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 Quand on est seule on écrit des histoires a donner la chair de poule

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MessageSujet: Quand on est seule on écrit des histoires a donner la chair de poule   Quand on est seule on écrit des histoires a donner la chair de poule Icon_minitime1Sam 4 Fév - 13:16

Kaori qui était tout seule décida d'essayer d'écrire un livre alors celle-ci se leva du fauteuil sur le quel elle était assise, monta en haut, pris une feuille de papier et commença a écrit toutes les choses qui lui passé par là.
Le maléfique

Chapitre 1 : Une découverte des plus inattendues



"C'était une journée ensoleillée et lumineuse. Pas du tout un temps à chasser les fantômes. La maison non plus n'avait rien d'une maison hantée. Mais les phénomènes psychiques ne se préoccupent peu des lieux ou du climat. C’était une de ces rues agréables mais ordinaires où vers le milieu de la matinée règne le calme propres aux quartiers de banlieue pourtant peu éloignés des rues fréquentées. Les habitants offraient un étrange mélange de maisons jumelles et de villas individuelles. A l’extrémité de la rue se dressaient des immeubles modernes étincelants, encore vierges de couche noir due aux fumées. Je remontai la rue au ralenti en cherchant la villa qui m’intéressait et quand j’aperçu le panneau, je stoppai au bord du trottoir. Katagana. Quelconque. Une haute demeure individuelle en brique grises, de style victorien. J’ôtai les lunettes que je porte pour courir et les glissai dans mes poches. Puis je me frottai les yeux et me calai contre un mur pour étudier un instant les lieux. Le petit espace qui s’étendait devant le perron, un ancien jardin à l’évidence, avait était été cimenté et transformé en parking a vélo. Mais il n’y avait aucun vélo. On m’avait prévenu que la maison était vide. Les reflets du soleil rendaient les vitres opaques, et un bref moment, j’eu la désagréable impression que la maison elle-même m’épiait à travers des lunettes de soleil. Je m’empressai de chasser cette impression, dans mon métier, l’imagination est plutôt un handicap, et tendis la main dans ma veste de manteau qui pouvais contenir la plus insolite des choses. Ma mallette, ni trop grosse, ni trop lourde, contenait à peu prés tout ce dont je risquais d’avoir besoin. Lorsque je mis le pied sur le trottoir, l’air était vif, preuve que l’hiver n’était plus très loin. Une femme, dont le petit enfant s’amusait à gambader, me lança au passage un regard curieux, comme si ma présence eût été inconvenante. Je la saluai d’un mouvement de tête, et elle se désintéressa de moi. Je traversai le petit parking et grimpai les cinq marches de pierre qui conduisaient à la lourde porte d’entrée de la maison. Une fois arrivé, je déposai la mallette à mes pieds et cherchai la clé dans a poche. Au moment où je l’en retirait, elle m’échappa des mains. Je la ramassai, puis l’introduisis dans la serrure, l’étiquette qui portait une adresse pâle s’envola dans le vent. Sans savoir pourquoi, avant d’ouvrir, je marquai un temps d’arrêt et tendis l’oreille. Puis le poussai la porte tout en essayant, en vain, de voir a travers les petits carreaux de la partie inferieure ce qui se cachait derrière. Il n’y avait aucun bruit. Je n’étais pas nerveux, pas inquiet. Pourquoi l’aurais-je été ? Je suppose que mon imagination était une simple mesure de prudence. Face à une maison vide, je me conduis toujours ainsi. La porte tourna sur ses charnières, je ramassai ma mallette, entrai et refermai derrière moi. Les rayons du soleil projetèrent mon ombre loin dans le hall. Un large escalier, situé à moins de deux mètres de moi, disparaissait dans la partie supérieure de la maison et tout en haut, devant la rampe du premier, pendaient deux jambes. Une chaussure d‘homme était tombé et gisait sur le flanc au milieu des marches. De ma place je distinguai un trou au talon de l’une des chaussettes par lequel pointait un peu de chair rose. Je me souviens que je lâchai ma mallette et m’avançai lentement dans le hall, visage renversé, sans vouloir grimper au premier, je désirais voir le pendu en entier. La tête toute boursouflée du cadavre surplombait un cou étiré de façon grotesque. La bouche de fil en matière plastique qui ne devait pas mesurer plus de dix centimètre de diamètre avec l’air ridicule, elle était enfoncée dans la chair comme si quelqu’un l’avait tiré par les pieds pour achever la besogne. Je pris alors conscience de l’odeur de mort qui régnait dans ces lieux, une odeur subtile mais omniprésente, elle était fraiche, différente des relents lourds, prégnants que dégagent les vieux cadavres.
Je reculai, mon dos heurta une porte qui se trouvait dans le hall, du côté opposé à l’escalier. Surpris, je me retournai et regardai dans la pièce, il y en avait d’autres, allongés sur le sol ou gisant dans des fauteuils. Certains, les yeux grands ouvert semblaient mes fixer. Mais ils étaient tous morts. Je le compris moins à cause de l’odeur, de leurs regards vides et de leurs mutilations qu’à cause de l’atmosphère pétrifiée de la pièce. Toujours appuyé au mur, les jambes soudain flageolantes, je m’éloignai. Puis quelque chose bougea devant moi, et je m’arrêtai. Je découvris une porte basse située sous l’escalier. Tout ce dont je me sentais capable, c’était de regagner la porte d’entré baignée par le soleil. Pas question de pénétré plus en avant dans les profondeurs de la maison. La porte sous l’escalier bougea à nouveau, très légèrement, et je me rendis compte qu’il y avait un courant d’air. Le dos toujours collé au mur, je m’en approchai puis la dépassai. Alors, pour une raison que je ne comprends toujours pas, je l’ouvris… si brusquement qu’elle heurta avec violence l’escalier et se referma à moitié. Je crus voir quelque chose, mais peut être n’était-ce que l’ombre crée par la lumière entré brutalement. Des escaliers descendaient vers ce qui avait du être la cave. Je ne vis qu’une obscurité profonde, des ténèbres presque solides. Et ces ténèbres plus que les cadavres me firent prendre mes jambes à mon cou.


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MessageSujet: Re: Quand on est seule on écrit des histoires a donner la chair de poule   Quand on est seule on écrit des histoires a donner la chair de poule Icon_minitime1Sam 4 Fév - 14:25

Chapitre 2 :


Assise toutes seule à la table de la cuisine, elle broyait du noir. Elle savait qu’elle devait regarder le problème en face, leur vie commune n’était pas une réussite et n’en serait jamais une. A l’époque, l’idée de déménager dans une maison neuve lui avait paru bonne, elle s’était imaginée que du posséder une maison a eux changerait son attitude. Plus d’appartement miteux où tout ce qui devait être réparé, repeint, ne servait a enrichir un plus le propriétaire. Une chance de construire quelque chose durable pour leur couple. Le mariage lui importait peu, elle ne l’avait jamais ennuyé avec ça. Mais une vraie maison, ce serait bien pour les enfants… Ils avaient sauté sur l’occasion, car les prix montaient en flèche. Quelques mois de pause, et hop, une nouvelle envolée. Lorsque l’agent immobilier leur avait annoncé le prix, ils avaient à le lui faire répéter dans la crainte qu’ils n’aient oublié un ou deux zéros. Mais il avait confirmé le chiffre. Richard s’était montré hésitant et c’était elle qui s’était empressé d’accepté le contrat. Et puis, avec ses économies personnelle, elle payerait les dix pour cent réclamé pas l’agence. Les propriétaires précédents étaient déjà partis, à l’étranger, d’après l’agent, si bien que moins d’un mois plus tard, ils étaient installés. Peu de temps après, les premières rumeurs étaient parvenues. Elle baissa les yeux sur le tubes vide de Diapezan (médicament contre le trouble de l’anxiété) qui était devant elle, le saisit et se mit à le faire tourner entre des doigts. Il était vide. Ce matin, il restait encore sept comprimés. De façon régulière, elle avait diminué les cachets de ce médicament, peu à peu, elle s’était relevée de lé dépression qu’elle avait faite six mois auparavant, elle en avait refoulé le souvenir et avait tenu bon.


57+18= 75 lignes restantes
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Mizutirigi Haosha

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Mizutirigi Haosha

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MessageSujet: Re: Quand on est seule on écrit des histoires a donner la chair de poule   Quand on est seule on écrit des histoires a donner la chair de poule Icon_minitime1Sam 4 Fév - 17:18

Citation :
I. Techniques | Affinités

De plus, il est désormais totalement interdit d'utiliser des lignes ou de les comptabiliser dans un rp banal sans utilisation de technique, ou combat (faux combat accepté aussi.). Il faut tout de même une grande majorité de combat ou entrainement pour pouvoir utiliser une technique je le rappelle.

Merci de lire les règles.
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MessageSujet: Re: Quand on est seule on écrit des histoires a donner la chair de poule   Quand on est seule on écrit des histoires a donner la chair de poule Icon_minitime1Lun 6 Fév - 19:12

Désolée j'avais oublier
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MessageSujet: Re: Quand on est seule on écrit des histoires a donner la chair de poule   Quand on est seule on écrit des histoires a donner la chair de poule Icon_minitime1

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