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 |  Sujet: Élimination disciplinaire - D  Dim 6 Jan - 19:41 | |
| - Spoiler:
Rang D – Correction disciplinaire… Non, élimination disciplinaire !
La prison de Kiri regroupe bon nombre de malfrat, des tueurs, des pilleurs, des violeurs et comment dire… Le nouveau Kage ne prône pas vraiment la prison, garder quelqu’un en vie coûte de l’argent qu’on ne peut pas utiliser pour sa propre armée, donc vous devez aller aider et superviser les médecins qui s’occupe de réduire au silence éternel tous ses moins que rien… Attention plusieurs sont conscient de la situation et ne compte pas se laisser prendre.
Lignes minimums : 40 Lignes
Récompense : 70 Ryos | Kage : 50 Ryos. | 50 XP
Lieu de la mission : Prison de Kiri.
Oh toi criminel, ayant trahis la confiance de l’un, comme celle de tous, toi ne pouvant vivre avec tous sans te corrompre, mérites tu réellement de vivre ? La mort elle-même veut-elle réellement de ta personne ? Oh pauvre de toi, perdu dans les tréfonds de la noirceur, n’arrivant pas à te contrôler, toi être que personne ne veut, toi dont la vue répugne, que lorsqu’on te voit, on espère au plus profond de soi que tu meurs dans les secondes à venir. Peux-tu réellement te racheter de tes péchés ? Ou bien es-tu condamné de ta vie à souffrir de ta position, de la même manière que tu as fait souffrir le monde autour de toi pour ainsi avoir une telle position. Le monde ne veut plus de toi, le cout de ta vie est trop élever, toi qui a certainement été acheté pour tuer, à présent on ne veut plus payer pour ta vie. Laisse-moi donc finir ta vie, aussi infime soit elle, laisse-moi libérer ton âme, la terre ne te veut plus, fais toi donc à présent accepter par les flammes. Que le purgatoire s’abatte sur ta personne, je tiendrais sa lame dans ce dernier geste, permettre le dernière battement de ton cœur, la dernière impulsion qu’entreprend ton sang, le dernier soupire sortant de ta bouche, le dernier souffle de vie quittant tes yeux sous la terreur que prendra ma silhouette se confondant avec celle de la faucheuse. Je suis là devant toi, ma lame à hauteur de ta poitrine, toi allonger sur un support solide, aussi froid que ton âme dans le geste qui t’as finalement valu la peine d’être à présent ici, complètement immobile, n’arrivant pas à communiquer avec tes membres, n’arrivant même pas à bouger ta langue. Pries tu à présent mon cher ? Ou bien repenses-tu aux crimes que tu as commis, le regrettant … Non certainement pas, tu dois être là à justifier ton geste, espérant que de comme un accord, on comprendra et acceptera cela. Je le comprends, je l’accepte, comme il te faudra accepter mon dernier geste envers ta personne, celui qui amènera ta personne vers un autre monde, noir inexistant ou bien éclatant et redoutable. Adieu, que la souffrance t’accompagne une dernière fois …
D’un geste franc, net et précis, la lame aiguisé, outil médical habituellement utilisé pour sauver des vies, cette fois-ci son but allait être d’en voler une. Laissant l’arme blanche à l’intérieur du corps le temps des derniers instants, alors qu’ayant visé le cœur, ce dernier à présent avait arrêté de battre, laissant seulement un flot de sang cédant à la pression. Enlevant ainsi l’arme quelques secondes plus tard, comme si dans son extraction, il fut accompagné par l’âme du « patient ». En voilà un de plus, le quel sera le prochain – pensait-il seulement à présent alors qu’il s’éloignait du nouveau mort. Il fallait se dire qu’à la base, il ne s’attendait pas vraiment à avoir cette occasion d’en finir avec une personne lors de cette mission. Lui s’attendant qu’à la protection des médecins qui eux finiraient les criminels de cette prison eux même. Cela pouvait sembler bizarre en effet, mais le nouveau Mizukage ne souhaitait pas investir de l’argent dans le maintien en vie de ces lourds criminels, profitant de la prison et surtout continuant d’agir à l’intérieur comme s’ils étaient à l’extérieur. Sauf qu’après un certain nombre de mort suspect, même ceux à l’intérieur de la prison pouvaient comprendre ce qu’il en était. D’où la protection nécessaire de la part d’un ninja, devant faire en sorte que même ceux suspectant cela puisse être tout de même tué. Et jusque-là aucun problème ne survint, qu’il s’agisse des morts à l’extérieur de l’infirmerie carcéral, faisant penser à un règlement de compte, ce qui permettrait sans trop besoin de chance à des confrontations nombreuses entre criminels et finalement à blessés et morts, tous finissant à l’infirmerie et étant en partie tué une fois à l’intérieur. Mais alors que tout allait bien, l’un d’eux ne se laissa pas faire, agissant surtout comme on n’aurait pu s’y attendre. Faisant lui-même en sorte d’atterrir ici et alors que tous pensé qu’il était gravement blessé et donc une cible facile, il se rebella. Blessant deux médecins dans son geste, Kuroro fit directement irruption, plantant un kunai à l’épaule de l’homme, bien trop corpulent pour être défait par si peu. Il occasionna par la même occasion de lourd coup au corps du Shinobi, ce dernier ne pouvant qu’esquiver de justesse, enfin de manière à ne pas lui tomber KO par cela. Ce n’est qu’en risquant un peu plus qu’il finit par avoir l’homme, alors que le poing atteignit fortement le visage de Kuroro, lui avait enfoncé une seringue au cou du corpulent criminel … Cela l’amenant à la scène de départ après de vague minutes dans les vapes. Réussissant à convaincre de finir cette personne lui-même, sans trop de mal étant donné l’absence à présent de deux des médecins, il put ainsi achever l’homme. Après cela, les quelques exécutions restantes se firent plus facilement et à vrai dire le calme était bien plus intense à l’intérieur de la prison, certainement devaient-ils savoir pour le geste inconsidéré de l’homme dernièrement exécuté. A acte libérateur, l’audience se doit d’être silencieuse …
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