Sujet: We must punish pretty criminals. [Pv Takara] Dim 8 Jan - 2:41
Fin de semaine, je pensais déjà à mon petit week end bien mérité. Dur semaine, une grosse tension à gérer, deux éléments partis en mission secrète, et les petites affaires internes à régler, comme d'habitude. Fallait décompresser poto. Et en plus de ça, la majeur partie de mon temps, enfin, le temps où je travaille donc l'après-midi, je restais seul, sans autre compagnie que mes bouteilles de rhum et mes pilons. Quel triste sort. Une secrétaire, c'est ça qui me manquait, mais visiblement, aucune n'était assez compétente pour occuper ce poste à merveille (ouais, ouais, c'est dur d'être une BONNE secrétaire). Bref. Allez, pour te faire plaisir, je vais te parler de ce dont on se fiche éperdument, mais c'est pour le principe t'as vu. Donc, le temps : quelques cumulus très épais comme à l'habitude du pays, une température ambiante clémente, avec quelques pointes assez chaude atteignant les 35°C et une fine brise qui sera présente du matin au soir. Un temps estival qui correspond idéalement au pays de la foudre et à ce que l'on peut y trouver toute l'année. N'oubliez pas de souhaiter une bonne et heureuse fête à tous les Lucien de votre entourage, et profitez sans modération de Joséphine Ange Gardien, votre programme qui débutera après la publicité. À bientôt, et bonne soirée sur TF1. Fin de la parenthèse météorologicalique (). Fin du blabla obligatoire quant tu commences une histoire et que t'as rien à dire pour présenter la situation.
Profitant d'une petite pause dans mon après-midi de travail intensive, je me suis préparé un ti-punch bien chargé en rhum, histoire de me relaxer avant de finir en beauté cette journée. Avant de pouvoir le goûter et l'apprécier comme il se devait, un Anbu frappa à la porte. Ils viennent toujours au mauvais moment ceux là, on peut même pas être seul quand on en a envie. Il entra, s'agenouilla face à moi, récita le chant de gloire écrit en mon honneur depuis mon accession au poste de Kage (avec le rythme de la marseilleise ouais ouais), et me rapporta une histoire assez surprenante, mais plutôt intéressante. À vrai dire, tout ce qu'il pût me dire me fit sourire doucement, et légérement rire.
♬ Sa Majesté, le Raikage, Lui et son beau corps musclé, Il va vous faire toute tomber, Que vous soyez belle, bonne ou bronzée !
Toutes les taspés il va les démonter, D'un coup de beuh ou de la LSD, Les ramassant à la petite cuillère, Grâce à sa vitesse de la lumière.
Saignooooooooons, ces faces de raaaaat Butooooooooooons, ces grosses taspéééés Pillons, Pillons, leurs sales cadavres Et violoooooons leurs femmes abusés ! ♬
[Anbu] - Veuillez me pardonner, mon seigneur, de vous déranger pendant votre pause, mais j'ai quelques fait à vous compter. Il y a de cela moins de 48 heures, une jeune Kunoichi nommée Takara à littéralement détruit la vitrine d'un des bars de Kumo, complètement saoule, en se battant avec une pauvre femme qu'elle a défigurée. Et le lendemain, dans ce même bar, elle a aidé un déserteur inconnu à s'échapper des forces de police de Kumo, détruisant un morceau de palissade dans sa fuite. Actuellement, nous ne savons pas où elle est, mais cette jeune fille aux cheveux rouges ne devaient pas être totalement consciente pour agir de la sorte. C'est tout ce que j'avais à vous dire.
[Aa] - Commences par te relever, et va me chercher cette fille. Je la veux dans mon bureau, dans moins de deux heures. Je vais aller me détendre dans mon jacuzzi pendant ce temps.
Il partit, effectuer ma demande pour ne pas me décevoir. Moi, j'enfilais un maillot de bain noir tout simple, et me reposait dans mon jacuzzi qui se situait à quelques mètres de la porte d'entrée du bureau. J'avais amené ma bouteille de Rhum, et de quoi me faire quelques joints. J'en roulais un premier et commençait à le fumer en repensant à la petite histoire de l'Anbu. Cette jeune femme dont il avait parlé, qui avait causé le 'trouble' dans Kumo, aux cheveux rouges ... J'avais tout de suite fait le lien avec celle des portes. Alors ce serait aujourd'hui qu'on se reverrait. Et elle qui était si forte de caractère, allait bien devoir s'excuser cette fois-ci. Est-ce qu'elle en serait capable ? Cela la mettrait en position de soumission face à moi, elle qui semblait tant aimer la domination. Ce genre de jeu de séduction auquel nous avions joué, n'était pas réellement terminé, et je comptais bien en démordre. En tout cas, j'étais persuadé que la revoir me ferait un grand plaisir. Mon joint finit, j'optais cette fois-ci pour un peu de rhum.
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Sujet: Re: We must punish pretty criminals. [Pv Takara] Lun 16 Jan - 3:49
Takara venait de revenir des sources où elle avait amené avec elle un criminel pour s’y cacher. Elle y était restée quelques heures et avait discuté avant de partir chacun de leur coter. Cela ne faisait que quelques minutes. La jeune femme marchait sur le chemin de terre compacté suivant la route pour monter la montagne afin de retourner chez elle. Comme elle n’était pas totalement au village, cela allait lui faire moins de temps de marche. Cependant, il lui fallait se dépêcher. Elle était toujours recherchée pour avoir aidé cet homme à quitter le village sans se faire arrêter par les gardes. Oui c’était en quelque sorte une trahison envers son village, mais n’était-ce pas amusant parfois briser quelques règles ? La kunoichi continuait sa route vers sa maison. Tout à coup, elle entendit au dessus de sa tête, quelques branches craquer. La jeune femme ne perdit même pas le temps de regarder au dessus de sa tête pour ne pas se faire prendre par surprise et partit tout de suite en courant vers chez elle. De cette façon, ceux qui tentaient de l’attraper ne l’auraient pas si facilement et si elle réussissait à les semer elle pourrait se cacher chez elle en attendant que la tempête ne se calme. Après tout, ils ne tardaient jamais vraiment avant de retrouver les hors la loi dans ce village alors elle sera un jour retrouver et amener dans le bureau du Raikage.
La jeune femme continuait sa course entendant par-dessus elle le craquement des branches de chaque cotés, les feuilles tombaient de ces arbres et les pas de tous ces ninjas en courses résonnaient dans la forêt qui commençait à s’assombrir en cette après-midi début de soirée. Le coucher de soleil en était orangé sur le point de devenir rouges. Les feuilles faisaient éclater les couleurs de cette magnifique forêt. Il était dommage que Takara doive partir aussi rapidement de ces lieux car c’était si joli qu’elle aurait aimé s’assoir sur la plus haute branche du plus arbre de la montagne afin de regarder le soleil se coucher. La vue semblait toujours plus jolie lorsqu’on était de haut. Plus près de ce ciel mieux c’était. Cependant, elle en aurait pas la chance, les A.N.B.U l’avaient déjà retrouvé et l’avait en chasse. Combien étaient-ils ? La jeune femme l’ignorait, elle n’avait malheureusement pas les capacités de détecter le chakra des autres, seul les ninjas sensoriels en avaient la chance.
Le membre du clan Hazu courait entre les arbres tentant de les perdre par la forêt. Celle-ci esquivait racines et rochers, sautaient à travers les arbres pour éviter de se faire rattraper trop rapidement suivant toujours sa route pour aller chez elle. En y pensant bien, peut-être qu’elle aurait eu plus de chance d’éviter les anbus si elle n’avait pas prit la route pour retourner chez elle et ainsi ils auraient mit du temps à la retrouver. Dalleurs, Takara espérait qu’ils n’avaient pas retrouvé le criminel qui retournait chez lui. La kunoichi de son coté avait du mal à se faire oublier et à s’enfuir cependant après quelques bonnes minutes de courses et de sauts à obstacles, la jeune femme vit la maison de son tuteur apparaitre entre les arbres. Elle concentra son chakra dans ses pieds et fonçait vers la maison. Lorsqu’elle sortit de la forêt, les hommes qui la pourchassaient sautèrent des arbres continuant leur course derrière elle. La femme aux cheveux rouge tourna la tête vers eux. Deux ninjas de kumo vêtu des habits d’anbu. Était-ce surprenant ? Non, c’était excitant, être poursuivit par ses hommes qui en ont après elle. C’était un défi de taille, les semer. Rare étaient les opportunités de le faire.
Takara avec le sourire aux lèvres et tourna la tête vers la ferme où elle vivait. Elle vit Chiyo ouvrir la porte et la regarder. Il ne semblait pas très heureux. Mais sans vraiment s’en faire, la jeune femme continua sa course jusqu’à voir sortir de la maison deux autre anbus. La kumojin s’arrêta brusquement sentant ses pieds glisser au sol et soulever la terre et la poussière. Celle-ci était dressée devant eux entre quatre anbus, deux devant et deux derrière. Enfin, dans sa position, deux à sa gauche et deux à sa droite puisqu’elle s’était arrêter en faisant un transfert de poids sur sa jambe droite. Les deux A.N.B.U qui la suivaient depuis la forêt la prit par les bras en la retenant. La jeune femme bougeait de gauche à droite tentant de se retirer de leurs bras en s’écriant de la lâcher et de la laisser partir. Mais sans un mot et toujours aussi calme, ils traînèrent la kunoichi par les bras suivant les deux autres qui partirent vers le village. Takara sentait son cœur battre dans sa poitrine. Elle avait beaucoup courut et pour rien hélas. Cependant, cela lui évitera peut-être d’entendre les leçons de Chiyo et toutes ses mésaventures et les problèmes qu’elle amenait au village avec ses conneries. Mais à quoi servaient les règles si elle n’était pas pour être violées.
La ninja suivait contre son gré les membres de l’A.N.B.U qui l’amenaient de force au palais du Raikage. Pendant la route, la jeune femme essayait encore de se débattre et de se prendre aux murs et à tout ce qui lui étaient accessibles pour se retenir afin de les empêcher de l’amener là-haut. Dans un grand soupire, la kunoichi abandonna et se laissa traîner en regardant les visages des gens du village qui la regardaient. Certains amusés et d’autres furieux tel les ninjas et le propriétaire du bar où elle avait fait tant de dommages. En arrivant dans la tour de chef du village, les hommes la retenaient d’avantage car elle s’efforçait de rester à l’extérieur. Ils la firent ensuite monter l’escalier de la tour où elle faisait d’avantage travailler les ninjas qui la traînait car elle se laissait presque tomber dans les escaliers pour qu’ils tirent. En arrivant au dernier étage, l’un des anbus ouvrit la porte. Takara se redressa rapidement et essayait de ne plus bouger en grognant. Les hommes forcèrent contre elle avant de réussir à la jeter dans le bureau. Ceux-ci restèrent à l’extérieur et un seul entra et marcha vers le Raikage.
Takara était couchée conter le sol elle releva lentement son buste à l’aide de ses bras laissant ses jambes allongées derrière elle. Cette dernière avait la tête penchée vers le sol, ses cheveux lui cachaient le visage et une bonne partie du plancher. Elle serra les poings et frappa de sa main droite au sol. C’est alors que l’anbu communiqua quelques informations à l’oreille du Raikage avant de repartir en passant près de la jeune femme sans même s’adresser à elle. Il ferma alors la porte derrière lui et maintenant le silence s’installa dans la pièce. Les seuls bruits qu’elle pouvait entendre était les bulles du bain à remous dans l’homme devait se trouver. En soupirant, la jeune femme se releva lâchement et ramena de sa main sa lourde tignasse vers l’arrière et ouvrir les yeux. Ce qu’elle vit devant elle la surprit. Le chef du village de Kumo était cet homme à qui elle avait prit en main ses bijoux de familles. Cet homme mesurant plus de deux mètres et avec une musculature impressionnante. Il était assit dans son jacuzzi. Celle-ci ne démontra donc pas son étourdissement face à la situation et lui répondit d’une voix arrogante et sèche avec un brin de sensualité :
- Vous ?!
La jeune femme baissa la tête en la secouant lentement puis se dirigea vers le bureau de l’homme et y plaça ses fesses pour s’y assoir. Elle tendit ensuite les bras sur le bureau puis croisa les jambes en le regardant pas totalement dans les yeux parcourant lentement les muscles du corps de l’homme il était vrai qu’il avait une musculature imposante et immense mais pas pour le moins désagréable à regarder même que c’était plutôt satisfaisant.
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Sujet: Re: We must punish pretty criminals. [Pv Takara] Sam 25 Fév - 15:26
Good girl gone bad
Des bruits se faisaient entendre en bas de la tour. Ils montaient, doucement. Alors ils l'avaient enfin trouvée et ramenée. Ils en avaient mit du temps, presque deux heures. En même temps, elle n'avait pas dû leur simplifier la tâche, elle n'était pas du genre à se plier aux ordres. Assez caractérielle, le jeune femme. Bientôt, la porte s'ouvrit, et les Anbus la jetèrent à l'intérieur. Elle n'avait visiblement pas envie de venir. L'un de mes hommes s'approcha pour me rapporter les faits. Il m'informa qu'elle fut retrouvée dans la forêt et qu'elle eut tenté de fuir jusqu'à son domicile où elle fut enfin attrapée. Pas étonnant. De plus, il la qualifia de 'petite peste', car même à quatre, ils eurent beaucoup de mal à contenir son envie incessante de se débattre. Cette dernière information me fit doucement rire. Il partit enfin en déposant un dossier sur une petite table qui se situait dans mon dos.
[Takara] - Vous ?!
La jeune femme était à terre et, en se relevant, me découvrit en essayant de cacher sa stupéfaction. À sa place, j'aurais eu la même réaction. Il faut dire que notre première rencontre n'avait pas été anodine. Vas pas imaginer le pire toi, y'a pas eu de morts, ni de blessés, et on n'a pas non plus couché ensemble ce jour là. C'était différent, mais pas moins agréable. Elle était habillée de la même façon : son pantalon de cuir noir moulant, déchiré à divers endroits, ses bandages blancs couvrant sa poitrine, et ce même bandeau frontal soutenant sa chevelure rouge. Toujours aussi mignonne. Une énergie et un charme étouffant émanait de son entier corps. Elle se dirigea vers mon bureau pour s'y asseoir. Elle croisa les jambes, me parcourant lentement du regard. C'est à ce moment que je m'en rappelais. J'étais dans un bain à remous, en train de me détendre. L'alcool, la drogue ainsi qu'une tension annihilée par ces bulles salvatrices me l'avaient sûrement fait oublier. Quelle importance ? Aucune, j'étais le chef, et je faisais ce que bon me semblait de faire. Je pourrais même danser la macarena nu sur un phoque autiste si je le voulais. Ouais ouais même sur un phoque t'imagines !
[Aa] - Tu aimes ce que tu vois au moins ? Haha. Fais comme chez toi, mets toi à l'aise, prends un verre, hum Takara c'est bien ça ?
Un petit sourire amusé se dessina sur mes lèvres. Je ne lui reprochais pas de fixer mon corps, ma musculature, au contraire. J'étais le premier à regarder le sien, ses courbes [une preuve que Dieu existe ?], et qu'elle fasse de même ne faisait que flatter mon égo. Et puis, je n'avais pas honte de ce qui m'appartenait, il serait plus avisé de dire que j'éprouvais de l'admiration à l'égard mon corps, de moi-même. Pourtant, on ne pouvait pas me considérer comme un réel narcissique. Je n'en étais pas encore arrivé à un tel extrême. Rappelons pour les plus jeune qu'un certain Narcisse donna son nom à cet état psychologique après s'être laissé mourir de soif en tentant de saisir son propre reflet dans l'eau d'une fontaine, ce dernier l'ayant séduit. Non, je ne pense pas en être arrivé à un tel extrême. J'aime ma personne, assez pour jouir d'une confiance inébranlable, mais cela s'arrête là. Ce qui m'inquiétait le plus, c'était de savoir ce à quoi elle pensait en son fort intérieur. Est-ce qu'elle appréciait, est-ce qu'elle était satisfaite ? Encore une histoire d'égo.
[Aa] - J'imagine que t'inviter à te joindre à moi serait, comment dire.. déplacé ?
Encore une fois, un petit sourire en coin se dessina sur mes lèvres. Je finissais tranquillement mon verre de rhum avant de reprendre la parole. Quel délice. Une substance si douce, si chaude, si parfumée, si délicieuse, une raison de vivre dans ce monde de chiens. Je tournais un peu mon buste pour pouvoir tendre le bras derrière moi et attraper un dossier gris. Je l'ouvris, à la page souhaitée, et relu grossièrement son contenu avant de m'exprimer. Un 'casier judiciaire' s'y trouvait, florissant grandement depuis deux jours. Aucun crime contre l'humanité, acte inhumain ou autre, mais quelques petits délits. Outre son caractère, son comportement faisait d'elle une rebelle. Je reprenais, cette fois-ci d'un ton un peu plus grave et sérieux.
[Aa] - Coups et blessures sur une innocente, destruction partielle du bar, aide à la fuite d'un déserteur inconnu, destruction partielle de la palissade, fuite face aux autorités du village ... Tout cela en deux jours qui plus est. Ça fait beaucoup, tu ne trouves pas ? J'espère que tu as des explications à me donner.
Les faits étaient là, et elle ne pouvait y échapper. Le simple fait de la voir s'excuser serait une grande victoire pour moi, dans 'l'affrontement' de nos caractères, de nos égos, qui avait débuté il y a quelque temps aux portes. Cependant, je ne pouvais pas prévoir son comportement. J'avais hâte de découvrir la suite, qui promettait d'être particulièrement intéressante.
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Sujet: Re: We must punish pretty criminals. [Pv Takara] Dim 26 Fév - 1:09
Assise sur le bureau du ninja, celle-ci sentait un courant d’air venant de la fenêtre lui caresser les cheveux. Toujours les yeux sur le corps du Raikage, la jeune femme le regardait. Ce dernier faisait tout comme elle, il parcourait son corps de la même façon qu’elle le faisait. C’était amusant de voir cette attirance dans l’air sans pouvoir l’assumer, enfin ce n’était pas le cas de l’homme mais pour Takara, l’assumer serait une défaite de sa part. Alors la tête haute, la kunoichi observait son Kage sans dire un mot en gardant sur son visage un air neutre. Détournant le regard pour un moment, celle-ci regardait les bouteilles d’alcool que possédait l’homme, une sacré collection, c’était ce qu’il faisait après avoir reçu sa paye ? S’acheter de l’alcool et de l’herbe ? Il pouvait faire mieux de sa vie non ? Enfin, dans un haussement d’épaule, la ninja tourna la tête vers l’homme aux muscles surdéveloppés. Ce dernier mit quelques secondes avant de prendre la parole pour lui demander si elle aimait ce qu’elle voyait. Croyait-il vraiment qu’elle allait répondre à ce genre de question ? Elle avait beaucoup trop d’orgueil et de fierté pour lui dire. Pourquoi ne pas ignorer et continuer de faire courir la souris dans la roulette. L’homme s’esclaffa légèrement avant de lui dire de faire comme chez elle et de prendre un verre. Ensuite il prononça son prénom lui demandant si c’était bien Takara. Un petit sourire en coin s’installa dans le coin des lèvres de l’homme à ce moment là. Était-il si amusé de la voir dans son bureau ? Enfin, la kunoichi hocha la tête avant de lui répondre :
- Oui, c’est bien Takara, tu as une bonne Mémoire.
Remarquant qu’il la regardait toujours de la même façon, la dévorant presque des yeux, celle-ci repensait à la proposition de l’homme. Est-ce qu’elle voulait boire quelque chose. Ne rien prendre serait plus prudent après ce qu’elle avait fait l’autre soir dans le bar. Probablement qu’Ichibi avait du mal à contenir son agressivité lorsqu’elle abusait de l’alcool et qu’il la transférait à Takara. Restant hésitante à ce point, celle-ci regarda de nouveau toutes les bouteilles pour voir si elle allait prendre quelque chose quand même, elle ne risquerait pas d’attaquer une femme puisqu’il n’y en avait pas et si elle attaquait le Raikage, ce ne pourrait qu’être drôle par la suite car à en voir les muscles qu’il avait, elle ne pourrait résister plus longtemps. Alors d’un coup de tête elle se leva et alla regarder les bouteilles que l’homme avait achetées. Essayant de trouver la plus cher, en poussant deux ou trois bouteilles, elle sortit une vielle bouteilles de sake d’environ 37% d’alcool, surement celle qui lui avait couté le plus cher. Alors comme simple satisfaction, la jeune femme se versa un bol de cet alcool et le passa sous son nez pour la sentir. Assez forte, elle en prit une gorgée pour y goûter. L’alcool coula dans sa gorge et elle peut en sentir la chaleur jusqu’à son estomac. C’est alors que l’homme s’exclama pour lui demander si lui proposer de le rejoindre était de trop, si c’était déplacé. Un sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme qui tourna la tête vers l’homme avec son bol à la main pour lui répondre dans un déhanchement sensuel :
- Je n’aie pas encore assez bue pour ça, tu vas devoir fournir pour que je vienne te rejoindre mon grand.
Faisant serpenter ses hanches de gauche à droite vers la chaise du Raikage, elle s’installa sur celle-ci et posa ses pieds sur le bureau. Takara prit une autre gorgée dans le bol de sake qu’elle s’était fait et regarda l’homme se tourner pour prendre un dossier qui était sur une petite table derrière lui. Elle l’observait pendant qu’il explorait le dossier. Se doutant de ce que c’était, la jeune femme reprit une bonne gorgée pour être sur de pouvoir bien répondre aux questions qu’il allait lui poser. En terminant d’avaler le sake, la jeune femme tourna la tête vers son Kage qui se mit à énumérer tout ce qu’avait fait la jeune femme : La bataille dans le bar, la destruction de l’aménagement et la fenêtre du bar, l’évasion du vagabond, la destruction d’un mur du village puis une fuite de l’autorité. L’homme trouvait qu’en deux jours elle en avait fait suffisamment ce dernier espérait d’elle quelques explications. Celle-ci espérait pour lui qu’il n’attendait pas d’excuses de sa part car il n’en entendrait pas enfin, pas d’elle étant à jeun ce qui expliquerait que si elle le disait une fois saoule ces excuses ne compteraient pas comme en étant de vrais. Alors sous ces mots, la kunoichi soupira et leva lentement la tête vers l’homme qui attendait des explications venant de la femme. Celle-ci retira ses pieds de sur le bureau pour se redresser sur la chaise. Elle se leva et se mit à avancer vers la fenêtre en regardant dehors la vivacité du village. En regarda au loin le bar où elle avait eut quelques ennuis elle commença ses explications :
- La femme avait fait tomber mon verre sur mes vêtements parce qu’elle ne regardait pas où elle allait alors c’est tout ce qu’elle méritait, pour le bar, c’est bien triste, mais il a subit les dégâts de la jeune femme qui a été envoyée à l’hôpital. Je dois avouée être assez fière de mon coup.
La jeune femme profita di silence pour s’éloigner de la fenêtre En regardant l’homme. Celle-ci prit la dernière gorgée de sake qu’il lui restait dans son bol puis alla en faire un autre remplissage pour continuer de boire. Heureusement pour elle, Takara avait une assez bonne tolérance à l’alcool ces temps ci car elle avait certaines tendances alcooliques ces derniers temps puisqu’elle ne faisait rien depuis un bon moment hors travailler à la ferme avec Chiyo. La jeune femme prit une bonne inspiration et expira aussi profondément. Ses yeux longeaient le corps du Raikage de nouveau. Était-ce l’alcool où bien il était toujours aussi bronzé ? Enfin, Takara ne s’attarda pas trop longtemps sur ce détaille. Elle s’assied près de l’homme cependant elle resta hors de l’eau. Elle déposa son bol de sake au sol puis commença à détacher ses brandes bottes noirs lassées jusqu’à ses genoux. Alors qu’elle faisait cela, celle-ci se mit à lui expliquer le reste de ses actes même s’il n’y avait aucune bonne excuse à ce qu’elle avait fait, elle n’avait qu’à ce contenté de la vérité :
- Pour le vagabond, il n’avait rien fait de mal, il m’avait seulement aidé pour démasqué un voleur dans le bar qu’il avait immobilisé. Oui, comme il ne l’était surement pas inscrit dans votre rapport, j’ai due travailler bénévolement dans le bar pour réparer ce que j’ai fais la veille.
Celle-ci enleva sa première botte pour la lancer vers la porte puis sa seconde qu’elle envoya avec la première. Étirant ses jambes en regardant ses pieds en chaussette, elle tourna la tête vers le Raikage. Takara tendit ses bras vers l’arrière pour se tenir. Se contentant que de son bras droit pour se tenir en équilibre, celle-ci prit avec sa main droite son bol de sake entre ses doigts et prit une bonne gorgée qu’elle avala aussitôt avec délectation. La chaleur que l’alcool lui procurait la mettait plus à l’aise dans le bureau de l’homme en plus de son bain à remous. Peut-être devrait-elle attendre un peu plus entre ses gorgés ? Il était rare qu’elle touchait aux alcools ayant plus de 20% alors il était normal que celle-ci face un peu plus effet sur le petit corps de la kunoichi. Cependant, avec une diction encore parfaite et une syntaxe encore normal, elle continua de donner des explications sur ce qui c’était passé :
- Alors je n’aie fais que l’aider à sortir du village puisqu’il m’avait aidé à arrêter un voleur. Alors j’ai due détruire le mur pour sortir du village car vos hommes nous encerclaient. Puis pour ce qui est de la fuite et bien, ce n’est que par simple excitation, j’aime bien qu’on me porte attention.
Sous ces mots, la jeune femme lui sourit avant d’humecter ses lèvres avec le sake. Elle posa sa main avec le bol d’alcool sur sa cuisse et regardait Aa qui était à ses cotés. L’interrogatoire maintenant terminé, celle-ci ne s’était pas excusée et n’avait qu’expliquer les faits comme il l’avait demandé. Elle n’avait ni fait part de ses goûts sur sa personne comme il lui avait demandé il y a de cela quelques minutes. Était-ce une autre victoire qui s’annonçait pour Takara ? Finalement, se faire arrêter et amener ici n’était pas une si mauvaise chose, elle pouvait de nouveau affronter cet homme et le tester mentalement et ainsi que physiquement. Ils son testaient mutuellement dans ce jeu de séduction. Ils s’attiraient mais Takara ne l’avouait pas et ne tâchait pas le dire non plus, ce serait donner trop de confiance à son adversaire et cela lui serait une faiblesse si celui-ci le prenait pour acquis. La jeune femme prit une autre gorgée de sake en regardant l’homme dans son bain. Elle baissa délicatement ses yeux le long de son corps jusqu’aux bulles du bain à remous. Le Raikage portait quelque chose pour cacher ses parties ce qui était rassurant pour la jeune femme qui n’aurait pas de surprise en le voyant se lever s’il le faisait. La femme de vingt-deux ans remonta donc le long du corps de ce dernier du regard pour le regarder dans les yeux attendant une réaction ou des réponses de sa part. Ils devaient bien commencer à discuter s’ils voulaient que le temps passe Non ?
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Sujet: Re: We must punish pretty criminals. [Pv Takara] Lun 27 Fév - 2:05
You know you're physically penetrating ?
Depuis mon jacuzzi, je feuilletais rapidement le dossier que je tenais entre les mains. Mais je n'avais plus grand chose d'intéressant à découvrir après lui avoir débité tout ce que le village lui reprochait. Elle, pendant ce temps, avait fixé ma petite, enfin, grande collection d'alcools, tous plus réputés et délicieux les uns que les autres. Elle semblait vouloir en choisir une et boire, mais avait visiblement du mal à se décider. Enfin, elle se leva pour les étudier de plus près et en choisir une. Elle opta pour une bouteille de saké de 15 ans d'âge. Une maturation encore jeune mais un produit d'une qualité exceptionnelle. À consommer avec modération, cependant, car particulièrement efficace sur l'organisme. Et je parle en connaissance de cause, tu l'imagines bien. Elle se versa sans plus attendre un bol de ce délicieux liquide. Une vraie femme, aucune connaissance en la manière de déguster un saké si rare et onéreux. À défaut de boire des culs secs comme la tradition le voudrait, elle agissait n'importe comment. Assez drôle à voire. Ah, j'oubliais, comme j'aurai pu le prévoir, elle préféra ignorer ma remarque visant à savoir si elle aimait ce qu'elle voyait. Elle se contenta de confirmer la seconde question. Bref, revenons à notre saké. Elle en prit une gorgée avant de se diriger vers mon fauteuil, d'un déhanchement sensuel et érotique à en couper le souffle, tout en m'expliquant qu'il allait falloir la faire boire un peu plus avant d'avoir le plaisir de la voir se joindre à moi. Toujours aussi charmeuse. Elle s'allongea sur le fauteuil, pieds sur le bureau, et finit son bol de saké avant que je n'ai commencé à lui énumérer ses méfaits.
Lorsque j'eu fini, elle se leva, et déplaça son corps jusqu'à la fenêtre ouverte de mon bureau. Alors qu'elle semblait rêveuse et absorbée par la vie active du village, je l'étais par son corps, à tel point que je ne fis guère attention à ses explications. Je compris brièvement qu'elle était fière d'avoir blessé cette jeune femme et qu'elle ne regrettait rien. Je n'en attendais pas moins d'un de mes shinobis, un ninja de ce nom ne doit jamais regretter ses actes ni être faible, et je n'en attendais encore mois de cette kunoichi aux cheveux rouges et aux hanches divines. Son caractère était unique, c'est ce qui me plaisait chez elle. Elle n'avait rien d'une femme facile, d'une de ces prostituées vulgaire et sans honneur qui rythmaient ma vie antérieurement. Elle, elle me résistait, me faisait tourner en rond, et pourtant, j'avais l'intime sensation qu'il ne fallait pas que j'abandonne, qu'elle ne le voulait pas non plus. Bref. Le jeune femme retourna vers mon bureau pour se resservir en saké, d'une démarche toujours aussi virevoltante et attirante, et prit un nouveau bol plein avant de venir s'installer près de moi, sans pour autant rentrer dans l'eau. Elle posa le bol au sol et, tout en détachant ses grandes bottes, se justifia de ses actes. En ce qui concernait l'aide à la fuite du vagabond, elle appuya que celui-ci l'avait aidé à démasqué un voleur et qu'elle avait jugé bon de l'aider à son tour. Elle jeta bientôt ses bottes et continua à boire avant d'ajouter que la fuite face aux autorités de Kumo avait été provoqué par son excitation face à la situation. Enfin, en me regardant, elle arqua un sourire avant de rajouter qu'elle aimait qu'on lui porte attention. Tssh, elle jouait sans cesse, cela devenait de plus en plus excitant.
Un moment de silence. Pendant ce temps, elle me regardait, encore, baissant les yeux pour voir ce qui se cachait sous l'eau, et remontant pour me regarder dans les yeux. Il était temps pour moi de sortir de ce bainà remous, j'allais me ramollir à force de détendre mes muscles. Je pris une serviette, séchait rapidement le bas de mon corps, puis me dirigeais vers mon bureau pour y prendre une bouteille de saké et deux shooters. Cette bouteille étaient la mieux dissimulée, car la meilleure que je possédais. 25 ans d'âges, une qualité incroyable, et une douceur déconcertante. Je me rapprochais d'elle et lui tendit un verre avant de m'assoir face à elle.
[Aa] - Je vais t'apprendre à boire le saké comme la tradition l'exige. Tu vois, cet alcool ne se déguste pas dans un bol comme tu l'as fait ma jolie.
Je lui servit un shooters en insistant sur ces deux derniers mots et en la regardant dans les yeux. Je fis de même pour moi, et je trinquais rapidement dans les airs en l'invitant à faire de même avant de boire cul sec l'alcool. Si délicieux, si chaux, et pourtant si rafraichissant et bon. Deuxième tournée. L'alcool emmagasiné depuis le début de la journée ainsi que la drogue commençait à faire effet sur mon organisme et allégeait mon esprit de quelconques soucis ou problèmes. Il allait sûrement falloir l'empêcher de boire beaucoup plus, une jeune femme comme elle devait commencer à être assez bien atteinte par l'emprise de l'alcool, sans pour autant ne plus être capable d'agir consciemment. Un état intermédiaire idéal laissant la jeune femme jouir de tout son charme et allégeant son esprit, la dévergondant un peu plus.
[Aa] - Tu sais, il va falloir que j'obtienne de ta part des excuses. J'ai envoyé des hommes pour s'excuser au nom du village de tes actes, mais, seule toi est en mesure de t'excuser auprès de moi.
Quittant ses yeux du regard, je reculais de quelque pas pour saisir une haltère de 120 kilogrammes et exerçait mon bras droit en attendant sa réaction. Jamais facile d'obtenir des excuses de la part d'une personne au caractère si fort. J'vais opté pour une technique d'approche assez douce, combinée au saké, peut-être que j'obtiendrais ce que je voulais. Rien n'était sûr. Après une série de 50, je posais l'haltère à sa place et me déplaçait jusqu'à mon bureau pour mettre une musique d'ambiance. Je revenais ensuite vers là où la bouteille de saké était posée et servais une troisième tournée. En trinquant, je lui adressais un clin d'oeil.
[Aa] - Takara, hum, tu sais que t'es physiquement intelligente ?
L'alcool avait pris le dessus sur moi l'espace de quelques secondes, et je n'avais pu retenir cette remarque. La réaction de la belle kunoichi risquait d'être, pourquoi pas surprenante. Tssh. J'attendais, me resservant un verre.
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Sujet: Re: We must punish pretty criminals. [Pv Takara] Mar 28 Fév - 22:48
Assise sur le bord du jacuzzi, celle-ci détourna son regard vers ses pieds pour ensuite prendre la dernière grande gorgée de son sake. Celle-ci le vit se lever de son bain pour ensuite se prendre une serviette afin d’essuyer ses jambes. Il laissa le haut de corps humide, était-ce pour faire exprès ? S’il voulait attire l’attention de la jeune femme il avait réussit car celle-ci le suivait de regard l’observant se diriger vers sa collection. Se dernier mit quelques secondes pour en sortir une bouteille presque poussiéreuse. Elle était jolie et semblait avoir vieillit depuis un bon petit moment déjà. Il sortit deux petits chokos assortis à la bouteille. L’homme s’avança vers la jeune femme pour lui mettre entre les mains le petit verre de porcelaine avant de s’asseoir devant elle. Le Raikage s’adressa à elle pour lui dire qu’elle allait lui apprendre à boire son sake comme la tradition l’exigeait. Car selon lui, cet alcool ne pouvait être bu dans le genre dans un bol comme elle le faisait. Avec un sourire amusé aux lèves, celle-ci pencha la tête sur le coté pour le regarder faire. L’homme lui servit de son sake en la regardant dans les yeux avant de faire de même pour lui. Il amena son verre en l’air vers la jeune femme qui fit de même faisait se frôler les deux sooters de porcelaine avant de prendre cul-sec son alcool.
Le regardant étrangement, celle-ci amena le verre à ses lèvres puis fit de même que son Kage. Grimaçant légèrement en sentant la force de l’alcool couler dans sa gorge sans y gouter. Celle-ci expira puis leva les yeux vers l’homme qui lui savourait sa gorgée. Évidement, ils ne buvaient pas de la même façon, lui qui préférait la faire passé et elle qui aimait mieux y goûter. Le ninja remplit une seconde fois le choko de Takara et le sien pour une autre tournée. Alors ils trinquèrent et burent en même temps. Sachant maintenant à quoi s’attendre, la jeune femme ne grimaça pas cette fois et laissa le sake descendre dans son estomac brulant presque tout sur son passage. En secouant la tête. Celle-ci pouvait en ressentir les effets de cet alcool. C’était comme si sa tête bougeait mais que son cerveau mettait un temps avant de réagir et de la suivre. Elle commençait à être réchauffer. Peut-être qu’un léger danger s’annonçait, comment réagira t’elle envers lui si elle était saoule et si elle commençait à ne plus se rendre compte des conséquences de ses gestes. Ce qu’elle ferait ensuite dépendrait de la situation et de ce que faisait l’homme. À le voir ainsi agir par contre, elle tâcherait de ne pas abuser sur l’alcool pour ne pas risquer de faire des imbécilités.
L’homme la dévorait toujours autant des yeux et s’exclama pour lui dire qu’elle devait lui faire des excuses tôt ou tard. Il disait avoir envoyé des hommes pour s’excuser à sa place auprès des gens à qui elle avait causé des problèmes cependant, elle était la seule qui pouvait s’excuser auprès de lui. Pourquoi s’excuser alors qu’elle ne lui avait rien fait personnellement ? Va-t-elle s’excuser ou le faire attendre ? Le faire attendre oui. Ce dernier la quittait des yeux pour se lever et reculer vers ses haltères dans un coin du bureau de l’autre coté du jacuzzi. L’haltère qu’il soulevait était assez gros même que s’en était impressionnant, peut-être plus de cent vingt kilos et il le soulevait qu’avait son bras droit. La jeune femme l’observait attentivement prenant un peu plus son aise près du jacuzzi glissant le petit verre de porcelaine sur ses lèvres alors qu’elle arqua l’un de ses sourcils en continuant de le regarder admirant l’ampleur de ses muscles. Des muscles impensables, si gros que s’en était presque irréel même si pourtant ils étaient bien là. L’homme continua les tractions de son biceps pendant une cinquantaine de fois, ce dernier posa l’haltère au sol puis se déplaça vers son bureau pour aller mettre une petite musique d’ambiance assez coquine avant de revenir vers elle pour prendre la bouteille de sake et fit un troisième service.
Le Raikage fit un clin d’œil à la jeune femme avant de s’approche pour lui dire qu’elle était physiquement intelligente. Se permettait t’il vraiment un commentaire de mauvais goût dans ce genre là parce qu’il la faisait boire ? L’homme remplit son verre une autre fois et Takara se levait sur ses jambes pour s’approcher du ninja qui était en position d’autorité sur la juunin. Ce dernier attendait surement une réaction explosive de sa part. Oui, elle était énervée, mais celle-ci savait se contrôler, du moins, pour le moment. Tout dépendait si Ichibi s’en mêlait ou non. Cette dernière en se levant se sentit étourdie, l’alcool jouait bien son jeu, la jeune femme commençai déjà à être embrouillée. La ninja du membre Hazu posa son index sous le verre de l’homme et poussait vers le haut pour déstabiliser le vers ou pour que le Raikage ne se concentre plus que sur son verre. En repensant au commentaire qu’il avait peut-être essayé de passer en compliment, celle-ci baissa les yeux vers son verre puis les releva vers le visage du ninja. Dans ce même élan elle eut une monté d’adrénaline. Mais heureusement pour lui, sake avait un goût trop exquis pour le gaspiller. Alors elle fit cul-sec avant de lancer le verre par terre en regardant l’homme dans les yeux du Raikege puis s’adressa à lui :
- Maintenant, je te dois mes excuses.
Aussitôt qu’elle lui dit cela, la jeune femme prit le verre enter les mains de l’homme et le bue lui aussi rapidement que le sien. :a gorgée qu’elle bue semblait avoir fait en quelques secondes le tour du système nerveux de la jeune fille. Se sentant tendue même trop tendue, celle-ci sentait monter en elle une petite dose d’agressivité Cela lui arrivait régulièrement lorsqu’elle buvait. Et lorsqu’elle se sentait ainsi, c’était souvent lorsqu’elle commençait à être saoule. Était-ce le temps d’arrêter de boire ? À ce stade là, ce n’était plus à elle de décidé n’était plus la meilleure personne pour se dire d’arrêter. La kunoichi tourna les talons pour être dos à l’homme puis avançait vers le bureau pour y poser le verre. N’étant plus qu’en chaussettes, la jeune femme pouvait encore très bien marchée elle n’avait pas une démarcher affecte par l’alcool, enfin, pas pour le moment. Regardant sur le bureau de l’homme, celle-ci regardait tous les dossiers qui y avait, il manquait d’ordre et de rangement évidement. Il n’y avait probablement pas personne pour le faire à sa place. Il devait se débrouiller pour mettre de l’ordre car il n’avait probablement pas de secrétaire à sa disposition. Après tout, Takaran’avait jamais entendue parler d’un bras droit du Raikage. Peut-être en était-il à la recherche il ne suffisait que de le demander. C’est alors qu’elle tourna la tête vers lui ignorant toujours les excuses qu’il attendait :
- Vous avez de toute évidence besoin d’une femme pour mettre un peu d’ordre dans vos choses, vous n’avez pas de secrétaire pour cela ?
Même sa façon de parler était toujours normal, mais ce n’était qu’une question de temps avant qu’elle se mette à hausser le ton et déformer les mots qu’elle prononcera. La jeune femme se mit face à l’homme pour se coller contre le bureau en s’y stabilisant par les mains en ayant les bras tendus derrière elle. La poitrine mise en valeur, celle-ci avait la tête haute le dos courbée pour prendre une jolie position puis regardait l’homme dans les yeux sans rien dire de plus. Oui, l’alcool à ce stade là avait pour effet de rendre Takara un peu plus féline, étant maintenant un prédateur, une chasseuse à l’apparence de proie, elle pouvait paraître plus facile d’approche et plus facile à avoir, mais son agressivité l’empêchait d’être aussi « disponible ». C’était ce genre de détaille que les hommes oubliaient souvent et ils passaient souvent à côté faisant ce qu’il ne fallait pas faire, s’en approcher pour tenter de la conquérir. Takara passait ses nuits dans les bars normalement, elle avait donc l’habitude avec les hommes qui s’essayaient alors elle savait comment jouer avec eux. Attendant la réponse et la réaction du Raikage face à la situation, celle-ci continuer de le dévorer des yeux comme si elle le voulait.
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Sujet: Re: We must punish pretty criminals. [Pv Takara] Dim 4 Mar - 23:14
It’s time to celebrate baby
Assis en tailleur face à la belle kunoichi, je la regardais dans les yeux en attendant sa réaction. Ils étaient si jolis. Rouges, avec des pupilles noires, éclatantes, et contractées. J’avais entendu dire que nos pupilles régissaient face à nos émotions, à notre excitation, et cela, sans même pouvoir le contrôler. C’est uniquement pour cette raison que certains disent pouvoir lire dans les yeux des autres. Mais la plupart de ceux-ci ne savent même pas de quoi ils parlent. Alors que moi, j’étais maître dans l’exercice de cet art (et mes chevilles sont au top t’inquiètes). Comme je te l’ai dit, ses pupilles étaient contractées à l’instant. Ça ne mentait pas, elle n’avait pas apprécier ma si subtile remarque. Sûrement trop stéréotypée et propre à un douchbag. Quoique, au fond, elles recherchent souvent ça, inconsciemment certes. C’est vrai, on va pas se mentir. Takara se leva. Sans bouger ma tête, sans déplacer mon regard, c’est tout son corps qui glissa dans mon champ de vision, en commençant par son coup, et en terminant par ses cuisses. Je levais ensuite légèrement la tête pour la suivre dans ses mouvements, et j’esquissais alors un sourire en devinant son étourdissement. Plutôt amusant, je l’avoue. Elle tendit la main pour placer sous mon verre son index, puis poussa vers le haut. Sous cette pression, je n’eu d’autre choix que de baisser les yeux pour regarder mon verre chanceler et la rattraper au dernier moment à l’aide de ma main libre. Avant même d’avoir pu relever la tête, la jeune femme avait déjà porté son verre à ses lèvres. Elle abaissa le cou après avoir bu le saké et jeta sans plus attendre le verre vide au loin. Un bruit fin et cristallin résonna dans mon bureau, précédant à des excuses. Oui, des excuses.
Ne me laissant pas le temps de réagir, elle prit mon verre et le vida d’un trait. Je restais immobile et la regardait agir sans rien faire. Elle se tourna. Machinalement, je baissais la tête pour poser mon regard sur son fessier et l’observer marcher jusqu’à mon bureau sous ce merveilleux angle de vu. J’étais fasciné, oui, c’étais le mot exact. Toujours de dos, elle observait mon bureau. Cherchait-elle quelque chose ? Impossible, rien n’était à même de l’intéresser, que de la paperasse inutile et ennuyante que j’étais censé lire, trier et ranger soigneusement. Tss, une perte de temps plus qu’autre chose. C’est alors qu’elle tourna la tête pour me parler. Je levais alors mon regard jusqu’à sa tête pour l’écouter. Elle évoqua mon évident besoin d’avoir une femme à mes côtés, une secrétaire pour m’aider à m’organiser. Dans le mille ma jolie. En y repensant, était-ce une proposition ? Voulais-t-elle devenir ma secrétaire ? J’sais pas, tout était flou dans mon esprit. L’alcool, hein. Ce poste était un des plus importants à mes yeux, et ne devait pas correspondre à un simple travail de fonction banal, mais accéder à ce rang signifierait devenir mon bras droit. Mes pensées s’emmêlaient, je ne pouvais plus réfléchir et ne voulais plus réfléchir. Tout ce qui me semblait important, les limites, les règles, s’était envolé. Je me resservis un verre et le bus sans plus attendre. Dans cet état là, je devenais un homme (oui parce qu’avant j’étais un dieu ewai), mais un homme faible, qui ne peux plus résister à ses désirs. Dans tout l’univers, rien n’est plus important que le pouvoir. L’argent et la beauté n’ont d’intérêt que le pouvoir qu’ils nous procurent. Juste en dessous, il y a le sexe. Donc sexe plus pouvoir égal... l’éclate totale. J’vais déjà l’argent, la beauté, le pouvoir en somme, mais il ne me manquait plus que le sexe en ce moment même. Et la voir face à moi s’appuyer bras tendu derrière elle contre mon bureau, la poitrine en avant, n’arrangeait pas vraiment les choses. Cependant, même sous alcool, je restais un tant soit peu lucide lorsque je la regardais dans les yeux et lorsque je découvrais ses pupilles complètement dilatées. Et je ne mis pas longtemps avant de comprendre ce que cela voulait dire. Elle était satisfaite, tout du moins emplie de désire et elle aimait ce qu’elle voyait, mon corps. Un bon point pour moi.
[Aa] - Non, et c’est ce qui me manque, tu le vois bien... D’ailleurs, j’suis certain que tu serais parfaite dans ce rôle ma belle.
Lui dis-je avec une élocution parfaite avec tout cet alcool dilué dans mon sang, merci l’entraînement, tout en me levant. Attrapant la bouteille de saké à moitié vide au passage, pour la poser sur le rebord du bain à remous, je me dirigeais sereinement vers la fenêtre, et avançant mon buste à l’extérieur, je tendis le bras pour arracher une fleur qui poussait sur un arbre collé au mur. Je la jetais alors dans le vide, et, mon besoin d’air frais assouvis, je me retournais. J’allais chercher la bouteille de saké et le verre, le remplissant, et m’approchais d’elle en lui tendant les deux objets, le tout accompagné d’un clin d’oeil sensuel. Je continuais mon chemin, en passant derrière mon bureau, puis m’accroupissais pour chercher quelque chose dans mon armoire. Trouvé. Je ressortis alors un bikini rouge fin et léger, et retournais vers la jeune femme pour lui tendre en la regardant dans les yeux.
[Aa] - Tiens, c’est tout c’que j’ai à te proposer. Mets le et viens te baigner, ou, ne le mets pas, comme t’en a envies.. hum. Tu peux pas me le refuser cette fois, il fait chaud, et c’est tellement plus agréable de boire en se relaxant dans l’eau !
J’attrapais une autre bouteille de saké et un shooter en passant mon bras à côté de sa hanche gauche, en la frôlant «par mégarde», dira-t-on, puis je me retournais et partais en direction du jacuzzi. Je me trempais délicatement dans l’eau en l’attendant, et je me resservis un délicieux verre de saké que je vidait tout de suite. Mon esprit n’étais pas brouillé, ou emmêler à cause de l’alcool cette fois, car il ne pensait qu’à une chose, à elle.
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Sujet: Re: We must punish pretty criminals. [Pv Takara] Mer 14 Mar - 1:40
La poitrine bien mise en valeur, la tête légèrement penché sur le coté le regardant toujours de cet air séduisant. Takara attendait de la part du Raikage, une réponse, une réaction, une action. Quelque chose de sa part face à la situation pouvant l’aider à mieux juger cet homme. C’est alors qu’en restant là où il était, ce dernier ne fit que lui dédier un petit sourire avant de lui dire qu’une femme, c’était justement ce qu’il lui manquait et il se permit même de lui dire qu’elle remplirait parfaitement les normes de secrétaire. Était-ce un compliment via son physique ou pour son comportement ? Ceci restait toujours une très bonne question car face à cet homme rien n’était jamais trop sur dans ce genre de situation qui sait. Peut-être que maintenant il ne pensait pas qu’à son corps ou peut-être que l’alcool n’aidait pas dans ce cas. Mais peut importe dans quel cas il en évoquait ces mots, cela resta toujours des compliments à l’égard de la jeune femme. Glissant délicatement sa lèvre inférieur entre ses dents, la jeune femme admirait toujours l’homme qui en faisant bouger ses muscles très bien développer se leva d’où il était assit pour prendre ensuite la bouteille de sake à moitié vide qu’il déposa soigneusement sur le bord du bain à remous avant de se diriger vers la fenêtre. La membre du clan Hazu regardait Aa marcher vers la fenêtre profitant de la vue qu’elle avait sur son dos. Large et musclé, imposant et parfait. L’homme avança son torse dans le cadre de la fenêtre faisant bouger tout ses muscles la faisant presque saliver. La kunoichi baissa lentement ses yeux le long de son corps prenant soin d’admirer tous les détailles.
C’est après quelques instants que l’homme partit de la fenêtre pour retourner vers le bain pour prendre la bouteille entre ses mains puis un verre qu’il remplit en avançant vers elle pour lui tendre l’objet. La femme leva la tête vers les yeux du Raikage qui lui tendit. Takara se redressa lentement pour prendre le verre et la bouteille de sake. Se rapprochant de l’homme, celui-ci lui fit un petit clin d’œil avant de continuer son chemin vers derrière son bureau pour y chercher quelque chose. Ce dernier s’accroupit pour y trouver quelque chose. Ne l’observant pas plus longtemps, celle-ci prit en une grande et bonne gorgée le sake qu’il y avait dans le verre que l’homme lui avait donné puis secoua légèrement la bouteille devant elle pour entendre le son de l’alcool afin de savoir comment est-ce qu’il en restait… Peut-être un autre verre. Lorsque l’homme se redressa, celle-ci tourna la tête vers lui pour lui porter toute son attention remarquant les vêtements très légers qu’il tenait entre ses doigts. Celui-ci arriva ensuite devant elle pour lui montrer ce qu’il tenait. Un petit bikini rouge vif. La juunin glissa ses yeux du bikini jusqu’à ceux de l’homme qui la fixait sensuellement avant de lui dire que c’était tout ce qu’Il avait à lui proposer. Il lui ordonna presque de le mettre pour se baigner si ce n’était pas qu’il lui avait également invité de ne pas le mettre. Il continua en disant que cette fois, elle ne pouvait pas lui refuser à cause de la chaleur. Il lui rétorqua ensuite que c’était beaucoup plus agréable de boire en se détendant dans l’eau chaude.
Les yeux vers le Raikage, la ninja de Kumo hésita un bref moment avant de boire à la bouteille même la dernière gorgée du sake qu’elle posa sur la table avec le verre et prit le bikini entre ses mains le regardant ensuite aller chercher une autre bouteille de sake. Ce dernier très près d’elle lui frôla la hanche avant de se reculer avec en main une bouteille et un autre petit verre à cul-sec. Ce dernier repartit vers le jacuzzi avec l’alcool puis commençant lentement à entrer dans l’eau. Avant qu’il n’y soit complètement, cette dernière se permit un bref instant de jeter un petit regard vers le bas se mordant brièvement la lèvre inférieur celle-ci remonta le long de son corps pour regarder ailleurs alors qu’il s’installait confortablement dans le bain chaud. L’homme se servait un autre vers et semblait pensif. La kunoichi pendant ce temps, baissa les yeux vers le bikini rouge avant de regarder autour d’elle, aucun endroit où elle pouvait se mettre loin du regard de l’homme. Alors elle ne fit que se mettre dos à lui s’assurant que devant elle il n’y avait ni miroir, ni fenêtre qui pouvait la refléter. Elle prit même soin de regarder dans la fenêtre à sa gauche si elle ne pouvait pas être vue à travers de cette dernière. Takara plaça le bikini sur le bureau de l’homme. Celle-ci détacha ses trois ceintures qu’elle portait à la taille qu’elle mit sur le bureau aussi. La juunin déboutonna ensuite son pantalon de cuir noir qu’elle glissa le long de ses fesses glissant ensuite sur ses cuisses. Ressortant légèrement son fessier, la jeune femme donnait une jolie vue à l’homme avec sa culotte noir en dentelle de style brésilienne.
La kunoichi continua ensuite de faire glisser le pantalon qu’elle retira à ses chevilles en même temps que la chaussette. Cette dernière se redressa lentement pour ensuite pousser le pantalon avec un de ses pieds nus. Takara commença ensuite à détacher le bandeau qu’elle avait autour de sa poitrine le laissant ensuite glisser le long de son corps assez lentement lui donnant quelques frissons. La jeune femme prit donc le haut du bikini qu’elle plaça à son buste puis commença à l’attacher. Cependant lorsqu’elle eut terminé d’attacher les cordes à son cou et dans son dos, elle remarqua que les bonnets du maillot étaient trop petits. Tentant de les placer le mieux qu’elle le pouvait, ses seins n’étaient pas totalement cachés et même que la description était grande en ce qui concernait sa situation. Au moins, cela n’allait pas déplaire à l’homme qui l’attendait impatiemment dans le jacuzzi. La juunin glissa ensuite ses doigts sous la dentelle de sa culotte qu’elle glissa vers le bas pour la faire tomber le long de ses jambes puis la dégagea à l’aide de son pied droit. Elle prit ensuite entre les mains la culotte d’un rouge éclatant comme le haut du bikini et l’enfila gardant les jambes serrées pour ne pas laisser trop de liberté à l’homme mais restant toujours aussi sensuelle et séduisante. Après l’avoir totalement monter, elle fit fouetter le maillot contre sa peau au niveau de la taille. Heureusement qu’elle avait bue car… Il était rare qu’elle retire ses vêtements aussi facilement car sur tout son corps elle portait ces mêmes marques ayant pour définition d’horribles histoires et rumeurs sur son clan. De plus, elle ne trouvait pas que ces marques lui allaient très bien.
La jeune femme se tourna lentement vers l’homme avec la tête haute, elle leva les mains vers son étrange bandeau de métal qu’elle retira et posa sur le bureau près de ses ceintures laissant ses cheveux rouge lui tomber dans le visage devant son œil gauche. Takara glissa sa main dans sa chevelure et la ramena vers l’arrière avant de se diriger vers le bain à remous prenant en chemin son verre qu’elle amena avec elle avant d’entrer lentement dans le jacuzzi. Cette dernière s’assied dans l’eau s’adossant lentement contre l’une des parois du bain et releva les cheveux pour ne pas les mouillés. Cette dernière les attacha temporairement avec une broche rouge presque pas visible qu’elle avait dans ses cheveux et plaça son verre sur le bord du bu bain en regardant l’homme dans les yeux. Ne baissant pas les yeux vers sa poitrine qu’elle savait trop volumineuse, elle ne voulait pas que l’homme en profite d’avantage quoi que dans ces conditions cela ne lui posait pas de problème. En elle, celle-ci ressentait quelques frissons en regardant l’homme qui était près d’elle. Pourquoi ? Quelques effets de l’alcool dû à l’attirance physique ? Ou avait-elle seulement envie de quelque chose en particulier. La kunoichi s’approcha lentement de lui et se mit face en l’homme se glissant entre ses jambes posant son genou sur ce qui servait de banc dans le bain très près de parties de l’homme avec qui elle avait fait connaissance la première fois qu’elle l’avait vue. Takara tendit ses bras de chaque coté de la tête de l’homme s’appuyant sur le jacuzzi le regardant fixement dans les yeux en battant longuement de ses longs cils :
- Et toi, est-ce que tu apprécies ce que tu vois ?
En lui disant cela, la juunin ne prit même pas le temps d’attendre une réponse de sa part, une réponse qu’elle connaissait déjà suite à tous les commentaires et les compliments qu’il lui faisait puis s’approcha lentement de son visage avec le sien. La jeune femme commençait à fermer les yeux en frôlant doucement les lèvres de l’homme avec les siennes faisant doucement durer le moment faisant passé l’aire fraiche entre ses lèvres pour respirer afin de calmer les frissons qui la tenait dans le bas de son ventre puis commença à déposer très lentement ses lèvres sur les siennes en revenant au même rythme quelques fois pour seulement l’agacer, le faire patienter, le rendre impatient. C’est alors que sans l’embrasser, Takara se recula en ouvrant les yeux pour le regarder avec un petit sourire en coin. Allait-il résister ?
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Sujet: Re: We must punish pretty criminals. [Pv Takara] Dim 8 Avr - 16:10
That way
Je m'installais lentement dans le bain à remous, frissonnant au contact de l'eau. Une sensation de fraîcheur envahit rapidement mon corps. J'esquissais brièvement un petit sourire lorsque je la découvrit, se mordant la lèvre inférieure, en train de me regarder. Une satisfaction personnelle dira-t-on. La jeune femme, en face de moi, regarda rapidement la salle, cherchant à priori un endroit où se changer. Bien sûr, elle n'en trouva aucun, elle décida donc de se mettre dos à mon regard. Je ne me lassais définitivement pas d'admirer son corps. Après tout, c'est un vice que l'on enlèvera jamais à l'Homme, de regarder, encore et encore, ce qui à ses yeux est magnifique. Elle commença bientôt à se déshabiller, retirant en premier lieu ses trois ceintures pour ensuite faire glisser son bas moulant le long de ses fesses. Je bus un nouveau verre d'alcool et j'étendis mes bras sur les rebords du jacuzzi, profitant sans modération de la vue qu'elle m'offrait. Une lingerie fine, noire, et sensuelle, des courbes à en faire rêver plus d'un, que demander de plus ? Elle continua à faire glisser le cuir jusqu'au bas de ses longues et fines jambes, le poussant sur un côté par la suite. Puis, elle défit les bandages blancs qui cachaient sa poitrine, les laissant alors tomber au sol. Je pouvais découvrir sur l'ensemble de son corps des marques noires, des fins traits noirs plus exactement, qui parsemaient sa peau. Des tatouages peut-être ? Il m'était déjà arrivé de côtoyer des femmes tatouées, mais jamais de cette façon. Les marques étaient fines, et formaient des courbes. Certains détestent les tatouages, ce n'est pas mon cas, et ceux-ci lui allaient assez bien. Ils n'entachaient en aucun cas la perfection de sa silhouette. La kunoichi prit le haut du bikini et le mit, toujours dos à mon regard. Une fois cela fait, elle ôta délicatement sa culotte, la faisant glisser puis tomber le long de ses jambes. Elle prit le bas rouge du bikini, puis se pencha légèrement en avant pour pourvoir l'enfiler avec douceur. Elle était si sensuelle et m'offrait une vue idéale. Doux jésus, je pensais à beaucoup de choses, sauf à ton environnement religieux, je pêchais avant l'heure.
Takara se retourna lentement, me laissant cette fois-ci admirer l'avant de son corps. Un élément me sauta aux yeux, le haut du bikini était visiblement trop petit, ce qui faisait encore plus ressortir sa poitrine. J'étais loin de m'en plaindre, ouais, j'sais que les mâles me comprennent. Elle détacha son bandeau frontal si particulier et le déposa sur mon bureau, laissant sa chevelure rouge libre. Une mèche vint se placer devant son oeil. Elle la replaça à l'arrière puis attrapa son verre avant de venir jusqu'au bain à remous. En y repensant, il y a peu, elle avait refusé de venir dans cette même eau, et maintenant, elle venait de se déshabiller sous mes yeux et marchait en ma direction en faisant serpenter sensuellement ses hanches. L'alcool n'y était pas pour rien, il y avait de forte chance même qu'il ait joué un grand rôle, allégeant son esprit et la libérant de certaines retenues habituelles. La jeune femme entra lentement dans l'eau, face à moi. Je la suivais du regard jusqu'à ce qu'elle s'adosse contre la paroi du bain à remous. Après cela, elle s'attacha les cheveux, pour ne pas les mouiller sûrement, et déposa son verre sur le rebord. Je la regardais, dans les yeux, elle de même. J'avais envi de baisser la tête, un réflexe. Je m'accordais ceci lorsqu'elle commença à se rapprocher de moi, pour se placer entre mes jambes, son genou frôlant mon entre jambe qu'elle avait si longuement empoigné lors de notre première rencontre. Elle me demanda si j'appréciais ce que je voyais, un clin d'oeil à ma première question à coup sûr, qui s'accordait parfaitement au moment présent. Un léger sourire en coin se dessina sur mon visage, et je m'humectais sensuellement les lèvres à l'aide de ma langue en la regardant dans les yeux. Évidemment, j'aimais ce que je voyais, tout autant qu'elle aimait ce qu'elle voyait. Une attirance indéniable existait entre elle et moi.
Sans attendre une réponse, sans prévenir, la jeune femme aux cheveux rouges approcha lentement son visage du mien. Je la vis fermer les yeux avant de s'approcher encore plus. Le jeu avait assez duré, alors ? J'avais mis le temps pour en arriver là, mais finalement, elle allait craquer. Une belle victoire pour mon égo, et pour mon désir. Fermant les yeux à mon tour, je sentis ses lèvres frôler les miennes, lentement et sensuellement. Elle les déposa ensuite complètement, et, lorsque j'étais prêt à lui rendre ce baiser, recommença à me frôler pour me titiller. Soudain, la belle jeune femme se recula, souriante, me regardant. Sans dire un mot, j'étendis les bras face à moi pour placer mes mains sur ses hanches et la ramener contre moi. Puis, sans attendre, je l'embrassais langoureusement, caressant le peau de son dos en même temps. Ce baiser fut long et intense, traduisant l'attirance qui régnait entre nos deux corps, et marquant le véritable début d'une soirée qui risquerait fort de me satisfaire, elle de même. Attrapant la bouteille de Saké qui était posée sur le rebord du Jacuzzi, je bus au goulot plusieurs gorgées de ce divin alcool avant de lui tendre la bouteille d'une main, balladant la seconde sur son dos et descendant progressivement jusqu'à ses fesses. Je m'arrêtais sur ces dernières, elles qui étaient parfaites. L'alcool ingéré depuis le début de la journée commençait réellement à me monter à la tête, et avait brisé toutes mes limites, mes retenues. Surtout depuis qu'elle était venue d'elle même m'embrasser, la suite semblait claire pour moi. Et je ne m'attendais pas à un refus de sa part, il fallait avouer qu'elle devait sûrement être sous l'emprise de l'alcool, elle aussi. Et elle n'avait donc plus à cacher ce qu'elle ressentait pour moi. Ses yeux en témoignaient. Je plongeais mon regard dans le sien et lui souriais d'un air provocateur et aguicheur, en attendant impatiemment la suite.
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Sujet: Re: We must punish pretty criminals. [Pv Takara] Jeu 19 Avr - 10:18
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Sujet: Re: We must punish pretty criminals. [Pv Takara] Dim 6 Mai - 3:44
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