Spoiler:

Aaaaah, ma tête ! Ralais-je dès le réveil. Aussi, fallait sentir la douleur, j'avais l'impression qu'on me tapait la tête à coups de gourdin. J'avais trop forcé sur le sky', comme toujours.. Mohim. Trainant les pieds mollement, j'allais directement à la cuisine chercher deux, trois cachetons histoire de me remettre sur patte, et gueulait un bon coup Fréroooooooooot lèves toi ! Attrapant à manger et à boire, j'allais m'installer sur la terrasse profiter de ce beau matin ensoleillé. Je craquais une cigarette en m'asseyant sur une chaise, posant mes pieds sur la table, et levais la tête au ciel pour recracher cette première bouffée de fumée. Attendant mon frère, je me perdais dans mes pensées, le regard bloqué sur le paysage qui lui était offert. De la terrasse, j'apercevais le les falaises de Konoha en arrière-plan, mais surtout mon jardin fleuri et la piscine. Depuis qu'on commençait, Shinki et moi, on avait pu s'offrir un petit bijou de domicile même s'il nous restait toutes nos dettes à payer. Si rien n'était déjà prévu aujourd'hui, j'aurai bien passé la journée au bord de la piscine avec deux, trois amies.. Mais aujourd'hui, une mission était au programme.

Voilà que j'entendais le frérot descendre les escaliers, grognant encore léthargique ou grommelant des insultes. Personne n'aime se faire réveiller après une nuit festive, je suis le premier à le reconnaître, et on avait bien festoyé la veille, tonton Jack et tante Jane en étaient témoins. Avant qu'il ne prononce un mot, je lui jetais un rouleau de mission à la tronche au moment où il entra sur la terrasse. Ça va frérot ? Toi aussi toujours dans le gaz aha ? Tiens j'suis allé chercher une mission on a du taff aujourd'hui. Jetant ma cigarette dans le cendrier, je bus ce qui semblait être du coca, mais il y avait un peu trop de whisky dans ce coca. J'étais pas encore prêt à affronter l'alcool, me fallait récupérer un peu quand même. *Toussant* Fais chier on a même pas de truc sans alcool à boire ici..

« Frerooooooooooot ! »

Ce mot strident me tirant de mon sommeil réparateur, oue le frère avait déclaré l’état de festivité ouverte, des nanas en veux tu en voila, de l’alcool et dame Janette présente au domicile, la soirée étant bien amorcé, j’avais terminé dans la piscine et j’avais sombrer dans l’obscurité. Le matin un mot me qualifiant me sorti de mon inconscient. Mais pourquoi je suis dans mon lit dans ma chambre avec une nana a poil callé sur mon bras gauche. Putain elle est parfaite le corps d’un top model une envie de lui foutre s’que je pense, mais pas l’time le bro hurle comme s’il voulait vraiment me faire chier des le matins. Je prend le temps de m’habiller quand la meuf m’agrippe le bras pour remettre à jour mes performances de la nuit passé. Pas le temps j’dis Ralala le frère il va me le payer. J’aime pas qu’on m’empêche de faire mumuse pour quelque raison que ce soit. En descendant les escaliers je commence à insulter cette merveilleuse journée qui débute et sans m’en rendre compte je me mange un rouleau dans la gueule, le frère il avait la patate dès le matin, il s’amuse à me faire chier comme je sais pas quoi. Ok, bah il va véritablement me le payer, un signe deux signes, la piscine se vida et l’eau qui était à l’intérieur se jeta sur Shinji. Le temps qu’il se remette de cette averse, je me mis à lire le rouleaux et putain son contenu m’plait pas mais alors pas du tout. Je balance le machin au sol fixe le frère et lui dit avec un ton amusé. « Ji, t’arrête de jouer avec l’eau on a pas le temps, on a un truc sur le feu. » J’en rigolais de ma vengeance, j’étais fier de moi mais si vous saviez à quel point, enfin on s’en fou. Je prend mes affaires, je me dirige vers la porte pour dire avec plus de sérieux. « Y a une poulette dans mon lit alors on bâcle ca j’ai du taff à la maison moi. » J’avais pas envie de bouger mais bon quand le frère impose une mission j’écoute et je pose pas de question, après tout c’est pas pour rien qu’il est mon frère et en prime c’est le seul a connaitre et à contrôler mes pulsions meurtrières d’où provenaient-elles ? Je ne le savais pas mais lui devait s’en douter, suite à quoi après avoir pris mon temps pour l’attendre j’en avais assez et c’est pourquoi je lui gueulais dessus.« Bon t’arrête de faire la meuf tu te dépêche moi je veux qu’on face ça vite fais bien fait, le vieux j’lai jamais vu, mais il m’énerve déjà alors on se dépêche. » Il d’vait avoir compris que j’étais sur les nerfs du au réveil prématuré et surtout plein de surprise.

L'enfoiré, il m'a carrément arrosé avec l'eau de la piscine. J'ai pris une douche là, une vraie. Il avait mal digéré le réveil à priori, et devenait vite susceptible en ces circonstances. Mais il se mesurait à moi et je lui en ferais baver jusqu'au bout. Râclure ! Et en plus il se moque de moi, mais comme il dit, on a un truc sur le feu. J'allais le cramer un coup pour qu'il se calme ouais. Rentrant à la casa pour m'essuyer un coup, changer de vêtements, et faire mes affaires, je l'entendais parler de son trophée de la veille et gueuler pour que je me dépêche. Il était tendu le frérot. Passant à côté de lui en partant, je me suis arrêté à côté de lui. T'énerves pas tu va devenir tout rouge aha lui dis-je tout en allumant mon briquet dans son dos et partant devant lorsque son haut commençait à prendre feu. Il aurait le temps de marcher un peu avant de se rendre compte de ça, et ça l'énerverait encore plus. C'était le but, au moins il fera rire quand il insultera le marchand. Marchant en avant, j'allumais une cigarette et énonça à haute voix : on on se rejoint aux portes Ki !

Le temps qu'il change de haut, m'insulte en treize langues, projette une cinquantaine de fois de se venger et de me le faire payer, j'aurai le temps d'arriver aux portes tranquillement. Et il allait être d'une humeur de chien, et il va pouvoir se défouler sur le marchand et bien me faire rire. Mohim. Un sdah et il se calmera et on pourra rire à bloc. Arrivant aux portes, j'aperçu le fameux marchand, notre cible. Soupçonné, on devait déterminer en cours de route si oui on non il était un suspect confirmé. Un jeu d'enfant. Le marchand était un homme de taille usuelle et de corpulence usuelle de même. Bond, les cheveux plaqués, l'archétype même du commerçant, il avait une belle gueule d'enculé. Le genre de Ken à qui t'as seulement envie de mettre des giffles pour le ridiculiser. Me présentant poliment, je lui indiquait que mon frère n'allait pas tarder à arriver, le temps de régler un petit soucis en chemin.

Il a mi le feu à mes vêtements l’enflure, il à osé faire ca et en public en plus, non mais sérieux, il fait ca normal il laisse les passants se foutre d’ma gueule me voyant m’énerver un peu plus chaque seconde et lui il rigole comme un gamin fier de sa connerie. Ah bah la faut dire il a géré dans l’art de me faire chier, pas le choix mission ou pas, je suis obligé de rentrer me changer, mais pour lui faire comprendre mon humeur de chien, j’décide de pas le rejoindre toute suite, je me pose tranquille je me bois un verre, la meuf à l’étage descend et là une idée parfaite me vient en tête si je m’amusais durant une petite vingtaine de minute avant de rejoindre le frère, hop hop hop je la désape je la fourre et je lui dis de rester à la casa pour la journée d’faire comme chez elle, le soir j’la retrouverai et on s’amusera encore. Pas question d’se poser nan nan, t’as vu ca ou toi ? Je m’amuse avec elle pendant une journée ou deux et casse toi de là. Après avoir fait mes petites affaire, je me rhabille en deux deux, je prend le chemin du rendez vous d’un air de winner beau gosse et tout la démarche de mec qui pèse et la je vois quoi ? Ji qui s’amuse à taper la discute avec le marchant. Mais il est con ou il le fait expert dans le terme discret y a quoi de pas compréhensible ? Bon ok il la joue cool tranquille l’ami et tout et tout, bah moi je vais la jouer autrement, j’arrive à hauteur du mec qui est dos à moi et la c’est sa première erreur, je jette un coup d’œil discret dans le chariot sans qu’il remarque après avoir bien analysé la chose, je fais mine d’avoir rien vu et rejoint le frère en bousculant le mec d’un simple coup d’épaule. Il trébuche et tombe par terre, je le relève en matant s’il a pas une ou deux armes sur lui et là j’constate que non, c’est louche pour un marchant d’arme de pas avoir au moins une arme sur lui au cas ou.. Il est suspect l’type, mais bon on doit la jouer tranquille et surtout pas faire plonger Konoha pour un mec comme lui. J’me cale à coté du bro et j’lui dis gentiment l’air de rien «  Excuse Ji, j’avais des trucs a combler à la maison, par contre en rentrant j’ai rien vu s’tu vois s’que j’veux dire » C’était en lien direct avec le contenu du camion qui était vide du moins hormis une caisse d’arme. Pour un marchant il avait pas de stock le con. Et j’espérais que le message passe bien. Si la douche qu’il avait reçu plutôt n’avais pas réveillé le bro alors je m’appel plus Shinki.

Putain de merde le mec même après m’être excusé de l’avoir fait tomber, il est vénère bah nique sa reum, c’est son blem pas le mien, j’ai été gentil courtois et tout et tout et il fait le mec, t’inquiète poto ca va se régler dans pas longtemps hors du village. Le bro fait l’gentil leche cul et moi j’fais l’mec qui s’en branle de tout tu vois l’genre ? Gentil flic méchant flic ? Zeubi il gobe sa et il ferme sa bouche après coup. En même temps il nous connait pas le mec il croit on est des gamins du village qui veulent lui écouler d’la marchandise, j’espère juste pour lui il à les poches pleine, j’ai de la cam à pécho pour la soirée, j’ai pas d’temps a perdre avec un pauvre.

Putain. Ça faisait bien un quart d'heure qu'on l'attendait. Vas-y qu'il prenait son temps et me laissait me faire chier avec ce connard de marchand. A ce moment, je calle l'affaire, continuant à bla blater avec l'autre je roule un pétos pour le chemin. Ouais ouais en public, y'a pas les chtars à Konoha ma gueule. Ça fait passer tranquillement le temps avant que j'aperçoive le frère, dégaine de zoulou qui veut tout dire, il venait de se vider. Je me décale alors un peu pour que le marchand fasse complètement dos à Shinki, et l'occupe, laissant une faille pour débuter sans attendre la mission. Suite à ça, le frère le fait tomber en prétextant la maladresse et le relève. Et là il me dit qu'il a rien vu en entrant dans la maison. On est frère, imagine même pas une seconde que je puisse ne pas comprendre ses enroules. Donc il n'y avait rien dans son chariot.. étrange pour un marchant. On allait tout découvrir de toute façon, tout, même ce qu'il savait pas. Et ça m'étonnerait qu'il en sorte vivant celui là, d'une sa tête m'inspire pas confiance, de deux, Ki est bien énervé. Ça va se finir en meurtre maquillé dans un coin reculé de la forêt ça.

Le marchand en se relevant, pète une crise et engueule Shinki.Il avait maintenant une chose à se reprocher, on parle pas comme ça à mon frère. Ecoutes mon ami, on est là pour t'escorter, donc respectes un peu tes protecteurs. C'est la dernière fois que je t'entends parler comme ça à mon frère. Maintenant on bouge, direction Kusa on fait un arrêt dans une heure. Je lui fis directement signe d'avancer, il s'exécuta sans un mot la tête baissée. Une fois seuls derrières lui, je fis signe au frère d'un mouvement du pouce le long du coup qu'on le tuerait dans une heure. Ceux à quoi il me répondu en montrant ses poches. Ça, ça voulait dire qu'on le racketterait avant. Chacun un sourire montant sur le visage, on suivit la marche du marchand. Je sortis le joint roulé en attendant Ki, et l'allumais en marchand, prêt à planer sur la route menant à Kusa.

Doucement l’frère et moi on se mit en route le temps passait et moi pour être totalement franc je commençais à me faire royalement chier à jacasser avec un vieux croulant incapable d’aligner deux mots s’en nous insulter, le sang m’montait au cerveau et l’envie de l’égorger j’vous en parle même pas, une envie que l’heure passe vite très vite, le mec était blindé de tune pour des raisons encore pas très net, sans doute devait-il payer des personnes pour de multiple information sur le village mais quand on observe ses poches bien rempli on comprend vite que l’crouton là bah il c’est heurté à un mur, les villageois avaient du l’envoyer chier bien comme y faut pas s’pas tout, le mec il fait genre la démarche du mec qui comprend tout et qui sait tout faire, genre c’est le mec le plus puissant d’la street, remballe mec tu pu la mord. Tiens en sa m’fait penser à mater l’heure et je vois quoi le temps est venu de lui faire la peau, mais avant pas question de se remplir les poches avec du flouze souillé. Je lui fou un coup d’genou dans l’articulation il se pette la gueule mes mains s’placent délicatement autour de sa nuque, non je vais pas le tuer enfin pas tout de suite et surtout pas seul, le frère à le droit de faire mumuse un peu. Alors je fou le mec à genou devant le bro et lui sort les billets qu’il à dans les poches, ouè ouè ouè, il est blindé le type mais maintenant l’argent est à nous. Le Kage avait demandé à se qu’on dissimule nos actes pour que Konoha ne soit pas impliqué, ca c’est le taff du frère moi je suis plus du genre à tout casser en me foutant des répercutions. « Frère oublis pas, on doit pas croire qu’c’est nous. » j’avais dis ca avec un sourire énorme sur le visage, voulant tout dire, là, je décide de laisser le frère jouer un peu, je lâche le vieux et lui brise une jambe et la mâchoire pour pas qu’il gueule comme une salope et qu’il court pas comme une fillette. Et c’est avec un regard noir plein de sadisme que je dis au bro avec une voie joyeuse. «  Allez frère amuse toi comme tu le sens. » Moi je me remis à fixer la charrette du mec qu’était trop radin pour s’acheter un vrai truc de bonhomme et je fouille pour prendre toutes les informations récolter sur notre village, c’est là que j’prend un shuriken et que je le balance sans l’épaule du mec pour qu’il souffre un peu plus.

Escorter un marchand c'est pas l'éclate ma gueule. Quand t'observes le mec, il est sapé en louis vuit' mais trouve le moyen de ressembler à une merde. Il a du fric qui dépasse des poches et il te prend de haut comme pas possible. Calle l'affaire poto. Le frérot commençait vraiment à être vénère de devoir attendre, mais on était obligé de s'éloigner du village pour pas laisser de trace. Moi je me foutais de tout, je fumais mon pers' et j'enculais le monde. Mais j'avais quand même hâte d'arriver à destination pour lui faire sa fête, ça tu peux en être sûr. On approchait lentement du point d'arrêt, et je voyais Ki prendre sur lui même pour pas lui arracher la tête trop tôt. Et même si en tant qu'ainé je me contrôlais mieux, je n'attendais que ça. On était comme des pitbulls affamés. On s'arrête. Délivrance. En moins de temps qu'il ne fallait pour le dire, le vieux marchand était à terre devant moi, une mâchoire éclatée et une jambe cassée. On souriait et riait allègrement entre frères, pendant que ce petit enfoiré nettoyait le sol. Après ce petit défoulement, le frérot s'occupa de checker les éventuelles preuves dans la charrette.

A moi de m'amuser un peu. Gémissant au sol, je le redressais sur ses genoux avant de lui coller un fouetté dans le nez, et de l'admirer retomber au sol. puis je m'occupais de lui briser quelques côtes en le frappant lourdement. J'étais maintenant décidé à l'achever, je ne m'amusais plus à frapper un homme presque cadavérique. Sortant mon katana, je le plantais ensuite au niveau du coeur, lentement. Une fois inanimé, je balançais son corps inerte dans sa charrette, que je fis rouler dans un petit fossé. Je lançais ensuite une boule de feu sur le tout, le bois cramant tout de suite, et j'admirais ce spectacle de lumières vives. Puis je m'assis par terre, alluma une clope et je commençai à mieuk la teille de saké que j'avais précieusement conservée pendant tous le voyage. Alors bro, t'as trouvé quoi dans son merdier ? Viens te poser en attendant que tout ça soit bien calciné. On allait savourer ce doux liquide, fumer quelques sdah aussi, en attendant que tout ai bien cramé. Puis il éteindrait le tout et plus aucune trace ne serait présente, et nous rentrerions à Konoha.