Le règne de l'été tirait à sa fin, perdant son éternel combat contre l'automne qui apportait fraicheur et paysage coloré dans les vies de tous les vivants. Les jours se faisait plus court, le soleil las d'avoir briller de toutes ses forces pendants plusieurs mois se faisait faible et sa lumière ténu. Les nuit devenaient longues et plus la saison avancerait, plus elle serait froide. Le matin venu il serait plus difficile d'avoir un brin de chaleur qui se refroidirait comme il était venu dans les après midi.

Le ciel embrasé par les lueurs naissantes de l'aube, le soleil pointant paresseusement le bout de son nez après une nuit trop courte à son goût, la vie nocturne de la forêt du pays du Feu laissant place à celle vivant de jour.

L'air frais et matinal pénétra dans les poumons de Tenebris qui s'était malencontreusement endormi sous un arbre. Étaler sur le dos de tout son long dans l'herbe jaunissante recouverte d'une fine couche de rosée, il ne sentait pas le besoin de quitter l'endroit où il était installer, s'il avait pu il y serait resté pour le reste de ses jours, il était rare qu'il atteigne un aussi haut niveau de bien-être lorsque sa dragonne n'était pas à ses coter. Habituellement, il serait nerveux et sur le qui-vive et naturellement au plus profond de lui même il savait très bien que s'il venait à ouvrir les yeux c'est comme cela qu'il viendrait à se sentir. Mais pour le moment il préférait de loin continuer sa sieste. Il se tourna sur le coter, laissant ses pieds nus caresser les herbes perlées de gouttelettes argentés. Il expira longuement avant d'être pris d'un bâillement puissant, révélant ses crocs. Une fois la gueule refermé, il laissa reposer ses longues canines hors de sa bouche comme il avait l'habitude de faire.

L'endroit ou il se reposait était une petite clairière simple en plein milieu de la forêt. Il s'était coucher dans l'ombre d'un arbre immense, sur et certain qu'il ne serait pas déranger par les rayons du soleil. Pour le moment tout allait bien et il espérait que cela en irait aussi pour cette journée. Il devait regagner des forces pour pouvoir aller chasser au temps des ombres. Donc il se rendormi, bercer par les milles et unes mélodie chanter par les oiseaux que la brise lui apportait tout en jouant dans ses longues mèches d'ébènes.

Les heures passèrent comme une trainé de poudre au vent. Le soleil avait atteint son apogée, le sommet de son règne sur les vivants. Sa lumière éblouissante avait fait monter la température de quelques degrés. Une des branche de l'arbre sous lequel Tenebris était confortablement installer émit un grincement étrange de même qu'elle laissa une partie de son précieux apparat lui échapper, tomber à plusieurs mètres plus bas, certaine terminant leurs chemins sur le visage de Tenebris. Ce dernier qui était lors endormi se réveilla de son sommeil profond. Quelque peu confus sur la raison de son réveil, il s'assit en indien le temps de se remettre les idées en place. Il y avait un étrange voile dans ses yeux qui créait un brouillard dans sa vision qu'il n'appréciait point. Se frottant les yeux pour tenter d'y voire plus claire il se rendit bien compte qu'il ne pourrait rien y faire. La branche qui avait fait tomber des feuilles sur lui recommença à craquer, cette fois bien plus bruyamment. L'avertissement était claire aux oreilles du change-forme, il devait bouger et maintenant avant que quelque chose de bien plus gros et plus lourd qu'une simple feuille lui atterrisse sur le visage. Eu-t-il seulement le temps de se lever qu'il du éviter ce morceau de bois géant qui dans un vacarme impossible à ses oreilles n'entame sa chute. C'est en esquivant de justesse l'énorme rondin de bois d'une feinte sur la gauche qu'un léger soupir de soulagement lui échappa. Lors du l'impact, une pluie de feuilles rougissantes comme de morceaux d'écorces s'était mise à tomber. Recouvert d'un manteau végétal il n'eu qu'à s'ébrouer pour s'en débarrasser.

Une fois terminé, il lui fallut quelques secondes avant de se rendre compte de sa situation actuelle, en fait il le réalisa seulement lorsqu'un rayon de soleil de midi vint lécher sa peau d'ombre comme les flammes le feraient. Un glapissement de douleur lui échappa et il recula de quelque pas. Il ferma les yeux, puis les rouvrit pour se rendre compte que cette mince exposition avait été suffisante pour le priver de la vue, tout ce qu'il pouvait voir était un épais rideau sombre. Pris de panique, il s'agita, regardant dans tout les sens pour tenter de se diriger à l'aide de ses autres sens. Cette panique lui rongeait les trippes, ce n'était pas de la peur, la peur était quelque chose que naturellement il ne ressentait pas. Il était plus en état de détresse qu'autre chose. Il recula encore un peu…Un peu trop même. Avant de pouvoir faire quoi que se soit, il ressenti la morsure des rayons lumineux, le dévorant vivant.

Douleur, rien ne pouvait la soulager tout ce qu'il faisait alimentait le feu ardent de son désir de le consumer vivant. Il avait beau bouger dans tout les sens rien n'y changeait. Sa raison l'avait quitté depuis longtemps, tous ce qu'il lui restait était son instinct de survie, qui lui criait de faire quelque chose, n'importe quoi pour que ça arrête. Alors il fit la seule chose qu'il pouvait faire dans le moment, il se charcutait lui-même à l'aide des ses griffes et crocs. Mordant tout ce qui venait à porter de sa gueule sur son corps, ses griffes s'affairant à faire de même. Pour lui, la douleur physique qu'il s'infligeait réussissait à amoindrir celle causé par le soleil. Pourtant bien vite la douleur causée par la lumière revint en force, le pauvre ne pouvait pas faire grand-chose sauf peut-être pousser d'affreux hurlements d'agonies sans être totalement humains ou animal et se déchainer avec les dernières forces qu'il possédait. Il finit par s'écrouler au sol, rouler en boule dans l'herbe en gémissant péniblement comme un animal blessé. C'est dans cette position qu'il sombra dans l'inconscience.

Sombre et doux comme de la soie était l'endroit où son subconscient errait dans le moment. Était-il mort? Peut-être il n'aurait su le dire lui même. Ce qui lui importait pour le moment, était qu'il n'ait plus à souffrir de cette horrible boule de lumière. Il ne se souvenait pas de grand chose... Tout ce qu'il savait était qu'après avoir été dans un état entre le réveil et le délire, qui l'on amener à voir toute sorte de chose bien étrange il avait finalement sombré dans les abymes chaud et confortable...De quoi exactement?...

...

"Mira! Que fais-tu encore ici, ne perds pas plus de temps et va chercher ce que je t'ai demandé! Allez ouste hors de ma vue!" La voix furieuse et stricte d'une dame retentie dans la boutique. "Oui madame j'y vais tout de suite." S'était résigner la voix de la Mira en question. La silhouette frêle et presser de la jeune fille sorti en hâte de du bâtiment avec en main un panier en osier. Le bâtiment en question n'était qu'une simple boulangerie à allure de maisonnette. Faite de bois, peinte en jaune canari avec des fleurs en guise de décoration pour les fenêtres l'endroit qui de l'extérieur avait une allure assez champêtre, pour la jeune Mira cet endroit lui évoquait toujours plus l'enfer. Orpheline et ne pouvant que compter sur elle même elle devait se retrousser les manches et y mettre les bouchées double pour arriver à satisfaire sa patronne. Son teint de porcelaine et ses cheveux d'une couleur caramel brûlé unique lui donnait un air plus innocent qu'elle ne l'était vraiment. Vêtu de son habit de travail, une simple robe rose et de son tablier blanc à carreaux rouge cerise elle se dirigeait vers les bois à l'orée de son petit village. Étant un village plutôt isolé et en assez mauvais terme avec son voisin qui contrôlait l'import-export des biens (Autant denrée que tissus) de la région, les habitants du village vivait pauvrement dépensant leurs maigre économie dans le stricte minimum.

Et c'est pourquoi Mira devait aller cueillir les petits fruits pour les gâteaux et les pâtisseries que sa patronne confectionnait avec le plus grand soin et non les acheter au marcher. Elle entra dans les bois et commença sa tournée habituelle, passant dans tous les endroits où elle savait qu’il y avait quelque chose de bon à cueillir. Elle devait prendre tout les petits fruits qu’elle pouvait trouver dans les bois, que ce soit, fraise, framboise, mûre ou bleuet rien ne devait-être laissé derrière. Donc c’est d’un pas joyeux qu’elle entama sa journée de labeur. Même si elle aurait préféré être en cuisine et travailler que de faire ce qu’elle faisait dans le moment, mais elle ne pouvait pas y être sous le prétexte qu’elle était trop maladroite pour cette tâche. Et même si elle ne voulait pas se l’avouer, il était vrai qu’elle était de nature plutôt gauche.

Lorsque midi arriva, et qu’elle avait presque terminé sa tournée, un bruit sourd résonna à travers toute la forêt. Pourtant elle ne s’en soucia point, s’est plutôt un cri d’agoni horrible qui attira son attention. Elle déposa son panier sur un rocher avant d’aller voir ce qui avait pu causer autant de mal à quelqu’un ou quelque chose. Elle eu quand même assez de difficulté à se faufiler à travers toute la flore dense de la forêt avec sa robe qui s’accrochait ici et là sur du branchage. Finalement elle atteint une petite clairière bordée d’arbres aux feuilles rougissantes et de roches de différentes tailles. Elle remarqua qu’une des nombreuses branches d’un des arbres en bordure de la forêt s’était écroulée au sol. Regardant mieux l’endroit avec attention, elle remarqua qu’il y avait quelque chose de noire et recroquevillé sur lui-même au centre de la clairière. Elle s’approcha doucement de cette sombre et forme immobile. À son niveau elle s’agenouilla dans l’herbe toujours quelque peu humide du à la rosé du matin même. Elle remarqua bien vite que si qui se trouvait devant elle ressemblait beaucoup à homme, seulement sa peau était noire, tellement sombre qu’elle avait même des reflets bleuté sous le soleil. Le pauvre bougre, il était en bien piètre état, les herbes autour de lui étaient teintées de rouge par son sang qui s’était échappé des nombreuses meurtrissures qui recouvraient son corps en entiers. Elle regarda ses longues mèches d’ombre qui s’éparpillaient dans tous les sens avec une envie irrésistible de les toucher. Elle pensa deux minutes à lui venir en aide, mais cette idée s’évapora bien vite lorsqu’un son cœur ne fit un tour en ayant un léger aperçu de sa dentition et de ce à quoi ses ongles ressemblait. S’était tout simplement repoussant, pourtant lorsqu’elle l’entendit geindre comme un chiot blesser elle hésita à repartir sans rien faire. Elle passa une main hésitante dans ses cheveux, ils étaient aussi doux qu’elle l’avait imaginé et ils étaient agréables à flatter. Soupirant longuement, elle décida de le ramener chez-elle.

Ce fut une longue et laborieuse tâche que de le trainer jusqu’à sa chambre au sous-sol de la boulangerie sans être vu. Il était bien plus lourd qu’il y paraissait, et en plus il était plus grand qu’elle de plusieurs gros centimètres. Une fois dans sa chambre, elle l’étendu sur son lit (il prenait toute la place) puis se mis en charge de pansée ses blessures. Une fois enfin terminé elle se souvient qu’elle avait laissé son panier de fruit dans les bois et que si elle ne les ramenait pas bientôt à sa supérieure il y aurait des conséquences. Alors elle ressorti en trombe de la boulangerie allant trouver son panier qu’elle ramènerait avant le coucher du soleil.

...

Il était toujours entouré de ses merveilleux draps de soie, il se sentait tellement bien. Il lâcha un soupir d’aise. Puis il se tourna sur le coter, s’enroulant dans ses draps imaginaire sans savoir qu’il était vraiment dans un lit et qu’il s’était vraiment enrouler dans de vrais draps, choses qui à ce jour lui était complètement inconnues. Après plusieurs minutes il finit par se rendre compte qu’il était éveillé. Doucement il ouvrit les yeux, et à sa plus grande joie, il avait enfin retrouvé le sens de la vue. Il scruta de près la pièce dans laquelle il était. Les murs étaient constituer de pierres de différentes taille grossièrement empiler les unes sur les autres, le plafond était recouvert de planche de bois et le plancher n’était que du vulgaire béton recouvert d’un mince tapis. Sauf peut-être une chaise berçante et un petit fauteuil il n’y avait rien d’autre dans la pièce. Tenebris qui regardait tout autour de lui avait un point d’interrogation imprimer sur le visage, se demandait intérieurement où il était et comment il y était arrivé. Les blessures qu’il s’était infligé avaient été prises en charge et il était allonger sur quelque chose de moelleux avec un autre truc encore plus moelleux pour soutenir sa tête. En plus pour qu’il n’ait pas froid, on l’avait recouvert d’une couverture. Contant dans son fort intérieur même s’il ne savait toujours pas où il était il se rendormi.

Lorsqu’il se réveilla pour la deuxième fois, s’était parce que la porte en bois avait grincé lorsque quelqu’un l’avait ouverte. Les sens en alerte, il ouvrit les yeux, se redressa et fixa ce qui venait d’entrer dans la pièce. C’était une jeune humaine, il la regarda se demandant que faire. Il la laissa l’approcher, elle lui dit d’une voix rassurante qu’elle devait changer ses bandages pour ne pas que ses plaies s’infecte. Il décida de la laisser faire. Elle retira un des bandages qui recouvrait ses bras et appliqua une pommade sur la blessure. Lorsqu’elle la lui appliqua, il ressenti une étrange douleur qui le fit gronder. La jeune fille arrêta nettement ce qu’elle faisait puis attendit un signe d’approbation pour continuer. Uns fois toute les blessures révisé et désinfecté elle lui sourit avant de lui dire de rester où il était.

De toute manière où aurait-il pu aller? Elle lui rapporta de quoi manger, une espèce de pain sucré et une part de quelque chose triangulaire et brune. Elle lui avait donné une cuillère pour qu’il puisse manger, mais ce dernier ne sachant quoi en faire l’avait mise dans sa gueule et tentait vainement de la mâcher. Exaspéré elle lui montra comment s’en servir et l’aida à manger le pondcake au citron et le morceau de gâteau au chocolat qu’elle lui avait donné.

Elle ignorait bien sur qu’habituellement la nourriture de Tenebris était les âmes des humains. Mais elle n’avait pas besoin de le savoir. La seule raison qui le poussait à ne pas la tuer/manger était qu’elle l’avait sauvé, lui un monstre. De ce fait elle l’intriguait.

Il passa plusieurs jours dans le sous-sol à dormir et manger des pâtisseries qui finalement avait tout de même bon goût. Une fois qu’il fut remis de toute ses blessures et enfin prêt pour sortir prendre l’air elle le laissait sortir de nuit, mais préférait qu’il revienne pendant le jour comme ça sa patronne ne saurait pas qu’elle gardait un homme dont elle s’occupait comme s’il était son chien dans sa chambre. Et cette entente muette l’arrangeait, il pouvait faire ce qu’il voulait au temps des ombres et dormir de joue dans un endroit ou il était sur de ne pas être atteins par les rayons du soleil.

Il commençait même à s’enticher de la petite humaine qui s’occupait quelques fois maladroitement de lui. Ce qu’il préférait était lorsqu’elle lui flattait la tête. Ayant passé une grande parti de sa vie sous sa forme animal il restait toujours plus proche du loup que du l’humain même sous sa forme humaine.
Une nuit lorsqu’il errait dans le village, il entendit un cri. La voix qui avait émit le son de détresse ne pouvait être une autre que la Mira qui l’avait accueillie dans son chez-elle. Il se précipita sur la piste de l’humaine pour la retrouver quelques mètre plus loin, en train de se faire battre par un autre humain. Les instincts de l’ombre ne le firent pas hésiter lorsqu’il se jeta sur le pauvre bougre comme une bête enrager. Si cela n’aurait pas été des supplications de Mira qui ne voulait pas voir un être vivant mourir, même si ce dernier avait attenté à sa vie elle lui expliqua qu’il serait jugé en fonction de la gravité de son crime. Bien sur Tenebris n’en compris pas un seul mot, mais laissa l’homme retomber au sol s’en sortant avec quelques coups de griffes et de crocs en guises de meurtrissures.

Malheureusement, tout le village avait été réveillé par le tapage qu’ils avaient fait en se chamaillant. Si bien que bientôt un attroupement de d’humains se forma autour du petit trio. L’homme qui avait été blessé par les pattes de Tenebris en profita pour jouer les victimes et raconter à tout le monde comment « ce sauvage » s’était jeter sur lui comme un damné à tenter de le tuer. Mira eue beau protester dire qu’il n’avait rien fait de mal qu’il avait seulement tenté de la protégé, mais personne ne l’écouta. Bien sur parce qu’en apparence il ressemblait à un démon il se devait d’être le fautif dans cette histoire.

«Traitresse, tu as passé un pacte avec ce démon venu sur terre pour nous corrompre! Sorcière!» Crièrent la foule en cœur assoiffé de sang.

«Non vous, vous m’éprenez! S’il vous plaît, je vous en conjure écoutez moi et laissez lui au moins une chance!» La petite s’était mise à pleurer et leur suppliant de lui laisser sa chance. Et Tenebris nerveux comme jamais n’osa faire le moindre mouvement. «Il peut nous aider! Pensé y, il est discret et tout se s’était pas vous il y a de cela deux jours qui cherchiez quelqu’un pour vous aidez à espionner le village voisin afin d’obtenir des informations!» Elle ne savait plus quoi dire à part cela, des perles d’argent coulaient le long de ses joues de porcelaine.

Un moment plus tard, la foule s’était calmée, mais restait sur le qui-vive au moindre mouvement hostile que l’ombre ferait, s’était la fin de lui. Un cocus se forma autour du maire laissant les gens discuter entre eux, personne ne se doutant que Tenebris entendait chacune de leur parole même s’ils chuchotaient. Finalement le maire de la ville soupira en disant

«D’accord, j’accepte. Il devra se rendre au village voisin, nous ramener l’information dont nous avons besoin et ensuite il pourra repartir. Et puis parce qu’il semble s’être enticher de toi, nous te garderont en hottage le temps qu’il soit parti. Je lui laisse trois jours pour revenir sinon elle mourra. Mais une fois l’information donné tu dois promettre de repartir et de ne jamais revenir!» C’était la parole de l’homme qui faisait maintenant face à Tenebris et ce dernier ne pu refuser l’offre.

Donc il parti le soir même et trouva un endroit pour se reposer de jour. Puis passa la nuit suivante à arpenter les rues du village voisin à la recherche d’information utile. La nuit d’après il rentra au village et livra le savoir qu’il avait acquis. Apparemment la communauté voisine avait elle-même quelques problèmes avec des brigands qui harcelaient sans cesse la population. Et que dès qu’ils s’en seraient débarrassé ils passeraient surement à l’attaque, dans le sens qu’apparemment depuis plusieurs années déjà le voisin jalousait ce village pour avoir des terres propice à la culture d’une plante utiliser sur le marché noire pour faire une drogue puissante. Bientôt il voudrait s’emparer de ces terres par la force. Il n’en dit point plus puisqu’il ne savait lui-même plus sur cette histoire et fit comme demander, il quitta l’endroit et n’y revint jamais. Savant que malgré que le village soit petit il avait une puissance militaire assez importante et n’aurait point beaucoup de difficulté à repoussé l’ennemi.

C’était étrange comment une simple erreur de parcours l’avait amené à aider des humains. Quoi qu’il en soit il retournerait bien vite à sa vie de combat, de sang et de barbarie.