Douce agonie aux cascades [PV. Hana]

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Le monde lui-même n'était qu'un endroit remplis de tous les plaisirs les plus magnifique du monde. Omei le comprenait bien. Il n'était pas tard, mais pas tôt non plus. Le soleil était couché depuis quelques minutes, et la lune brillait à son maximum. Une torche suspendu entre quelques roches tenait droite et éclairait un peu ce que l'homme faisait. Il était simplement en train de prendre son bain nocturne. Nue dans l'eau des cascades, il relaxait de sa journée. Il avait passé la majeur partie de celle-ci à apprendre sur la faune et la flore des alentours pour savoir s'il pouvait passé sa nuit ici sans être dérangé. À quelques mètres des cascades, une grande maison est érigée. Omei l'avait construite de son affinité première pour y passer la nuit, et probablement en faire sa maison permanente. Au moins, elle n'avait pas été faites en coupant des arbres, ce qui l'intéressait grandement.

La douce mélodie qui jouait dans sa tête lui empêchait de penser à quoi que ce soit. Comme seule chose qu'il portait, son cache-oeil restait sur place et cachait son oeil différent. Il ne l’enlèverait plus jamais depuis l'incident. Mais ça, c'était une autre histoire. Il craqua son cou et son dos et laissa partir un soupire de plaisir et de détente. Enfin, il se sentait bien dans sa peau, et ça l'avait littéralement rendu un peu plus heureux.

Il claqua des doigts, et une petite branche poussa derrière lui, faisant pousser une pomme qu'il prit pour croquer à l'intérieur de celle-ci. Elle était tendre, parfaite. Il n'entendit aucun pas près de lui, même si quelque chose approchait. Il s'en rendit compte, mais n'éveilla aucun soupçon. Ça ne devait pas être méchant, ou sinon sa serait plus discret. Peut-être un petit animal cherchant de la nourriture, ou à s'informer sur la raison pour laquelle une maison est planté là. Ou un humain, qui sait. On le verrait bien assez tôt.

Il prit une autre bouché de sa pomme et mâcha un peu avant de lâché un dernier soupire de plaisir et de fermer ses yeux, attendant tranquillement que la chose s'approche...Tranquillement son esprit deviendrait plus clair, le temps de relaxer un peu.

25 + 10 = 35 lignes dispo.

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Elle-même ne savait pas ce qu'elle faisait ici. Il était déjà tard, Hana devrait déjà être rentrée au village, mais elle aimait tant s'entraîner la nuit. C'était plus calme et il faisait moins chaud. La jeune ninja marchait et ses yeux rouges brillaient dans l'obscurité. À droite d'elle se trouvait une rivière, qui coulait doucement, reflétant merveilleusement la lune et tout son éclat, cette rivière donnait au-lieu un aspect assez féerique, voir romantique. À gauche, se trouvait une forêt sombre et lugubre, un peu inquiétante. La lune était pleine ce soir-là et sa lumière ne faisait qu'accentuée le côté glauque du lieu. Les formes au sol firent accéléré la jeune fille, jusqu'à courir pour atteindre son lieu d'entrainement. Soudain, bizarrement, une maison apparu au loin. Hana était pourtant sûr qu'elle n'était pas là la veille. Elle fronça légèrement ses sourcils et avançait lentement, avec une prudence qui n'était surement pas de trop. Elle lança un caillou ramassé au sol, histoire de vérifier qu'il n'y ait pas de piège. Effectivement, il n'y avait rien, elle alla donc jusqu'à la bâtisse de bois.

Elle regardait par les fenêtres, mais aucune forme n'était visible dans l'obscurité des pièces. Elle toquait une fois, deux fois. Toujours pas de réponse. Hana essayait ensuite d'ouvrir la porte, pensant alors qu'elle était fermée, comme toutes les maisons vide. Apparemment, celui qui habitait ici avait oublié de le faire. La porte s'ouvrit sans difficulté et la jeune fille pénétra alors dans la maison. Elle avançait doucement, appelant un éventuel habitant, mais encore une fois, pas de réponse. Elle soupirait fortement et sortait de la maison, résolu à retrouver la personne qui habitait cette demeure, qui était soit dit en passant, vraiment magnifique. Elle sortait, refermait la porte et ce mit à courir aussi rapidement que possible. En tant que ninja, Hana se devait de veiller sur les personnes en danger et celle-ci l'était peut-être. Elle sautait d'arbre en arbre, faisant le moins de bruit possible, au cas où des ninjas ennemis étaient dans le coin. Elle ne courait pas très longtemps, mais assez pour sortir de la forêt et voir devant elle une cascade qui tombait et la rivière qu'elle remontait avant. Malheureusement pour elle, Hana n'avait pas vraiment eu le temps de s'arrêter et sautait droit dans la rivière, sans pouvoir y échapper. Elle remontait sans effort, à l'endroit où elle se trouvait, le courant n'était pas vraiment fort. Elle sortie sa tête de l'eau, envoyant ses cheveux bruns en arrière grâce au mouvement et repris son souffle.

Hana marchait comme elle le pût vers le bord de la rivière, mais in bruit l'interloquait. Elle tournait doucement sa tête et remarquait un homme non loin. Il mangeait une pomme, un air songeur sur le visage, même si elle ne pouvait pas vraiment en être certaine. En effet, l'homme portait sur l'un de ses yeux un bandeau, comme s'il voulait cacher quelque chose. Elle regardait encore, insistant presque, car la couleur du seul oeil qu'elle pouvait voir l'interloquait. Il était gris, d'un gris métal, froid, mais beau. L'homme semblait assez mystérieux, presque trop froid au goût d'Hana. Elle secoua sa tête, enlevant les mèches sur son visage et s'approchait doucement. La jeune fille s'arrêtait doucement en remarquant un petit détail qu'elle n'avait pas vue de loin, l'homme était nu. Elle se retournait rapidement en raclant doucement sa gorge. Ce n'était pas le premier homme qu'elle voyait dans son plus simple appareil, mais elle ne voulait tout simplement pas le gêner. D'une voix assez tremblante Hana pris la parole.

-Excusez-moi de vous déranger mais... Est-ce que vous habitez la maison en bois au sud d'ici?

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« Excusez-moi de vous déranger mais... Est-ce que vous habitez la maison en bois au sud d'ici? »

La voix résonna dans sa tête comme un marteau heurtant une barre de métal. Un humain. Un foutu humain. Il fit un petit grognement pour montrer qu'il n'était pas trop content d'avoir rencontrer une humaine ici dans la forêt. Il claqua des doigts, et sous la dame, un arbre se mit rapidement à poussé, agrippant ses membres et l'immobilisant. Il sortit de l'endroit ou il était, ressemblant presque à une source réchauffer, se demandant pourquoi. Sous la source, une petite partie de magma qu'Omei avait soigneusement placé à l'aide de son Kekkai Genkai chauffait l'endroit un peu. Ce n'était pas trop grand, assez pour mettre quatre personnes. Il avança nue vers la jeune dame et prit son menton de ses doigts pour s'approcher le visage à quelques que centimètre de celui de la jeune dame, la fixant dans les yeux de son seul oeil

« Une humaine ici? Étrange. »

Il s'éloigna vers ce qui était littéralement devenue un spa après son passage et se réinstalla, claquant des doigts. Les bouts de bois qui immobilisaient la jeune dame la propulsèrent dans les airs jusqu'à l'endroit ou Omei lui-même était.

« Ou sont mes manières...J'avais oublié de vous demander votre avis avant de vous invité dans mon bain nocturne... Désolé. »

Regardant ses vêtements tremper il eût un petit rire assez sadique, mais intéressant, un sourire en coin. Il se rapprocha d'elle et passa son bras par dessus son épaule en regardant le ciel, et se mit à pointer la lune, tentant de la faire regarder plus haut.

« Sur la planète, personne n'habite nulle part. Nous ne sommes que des créatures parcourant un monde parfait, et personne n'a le droit d'appeler quelconque partie de cette planète la sienne. J'ai construit la maison, je vis à l'intérieur, mais je n'y habite pas exactement. Ce monde est merveilleux, tu ne trouve pas? J'aime en profité tant que je le peux. Mais les humains le détruisent. Les humains comme toi. »

C'était rapide, directe, mais il en avait oublié ses manières. En faites, il s'en foutait. Il la relâcha un peu et s'éloigna pour se mettre directement en face d'elle. Il la fixa dans les yeux, et attendit un peu. Beaucoup trop de mots de sa part, sans laissé grand temps de réflexion... Mais bon, espérons qu'elle arriverait à répondre à tout ça. S'il y avait des choses à répondre. Omei détestait les humains. Il avait été élevé ainsi, à vouloir devenir un animal, comme le reste de son clan. Mais peu de gens comprenaient à quel point c'était stupide, de vouloir être un humain, ou même de faire preuve d'humanisme, parce que sauver un humain, c'est continué de détruire la flore, la faune, et la planète sur laquelle nous vivons...

Pour comprendre la vie il faut oublié tout ce qu'on sait, la politesse, la gentillesse, ses manières. Pour sourire il faut quitter toutes les émotions qui nous rattachent au monde. Il faut oublié tout ce qu'on sait pour être heureux. Malheureusement, Omei n'a jamais réussis à faire ça..

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Citation :: « Sur la planète, personne n'habite nulle part. Nous ne sommes que des créatures parcourant un monde parfait, et personne n'a le droit d'appeler quelconque partie de cette planète la sienne. J'ai construit la maison, je vis à l'intérieur, mais je n'y habite pas exactement. Ce monde est merveilleux, tu ne trouve pas? J'aime en profité tant que je le peux. Mais les humains le détruisent. Les humains comme toi. »

Des humains comme elle?! Comment osait-il dire ça! Lui aussi était humain après tout, ou plutôt s'il ne l'était pas, il en avait l'apparence. Et pas qu'un peu. Hana pût le constater quand il fût assis devant elle, complètement nu, dans l'eau légèrement bouillonnante. Elle baissait quelques millièmes de secondes son regard vers le bas du corps de l'homme, pour vérifier, et le redressait rapidement, aussi rouge qu'une tomate. D'ailleurs, Hana ne savait pas vraiment si la couleur de ses joues étaient due au fait qu'elle soit gênée, voir très gênée, ou plutôt à la chaleur presque insupportable de l'eau. Son souffle en était saccadé, sa vision ce troublait un peu et des gouttes de sueur ce mélangeaient aux gouttes d'eau sur son visage. Elle voulut sortir de l'eau, retourner dans la fraîcheur de la nuit, mais son corps ne voulut pas bouger, comme s'il souhaitait rester dans cette eau qui était en train de lui faire perdre connaissance. Une question lui restait sans arrêt dans la tête, elle raisonnait comme une alarme le matin d'une nuit de folie. Comment lui, qui était dedans depuis plus longtemps qu'elle, pouvait supporter la température de ce bassin. Elle se serait crue en enfer, baignant dans le bain d'Hadès lui-même. La chaleur était telle, que même pour une utilisatrice du Katon, Genin, mais utilisatrice quand même, avait du mal à le supporter. Elle se concentrait, fermant ses yeux rouges, respirant doucement, ne s'affolant pas pour pouvoir à nouveau reprendre son souffle comme il le fallait. Elle se levait, ses jambes tremblaient, mais elle réussit quand même à sortir du bassin.

Une fois dehors, elle prenait une grande inspiration, comme si elle voulait éteindre le feu qui la consumait. Elle prenait quelques minutes pour se remettre complètement de cette chaleur. Les parties de son corps qui étaient en contactent avec l'eau étaient toutes rouges, presque brûler par l'atroce chaleur. Elle courait derrière un arbre, faisant bien attention que l'homme ou la chose ne puisse pas la voir et enlevait ses vêtements mouillés et chaud. Allait elle tombée malade? Surement, mais elle ne supporterait plus cette température. Elle Les essora, fit tout ce qui était en son pouvoir pour les sécher, mais elle ne pouvait pas utiliser son Katon. La jeune fille ne le maîtrisait pas encore assez bien, tout ce qu'elle risquait de faire, c'était de brûler les seuls vêtement qu'elle avait avec elle et de devoir rentrer complètement nue. Elle finissait donc par s'asseoir contre l'arbre, toujours caché du regard de la chose, elle avait suspendu ses vêtements, ramenant ses jambes contre elle pour ne pas qu'on puisse voir sa poitrine ou sa partie intime. Elle contemplait la pleine lune, fasciné par sa beauté. Il était plutôt rare de voir cela en ville et Hana le savait. Elle rappelait ensuite des paroles de l'homme et les répétait presque inconsciemment, chuchotant chaque mot, chaque syllabe exactement comme lui. Oui, ce monde était vraiment magnifique, parfait, sans défaut. Chaque chose y avait sa place. Dans le fond, l'homme n'avait pas vraiment tord, les guerres des hommes la détruisait, mais la jeune ninja n'y pouvait pas grand-chose.

-Tu me semble assez puissant, alors pourquoi n'essaie tu pas de protéger cette planète? Si tu l'as chéri tant, pourquoi reste tu as te prélassé comme un imbécile dans ton eau bouillante? Tu peux te créer une maison, pourquoi ne peut tu pas recrée des forêts détruite?

Elle avait dit ça sans vraiment s'en rendre compte. Mademoiselle était bien trop occupée à essayer de comprendre cet homme. Pourquoi ne se considérait-il pas comme un humain? S'il ce croyait meilleur qu'eux, Hana se ferait un plaisir de lui dire la vérité en face. Personne n'était meilleure que l'autre, les hommes étaient tous des bêtes, assoiffées de pouvoir et de sang, un peu comme un vampire. Comparaison assez enfantine, mais Hana était une enfant après tout. Le fil de ses pensées fût quelque peu perturbé quand elle entendit l'eau en mouvement. Était-il sortit? La jeune fille ne pouvait pas le savoir, elle était bien trop occupée à ce cacher pour ne pas qu'il voit son corps de pré-pubère qui n'était même pas formée comme celui d'une femme.

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« Tu me semble assez puissant, alors pourquoi n'essaie tu pas de protéger cette planète? Si tu l'as chéri tant, pourquoi reste tu as te prélassé comme un imbécile dans ton eau bouillante? Tu peux te créer une maison, pourquoi ne peut tu pas recrée des forêts détruite?

« Pourquoi est-ce que moi je donnerais ma vie pour des imbéciles? Je tuerai jusqu'au dernier chaque humains de ce monde. Je ne les endure pas. »

Omei se leva tranquillement et sortis de son bain, arrachant le bandeau couvant son oeil, pour découvrir un autre oeil gris, le même que l'autre. Pourquoi le cachait-il? Parce que sans cet oeil, il perdait la notion du 3D, permettant à ses adversaires d'avoir une plus grande chance de le vaincre. Sans la vision de profondeur, tout est différent. Mais il en avait assez de laisser des chances à une race impure. Il avançait vers la jeune dame qui semblait troublé, nues comme un ver et mit ses doigts sous son menton pour la faire fixer ses yeux.

« On a tous un choix à faire dans la vie. Lorsque l'heure seras venue et que je viendrai te tué, te battras-tu pour survivre, ou te laisseras tu mourir dans mes bras? »

Omei s'éloigna tranquillement vers sa maison, faisant signe à la fille de le suivre. Il se foutait un peu qu'elle porte des vêtements ou non. Un sourire assez fou sur son visage, il commençait à perdre les pédales. Céderait-elle à la panique et s'enfuirait-elle? Ce serais amusant à voir. Le choix d'une vie. Elle risquait tout avec un seul choix, mais elle avait beaucoup à gagner. Quel serais son choix...

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« On a tous un choix à faire dans la vie. Lorsque l'heure seras venue et que je viendrai te tué, te battras-tu pour survivre, ou te laisseras tu mourir dans mes bras? »

La jeune fille était assez troublée et incertaine. Elle ne savait pas quoi choisir. Mourir dans ses bras? Quelle drôle de mort. Se croyait-il vraiment plus fort que tout le monde? Pourquoi voulait-il tués tout le monde à la fin? La curiosité de la jeune ninja était bien trop grande. Hana se levait donc et ce rhabillait, certes ses vêtements n'étaient pas encore secs, mais ils étaient frais. Ce qui pouvait être supportable. Elle regardait l'homme s'engouffré dans la maison, comme une ombre il avait disparue dans l'obscurité. Elle se mordait sa lèvre inférieure, puis avançait elle-même vers cette étrange demeure, elle lui faisait un peu pensée à la demeure de Satan. Pourquoi? Il n'y avait ni lumière, ni signe de vie à l'intérieur. Hana avançait d'un pas incertain. Son souffle était irrégulier, les battements de son coeur aurait pût lui arracher la poitrine. Un mélange de peur, d'angoisse et d'excitation ce faisait en elle.

Hana arrivait enfin devant la porte ouverte. Elle avalait sa salive et entrait sans même se retourner. Une fois à l'intérieur, elle ferma ses yeux, comme si elle attendait un coup ou une attaque. Son corps tremblait légèrement, elle avait peur, pas peur de mourir, enfin un peu, mais elle avait surtout peur, car elle ne savait pas qu'est ce qui l'attendait dans l'obscurité. La porte ce fermait d'un coup, dans un énorme bruit, faisant sursauter la ninja qui se colla rapidement à un mur, prête à ce défendre. Elle n'avait pas suivi l'homme pour mourir, loin de là, c'était bien la curiosité qui l'y avait poussé et seulement ça. Elle avalait à nouveau le peu de salive qu'elle avait dans la bouche et avançait, sur ses gardes. Elle montait un escalier. Les marches grinçaient. Cette baraque était vraiment étrange et lugubre. Une fois en haut, elle ne remarquait qu'une seule et unique porte. Avançant doucement sa main tremblante vers la poignée, Hana fermait à nouveau ses yeux, de toute façon ils ne lui serviraient pas vraiment. D'un coup, sans prévenir, elle ouvrit rapidement et avec force la porte, la faisant claquée sur le mur.

-Assez jouer! Où êtes-vous?!

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Le sous-sol de la maison était dans un état lamentable, c'était là ou Omei était. Son sourire était mort, et toutes ses émotions aussi. Dans son sous-sol, la tête de sa mère était accrocher au mur, de façon à toujours la voir. Il avait des problèmes, il fallait l'admettre. Omei se mit à rire d'un rire triste, une larme aux yeux. Il claqua des doigts et ça commença. Il monta, la tête de sa mère dans sa main, accrocher par les cheveux en haut, et alla voir la jeune dame. D'un coup de pied, il la poussa dehors.

« Tu sais ce qui est amusant de la vie? C'est qu'on peut faire le choix. Je ne veut pas de mon destin, je ne veux pas vivre. Je veux seulement ma mère... »

Il claqua à nouveaux des doigts et des branches attachèrent la jeune dame au sol et l'emmenèrent un peu plus loin. Il resta dans la porte d'entrée et la fixa, la tête de sa mère entre ses bras à la serré très fort.

« Et j'ai fait le choix d'aller la rejoindre. »

L'explosion fut gigantesque, sur plus de 500 mètres une crevasse de lave jaillit, du magma sortant de tous les côtés, et on put entendre Omei crier de toutes ses forces à la douleur de la lave touchant son corps et de voir sa mère disparaître dans ses bras. Il n'était pas encore mort, c'était bien sure qu'il reviendrait un jour, mais pas maintenant. Il restait simplement là, dans le centre de la terre, dans le magma brûlant, qui transformait petit à petit son corps. La crevasse se referma sur son corps, emmenant la maison avec lui. Une partie de la forêt aussi. Le magma ne toucha pas la jeune dame, elle fut sauve. L'endroit brûler se mit à refleurir en quelques instants, des arbres poussant d'un peu partout. C'était ainsi que finissait la vie d'un fou comme les autres.

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