Ce matin à l’aube en me levant après cette superbe nuit passé avec euh… Cette délicieuse femme. Je n’eus qu’une seule envie aider, cela tomba bien car j’entendis que la kazekage cherchait des personnes pour résoudre une mission très simple. Je me rendis après avoir sauté dans mes habits et raccompagner la jeune fille au seuil de ma porte au bureau du kazekage pour avoir plus amples informations sur le contenu de cette mission. Elle m’expliqua qu’une émeute avait éclaté dans l’enceinte de la prison. La situation avait était très vite maitrisé mais car oui il y avait un mais, certain gardien on été blesser et il y a un manque d’effectif dans la prison donc je du vite me rendre sur les lieux pour la journée le temps que les gardiens soient remis sur pieds car il n’y a eu que des blessures bénignes donc plus de peur que de mal.
Je me mis en route directement il était encore tôt vers l’enceinte de la prison de suna. Sur ma route je vis au loin une fille qui m’avait l’aire généreusement gâté par la nature. En me rapprochant plus près d’elle son visage me paraissait familier. Et la non le choc c’était la magnifique déesse avec qui j’avais passé la nuit mes pas moyen de remettre un nom sur ce jolie minois, je dû me jeter rapidement dans les arbres qui était sur mon chemin elle ne me vis pas OUF !! Je pu m’éviter le pire, et me hâta rapidement vers la prison.
Une fois devant le centre pénitencier, je compris directement que le problème n’était pas grave mais il était quand même la il n’y avait personne à l’entrée je du taper plusieurs fois sur la porte et attendre de longue minutes avant qu’une personne vint m’ouvrir. Un Homme d’un certains âges qui me dit que pour les aider la première chose que je peux faire c’est d’attendre à l’entrée et faire la surveillance du temps que la personne chargé de sa arrive car la personne de la nuit à était blesser et la personne du jour arrive dans une heure comme il m’a expliqué je n’aurais surement rien à faire si ce n’est attendre la venue du gardien. Quitte à ne rien faire je me mi a réfléchir au nom que pouvais bien porter cette femme avec qui j’avais passé la nuit. La une chose me revint son prénom commencer par un A, Ayame, Ayano ? J’eus vraiment du mal à me remémorer son nom. Enfin étant perdu dans mes pensées je ne vis le temps passé et le gardien de jour arriva. Je le laissai à son poste et me hâta pour rejoindre le vieille homme. Il me demanda d’allé surveiller les prisonniers pendant leurs sortie dans la cour. Ce moment était assez délicat l’heure du déjeuner approcha et avec l’émeute de hier le calme au sein des prisonniers ne régna pas, le vieil homme m’avais imposé une seule et unique consigne ne blesser aucun prisonnier, la peur lui est surement venu quand il posa les yeux sur mes 7 sabres. Quand les cellules s’ouvrirent tous les détenus se rendit sur l’enceinte de la cour. Un attroupement suspect se prépara. Ils étaient une cinquantaine de prisonnier. Je ne pris pas le temps de repenser à ma conquête du soir je gardai un œil sur eux car leurs attitudes semblaient bizarre, quand tout à coup deux homme se mirent à courir dans ma direction je sortie mes 7 sabres et les plaça comme à mon habitudes, quand tout à coup les deux hommes stoppa leur course surement pensait-il que l’union fait la force, mais il ne pouvait pas savoir qu’il aurait pu être confronté à un homme de mon calibre. Ils devinrent à ce moment doux comme de jeune agneaux je les surveillai jusqu’à l’heure du repas. A ce moment papi vint me voir et me dit qu’il me laissa une pause jusqu’à 15h je partie dans la salle de pause et je m'assoupie. A mon réveil, le vieille homme m’expliqua qu’il ne me restait qu’une seule chose à faire mais pas des moindres, il m’expliqua que les cuisiniers étaient submergés par la plonge. Je parti vite dans les cuisines et en arrivant je vis des piles d’assiettes si haute que je ne puis voir le robinet qu’elles cachaient. A ce moment-là j’étais partagé entre la sensation de colère au vue du travail et de la satisfaction cette journée de travail impromptu toucha presque à sa fin. Après plus de heure a astiquer ces assiettes je vis la fin arriver, je nettoyai ma dernière assiette quand les cuisiniers de la prison me remercia d’avoir était la je partie en leur faisant un simple signe de la main. Le vieille homme me remercia a son tour et je partie a toute vitesse transmettre au kazekage que la mission à bien était remplie, et repris le chemin de ma demeure en ayant le regret de ne pas me rappeler le nom de la jeune femme avec qui j’ai passé la nuit.