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| Sujet: L'académie s'éveille [mission de rang D] Mer 8 Aoû - 10:49 | |
| Il arrive de faire parfois de drôle de rencontre, mais aucune n’est mauvaise dans le fond, toute ont leurs intérêt, certaines plus grandes que d’autres je l’accorde, mais chaque rencontre est bonne à faire. Pour le moment, Kiri semblait plutôt bien se débrouiller à l’échelle mondiale, d’après certaines rumeurs, Kiri devrais pouvoir vivre assès tranquille durant un court instant puisque notre situation géographique ne permet pas vraiment de pouvoir nous rendre visite tranquillement. Où que vous soyez, pour venir nous voir il vous faudra prendre le bateau puis ici il peut souvent, quel intérêt auriez vous à venir ici ? En tout cas vous ne viendrez pas prendre des vacances, cela est sur. Nous on a pour beaucoup toujours vécu dans le pays de l’eau, on a vécu avec cette pluie incessante, mais changer d’air sera surement compliqué à envisager je vous l’accorde. Comment pourrions-nous par exemple passer de notre pays humide au pays du vent qui est noté comme aride, nous aurions beaucoup de mal tout comme eux chez nous d’ailleurs. D’ailleurs en parlant de ça, je suis curieuse de savoir comment se développe les autres villages presque en même temps que Kiri, se serait intéressant pour savoir sur quelle échelle on se place. Cela ne doit pas me concerner moi mais plutôt le mizukage, c’est lui qui devrais si intéresser non ? Moi je sais d’où on vient, et je sais maintenant où l’on va et cela me convient parfaitement. Pour le moment, une seule et unique chose doit m’intéresser, mon passage vers le tableau des missions, à peine fini la première que oui je veux la seconde. Je dois me démarquer tout de suite, dès le début de l’ère Kirien, je dois montrer que je suis là je n’ai pas le choix. Le mizukage doit savoir que je peux être très utile à son village, il doit le savoir et au plus vite, c’est en enchainant les missions que je le pourrais, je le sais.
Ni une ni deux, j’avançais donc calmement dans les rues de Kiri histoire d’aller jusqu’à la grande tour dans laquelle se trouve le bureau d’Obakee et surtout le seul, l’unique, le tableau des missions. L’avantage c’est que de chez moi il ne faut pas longtemps pour avoir accès à la grande tour bien que mon habitation soit très en retrait par rapport au centre ville. Est-ce une chance ? Je n’en sais trop rien, mais que voulez-vous... C’est donc sous cette pluie continuelle que j’avançais sans trop me préoccuper de quoi que ce soit quand soudain je le vis enfin, ce tableau qui m’attendais. Ma surprise fut d’ailleurs très grande, rien n’a changé, il y a toujours un trou laisser par la mission que j’avais récemment effectué, mais toute les autres sont encore là, comment est-ce possible ? Personne ici ne s’intéresse au bon déroulement du village ? Pourtant c’est important de réussir toutes ces missions, le bien être de notre village en dépend il me semble... De plus, pas de mission, pas d’argent, pas d’argent pas de course, comment font-ils tous pour s’armer ou s’équiper ? Sont-ils tous issu de riche famille ? Soit, dans ce cas c’est moi qui n’ai vraiment pas de chance, poisse... D’après mes cartes de ce matin, je suis censé passer une belle journée, à voir... Je contemplai donc rapidement le tableau des missions et plus précisément celles de rang D jusqu’à tombé sur la mission parfaite. Surveiller et gérer les aspirants ninjas pour qu’ils puissent s’amuser au mieux durant cette journée, mais c’est parfait tout ça. Un concours de ninjas, je dois réfléchir et vite. Tic Tac Tic Tac Eureka j’ai trouvé !
J’arrachais le papier que j’étais en train de regarder et partit en courant. Oui en courant, quand j’ai une idée, je dois me dépêcher car plus vite je vais arriver et plus vite je pourrais commencer. Première destination le marchand d’arme de Kiri, mon ancien patron, non pas que je veuille retravailler pour lui, mais je vais avoir besoin de sa marchandise en réalité. Oui j’ai toujours de grandes idées, surtout quand il s’agit de concours d’ailleurs. Après quelques minutes de course effréné, j’arrivais devant les portes ouverte de la grande boutique d’arme de Kiri où j’entrais sans perdre une minute, il était là, le patron, il me regardait tout comme moi je le regardais et nous nous adressions un sourire presque instantané.
« Bonjour Miyo-sama. Comment allez-vous aujourd’hui ? »
« Cesses donc toutes ses politesses Asami ! Je vais bien merci. Qu’est ce qui t’emmène ici mon enfant ? »
« J’ai un service à vous demander. Voilà, j’ai une mission qui consiste à aller m’occuper des aspirants ninja de l’académie qui ont décidé d’organiser un concours ninja, mais pour que je concours soit un peu plus relever, je me suis dit que vous accepteriez surement de me prêtez quelques armes que l’on couvrira histoire qu’il ne puisse pas y avoir de blessé, cela me permettrait d’instaurer des épreuves auxquelles ils n’ont surement pas pensé tel que le maniement de la lame ou le combat au katana. Et bien d’autres, qu’en pensez-vous ? »
« Tu es toujours aussi intelligente, tes parents seraient fier de toi ma petite. Va dans l’arrière boutique, prend le chariot que tu trainais toujours avec toi, prend les armes que tu veux et habilles les comme tu le désires, j’essaierai de venir faire un tour dans ce concours, surtout bon courage à toi et reviens quand tu le souhaite. »
« Merci beaucoup Miyo-sama ! »
Je traversais donc le magasin déposais un bisous sur la joue du vieille homme que j’ai toujours considérez comme mon père puisqu’il a toujours été là pour prendre ma défense. J’ai éviter bien des coups grâce à lui et j’ai toujours pu manger à ma faim. Qui sait si j’aurais tenu sans lui... Puis je pris la direction de l’arrière boutique, katana, kunai, fuma et double, je pris tout type d’arme, pour les armes de combat rapproché, je les équipais d’une espèce de mousse dure afin de fermer la lame et que les coups porter ne fasse ni dégâts ni blessure. Une fois les préparatifs terminé, je me dirigeais de ce pas vers l’académie où je pu expliquer mon idée aux enfants. Que le concours commence, que les enfants s’amusent pendant que les professeurs et moi-même mettions les notes. Tournoi par élimination, plusieurs équipes pour commencer par le jeu du ninja. Des équipes de quatre aspirant, l’une se cachait pendant que l’autres les cherchait, ils ont dix minutes par manche, il faut deux manches gagnantes. Certains aspirants se détachèrent rapidement du lot d’ailleurs, mais pour l’instant c’est un travail d’équipe et beaucoup non pas encore saisi cela, ils ne sont qu’aspirant il faut bien le reconnaitre, mais tout de même... La première épreuve fut terminée et les dix équipes gagnantes restaient avec nous, les dix autres étant éliminé.
Très bien, prochaine épreuve on ne garde que vingt aspirant sur les quarante encore en course. Lancé de shurikens. Dix cible cinq shurikens chacun, un examinateur par cible pour noter les point de chaque aspirant. Comme souvent j’avais mes cartes sur moi et étonnamment pour le premier je tirais la carte de la réussite, de l’exeption même, est-il si doué que cela ? Son nom ? Haruko Korenaga, oui c’est une fille, mais toutes les filles ne sont pas incompétentes après tout. Je la regardais puis levait la main avant de les descendre, chacun pouvait maintenant envoyer le premier shuriken. Sur dix trois échouèrent. Puis vint les deux, trois, quatre et cinquièmes salves. Haruko fit un sans faute, cinq shurikens en pleins centre, parfait. Un total de cinquante points, le meilleur score des quarante enfants encore en course. Seul les vingt premier furent qualifié pour la suite du concours, place maintenant au combat au katana dans lequel nous ne garderons que dix rescapés. Certains sortaient encore du lot, mais Haruko restait la plus impressionnante, un combat à l’arme impressionnant, elle pourrait rivaliser avec les samouraïs grâce à un tel maniement de la lame. La fin arrivait et les dix derniers allaient maintenant s’affronter dans un concours un peu plus soft, les jutsus. Chacun connais au moins une technique de leurs familles ou de leur clan, a eux de nous montrer l’exécution qu’ils en ont ! Le concours fut rapidement terminé et le premier prix fut remis à Haruko cette fille dont mes cartes ont révélé de grandes choses. Je m’approchais d’elle pour la féliciter et surtout lui donner quelques mots.
« Félicitation Haruko, tes parents pourront être fière de toi, tu fera une grande kunoichi, tu peux me croire ! Continue sur ta lancé et ne laisse personne te barrer la route ! »
Elle m’adressa un signe de tête avec un sourire avant que je ne la laisse repartir pour pouvoir ramener mon chariot à maitre Miyo et que je n’aille rendre mon rapport au mizukage.
Lignes : 66/40 |
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