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Hackel se réveille enfin en tant que ninja !
Apres de long moment d’attente, de sueur, de douleur, il était enfin récompensé.
Pour accompagner sa, tant attendue, victoire, il eut droit un soleil matinal, un ciel dégagé, et les félicitations de son père. Celui-ci l’accueilli chaleureusement, et lui dit alors :

-Tu es enfin un ninja, je suis fier de toi, je sais que ce fut un parcours difficile en grande partit par ma faute…
Hackel lui coupa la parole :

-Ne t’inquiète pas, ce n’est pas ta faute, tu essayer de me rendre plus fort et je t’en suis reconnaissant, et les épreuves que j’ai subi, n’auront peut-être pas renforcé mon corps, mais mon esprit c’est certain.

Son père sourit et poursuivit :

-Donc, maintenant que tu es ninja tu peux partir en mission, tu devrais aller voir le Mizukage afin d’en discuter avec lui.

Hackel ne se fit pas prier, il se prépara, ajusta son bandeau de ninja et pris la route du bureau du Mizukage. Sur la route il se sentait bien différents des autres jours, il était ninja a présent ! Certain passants qui le reconnaissaient, lui souhaitèrent bon courage accompagne de félicitations pour certains, ce qui remplis d’émotion le tout nouveau ninja.
Au bout de quelques minutes il arriva enfin devant le bureau du Mizukage, s’apprêta à monter les escaliers quand un garde lui dit :

-Minute ! Ou crois-tu aller comme ça ? Le Mizukage a demandé à ne pas être dérangé !

Hackel répondit alors :

Désolé, je ne veux pas déranger, je suis venu chercher une mission.

Le garde lui indiqua alors le tableau des missions en expliquant :

- Les missions de rang D, C, B et A sont là, seuls les juunin sont habilite à faire les missions de rangs supérieur se qui sont donner par le Mizukage en personne.

Hackel remercia le garde et se dirigea à toute vitesse vers le tableau des missions de rangs D. Il choisit une mission qui consister à nettoyer le centre-ville, du a une fête organiser la veille.
Le centre-ville se trouvait a quelque rue d’ici, il s’équipa donc d’un balai et se dirigea vers le lieu-dit, une fois arriver il n’en croyait pas ses yeux, une mission qu’il pensait boucler en deux heures aller lui prendre très certainement la journée entière. Il y avait des morceaux de verre partout, accompagner de bout de papiers, c’était affreux.
Maintenant qu’il avait choisi sa mission, hors de question de faire marche arrière. Il commença donc à balayer, balayer encore et encore c’est alors qu’un passant lui prêtât une brouette en lui disant :

-Bonjour, je te prête sa, tu vas en avoir besoin, ramène la moi à mon commerce quand u aura fini d’accord ? je te suggère de faire des aller-retour a la déchèterie.

-Merci beaucoup, mais où se trouve votre commerce ? répondit Hackel

-Juste derrière toi mon grand, bon courage.

Le commerçant retourna a ses affaire et Hackel au sienne, après une dizaine d’aller-retour et deux heure de travail, il avait l’impression de ne pas avancer, à ce moment il vit un passant faire tomber une pièce, qui roula, roula, jusqu’à tomber dans la bouche d’égout. C’est alors qu’il eut une idée.

Il se mit au bout de la rue, exécuta des signes et…

-Mizurappa !

Un grande vague d’eau balaya la rue, ce fut d’une très grande efficacité, mais il ne pensa pas à la colère des gens dans la rue, qui furent tous trempés de la tête aux pieds, tous se mirent à crier, ne sachant pas de qui sa venait Hackel s’empressa de ramener la brouette devant la porte du magasin pour ensuite s’éclipser. Mais… ce ne fut pas si facile que ça, en effet un chuunin le vit et se mis a sa poursuite, se rapprochant très vite, Hackel continua à courir, quand celui-ci le rattrapa et …

-Attends, je ne veux pas te faire de mal, tu ne m’as pas mouillé. Dit-il avec un grand sourire, il poursuivit :

-Intéressante façon de nettoyer les rues, tu m’as bien faire rire, continu comme ça.

Et sans aucune explication, le chuunin disparut dans un écran de fume. Hackel ne comprit pas totalement ce qui venait de se passer, il rentra donc chez lui, en arrivant il vit une lettre sur la table, elle lui venait de son père lui expliquant qu’il dut partir pour une mission, et qu’il serait de retour dans quelque jours.