Oka Maruyama ✘ Nom: Oka Ici. ✘ Prénom: Maruyama surnommé Maru ✘ Age: 15 ✘ Nindo: Vivre ✘ Village désiré: Suna Description psychologique Dérangé, on peut dire que je suis plutôt dérangé, je vois souvent le mal partout, chose qui peut parfois poser problème quand il y en a pas... Je suis tellement dérangé que beaucoup pensent que je suis schyzophrène, ce n'est pas vrai du tout, mais je vais vous expliquer pourquoi certains le pensent. Ayant souvent des visions relativement horribles, il m'arrive de péter des plombs parfois injustifiés... En fait, je suis borderline, Kesako ? En fait, disons que mes émotions sont toujours aux extrêmes, je peux être parfaitement heureux comme horriblement énervé, selon l'humeur du jour et la puissance du vent. Je n'ai pas naturellement de goût prononcé pour le sang, cependant, je ne crache pas dessus, quand il faut, il faut. En fait, le sang, comme tout le reste dépend avant tout de l'émotion qui me domine en ce jour. Si par exemple, je suis heureux en amour, je ne tuerait guère volontié, en revanche, si je viens de me faire larguer, là, je tuerai sourire aux lèvres Description physiologique Le sombre, la lumière, entrée fracassante de peur... Non je déconne, j'avais envie de partir en mode, je me la joue, beaux brun ténébreux mais finalement, je n'en ai pas très envie. J'ai les cheveux mi longs, s'entre mélants souvent les uns aux autres, m'ennuyant férocement, si ils étaient des personnes, je leur fracasseraient là gueule. Enfin bref, mes yeux sont marrons, des yeux de cochons quoi, mouhahahaha, je suis fier d'être si con. Je porte des vêtements ample, blancs ou beige selon les jour et mon humeur. En règle général, je porte un haut où la manche gauche arrive plus bas que la main et le droite sans manche. Je porte le bandeau frontale à l'envers, le signe gravée du village du sable se retrouve donc derrière ma tête, je préfère. En gros, cela fait plus un bonnet qu'un bandeau, ça me tient chaud lorseque je m'aventure en dehors de mon village. Votre Histoire Première partie : La mort de l'âme d'un enfant. Sombre est mon passé, sombre mon présent et sans doutes plus sombre encore est mon futur. J'ai vu, vu de mes yeux, la sanglante réalité des guerres et des représailles, vu de mes yeux le corps mutilé de ma mère ayant survécu à mille vices avant d'être simplement décapitée, vu de mes yeux, les tendons et la carrotyde arrachés dépassant de la gorge tranchée de mon grand frère, tout cela, je l'ai vu étant encore enfant, et j'ai fui, tel le lâche afin de sauver ma chair et mes os mais avant cela de partir, je vu quelque chose d'horrible à voir pour tout enfant, mon père, que je plaçais auparavant sur un piedestal, s'enfuyait à grande enjambé pendant le v*ol terrible de ma mère, souillée à tout jamais par le vice de ces hommes venu piller notre village. Le sang, encore et toujours, le sang de mes proches, de ma famille, mon sang, je le voyais couler, des litres et des litres de ce liquide du mal. Dans les bois aux alentours de ce village, je n'avait eu aucun mal à me cacher, cependant, des crises d'angoisses traversaient sans cesse mon esprit, me rendant esclave d'elles, quand elles n'étaient pas là, j'avais peur de leur arriver. Hanté. Oui c'est le mot, hanté, par ses visions horribles, me cachant derrière une porte, j'avais l'impression que mon frère et sa gorge tranchée étaient encore là, avec moi. Peur, j'avais peur de cette vision, je n'ai survécu pendant une semaine en ce lieux qu'avec l'esprit hanté et les sens entravés par la peur et la haine. Pour moi, l'action avait été faites sans la moindre raison, je ne comprenais pas encore les guerres et ce qui les engendres, mes yeux ont vu ça comme de la pur malveillance, sans raison et bien qu'une partie en soit, je peut aujourd'hui imaginer que ces gens ont dus avoir une ou deux raisons de faire cela... Cependant, quelques soit les raisons, je ne put imaginer que l'on repende tant de haine et de violence sur tout le monde, hommes, femmes, enfants et vieillards. Ni oubli ni pardon. Malheureusement, la vengeance est pour moi impossible pour la simple et bonne raison que je ne sais pas du tout qui a bien pu faire ça et à vrai dire, je m'en moquais plus ou moins, l'important n'était pas qui mais pourquoi, qu'est-ce qui peut pousser des hommes à commettre telle violence. Plusieurs jours durant, j'ai erré sans réel vie dans les rues pillées et inondées de sang, je cherchais les survivants, ceux qui avaient échappé au massacre et ils étaient là, peu nombreux, apeurés, autant que moi mais regroupés et je refusais d'aller avec eux, suivre leur résignation, leur lâcheté, tous ces gens avaient refusé le combat et s'étaient réfugiés, cachés, laissant leur voisins et amis mourir ou pire... Deuxième Partie : La Naissance d'un shinobi. Les images en têtes, les lèvres se refusant à faire le moindre sourire, j'avais quitté le village, laissant les quelques surivant derrière moi, j'étais jeune. Je ne souhaitais pas rester avec eux, ils étaient des guerriers et eux, devaient avoir une idée de ce qui a bien pu pousser ces combattants à une telle atrocité. Le sourire de Nishioota, la fille de mes voisins, me manquait atrocement, elle et moi fricotions quand nos parents avaient le dos tourné. Je me souviens aujourd'hui de notre rencontre. Nous devions avoir cinq ans, peut-être six, je ne sais plus, c'est si trouble à cet âge là. Elle jouait à la Kunoichi devant sa maison et moi je l'admirais par la fenêtre depuis un ou deux mois, elle était si belle, ces cheveux noires tombant jusqu'au milieu du dos déjà, que sa mère s'empressait de coiffer des qu'il y avait de la visite. J'étais descendu pour enfin aller lui parler, sans doutes étais-je beaucoup moins timide qu'aujourd'hui, je ne ferai plus ça en tout cas. Je me revois marcher en me dirigeant vers elle, le sourire au lèvres, choses qu'elles n'ont pas connus depuis un certain temps maintenant. En arrivant à son niveau, comme Nishioota ne m'avait pas remarqué avant que je sois juste devant elle, elle eut peur et tomba, elle s'ecorcha les genoux et sa mère, cette grosse vache vint la chercher et me mis une giffle, pensant que je l'avais poussée au sol moi-même. Ce jour serait sans doutes une moitié de mauvais souvenir si je n'avais pas vécu si dure plus tard, penser à nouveau aux sourires sur les visages, c'est horrible, j'ai le coeur lourd simplement en évoquant ce sujet qui aurait dû tomber aux oubliettes pour toujours. Ma mère, Okaya, de son prénom, était quelqu'un de très souriante, chaque petit bonheur du quotidien déclenchai en elle un sourire d'une oreil à l'autre, elle bougeait tout le temps, s'amusant de tout et de rien. Paix à ton âme maman. A cet époque, j'étais plein de haine pour les gens qui avaient fait ça, néanmoins, mon nindô, même à cette période n'a jamais été la vengeance, elle je la laisse aux faibles, elle affaiblis les cœur déjà trop faibles. Mon nindô est et étais de faire la fierté de ma mère qui me regarde de la haut, je veut sentir qu'elle est fier de moi et que ça soit entièrement normal. Déjà à cette période, je sentais la présence de ma mère dans chaque moment de ma vie, dès que j'avançais dans la mauvaise voie, je sentais qu'elle était là pour me stopper, je ne devais faire que le bien. Mon enfance, bien que difficile, toujours en têtes les images que j'aurais vivement aimer oublier, cette enfance fut courte, car à douze ans, je me considérais déjà comme un homme, avec ses forces et ses faiblesses, mais capable d'affronter la vie avec sang froid, chose difficile avant cet âge. J'avais donc commencé à aiguiser mon ninjutsu, j'étais d'affinité katon, mon feu est mon pouvoir, chose pratique en hiver. J'ai découvert mon talent pour cet art à mon septième anniversaire, lorsque, sur un coup de rage, je fit jaillir du feu de mes mains, depuis ce jour, je m'entraîne quotidiennement à faire du katon une forme d'art et surtout un pouvoir assassin. Le travail d'un pareil art sans aide est quelque peu compliqué, c'est à dire que les techniques ne viennent pas toutes seules, j'étais obligé de travailler mon katon de manière brut, de plus je vivais en bordure de forêt à cet époque, par conséquent, afin de pouvoir m’entraîner correctement, je dû la plupart du temps m'aventurer dans le désert afin de ne pas assassiner tous les arbres m'entourant. Chaque étincelle pouvant provoquer de terribles incidents. Je l'ai appris à mes dépends, je devais avoir dix ou onze ans, j'essayais de créer une énorme boule de feu qui sortirai de ma bouche, j'avais cramé une partie d'un arbre qui s'est soudain embrasé, ma maison/cabane avec, j'avais perdu le peu que j'avais ce jour là. Depuis, je suis très prudent quand je joue avec mon katon. Comme je disais, je vivais seul en bordure du désert du pays du vent, je savais que par là, ce dressait un village shinobi des plus puissants, Suna no Kuni. La solitude, à ressentir est le pire des sentiments, on ne s'y fait jamais vraiment je pense, j'avais la souffrance comme seule amie. Vous savez, le feu n'est pas vraiment une présence amicale... Mon contact avec la civilisation se faisait par petits moments, où caché, j'essayais de voir ou pouvait bien se trouver Suna, chose qui n'arrivait jamais bien sûr, c'est bien garder. Parfois, je sentais la présence de personnes m'observant, une présence toute autre que celle de ma mère, celle que je ressentais en ces moments était plutôt malsaine je dois l'avouer. Mais parfois, c'était bien ma mère qui se rapprochait encore de moi, et pas que dans les moments difficile. Grâce à cela, vers mes quinze ans, il m'arrivais de retrouver le sourire, cela faisait tellement longtemps que même mes muscles avaient perdu l'habitude de faire ce geste, il semblerai que ça leur faisait même mal de le faire. Il vint un moment où la solitude me pesa vraiment trop, c'est une des raisons qui me poussait à vouloir rejoindre ce noble village qu'est Suna. Mais sa position exact demeurait inconnue en mon esprit, bien que ma plus grande joie aurait-été d'y vivre afin de devenir shinobi. Originaire de là, l'envie d'y revenir me gagnait de plus en plus et emplissait mon cœur d’espérance. Un jour, à la tombée de la nuit pour être plus précis, j'entendis des bruit suspect à quelques pas de ma cabane. Peu loin de moi se trouvait un homme, portant les couleurs de Suna, il était étendu sur le sol mais bougeait quand même, légèrement certes, mais il était vivant. Je m'étais alors approché de lui afin de lui venir en aide, j'y voyais une possibilité de porte d'entrée pour le village. Alors que je m'approchais de lui, il parvint à me lancer un kunai que je n'ai pu esquiver que par miracle, calmement je lui avait expliqué ma situation et le fait que je ne lui voulais aucun mal, chose qu'il a parfaitement assimilé, il a sans doutes compris que j'étais sincère, après m'avoir posé divers questions il me demanda de le ramener à son foyer afin qu'il puisse y être soigné. Enfin, devant moi se dessinait le chemin de mon rêve nommé Suna. Mon repère n'était vraiment pas loin en plus, j'aurais pu trouver ma destination seul sans doutes, c'est ça qui me mis la rage, enfin la rage, la rage positive bien sûr. Après à peine sept ou huit heures de route nous arrivâmes aux portes du village où on nous laissa passé sans problème. C'est comme ça que je suis entré à Suna ou plutôt que j'y revint, je ne me souvenais pas de ces rues sablées, de ce temps si particulier et surtout de cette vilaine absence totale de végétation. Je marchais et j'oubliais, j'oubliais l'horreur qui avait finit par me mené là ou mon cœur se devait d'aller. Je serai bientôt shinobi au service du seigneur kazekage.. CODES DU RÈGLEMENT (2) :.

[b]

Up up up.

Bienvenue après 15jours d'absence ^^''

Mieux vauf tard que jamais ! Bienvenue ! =P

Bienvenue à toi sur le forum,

Il manque les codes règlement que tu trouveras dans les règles. Merci.

Bienvenue ~

Codes mis. UP