qu'on s'attarde pour eux. Je me souviens par contre d'un jour tragique, qui me marqua à vie. J'avais dix sept ans, et Omei venait de tomber sur ses seize ans. Le jour de son anniversaire, comme prévu, j'avais l'intention de l'emmener s’entraîner et qu'on apprenne une nouvelle technique ou une connerie du genre, mais lorsque j'entrai dans sa maison, je découvrit un endroit macabre, du sang retrouvant chaque endroit possible, et Omei tenait la trachée de son père entre ses mains. Il avait détruit le cou de celui-ci avec ses mains comme seul outil. Mais qu'était-il devenu?
"Omei?..."
"Il a tuer ma mère. Il m'a appris sur l'Apocalypse, et cet imbécile égoïste m'a donner un avenir que je ne voulais pas. Dégage de mon chemin."
"Non?...Je suis ton ami, je vais t'appuyer peu importe ce qui arrives."
Ce jour là ,je finit avec une cicatrice. Une cicatrice sur mon visage. Il avait simplement pris son Kunai, s'est avancer vers moi, et ne voulant pas bouger, il me frappa au visage, une marque qui passait de ma joue à la paroi de mon nez. Mais qu'était-il arrivé de mon ami de toujours? Qu'avait-il put se passer...Sur l'Apocalypse? Mais qu'est-ce que c'est que ces conneries? La trace de sang dans mon visage, moi sur le sol, ébahit par cette attaque plus que surprise, je l’agrippai par les jambes, pour le faire tomber, et m'arrangeai pour embarquer sur lui, prenant place par dessus lui pour l'immobiliser. Les réponses à mes questions étaient forcer d'arriver. Je ne partirais pas sans réponses. C'était simple, c'était clair. Il pleurait...Oh diable, il pleurait. Seize ans et forcer de tuer son père...Destin tragique.
Il m'expliqua simplement que le monde n'était pas beau, que les papillons ne semblaient pas parfait, que le gazon ne semblait plus vert, les arbres semblaient mort...Des conneries du genre. Des conneries qui n'ont aucun sens mais trop de sens en même temps, comme si le monde cessait de tourner pour écouter les lamentations de l'homme qui aujourd'hui devenait le tant attendu Apocalypse. Selon la bible, sa mère s'était faite trancher la tête, par l'homme sans cou sur le sol. Et ça, il n'avait pas pu le prendre. Il avait accepter son rôle, mais lorsqu'il se souvint simplement de l'apprentissage et la mémorisation de cette même bible, il se souvint d'une des règles. Tuer la femme qu'il aime à la naissance de celui-ci...L'homme sur le sol avait mentit sur la mort de la mère d'Omei, et non seulement lui avait-il mentit, mais il était son assassin. Comment bien réagir à de telles accusassions?
Bref, le reste serait dit plus tard, des choses que je n'oserais parler ici en ce moment. Si j'en parlais ici, il n'y aurait plus de surprises, non? En gros, il reste mon ami, il reste mon cousin. Je suis son partenaire d'entrainement, de combat, je suis le cerveau, il est les bras. Il a changer, depuis. Il est devenu plus sombre, moi aussi d'ailleurs, mais bon. Comment rester heureux à travers la mort de son père et de sa mère...Lorsqu'on se voit, on retombes en enfance, on deviens des gamins, mais malheureusement, je ne peux pas veiller sur lui autant que je le pourrais...Même si je fais de mon mieux...
CODES DU RÈGLEMENT (2) : Barbe à papa et goût fraise.
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[center] 305 lignes.
Dernière édition par Kyôki Kyofu le Ven 3 Fév - 11:13, édité 1 fois |
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