Les règles du combat:

À
vous de combattre de votre mieux, ici sera évaluer votre combat contre
votre adversaire, des critères seront prit en compte afin de savoir qui
passera et qui sera choisit Chuunin. Perdre ne donne pas un non passage,
gagner ne vous oblige pas le passage également, seul les admins
choisiront. Les nouveaux chuunins seront annoncés à la fin du combat.

Pour
les esquives, nous voulons des choses logiques, préparées à l'avance.
Les abus seront sanctionnés, par une perte de 50pv pour petit abus, 100
pv pour les
gros.

Les abandons sont acceptés, vos perso risquent de mourir à tout moment si les pv tombent à zéro. Si le chakra passe à zéro, votre perso s'évanouira et son sort sera dans les mains de votre adversaire. Vous êtes avertit.

Les décisions prisent par les admins sont à respecter ! Même si elles vous semble injuste, l'admin aura le dernier mot.

Pour toutes info complementaire, veuillez contacter un admin par box ou mp

Je m’éveillai ce matin là avec la certitude que cette journée serait grandiose. Une journée comme on ne le vit qu’une seule et unique fois dans notre vie. Avant même que le soleil n’eut ouvert les yeux, j’étais prête pour mon examen. Je faisais les cents pas dans ma chambre, tournant autour de mon horloge comme un vautour. J’attendais impatiemment. Je me rongeais les ongles fiévreusement et mes yeux d’ambre jetaient des regards furieux vers la fenêtre. Mais, encore et toujours, le soleil ne se montrait pas. Au bout de longues heures d’attentes, on frappa à ma porte. À ma grande surprise, il s’agissait de mon père. Je m’inclinai respectueusement devant lui alors qu’il entrait dans ma chambre. Son regard de braise balaya l’endroit du regard et il me sourit, il était satisfait.

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Juste avant le début du combat, ma famille se tenait devant moi. D’abord, ma mère qui, grâce au regard solennel de mon père, se retenait d’apporter mille et unes corrections à ma tenue. Puis, mon frère qui, la mine basse, savait que notre père allait encore une fois me préférer puisque moi j’étais inscrite à l’examen et pas lui alors que j’avais un an de moins. Mon père me regardait dans les yeux et je pouvais voir dans son regard une immense fierté. Je n’avais même pas à le lui demander, je savais qu’il m’imaginait déjà ANBU au service de Konoha, ce qui selon l’avis général ne saurait tarder. On me donna le signal et je m’inclinai une dernière fois devant mon père et maître avant de me diriger vers l’arène.

Je me tenais sur le bord de la porte et j’entendais les acclamations de l’autre côté. Une foule immense avait du se rassembler pour venir nous voir, futurs ninjas accomplis, mener une lutte sans merci. Je vérifiai une dernière fois mon équipement ninja dans ma sacoche latérale et je poussai la porte. La lumière m’aveugla et je restai immobile quelque secondes avant de me souvenir que mon père avait son regard braqué sur moi. Je levai donc la tête, bombai le torse et je m’avançai dans l’arène où l’on acclama mon entrée. Je balayai l’endroit d’un regard, à la recherche de mes parents, mais il y avait tellement de monde. Dans mon abdomen, une bouffée de fierté fit naître une confiance nouvelle. J’adorais la sensation d’importance que l’on me conférait en cet instant unique.

Je remarquai alors mon futur adversaire qui me semblait être un ninja de Konoha également. J’aurais pu l’attaquer tout de suite afin de le déstabiliser et de prendre l’avantage, mais mon père m’avait rappelé de laisser des chances à mon adversaire pour qu’il puisse avoir l’occasion d’apprendre, puisque c’était le but de l’examen Chuunin. Pour une fois, je n’étais pas d’accord avec ce qu’il me disait, mais je savais bien que s’il m’avait directement dit de ne pas faire de coups déloyaux car il y avait un arbitre, ça aurait moins bien sonné pour les gens qui nous écoutaient parler. Quoi qu’il en soit, je m’inclinai comme on le fait avant un match de karaté avant de lui parler.

« Je suis Haiko Uchiha de Konoha. Je serai ton adversaire. Bonne chance à toi et puisse la volonté du feu guider tes pas, compagnon de Konoha. »

Je le fixai ensuite, attendant sa réponse et prête à anticiper ses mouvements. Je repérai un bout de bois dans le décor qui me permettrait d’esquiver grâce à une substitution, juste au cas où j’en aurais besoin. Je devais gagner ce combat, mon honneur et celle de ma famille en dépendaient.