Omei traversait la forêt aussi tranquillement que possible, admirant oiseaux et fleurs, arbres et animaux. Il se sentait bien, simplement, et c'est ça, qui le rendait différent du reste du monde. Un combattant n'est pas forcé d'être un meurtrier à tout moment, il peut simplement apprécier la vie qu'il lui est permis de vivre. Malheureusement, dans ce monde, on est élevé à penser que de tuer c'est simple, que c'est normal, alors que ce ne l'est pas et ce n'aurait jamais du l'être. L'homme qui avançait à travers ces bois revenait au point de départ de sa famille. Le clan des Hyûuga avait pris racine dans le village de Konoha. Le père et la mère d'Omei tout deux appartenant à ce clan avaient décidé après avoir appris que la mère était enceinte, de changer de village, faisant de sa famille des reclus du clan en quelques sortes. Les conditions pour lesquelles ils furent poussés à changer de villages fut l'exile.

Le problème, c'était que les parents du Prince Rouge étaient de la deuxième branche, et avaient tout donner, et tout fait pour que leur fils ait droit aux privilèges de la première branche, sans succès. Lorsque l'enfant fût né, la famille le cacha le plus possible, jusqu'au jour ou la première branche le découvrit et voulu apposer sur son front le sceau de la deuxième branche. Ses parents refusèrent et cachèrent l'enfant, et sur le coup, furent exiler du clan. Ils quittèrent le village et partirent vers Kiri, où l'enfant fût élevé, avant le jour ou il retournerait à sa maison, simplement.

Omei arrivas aux portes, là ou il prit une grande respiration. Un des gardes s'arrêta et le fixa, et partis avertir la Hokage de l'arrivé de l'homme sans bandeau de villages. Omei attendrait tout le temps qu'il faudrait que le Hokage arrives. Personne ne pouvait savoir d'où il venait, et c'était comme ça qu'il pourrait enfin s'approprier : Un nouveau départ.

Spoiler:

Comme souvent depuis ma prise de poste, Yuuki et moi travaillons sans relâche au bon fonctionnement du village. Nous devons faire de se village, un village à notre image, un lieu qui nous ressemble, mais il ne faut pas non plus oublier que ce doit aussi être un village qui plaise à chacun des habitant ici présent, simple villageois comme ninja. On dit d’un village qu’il est a l’image de son représentant, il est pour moi hors de question que mon village devienne la risée des autres, c’est impensable et impardonnable. Depuis ma prise de position, j’ai du faire plusieurs fois le tour du village, bien m’imprégner chaque lieu chaque mémorial, chaque terrain, tout, je ne laissais rien au hasard, je devais tout connaitre, tout me souvenir, ne rien laisser de côté, je dois être la digne représentante de ce village, je dois gagner la confiance de tout le monde, mais pour cela j’ai encore du pain sur la planche. Travaillant sur ma classification quotidienne mais aussi sur l’écrit des rapports à transmettre, quelqu’un vint frapper à la porte de mon bureau. J’observais mon agenda, aucun rendez-vous programmé pourtant, ai-je oublié quelqu’un ou quelque chose ? J’autorisais l’entrée et devant moi se tenait Sora, le garçon chargé de la sécurité des portes du village, que fait-il par ici ? Il m’adressa rapidement quelques mots en me signalant qu’une personne sans le moindre bandeau venait d’entrer et que les gardes le tenaient à l’entrée le temps que j’arrive, c’est bien ma veine de m’occuper de ce genre de cas à moi ! Je laissais échapper un léger soupire et indiqua au jeune homme que j’arrivais. A peine le temps de finir qu’il repartait déjà continuer son travail, et bien, il est acharné de son travail ce gars, c’est bon de se sentir en sécurité. Vêtu de mon habituelle robe rouge et de mes bas brun et mes bottes orangés, j’enfilais ma cape bleu et Yuuki en fit de même, elle sortirait avec moi. Je rajustais un peu mon bandeau marron sur lequel était inscrit le signe de Konoha puis je sortis, le chapeau accroché dans mon dos.

Descendant les marches les unes après les autres, il ne me fallut que quelques minutes pour arriver en bas et pousser la porte de la tour devant laquelle se trouvait le tableau avec toutes les missions, zéro, pas une seule de prise pour l’heure, qu’elle poisse. Le début est le plus long, une fois lancée, je suis sure que ça ira fort bien, j’ai confiance en eux pour cela. Puis la moitié d’eux doit être en train de se stresser pour savoir qui sera Chunin et qui ne le sera pas, décidemment, on dirait que les rangs ont pour tous une importance capitale. Avançant patiemment dans les rues de Konoha, je ne manquais pas de saluer les quelques villageois qui croisèrent ma route, après tout, la politesse apporte la bonne humeur, et la bonne humeur apporte la confiance, tous cela n’est qu’un simple engrenage qu’il faut savoir manier avec prudence. Arrivant aux portes, les gardes se tenaient avec l’homme sans bandeau, une peau aussi blanche qu’un malade et des cheveux rouge, il ne risque pas de passer inaperçu, quoi que moi je peux parler avec ma chevelure rosée. Je m’avançais et me rapprochais un peu plus de l’homme, Yuuki sur mes talons, je le regardais entièrement et ouvris la bouche la première.

Akemi - « Bonjour, que me vaut votre visite ? Parait-il qu’il fallait que je vienne vous accueillir en personne. »

L’homme se tenait là, face à moi, cigarette en bouche. Je ne sais pas encore ce qu’il voulait, mais je savais pertinemment que je ne tarderais pas à le découvrir. J’avais pris la parole tranquillement, ma grande sœur m’épaulant comme bien souvent, ne sait-on jamais ce qu’il peut se passer, un coup de folie et hop, un accident est si vite arrivé après tout. Mais, contre toute attente, le rouquin posait un genou à même le sol et déposa sa main sur son cœur, il se prend pour un chevalier servant ma parole ? J’étais partagé entre dégout, surprise, moquerie et même stupéfaction. Yuuki déposa sa main sur mon épaule me laissant ainsi comprendre parfaitement bien que je ne devais laisser échapper aucune émotion, ce que je fit sans la moindre difficulté, je devais rester de marbre et l’écouter, qui sais, peut-être a-t-il une bonne raison de se trouver ici, devant moi. Comme je m’y attendais, il prit bien vite la parole afin de se présenter et donner les raisons de sa présence en ces lieux. Omei du clan Hyuga, hum j’en ai entendu parler, le clan noble de Konoha parait-il, va falloir que je me renseigne un peu plus personnellement. Ainsi donc il a quitté Kiri pour rejoindre Konoha et nous offrir ses services ? D’après ce qu’il a dit, le mizukage semblait vouloir abattre ses foudres sur Konoha à un moment donné ? Pas déjà, je viens tout juste d’arriver, comment je pourrais être capable de contenir une attaque si tôt dans la partie, mon échiquier n’est pas encore prêt. Mon regard se déposait rapidement sur Yuuki qui semblait avoir entendu les mêmes paroles émanant du jeune homme, je ne suis pas rendu moi. Je me tournais de nouveau vers le rouquin et lui adressait un léger sourire.

Akemi – « Donc si je comprend bien, vous êtes originaires de Konoha, êtes partis pour Kiri et revenez aujourd’hui à Konoha. Intéressant je dois bien le reconnaitre, cela montre votre affiliation à notre village sans aucun doute, mais pensez-vous que l’on puisse vous faire confiance ? En désertant Kiri et en revenant là, nous prenons le risque de voir arriver des ninjas de Kiri dans le but de mettre fin à vos jours vous en êtes certainement conscient ? Je ne cautionne pas les guerres qui n’ont aucun intérêt, mais protéger les notre est digne d’intérêt à mes yeux. En quoi pourrais-je réellement vous faire confiance ? Que pourriez-vous emmener au village ? Vous me demandez de vous acceptez, mais je ne peux pas prendre une telle décision à la légère, je pense que vous l’entendez bien et que vous n’êtes pas venu ici sans but, j’aurais besoin d’en apprendre plus, savoir réellement à qui j’ai à faire. Peut-être que mes doutes sont infondés, je l’entends bien, mais pour son village il faut toujours agir avec prudence, je n’ai aucune confiance en Kiri ni même en Suna d’ailleurs, en quoi seriez-vous différent ? »

Le ton est donné au moins, je dois bien admettre que j’ai quelque soucis avec lui, mais peut-être qu’il acceptera de se plier à quelques volonté de ma part, son intégration au village suivrait, mais je dois avant tout m’assurer que tout se déroule selon mes plans personnel, je dois toujours avoir un coup d’avance, je ne dois jamais être en retrait, je ne dois jamais être devancé, c’est moi qui mènerais la danse, quelque en soit la partie à jouer, je ne perdrais pas, je ne peux pas me le permettre.

Omei comprenait ce qu'elle disait. Elle avait raison sur bien des points, mais il ne pouvait pas abandonné si facilement. Même si pour elle, il n'avait pour l'instant aucune valeur, il ferait de son mieux pour réussir à la convaincre. Sa carte maîtresse était le fait qu'il était détenteur de Rokubi, le Bijuu à six queues, et sinon, il lui restait d'autres cartes dans sa manche. Omei se releva, les mains dans les poches, il adressa son regard blanchâtre sans émotions à la Hokage, avant de s'exprimer.

« Vous n'avez aucune raisons de me faire confiance, je l'admet. Je fût forcé à ma naissance de quitter Konoha dut à mes parents, je n'ai jamais fait ce choix moi-même. Kiri ne sait pas ou j'ai bien put aller, mais ils viendront, j'en suis sure. Quand? Personne ne peut le prévoir. Kiri vient de passé à l'attaque sur le village de Suna, et en ce moment même gagnes cette bataille. Bientôt, Suna seras passé aux mains du village de la brume, et Konoha seras la dernière barrière avant l'unification complète à travers le meurtre de centaines de gens des trois villages principaux. Je ne puis accepter que Madara contrôle le monde aussi facilement. Il prône la violence et le meurtre, ce qui fait de lui la pire personne pour contrôler un monde en paix. Il créera ses propres guerres, détruiras les gens ne voulant pas le suivre, et mettra un nouveau masque sur le visage du monde. Je veux l'en empêcher, mais je ne peux rien faire seul. Je n'ai pas la force pour réussir seul, pas en ce moment, c'est la raison pour laquelle je m'en remet à vous, Hokage de Konoha. Je dois acquérir la force nécessaire pour me défendre, pour défendre le monde, mais je ne puis rien faire seul, donc je viens vous demander à vous, Hokage de Konoha, de m'entraîner, de me permettre de devenir plus fort, de me montrer la voie du bon chemin, pour qu'enfin, je puisse vous servir d'arme pour défendre un monde pure qui devient corrompu. Vous êtes ma dernière chance, maintenant que Suna tombes... »

Omei prit une grande respiration, et ferma les yeux, écoutant le vent, durant ses quelques secondes de silence. Tout passait dans sa tête. Il fallait parler maintenant ou jamais, car peut-être n'aurait-il pas d'autre chances de lui parler.

« Je ne peux rien promettre au village. Je ne suis qu'une pièce dans le jeu d'échec qu'est le monde, et je vous serrai utile qu'en étant cette pièce. Ma quête ne fait que commencer, et je ne suis probablement pas le plus puissant guerrier qui existe. Lorsque j'aurai les alliés que je cherche, je me lèverai au grand jour. Les gardiens du monde doivent se réunir pour défendre la paix qu'il nous reste, et c'est bien ce que je compte faire. Je vous demande votre aide, entraînez-moi, le Jinchuriki de Rokubi, donnez moi votre force, et je vous servirai comme votre plus puissante arme, j'ai seulement besoin de votre aide, Hokage-Sama. C'est tout ce que je demande en échange de ma loyauté... »

Omei resta droit, fier. Même si elle refusait, il aurait au moins pu parler librement, et c'était tout ce qu'il avait de besoin. Maintenant qu'il avait parler, enfin, il pourrait se sentir mieux, un poids de moins sur les épaules. Il ouvrit les yeux, fixant les deux dames face à lui, attendant sa réponse. Pour lui, il avait dit tout ce qu'il avait à dire. Étais-ce assez?

J’avais très certainement été directe avec lui, trop directe je veux bien le reconnaitre, mais pour le bien de ce village avais-je réellement le choix ? Nous ne sommes pas des bisounours, nous savons tous que la guerre peut nous frapper d’un moment à l’autre et bien que certains se voilent la face, je ne suis pas sure que ce soit le meilleur moyen pour penser que nous l’éviteront, car lorsque ce jour arrivera, c’est de tout le monde dont j’aurais besoin et pas seulement de deux ou trois ninjas prêt à mettre leurs vie en jeu. Le rouquin me laissa finir et enchaina sa réponse tranquillement, ses arguments n’étaient pas peu clair, ils étaient là et bien présent, mais dans le fond qu’est-ce-que cela peut-il vraiment donner ? Forcé de quitter Konoha pour Kiri, il décide aujourd’hui de revenir sur ses terres d’origines, mais son clan l’accepterait-il de nouveau ? D’après ses dires, Kiri semble prêt à en découdre, à l’heure actuelle, ils seraient déjà en train de marcher sur Suna, mais dans qu’elle galère on va se retrouver nous ? Ses intentions sont louables et semblables aux miennes, la prospérité, un monde unifier, une paix éternelle, même si pour cela il faut se salir les mains, détruire ses assaillants, Konoha doit survivre, Konoha doit montrer la voie. Avec quelqu’un comme lui on aurait vraiment cet avantage que je recherche, mais à quel prix ? Il semblait reprendre son souffle après avoir fermé les yeux, peut-être n’avait-il pas fini ? J’attendis, un tout petit temps puis m’apprêtait à lui répondre, mais il reprit de plus belle. En tout cas, une chose est sur, il a les mots parfait pour moi, en me parlant d’échiquier, il me montre qu’en soit il a de beau talent de stratège, mais justement, cela est aussi un problème, il peut tout aussi bien dire cela parce qu’il agit sous le tutelle de quelqu’un d’autre, devrais-je prendre les précaution nécessaire au finale ? Apparemment il parle de chercher des alliés qui se battraient aussi pour la paix et affirme être jinchuriki de Rokubi. Jinchuriki ? L’hôte d’un démon à queues ? Voilà qui devient un atout indéniable, si seulement j’arrivais à en rassembler plusieurs et de les aidés à contrôler cette force, peut-être que nous aurions un avantage considérable sur n’importe quel ennemi ?

Akemi – « Voilà des arguments fort intéressant, vous prônez la paix en jouant une partie d’échec, plutôt intéressant. Je ne peux malheureusement guère vous apportez ma confiance, en revanche, je veux bien que vous entriez, vous allez venir me prouvez votre valeur réelle. Seul on ne vaut rien dans ce vaste monde et ici des alliés vous trouverez. Montrez moi votre détermination, pour les jours à venir, je vous autorise à vivre dans notre village, vous serez sous surveillance toute la journée, chaque jour durant, je souhaite vous voir sur le terrain, je jugerais moi-même votre potentiel, puis je pense que nous avons une discutions de la plus haute importance à avoir aussi. Vous parlez de Kiri et Suna et cela à attiser ma curiosité, quand vous vous sentirez prêt à vous mesurer à moi, faites moi signe, jusqu’à ce jour, vous serez surveillez. Sora-kun, passez le mot, il me faut des gardes en rotation pour monsieur, qu’on ne le lâche pas. Veuillez m’excusez les précautions, mais tachez de me comprendre, je ne peux pas faire confiance aveugle au premier venu, vous m’en voyez navré. »

Je savais que ce que je venais de dire risquais d’être blessant ou même vexant, mais dans le fond, il semblait bien assès intelligent pour comprendre que la sécurité de mon village était ma priorité et laisser un déserteur de Kiri dont je ne connais pas les réelles intentions en libre circulation était compliqué à faire. Je n’ai rien contre lui, mais je n’ai pas confiance pour autant, autant dire que s’il veut mériter une place à Konoha, il devra simplement la gagner.

Au moins maintenant le ton était donné, il faut bien avouer que j’y suis peut-être aller un peu fort, mais je viens tout juste de prendre place à la tête de Konoha, les habitants du village ne me font alors pas tous confiance et c’est somme toute logique, je dois encore la gagner, mais laisser un déserteur d’un village ennemi en liberté dans le village n’est pas la meilleure chose que je pouvais faire, il faut bien le reconnaitre. Sans trop rechigner, il semblait accepter mes conditions, puis s’éclaircit brièvement la voix avant de prendre de nouveau la parole. Il accepta le défi et m’annonça qu’il comptait me laissé le moment, dès que je serais partante, il sera prêt. Je me tournais vers Yuuki, elle aborda un petit sourire et me fit un oui de tête, c’est confirmer, je n’avais donc aucun rendez-vous aujourd’hui ? Parfait tout cela dites-moi !

Akemi – « Très bien, vous semblez sur de vous. Qu’il en soit ainsi, ce sera... maintenant ! Sora-kun, veuillez indiquer à Kuro que je suis au terrain numéro quatre, elle a toute ma confiance pour gérer le reste, je viendrais reprendre mon service une fois que j’en aurais fini, je vous remercie par avance. Omei Hyuga, si vous voulez bien me suivre... »

Ni une ni deux, Sora envoya un des hommes sous ses ordres prévenir l’une des personnes actuellement chargé de ma garde rapproché pour prendre place au bureau le temps de mon absence en cas d’arrivée impromptue. Pour ma part je pris les devant et avançais en direction du terrain d’entrainement numéro six. Non je ne me dirigeais pas vers les dojos, il n’est pas d’ici, je ne pouvais pas prendre le risque qu’il libère tellement de puissance qu’il en vienne à détruire le dojo, vous explique pas les retombés derrière, être Hokage ne donne pas non plus tout les droit, je n’ai pas forcément envie de devoir tout nettoyer personnellement, ni même tout reconstruire pardi. Omei me suivrait certainement et Yuuki lui emboiterait le pas, elle est la première en charge de la surveillance du jeune homme, il faut bien admettre aussi que je suis dans le coin, elle ne laissera personne d’autre prendre ce travail en main, puis une Jônin de sa trempe peut largement retenir un simple Genin, même jinchuriki de Rokubi, cela importe peu su l’issue. S’il tentait de s’en prendre à Yuuki, il aurait du mal en premier lieu, en second j’interviendrais, en troisième il sera mort ou condamné, mais il ne sera plus jamais libre, je ne pense pas qu’il s’amuse à faire cela. Ensuite, je le confirme, il pourrait prendre la décision de ne pas me suivre, de courir ailleurs, mais je l’ai vu dans son regard lors de sa dernière phrase, il n’est pas un lâche, il vaut bien plus que cela, c’est pour cette raison d’ailleurs qu’il viendra ! Après de longue minutes de marche, je poussais l’entrée d’un large grillage et arrivait directement sur un terrain des plus impressionnants, une vaste plaine verdoyante avec rocher et arbres en tout genre, un petit ruisseau au pied de la montagne rocailleuse, un terrain parfait pour recevoir un match de tournoi officiel, tout les éléments sont réunis après tout. On a là de quoi faire. Je sautais sur le haut rocher centrale et attendit Omei.

Akemi – « Parfait ! »

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