Minato Namikaze
Ninja Inconnu
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 |  Sujet: Mission rang C. Malfaiteurs dans l’impasse.  Sam 8 Déc - 16:48 | |
| Beaucoup de choses étaient passés, le grand jour de ma remise de mon diplôme, de mon passage Chuunin par Sasuke avait eu lieu. Enfin, j'allais pouvoir devenir plus puissant. Néanmoins, entre temps, une tumulte de situations, de paroles avec différents personnage notamment une certaine Kimary Hoto de Kiri qui m'avait laissé un quelque chose dans mon esprit, des sentiments inassouvis et qui se voyaient être in-ébranlé pour le moment, même après tout ce que nous nous étions dit.
Un bon matin était de vigueur à Konoha. Je sortais mes pieds de mon lit, la fraicheur de la rosé m'apporta quelques frissons qui parcoururent mon corps en large et en travers jusqu'à atteindre mes pupilles nerveuses. Mon crâne trembla un peu, une fine couche de douleur me prit au niveau de celui-ci. J'ouvrais les yeux, l’éblouissement du soleil me percuta, entra sans permission dans mes pupille fortement fatigué. D'un geste de la main droite je cachais mes yeux, ou plutôt les couvrais un tant soi peu afin de pouvoir me lever pleinement et commencer à faire les devoirs qui surplombaient mon nouveau. En effet, de nouvelles missions je pouvais faire, de nouveaux combats, de ce fait, je pouvais observer et participer ainsi que de nouveaux obstacles à franchir, cela était d'autant plus amusant, éprouvant et épuisant à la fois, mais, malgré le fait que je sois partisan du moindre effort, toutes ces nouveautés m'excitaient plus au moins. En effet, avec l'idée de parcourir une mission en toute solitude, je finissais de manger un pain avec du lait pratiquement avarié. Ma nourriture était tout ce qu'il fallait sauf... saine, correct et, surtout, encore mangeable, mais, je m'en foutais, si je voulais prendre quelques forces il fallait que je mange, je passais outre l'odeur du liquide blanc et les quelques écailles que je pouvais apercevoir lors de sa versé dans mon bol. D'un coup sec, je le buvais et sentais sa fraîcheur parcourir mon oesophage pour atteindre son but: l'estomac. Le ventre ballant, je récupérais mon kimono rouge foncé, me le passais autour de mes épaules, l'attacha et fermais ma porte.
Le doux chant des oiseaux entraient avec plénitude dans mes oreilles suivis de la mélodie crée par la symbiose de la nature. Le frottement des feuilles grâce au vent, l'harmonie du son des rivières et des sauts des poissons. Tout ceci était bien merveilleux et reposant. Sur ma terrasse d'entrée, je levais les bras, les fis passer derrière ma nuque et m'étira accompagné de bâillement fort dérangeant pour les voisins ou les passants. L'idiosyncrasie de mes différents congénères me fit sourire. Certains trouvaient cela irrespectueux, d'autres rigolaient et bien d'autres furent prit par le même mouvement que moi, en attendant le son assourdissant que je produisais.
Je descendais les quelques escaliers en chêne pour me mettre à niveau du sol et commencer à arpenter le court chemin qui me séparait du bureau du Hokage. Ah, oui, une précisions. Entre temps, notre Hokage a été remplacé, un kidnapping a eu lieu, notre cher Sasuke s'est retrouvé amnésique et... a changé de taille, il fait maintenant bien moi âgé que lorsqu'il m'avait ramassé, échoué au bord d'un chemin. Cependant, sa nouvelle taille, son nouvel âge, m'avaient tout deux permis d'acquérir une chose passée que j'avais intensément enfouis dans les tréfonds de mon âme: je l'avais connu, à cet âge là, moi, bizarrement, j'avais toujours la même gueule. A croire que je n'ai jamais vieilli... Je me souvenais de lui, tapotant sa tête, de son air hautin, supérieur mais en même temps tellement naïf.. Bref, ce vieillissement, de même, m'inquiétais un tantinet mais je décidais de passer outre, optant pour de meilleurs choses à faire et.. rapidement. Les différents visages souriants que je voyais me donner de l'entrain: je pressais le pas en direction de la tour d'Hokage.
Enfin, j'arrivais au pied de l'immense bâtisse. De mes deux mains, j'ouvrais les deux portes en bois, passant au milieu afin de me donner des airs de héros commensurables mais.. personne n'était présent pour admirer ma magnificence. Le dégoût me prit, la solitude de même, une fine larme coula le long de ma joue. Ce n'était pas grave, je n'allais pas m'abattre pour si peu. Je montais les escalier en colimaçon tout en admirant les différentes enjolivures et arabesques qu'étaient présentes sur les façades interne du bâtiment. Tout ceci avait certainement été fait de la main d'un maître, puissant en ninjutsu doton et mokuton il semblerait. Enfin, j'arrivais face à l'imposante porte du chef de village. J'enlevais mon Kimono, poussais la porte, couru et me jeta par terre, à genoux, dans un signe rock'n'roll. Encore une fois, un vent me porta, une motte de foin passa devant moi. Personne.... PERSONNE. Merde quoi. C'est là, que je le vis: Un mot à l'attention de quiconque franchirait cette porte:
" Pour le ou les abrutit qui iront jusque dans mon bureau en mon absence bien précisé sur la porte d'entrée: Je vous ai affiché un nombre de mission à faire sur un panneau en bois, encore, à l'entrée du bâtiment. Merci bien et bon courage! "
Elle avait lu clair dans ma personnalité, m'enfin. Flemme de redescendre les escaliers, je décidais de sauter par la fenêtre, la cassant au passage et faisant, de ce fait, jaillir un bon nombre de verre. J’atteignais, avec une ou deux égratignures superficielles, le panneau et vis, par le même temps, qu'en effet, le Kage avait bel et bien laissé un mot ainsi que des missions en notre honneur. Intérieurement, je me traitais de boulot, mon inadvertance m'avait fait perdre un temps précieux ainsi qu'une dépense en trop d'énergie. M'enfin, cela dit, je me penchai sur l'écriteau qui contenait les missions de rang C. Une en particulier, attira mon attention: Malfaiteurs dans l'impasse. D'un mouvement de main, j'arrachais le papier et partit en direction des portes du villages.
Pendant le trajet, la feuille entre les mains, je récapitulais l'objectif de cette mission. Il semblerait que des vols à foison avaient commencé à se passer dans notre village, voyez vous, je n'avais même pas remarqué que quelque chose d'aussi... affligeant se produisait mais.. j'étais tranquille, rien n'était arrivé chez moi et.. heureusement d'ailleurs, je ne donnais pas cher aux mains de ceux qui osaient toucher à mes précieuses affaires. Enfin bref, une équipe de ninja avait été envoyé aux trousses de ces différent mécréants, celle-ci avait réussis a établir un périmètre grâce aux différents campements découverts. Il s'agissait là de repérer le air de repos principal mais d'attendre les ordres pour ce qui était de la suite des opérations. J'espérais tout de même, qu'une fois leur campement trouvé, le temps de réaction de notre Kage ne laisserait pas à désiré afin de ne pas provoquer le départ de nos ennemis. Mais là n'était pas la question, encore fallait-il que j'arrive à dénicher ces vermisseaux.
Un ou deux kilomètres après les portes du villages de Konoha, je faisais un mudras, croisant mes index et majeurs de mes mains respectives dans le but d'effectuer une toute nouvelle technique que j'avais acquise après mon passage de chuunin. Kage Bunshin no Jutsu. Cinq clones de ma propres personnes apparurent à mes côtés. Chacun d'eux avaient pour but de faire une recherche dans un quadrillage du périmètre afin de diminuer, au fur et à mesure, ce même quadrillage. Les recherches pouvaient, dès lors, commencer. Trois heures plus tard, tout au plus, nous avions très fortement restreints le périmètre de recherche, différents indices, l'odeur fraîche de la fumée de bois ainsi que quelques dépècement d'animaux trouver par mes clones et moi même nous avaient aidés à être de plus en précis dans notre travail. Maintenant, la zone était trop faible, j'avais fait disparaître mes doubles afin de limiter le pourcentage de mon repérage. Dans des feuillages j'entendais un bruit, deux hommes qui parlaient. Aucun bandeaux n'étaient visibles sur leur front ou sur n’importe quelle partie de leur corps voire même de vêtements. Une idée me vint. j'invoquai deux crapauds, l'un, avait pour but d'envoyer un message. L'autre, avait pour but de faire diversion. Je sortais un pinceau, écrivais rapidement sur un parchemin que j'avais tiré de ma sacoche et le donné à Gama speed, il allait trouver mon Kage et la prévenir. Maintenant, Gamakichi savait ce qu'il avait à faire. Je lui donnais une clochette et il partit dans sa direction. J'avais trouvé le campement de ces jeunes bandits. Il fallait agir et vite, il semblait être en cours de préparation afin de changer de lieu de couchette. L'improvisation était parfois de mise, chez un ninja. |
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