Un village qui avait connu beaucoup de pertes... un village qui en était arrivé à être complètement détruit ou presque... un village qui avait besoin d'un vrai Chef en faite car les précédents n'étaient guerre bon. Ce village et bien, c'est le village caché de la brume ! Jusqu'à nouvelle ordre, il n'y avait aucune information qui s'était faufilé à l'extérieur pour les autres villages ninjas par exemple. L'information de l'absence du Mizukage n'était pas sortit de Kiri, c'était bon car celui-ci risquait d'être attaqué. Au nouvel abord, il n'y avait rien à signaler, je me demandais bien en faite qu'est-ce qu'allait faire ce village. Est-ce que les deux grands chefs du pays de l'eau allaient se décider à élire un nouveau Mizukage ou bien nous allions encore rester dans l'inconscience, dans la peur de se faire massacrer par les villages voisins. Mais c'est peu de temps après que tout ça changea. Il en fallait un nouveau, un nouveau Chef, je me demandais bien qui ils allaient choisir mais je savais pertinemment qu'il allait être compétent, c'était le but !

Il devra défendre son village après tout et non le laisser comme un pauvre déchet, comme avaient fait les précédents Kage. Ce que je les plaignais... mais surtout ce que je les haïssais. Si jamais il m'arrivait un jour d'en croiser un à nouveau, je pense bien que je perdrai mon sang froid. C'est à cause des imbéciles comme eux qu'on ne voit de nos jours plus nos proches. Qu'ils meurent ensuite sans raison. Mais voilà qu'un nouveau Mizukage devait normalement faire son apparition d'ici peu. J'étais dans les alentours du village caché de la brume. Je marchais tranquillement, observant la nature qui faisait un certain périmètre pour Kiri avant de pénétrer les portes du village. Mon capuchon à la tête comme à mon habitude. J'avançais d'une démarche neutre, les gardes me regardant attentivement, pour voir si je n'étais pas un ennemi par hasard. Signe de rien, ils finissaient pas me reconnaître, moi qui passait souvent par là.

Trois voir quatre petites mèches blanches étaient passées à travers mon capuchon, un signe qui avait du leurs faire comprendre qui j'étais. On me reconnait souvent par ma chevelure, vu que rares sont les personnes qui ont les cheveux blancs. Un pas après l'autre, je me dirigeais tranquillement vers le centre ville de Kiri... ne faisant aucun bruit, je voyais un mouvement brusque de la part du village. Les civils étaient comme précipité en faite, comme si quelque chose d'énorme allait se passer. Interpellant l'un d'eux, il s'empressait de courir vers l'avant, ne répondant même pas à ma question pour que je me retrouve sans réponse. Je suivais le mouvement, petit à petit j'arrivais enfin au centre ville où nous attendions tous l’événement qui allait suivre. Quant à moi, je montais en haut d'un immeuble, me posant contre un poteau, mais toujours debout. Je restais caché, je ne voulais pas qu'on me voit, j'aimais rester discret en faite. C'est ensuite qu'après quelques minutes d'attentes, qu'homme arrivait.

Il marchait sûr de lui, un visage bien familier me semblait-il. Bien sûr il était fort probable que je me trompais mais j'avais l'impression de l'avoir déjà croisé avant. En haut de l'immeuble, légèrement caché, je l'observais attentivement, le décrivant de haut en bas dans ma tête pour qu'il s'élance ensuite dans un discours que font généralement tous les... Kages ! Oui, il était élu le nouveau Mizukage. C'était donc lui le suivant, il m'avait l'air bien compétent en tout cas. Je gardais le silence pendant ce temps, je le laissais finir même si vu son expérience, il avait sûrement du repérer qu'il y avait une personne en haut de ce toit... où je me trouvais. Après ça, un autre homme apparut, un homme dont le nom était Shord Kyu. Je ne le connaissais pas, il avait simplement dit son nom et prénom, se présentant comme il se doit devant le nouveau Mizukage, répondant à l'appel de celui-ci. Il finissait avec son discours, un beau discours qu'il avait eu lui aussi. Voyant qu'il était inutile que je fasse mon apparition ou quoi que se soit du genre, je tournais le dos aux deux hommes à la plate forme, pour sauter de l'immeuble à l'autre, m'en allant discrètement.

* Après tout. . . ce n'est pas comme si j'avais les compétences requises pour le moment. *