Parfois, non, souvent, non plus. Pratiquement toujours, la vie ne nous fais pas de cadeau... Enfait, très rare sont les moments opportun, ou celle-ci décide de nous en offrire un. Pourtant, elle en avait eu un, il n'y avais pas si longtemps. Emiko, miraculeux cadeau de dieu... et de Sasuke. Et la pauvre... serait probablement privé d'une mère, qui l'aurait aimé, sans même avoir eut une seule occasion de lui dire, à quel point elle tenait a elle. Pourtant, notre jeune kunoichi, ne se souciais même pas de cela en ce moment, elle n'avait aucunement conscience de ce qui se passait autour, qu'elle avait déjà plus qu'une pied dans la tombe. Elle dormait profondément, et franchement, il aurait presqu'été mieu qu'elle ne se réveille pas. Elle n'aurait pas souffert, eu a souffrir... Et, elle se rendormira, peut-être ne se réveillera-t-elle jamais, qui sait ? Qui sait... Cette "elle", se nomme, enfin, je devrais bientôt m'habituer a dire ; se nommait, Lumina. (J'aime dramatiser, t'a pu le remarquer....)

"Ne laisse pas ta vie entre les mains de quelqu'un qui serait apte de te la voler à jamais."

Cling, cling, , oh... c'est froid...

Fit la kunoichi en ouvrant ses petits yeux endormis. Le corps de Lumina tremblottait, pourtant, globalement parlant, elle n'avait pas froid ; elle ne pouvait pas avoir froid de toute façon. L'hôte de Gobi leva tranquilementla tête, la position dans laquelle elle était n'était pas nécessairement inconfortable ; elle était allongée sur le sol sec et peu poussièreux, comme si quelqu'un avait nettoyer les cellules, la cheville droite attachée au sol par une chaine en métal et des maillons assez gros, comme un poing pour être plus précise. Cette chaine, était glacée, c'est ce contacte qui l'avait réveiller à vrai dire. Plusieurs questions se bousculèrent dans sa tête. Où était-elle, pourquoi était-elle ici, qu'est-ce qui c'était passé ? Est-ce que tout ça... était un rêve ? Son regard se posa sur Hiryuu, duquel elle espèrait une réponse, en vain, il semblait aussi perdue qu'elle. Lumi lui fit signe, le serpent se faufilla entre les barreaux et disparut loin, se faufilant entre les corridors, il alla explorer le territoire. Mais même si Lumi aurait voulu fuir... C'était intutil, le manège reccomencerai toujours, encore et encore, aussi bien y mettre un terme plus tôt que tard. La bête était déjà rendue bien loin, probablement hors de ce long corridore d'une trentaine de mètres...

- Ah, merde, moi qui esperait que ce n'était qu'un cauchemard.

Articula lentement la petite prisonière en se laissant lourdement retomber sur le dos. En étoile, l'air assez ébété, on pouvait lire sur son visage qu'elle était perdue, c'était écris en grosse lettre bien lisible ; H.E.L.P. Mais rien ne pouvait la sauver à ce stade, et il ne vallait rien de toute façon de déprimer, aussi bien vivre les derniers moments comme elle l'avais fait tout le reste de sa vie ; vivre chaques jours comme si c'était le dernier. Et bien c'était peut être le cas. Cette penser lui décrocha un sourire alors qu'elle se mise à rire toute seule. De nouveaux territoires et une liberté infinie, c'était de bon côtés ; tout ce qu'elle avait toujours rêver. Soudain, des bruits de pas firent irruption dans la pièce. La tignasse violette vrilla vivement la tête, ses yeux se plissèrent en mépris, ses sourcils se froncèrent, elle fit quelques mudras et coupa la chaine hyper épaisse avec une de ses onyx ; la revoila libre !!! Dans une cage. -.-' Après d'innombrables pas qui rendaient complèttement folle la bête en cage. Elle n'en pouvait pas d'être brimée ainsi. Sur chaques cages, il y avait le nom des bijuu, Ichibi, Nibi, Sanbi.... deux d'entre elles étaient occupée, Ichibi, et Sanbi. À cette pensée Lumi fut totalement soulager, au moin ce n'était pas tout les bijuus qui avaient été capturer... du coup, la fin du monde n'était pas si près qu'elle le croyais. Et PAN, le disgracieux visage de Daisuke lui bloqua la vue. Tshhhk.

- Disgracieux, est un mot qui, la plupart du temps, est utilisé à tord et à travers hmm.

Elle se releva et se flanqua entre les barreaux, plaqua son front contre celui de Daisuke. Elle était tellement petite, qu'avec une certaine manoeuvre, quoiqu'assez restreinte, elle pourrais passer entre ceux-ci.

- Enfin, je crois que cette-fois ci, il est utiliser à son apogé, surtout quand je vois ses yeux meurtriers, qui lisent en moi, comme un livre ouvert, je les haïs.

Elle donna un violent coup de tête vers l'arrière et envoya bouler ce qui restait de la chaine au pied de l'autre.

- Alors vous croyez qu'une simple chaine peut retenir une fillette, haute de ses 1m49 hmmm. Ça aurait été logique, si je n'aurais pas été entrainée...