Minato Namikaze Ninja Inconnu
Messages : 164 Date d'inscription : 18/10/2012 Age : 31
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| Sujet: [Examen Juunin Aka]Un seigneur par la poste ! Ven 28 Déc - 21:50 | |
| J'étais partit de Konoha depuis quelques jours, déjà. Le chemin jusqu'à la planque n'avait pas été d'une longueur immense, non, le temps était passé plus ou moins vite grâce aux altercations verbales de mon nouveau chef et moi même. C'était plaisant mais tout de même un peu fermé et timide, pour le moment. Notre rencontre s'était faite assez fortuitement, après l'examen de chuunin. Haha.. Cela faisait déjà un mois, depuis ce moment là? La roue tournait de plus en plus vite. J'étais emporté dans ce fleuve inébranlable de réalité, de découverte d'un nouveau monde et de l'acquisition d'un nouveau pouvoir. Il m'avait trouvé, bien trouvé. Je savais que cette organisation allée être le point culminant de mon histoire, ou, du moins, serait l'ascension vers le paroxysme de ma vie. Bien, toujours est-il qu'en partant de mon ancien village, j'avais lancé une phrase à Pain, qu'il semblait avoir réellement prit en compte, pourquoi? Ecoutez la suite.
Ma chambre était quelque peu moisis: de l'humidité sur les rebords des meubles, un fin cercle vicieux de moisissure à l'intérieur du bois de ce qui était maintenant mon placard et, une couche de poussière absolument voluptueuse. La flemmardise aiguë s'était emparée de moi: depuis mon déménagement, mon installation dans cette nouvelle chambre, je ne m'étais même pas donné la peine de la ranger, de la nettoyer un peu. Cela devenait extrêmement urgent, je vivais dans l'insalubrité total alors qu'il ne me sied guère de dormir dans ce genre de désordre. J'allais commencé mon nettoyage quand quelqu'un toqua à la porte... Mais... Qui cela pouvait il bien être?! Sans trop le faire attendre, je l'invitais en haussant un minimum la voix " C'est ouvert! ".
La porte s'ouvrit lentement, dans un rythme mélodramatique. La lumière synthétique du repère entra minutieusement en suivant la lenteur de l'ouverture. Le suspens était immense, intense même! C'est là, qu'il entra: Un roux avec des piercings sur le visage, cheveux courts, Pain. Haha! Je vous ai bien eu n'est ce pas? Sachant que nous n'étions que deux dans cet endroit volumineux, c'était clairement difficile de deviner la personne qui avait toqué! Bref, revenons en à nos moutons: Pain me salua, j'en fis de même mais ne resta pas bien longtemps. Il me donna une mission et, celle-ci, il fallait que je la vois comme une mise à niveau de mon expérience, de mes aptitudes et, peut-être serait-elle significative, peut-être deviendrais-je Juunin par le biais de cette même mission. Mon chef partit, je restais seul avec le rouleau dans les mains. Je l'ouvrais délicatement sans pour autant être lent, attisé par la non connaissance de cette mission. Enfin, après le déploiement du papier, je la lisais. Haha, elle paraissait intéressante, une bonne information à garder pour un chantage quelconque. Mon but était simple, il fallait que je kidnappe le seigneur du Pays du vent afin de l'amener jusque chez sa maîtresse. Ralala... l'infidélité de nos jours, je vous jure. J'enfilais mon kimono assez rapidement, prépara un baluchon et enfila un long manteau noir, le bandeau frontal de Konoha, avec, dessus, une fine rayure dans le milieu de celui, barrant la feuille de Konoha. J'étais maintenant un déserteur. J'accrochais mes doubles lames à ma taille, à la ceinture de mon Kimono, fermais mon manteau et passais la porte de ma chambre tout en revêtant ma capuche noir. Cette mission avait été demandé par le seigneur en particulier, il fallait que j'agisse comme un ninja externe au Pays du vent pour faire passer mes actions comme un acte de terrorisme, afin d'éviter le maximum de soupçon. M'enfin, cela voudrait dire que je devais faire preuve, d'une part, de discrétion et d'une autre part, je devais semer sa garde afin de pouvoir l'emmener librement jusque chez sa maîtresse. Celle-ci n'était pas si aisée que je ne le pensais mais serait certainement intéressant pour observer mon niveau. Sur le chemin jusqu'aux alentours de la demeure féodale j'avais invoqué ma grenouille parchemin, avec, en elle, toujours l'un de mes rasengan. Elle se logea au niveau de mon épaule.
Je ralentissais quelque peu la cadence, dans un kilomètre, tout au plus, j'allais me trouver dans la zone qui était certainement très surveiller. Je prenais, bien sûr, toutes les mesures nécessaires, a commencé une invocation: Gamakichi apparut à mes côtés.
" Yo Minato! Comment tu vas?! Ca va Gama kichi! T'as passé un bon réveillon? Ouais! digne d'un amphibien! Parfait pour toi, dis moi, tu peux aller en éclaireur, dans la continuité du chemin, pour moi s'il te plait? Oki Doki chef. " Je hochai la tête en gage de remerciement et continuais ma route. Je ne mis pas plus de quinze minutes pour arriver à l'entrer de la surveillance des gardes. Gamakichi revint pour me signaler le nombre de guetteurs en mouvement ou non et il n'y en avait pas qu'un peu certainement assez pour s'amuser. J'avais l'information que trois équipes de deux ninjas faisait le tour de la zone, entre les deux zones de la forêt qu'étaient séparés par le chemin indiquant la route juste qu'au logement du seigneur de ce Pays. J'invoquai trois Kage bunshin. Deux allèrent sur le côté gauche de la flore alors que mon clone et moi même nous dirigeâmes dans son côté droit. Un chacun à tuer ou assommer, comme bon nous semblait. Mais, si nous voulions que les soupçons ne sont pas portés sur le fait que tous soient encore en vie après un kidnapping, c'est qu'il y avait certainement quelque chose de très peu net. Je voulais éviter quelques déductions de ce genre alors je ne comptais pas y aller de main morte. Nous approchions, d'après Gamakichi, de l'endroit où était supposé passer les veilleurs. Je montais sur une branche et mon clone se cacha sur le sol, à plat ventre, sous un buisson. J'accrochai une corde à mon Kunai et attendais sans le moindre bruit, calme comme un pissenlit sauvage. Dix minutes passèrent, j'étais toujours perché sur ma branche, comme le corbeau qui tenait en son bec un fromage, enfin, nous entendions les voix de deux qui s'occupaient de cette partie là de la forêt, ils s'approchaient, de plus en plus jusqu'à nous passer, nous nous trouvions à cet instant, dos à eux. Sans tarder, nous lançâmes l'assaut. Je jetai un kunai dans la nuque de l'un des rondeurs, le planta directement contre un os et sauta de ma branche, corde à la main. j'avais appelé ça le bal des pendus, quoi de plus normal. L'un des corps étaient en train de pendre, sous une branche, un décors merveilleux avec cette pleine lune gargantuesque. Mon clone, lui, pendant ce temps avait tordu le cou de la seconde personnes. Nous continuâmes notre route: la première partie de la zone avait été dégagée. Une deuxième patrouille n'allait pas tarder: Nous en avions tué seulement deux sur les six.. Il fallait continuer dans cette lancé et, j'avais un plan en tête pour la seconde patrouille, par chance, j'avais le matériel nécessaire. Je sommais à mon clone de se mettre au milieu de la route.
Mon second moi se trouvait parfaitement dans son centre, sur le chemin, allongé tel un mort ou un blessé en caleçon, dénudé avec quelques coups sur le visage, faisant penser qu'il sortait tout juste d'un affrontement avec des bandits ou des voleurs quelconques. J'optais toujours pour une tactique rusée, de toute manière, vu le nombre de patrouilleur dans les alentours du domaine, je préférais être le plus discret possible, pour commencer. Après cinq minutes d'intense solitude pour mon clone, les somptueuses voix de nos cibles se faisaient bien entendre. Je montais, encore une fois, dans une arbre à quelques mètres du sol. Ils furent enfin visible à notre champs de vision et il semblait que mon clone l'était aussi pour le leur car ils arrivèrent assez rapidement, certainement des interrogations dans leur esprit. Mon double faisait mine de souffrir, eux, lui demandèrent comment il avait pu se retrouver dans cet état, un simple sourire et un "comme ça", furent ses réponses, accompagnés de son index qui pointait derrière le dos, en l'air. Je m'y trouvais, à ce moment là, mes doubles lames à la main. Je vis leur visage avec une mimique effroyable lorsqu'ils virent la pointe vorace de mon arme. Mes lames s'enfoncèrent dans chacune des gorges de ceux-ci, à l'intérieur de la tranchées et tombèrent à même le sol: j'étais accroupies, entre les deux, du sang sur la joue.Je me relevais, retirant mes deux lames de mon corps et les rangea. Enfin, mon clone et moi même cachèrent le corps des deux victimes: quatre sur six, encore deux et nous avions fait le plus gros. Tout deux prîmes l'apparences de mes meurtres afin de continuer dans le sens où allait arrivait les veilleurs. Cinq minutes nous suffirent car nous étions en train de courir dans leur direction, pour les croiser avec une mine affligée, soupçonneuse.
Les derniers veilleurs arrêtèrent leur route dès que mon clone et moi même, sous l’apparence de leurs compagnons, arrivâmes à leur niveau. Leur visage était emplis de questionnement et je jouais mon rôle:
" Vite, vite, il faut alerter le domaine! Il y a un ou plusieurs intrus! Comment le savez vous?! Deux des premiers veilleurs... nous les avons retrouvés mort..."
Ils se jetèrent tout droit dans la gueule du loup: en direction du cadavre du pendu et de l'autre au cou tordu. Ils eurent tout deux un moment de silence.
" Comment cela a-t-il pu se passer...! Comme ça. " Mon clone, toujours sous le masque de son ami, lui transperça la gorge. Moi, j'essayai d'en faire de même mais l'autre stoppa mon coup de kunai et me donna un coup de poing dans les côtes. Je ne m'y étais pas attendu, vénérable de sa part. Je serrais quelque peu les dents, sous la faible intensité de la douleur et fit une poussée de chakra sous la plante de mes pieds afin de me propulser vers lui. Je donnais un second coup de kunai assez prévisible, dans le but de capter toute son attention. Le but ne loupa pas: il bloqua mon mouvement mais fut déséquilibré par deux senbons plantés tout droit de tendon d'Achille. Il tomba à genoux, sous l'intensité de la douleur et j'en profitais pour lui donné un coup de genoux dans son nez, tout en rattrapant son crâne de ma main gauche. Je rapprochai son visage de mon corps et lui transperça le front avec le kunai qui se trouvait depuis le début du combat, dans ma main droite. Il mourut les yeux et la bouche ouverte. Celui-là avait été un peu plus résistant, s'en était même noble. De nouveau, nous cachâmes relativement rapidement les deux nouveaux corps ainsi que l'autre à terre. Néanmoins, je laissais mon pendu, c'était tout de même un magnifique plan avec la nature: six sur six hommes étaient mort, je pouvais user de cette farce encore un peu, avant que l'alarme ne soit donné vu que tout était silencieux, pour l'instant, j'en déduisais que mes clones de l'autre côté de lu chemin avaient réussis a tuer la totalité, ou presque des gardes. Néanmoins, je n'aurais pas pas besoin d'eux pour le moment, ils étaient seulement chargés de rester positionner à l'extérieur du domaine afin de me créer une ouverture en cas de besoin. Mieux valait assurer ses arrières. Quant à mon double et moi-même, nous faisions présentement route sur le côté droit de la porte d'entrée, qui elle était gardé par deux gardes, comme dit précédemment. Gamakichi était toujours avec nous, je lui donnais une clochette et préparai mon coup. Tout d'abord, Gamakichi allait faire une petite diversion, mais suffisamment importante pour faire bouger l'un des deux gardes. Ensuite, mon clone en tuera un, silencieusement, bien entendu et, pendant ce temps, caché derrière un tronc assez robuste, je prendrai son apparence afin d'appeler le second gardien de la porte, pour faire, sans surprise, exactement la même action mis à part le fait que je serais le tueur. Tout se passa comme prévu, en seulement cinq voire quatre minutes. Gamakichi attisa la curiosité du garde de notre côté, mon clone lui tordit le cou tout en ayant sa main sur bouche pour prévenir de n'importe quel son, moi, j'avais pris son apparence et ainsi de suite. Mon clone et moi même partîmes à la porte, il reprit la place du gardien de porte. Moi, je courrais à l'intérieur du village, en direction de la chambre du seigneur de Kaze no Kuni, faisant mine de lui apporter une nouvelle surprenante ou exaltante ou je ne sais quoi d'autre.
Son logement ne fut pas bien difficile à trouver, il n'était pas incroyablement tard alors, sa pièce était encore allumé. Pour sûr, il devait s'attendre à me voir. J'ouvrais la porte coulissante en bambou, à genoux.
" Mon seigneur, je vous apporte une nouvelle pressante. Entres. Merci. "
J'entrai et fermez la porte, je m'agenouillais à ses côtés et lui chuchota à l'oreille que j'étais venu dans le but de le kidnapper et l'emmener voir sa congénère, alors... il fallait qu'il joue le jeu le moment venu, pour l'instant, nous devions faire preuve de la plus grande discrétion. En tout cas, pour prévenir en cas de besoin et, surtout, pour gagner du temps, je liais le seigneur par les mains et lui planta un chiffon dans la bouche afin qu'il ne hurle pas. Si un ninja tombait sur nous à tout hasard, alors il pourrait d'ors et déjà jouer la comédie. Je le prenais sur mon épaule, comme un sac de patate. Il allait alourdir mes déplacements.. Mmh.. Un facteur que je n'avais pas réellement pris en compte, je mordais mon pouce afin de faire couler un peu de sang, en guise de préparation. Maintenant, il fallait que je rase les mur, les habitations, pour éviter de me faire voir ou me faire remarquer, le plus possible. Gamakichi était toujours quelques mètres devant moi, il me servait toujours d'éclaireur, me prévenant si quelqu'un approchait ou si la voie était libre. J'avais parcouru la moitié du chemin d'alors, il ne me restait seulement quelques minutes, quelques mètres, cinq cent, tout au plus et j'arrivais jusqu'au porte de la demeure. Bien entendu, je continuai ma course. L'alarme général fut donnée, certainement qu'ils avaient dû vérifier les endroits les plus plausible où le seigneur féodale aurait pu se trouver mais qu'il n'y était pas. Après tout, quoi de plus normal.. vu qu'il était sur mon dos. Heureusement, l'un de mes clones étaient encore à la porte, réagissant pareillement que moi, je savais qu'il allait toujours faire mine d'appartenir à la garde du seigneur postal en allant dans leur sens: C'est à dire, en courant dans le village à la recherche des intrus. Il allait finir par nous trouver. Ma course commença de plus bel. Je me trouvais toujours sous la forme du ninja de cette patrie. Je sautais sur un toit. Un ninja me vit; il signala mon arrivé et ma position à ses congénères. D'une main, je faisais un mudra. Mon ennemi voulut me planter un katana dans le ventre. Malheureusement pour lui, une brique prit ma place:je réapparaissais sur le toit qui se trouvait quelque peu en arrière de ce même homme et lui envoya deux kunai: un dans chaque plis de l'arrière du genoux. Il tomba à terre, les projectiles avaient endommagé ses tendons. Je continuais ma route, je n'eus le temps que de sauter sur deux autres toits: un projectile rafla ma jambe, libérant une fine coupure. La douleur me fit reprendre mon apparence: le manteau et la capuche noirs toujours présents. Je râlais un petit peu en faisant un raclement avec ma langue. Ça ne me plaisait pas du tout. Je continuais ma course et composer des signes d'une main, à la fin de ceux-ci, d'autres projectiles arrivaient derrière moi. Je vous rassure, je n'étais pas devin: j'étais seulement prévenu par les coup de pied déplaisant du seigneur volatile.
Rapidement, je me retournais et mis la main devant moi en plein saut: Gamatabi apparut, bloquant les projectiles, je me retournais et j'eus seulement le temps de voir deux kunai en direction de ma tête. Ce n'était pas de faux ninjas, ils étaient vraiment plutôt bons. Je réagissais rapidement: Je bloquai quelque peu le corps mouvent du seigneur avec ma tête et un peu de mon bras tout en composant un signe de croix avec mes deux mains. Un clone était apparut à mes côté et me tira rapidement sur la droite, me faisant éviter deux kunais ou presque.. L'un m'avait entaillé mes bras gauche. Mon clone avait lui, disparut, tombant vers le bas et le projectile qui m'avait touché planté dans le cou. Presque à la sortie du village, n'ayant reçu aucune expérience de mes kage bunshin externes, il allait de soi qu'ils n'avaient pas disparut et donc, par déduction, qu'ils m'attendaient cachés, non loin de l'entrée. Encore un effort et j'étais couvert. Je savais que Gamatabi allait pouvoir retenir un ou deux ninjas qui venaient de l'arrière mais il n'allait pas pouvoir le faire pour toutes la colonie qui allait surgir. Cinq shurikens allèrent se planter directement dans le corps, à la verticale, du ninja qui avait essayé de me tuer lors de mon saut. Zyeutant aux alentours, j'apercevais mon clone, qui lui, était toujours avec l'apparence du garde. Nous arrivâmes à la porte, je commençais à courir. Encore plus de ninja arrivait: mon clone se suicida en se plantant des parchemin explosif dans ses vêtement, devant la porte. Tous avaient vu que leur seigneur avait été kidnapper. Cependant, je savais pertinemment qu'ils n'allaient pas s'arrêter là, ce n'est pas quelque chose de même qui allait les faire se stopper das leur recherche, cela ne pouvait que les ralentir.
J'avais franchis la porte depuis déjà deux minutes, mon colis toujours sur l'épaule. Un clone vint à ma rencontre et me demanda de le suivre, les ninjas adverses avaient reprit leur recherche et commençaient à nous prendre du terrain sur notre avance. Une explosion retentit dans cette partie de la forêt. Mon double m'expliqua avec rapidité qu'ils avaient prévu notre fuite et avait posé des pièges dans une majorité de la partie proche de l'entrée de la demeure. Nous allons pouvoir gagner du temps, ils avaient bien réfléchit, pour le coup. Nous nous séparâmes, pour qu'il puisse gagner du temps en bloquant les quelques ninjas qui allaient passer. Tous était impossible pour lui, cela en était certain mais il réduira les effectifs. Avant de rester sur place il m'indiqua la route à suivre pour retrouver mon dernier bunshin. Bien heureusement, notre rencontre fut réellement instantanée: il était venu à ma rencontre. Plus de piège était présent cette fois. Dix minutes passèrent, mon pas était ralentit par le poids du seigneur (il n'était vraiment pas léger, je me demandais même que diable avait il sur lui pour peser autant alors qu'il était mince comme une frite!), des bruits de courses se faisaient entendre dans la nuit. Il n'en restait plus beaucoup, à en juger par le nombre de pas qui court sur les feuillages. Quatre, tout au plus. J'allais m'en occuper personnellement, cela pouvait être intéressant et puis j'étais quelque peu blessé au bras gauche et à la jambe. Je donnais la lettre humaine à mon clone, ayant toute sa mobilité, il serait plus rapide que moi. Je m'arrêtais pendant ma course et me retournais pour faire face au quatre autres ennemis qui n'allaient pas tarder.
Ils étaient déjà là, très vite, j'invoquai Gamatatsu, sur le sol. Deux ninjas, parmi les quatre, me donnèrent un coup de point en même temps et sur le côté. Je fis une roulade avant dans le but de les éviter, dans le même temps, l'un des quatre autre était dans les airs en train d'essayer de planter un tentô dans mon crane. Pendant ma roulade, je prenais appuie sur ma main droite et ma jambe droite pour faire un saut vers la gauche et me remettre debout. Le quatrième ninja m'attaque avec une technique suiton de bas niveau, je l'avais d'ailleurs déjà vu. Moi, rapidement, Gamatatsu se trouva sous ma main: je pressais son dos afin de faire sortir un jet aquatique de sa bouche, en direction du ninja suiton. Mon jet prit le dessus: Le ninja adverse vit son dos se plaquer contre un arbre: il perdit conscience. Il en restait trois: je faisais un signe de main, envoyais une claquette sur le ninja le plus à droite et dix shurikens, cinq sur le ninja du milieu et cinq autre sur celui de gauche. Enfin, je fonçais sur celui de tout à gauche. Comme prévu de ma part, grâce à son tentô, il bloqua mes projectiles et enchaîna rapidement avec un coup ascendant de sa dague, en plein dans ma mâchoire. Malheureusement pour lui, ma claquette prit ma place et je pris celle de ma claquette, moi, un rasengan dans la main, le ninja le plus à gauche, un rasengan dans le ventre. Un deuxième était hors combat, il n'en restait plus que deux. La mort de son compagnon ne semblait pas l'avoir atteint ou il ne voulait pas se faire atteindre car il voulu me donner, encore une fois, coup. D'une main, je lui bloquai la sienne, retournais son poignet tout en le cassant et le faisant lâcher le couteau. Il eut une réaction normal: un gros cris mais il réagit assez rapidement en me donnant un coup de poing de son autre main. Cependant, je ne le laisserai pas faire. De ma main libre, autrement dit, ma main droite, j'avais récupérais le tentô au vol et m'en servais pour trancher sa main libre, puis, son autre main. Des projectiles arrivèrent par dessus, j'en bloquai trois mais un autre vint laisser une coupure sur mon flanc droit, véritablement risible, néanmoins. Le dernier ninja avait évité les shurikens tout en en attrapant au vol afin de me les renvoyer. Je tappais des mains: c'était intéressant. Ma capuche était caché toujours mon visage, il menaça de me tuer si je ne lui disais pas où se trouvait maintenant son maitre. Je répondais, d'un air innocent créant une certaine rage chez mon interlocuteur. Il fonça sur moi en me donnant un coup de poing, je le bloquai facilement mais celui enchaîna sur un coup de pied balayé, je sautais en lui donnant un coup de genoux. Il sauta en arrière en faisant un saut périlleux afin de l'éviter puis se remis à charger, ses mouvements étaient fluides et rapide mais j'avais déjà plus d'un tour dans mon sac et il était le dernier restant qui pouvait nous suivre, je n'avais plus de temps à perdre. Pendant qu'il revenait sur moi, je lui donnais un coup de pied qu'il bloqua avec son avant bras, lui, rétorqua avec un uppercute de sa main gauche, je lui bloquai avec mes deux mains et lui tenait fermement. La grenouille que j'avais invoquai au début du trajet se délogea de mon corps et utilisa le rasengan que j'avais stocké dans son... ventre, disons. L'autre se le prit de plein fouet. Il voltigea quelques mètre plus loin, le corps stoppé net par un énorme rocher. Je m'approchais de lui, celui-ci était à peine demi-conscient. J'enlevais ma capuche.
" Souviens toi de moi, je suis l'éclair jaune. "
Et je partais en remontant ma capuche, suivre les traces de mon clone. Très vite, je le rattrapai et très vite nous arrivâmes dans une clairière avec une ferme digne d'un comte féerique. c'était là, la destination du seigneur, sa maitresse, une femme recluse. Je les quittais rapidement, ma mission avait était finit avec succès et, j'étais certain qu'il trouverait un moyen de décrire son évasion.
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