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Le village de Kiri remontait tranquillement la dure pente dans laquelle il était tomber. Le monde lui-même commençait tranquillement à avancer d'une façon continue vers une nouvelle lumière qu'Hashirama commença à se demander s'il avait la force nécessaire pour défendre son village à la prochaine occasion que quelqu'un trouverait pour redescendre Kiri dans la noirceur la plus totale. Le village de Kiri avait vécu sous tyrans après tyrans sans jamais avoir réellement le temps de sortir la tête de son trou et d'admirer le monde, et Hashirama tentait de toute ses forces de sauver son village de toute les façons possible. Le soleil traversa la brume pour tomber sur le visage du Mizukage se préparant pour une nouvelle façon de grandir. Il devait devenir plus fort, toujours plus fort, et un jour, donnerait-il la gloire à Kiri. Le Mizukage entreprit une quête pour lui-même permettant d'emmener un peu plus de lumière sur Kiri. Il devait maintenant se diriger vers le village de Yuki no Kuni, village de la neige pour empêcher une catastrophe de se produire. Celle-ci ayant déjà commencer, ce serais plus d'arrêter la catastrophe qu'il était question. Le monde avait bien mal tourné depuis qu'Hashirama était né. Les guerres entre clans, les guerres entre villages, et maintenant des ours qui tuaient des gens. Mais dans quel sorte de monde le Mizukage était-il bien tomber? La route vers Yuki no Kuni était longue et dure, et il devait faire vite. Utilisant son Mokuton pour se propulser aussi rapidement que possible vers le village de Yuki, il se trouva bientôt forcé de changer ses vêtements. En peu de temps, le monde s'était transformer. La neige recouvrait le sol et les arbres, les plantes et la végétation ne semblaient plus pousser de la même façon, et les montagnes semblaient toutes plus grandes et plus massives que ceux de Kiri. La neige elle-même était plus froide que l'eau des endroits les plus frais de Kiri. L'enfer glacial de Yuki pouvait pour certain signifier la beauté, et pour d'autre plus vieux la tristesse. L'enfer blanc était de loin le champ de bataille le plus triste n'ayant jamais vue le jour, parce qu'à chaque morts on pouvait voir le sang rouge couler sur le champ de bataille et finir par recouvrir chaque centimètres de neige. Malheureusement, sous cet enfer blanc, à plusieurs mètres de profondeurs, se trouvaient encore les corps de bien des héros ayant perdu la vie au combat, et Hashirama ne le savait que trop bien. D'un hochement de tête compatissant, le Mizukage continua sa route vers le village de la neige pour y trouver des gens courant dans tous les sens tentant d'échapper à la colère de l'ours enragé.

L'ours face à Hashirama était bien plus massif que tous les ours qu'il avait un jour rencontrer, il lui fit même penser à l'homme de la forêt, même s'il savait éperdument que ce n'était pas le même. L'ours blanc de plus de huit pieds de hauts, chargea à toute vitesse vers son nouvel adversaire et tenta de lui déchirer le corps d'un coup de patte malheureusement sans succès. Hashirama évita de peu l'offensive adversaire pour se mettre à bombarder de pieux de bois l'ours enragé, tentant de le blesser et de l'empêcher de combattre de toutes les façons possible. Les pieux de bois se heurtèrent à la fourrure épaisse comme sur de la brique, les repoussants aisément. L'ours ne fit que devenir encore plus enragé et fonça une nouvelle fois vers le Mizukage. Celui-ci tenta de bloquer la patte approchant avec un Kunai mais ne réussit pas, voyant son bras presque disloquer se faisant propulser vers l'arrière, Hashirama ne put faire mieux que de reculer de plus en plus loin de l'ours. Il se mit à courir, bombardant de temps à autre l'ours polaire pour le forcer à le suivre et l'éloigner de la ville. Lorsqu'ils furent à quelques dizaines de mètres des murs de bois du village, Hashirama se positionna et des marques apparurent sur son visage. Hors de la vision des autres, il s'assurerait que son Jutsu le plus secret ne soit jamais découvert avant un bon moment. Des arbres se mirent à pousser aux alentours de l'ours et de lui-même, empêchant les regards indiscret, et bloquant toute sortie. L'ours se vit frapper à plusieurs reprises par des branches gigantesques sortant du sol, tentant de l’assommer tant bien que mal sans réussir. La patte de l'ours frappa à nouveau Hashirama mais ce coup ci au torse, endommageant son armure et le propulsant plus loin. Maintenant dans toute sa rage, des arbres bien plus gros qu'avant se mirent à pousser de tous les côtés et immobilisèrent l'ours sans qu'il n'ait même la simple possibilité de bougé une seule de ses griffes. Les marques sur le visage du Mizukage s'effacèrent et les arbres entourant la scène s'estompèrent dans le sol, laissant seulement l'ours immobiliser sur place, voyant les autorités de Yuki no Kuni approcher de la place.

« Il est à vous messieurs. »

Hashirama repartis tranquillement vers son village laissant derrière lui l'ours immobiliser qui finirait par se calmer avec le temps et les autorités de Yuki no Kuni espérant qu'ils arrivent à le calmer sans avoir besoin à nouveau de son aide. Alors qu'Hashirama repaissait à travers le village, il regarda le sang rouge sur la neige blanche couvrir le sol. L'ours avait blesser bien des gens, et pourtant ils le garderaient toujours. C'est bien facile de se venger, mais tellement dure de pardonner. Espérant simplement que le village lui-même y arrives. C'est bien plus que dure que ce qu'on ne puisse croire, surtout lorsqu'on a été particulièrement toucher par le mal lui-même. Hashirama retourna vers Kiri et passa en face de cet endroit qui avait choquer son esprit. Sur ce champ de bataille un nombre incroyable de héros se battant de toutes leurs forces pour défendre les gens qu'ils aimaient sont mort créant toujours plus de tristesse. C'est pour cette raison qu'Hashirama était toujours Kage. C'était pour tenter de réduire la tristesse du monde à son minimum, et avec le plus de chance possible réussir à l'exterminer. La tristesse est la chose la plus dangereuse au monde, créant même les pires monstres et les plus sombres pensées. Hashirama arriva enfin à son village, pour se stopper devant les portes et se poser toujours cette même question qui repassait si souvent dans son esprit :

« Suis-je assez fort pour même seulement empêcher mon propre village d'être triste?.. »

Les meurs du village de Kiri avec le temps avaient finit par se faire bien moins fort que ce qu'ils avaient été. Les pleurs des enfants et des mères pleurant leurs maris disparus à la guerre avaient cessé depuis quelque temps et le village commençait lui-même à s'épanouir. Mais malheureusement un seul bout de gazon vert ne change pas la terre morte d'une façon rapide, cela prends du temps, et bien plus qu'un seul brin. Hashirama avait beau être un brin fort, mais à grande échelle, il n'était qu'un simple brin d'herbe. Sur l'échelle du monde, il n'était qu'un minuscule point sur une carte gigantesque qu'il n'arriverait probablement jamais à changer, mais il donnerait tout ce qu'il avait jusqu'à son dernier souffle pour soutirer des rires et des sourires des gens qu'il aime, de ses villages qu'il a tant aimé, et de ses amis avec qui il a partager les plus doux moments de sa vie. Et c'était maintenant le moment pour le Mizukage d'apprendre des erreurs des autres. Le village de Kiri lui-même était comme un ours, faisant de son mieux pour plaire à son Mizukage jusqu'au jour ou celui-ci se révolteras de toutes les façons possible pour regagner un semblant de liberté le mettant en danger, et Hashirama n'avait pas bien fait. Immobiliser l'ours, immobiliser le village pour que celui-ci se calme n'était pas la meilleure des idées, peut-être fallait-il laisser libre cours au village quelque temps, le laisser se relever et agir de ses propres actes au lieu de le forcer à danser pour plaire à son chef jusqu'au jour ou il se révolte. Hashirama devait maintenant agir de la meilleure façon qu'il le pourrait pour être le meilleur Kage que Kiri n'ait connut. Il commencerait sous peu une nouvelle façon de géré le village, et espérait de son mieux de pouvoir faire sourire autant de gens que possible. C'était là, un nouveau Mizukage qui se tenait devant les portes de Kiri, à travers la brume, une lumière qui montrerait le chemin à ceux qui sont perdu. Hashirama Senju de la Forêt, serait le guide vers un nouveau monde de bonheur et non de tristesse, de paix et non de guerre. Il serait un meilleur Mizukage que quiconque dans le passé ou dans le future, même s'il espérait secrètement qu'un jour quelqu'un de mieux que lui puisse aider le village après sa mort. Du moins, pour l'instant, les jours continueraient, la planète tournerait, et le monde serait doux, sous une douce brume du matin, dans les murs de Kiri...

100 lignes, 50 lignes d'entraînements.