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 Quand le fils d'un homme apparaît au grand jour

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Shiyo Hakuzu

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Shiyo Hakuzu

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MessageSujet: Quand le fils d'un homme apparaît au grand jour   Quand le fils d'un homme apparaît au grand jour Icon_minitime1Mar 14 Aoû - 1:57




Ibuki.










Quand le fils d'un homme apparaît au grand jour Ibuki_10✘ Nom: Ryunosuke

✘ Prénom: Ibuki

✘ Age: 15 Ans

✘ Nindo: La guerre appel la puissance.

✘ Village désiré: Konoha




Description psychologique





Se laissant bercer souvent par son intuition et son premier contact avec une personne pour la cataloguer selon sa propre jauge analytique mettant de coté les dires de ceux qui ont pu la connaitre ou aurait entendu parler d’elle, il réussit curieusement à s’en fixer les véritables et insécables attraits spirituels, comme un mental s’accommandant particulièrement à un physique quelconque. L’habituelle flopée d’êtres humains arborant des caractéristiques banales se voit substituer par l’originalité base de l’individualité et du détachement fastidieux qui rend si particulier notre leader opaque.
Si par mégarde votre regard vient se croiser avec celui d'Ibuki, indubitablement, la première esquisse qui se dégagerait de votre esprit ce serait ce charisme mystérieux. Cette aura à la fois sibylline et macabre. Placide, flegmatique et patient, il s’amuse à récupérer toutes les informations que peut son ennemi connaitre avant de lui ôter la vie, qu’il s’agisse d’une croyance erronée, d’un homme oublié, sa curiosité grandissante n’arrive jamais à être ébranlée par ce qu’il aspire comme informations écrites ou dites oralement.
En dernier lieu, nous allons reprendre le point impavidité ainsi que d’autres qui resteront à jamais abstrus. Le premier se forge en ces mots en un vœu de duel constant, préférant un combat en solitaire pour ne pas dire suicidaire qu’un combat mêlant antagoniste et protagoniste en tout genre, comme épris par la dignité d’un samurai en face de son ennemi.
De nature calme et détendue, on le retrouve habituellement assis au milieu d’une chambre vide désinfectée entourée de bougies sans odeur en train de méditer et prier si ce n’est se concentrer pour un futur combat. Jambes croisées, colonne vertébrale droite, menton rentré et nuque étirée. Les mains en position mudra, apposé sur les cuisses bloquées contre le bas du ventre et enfin les yeux couleur de nuit fixés sur un point vide de la salle mêlée à un rythme respiratoire distingué par son expiration silencieuse par le nez et une inspiration non forcée qui suis le cours des choses.
Pour continuer sur cet ordre , nous allons parler de cette fameuse peau couleur de sang faisant son apparition pendant les combats de grandes envergures tantôt noire couleur des ténèbres lui permettant décrocher plusieurs victoires. Selon certain il s’agirait d’une transformation démoniaque composée d’un casque en forme de dragon volant formant un « U », une cuirasse de torse et de dos faits de matériaux résistants et tissu rigide composé avec une once de cuir pour renforcer le tout ainsi que des épaulières sur lesquelles on a imbriqué une sorte de plaquettes métalliques colorées d’un rouge écarlate ,des jambières et protèges pieds en fourrure le tout luisant d’une touche artistique bien particulière symbolisant les sept vertus des samurai accompagnées de l’illumination intérieure.

Qu’on a légué à Ibuki lors de ses combats lui permettant de se surpasser et mettre à terre tout ses ennemis, mais qu’on est-il vraiment ?




Description physiologique





Passons à la description du faciès. Doté de traits fins, le paradoxe survient avec cet air rembruni dénué d’apparents défauts, vient éclore l’œuvre finalisée d’un travail méticuleux. Cette facette patibulaire et prépondérante malgré elle, se voit compléter des cheveux bleus décrêpés particulièrement lisses bordés de mèches éparses et imparfaitement coiffés, retenus en arrière par une ficelle bleue en soie. Une couleur de peau proche de la blancheur, une teinte de visage adoucie mettant en avant son fidèle sourire à la fois moqueur et joyeux ainsi qu’une paire d’yeux d’un doré subjuguant cette petite frimousse, cachée plus tard par la présence d’un masque de guerrier.

Vient accompagner ce visage musculeux, mais sans aucun doute ovale, une stature imposante ainsi qu’une envergure et une carrure de choix. Une posture sévère s’ajoute à tout cela, préférant la méditation à la musculation, son endurance physique et sa capacité à combattre munie d’une arme blanche s’est vu diminuer au fil du temps. Ce qui ne l’empêche point à mettre en pratique ses connaissances en Iaidō qui se focalise plus sur la spiritualité et l’harmonie des actions que la puissance de la technique en elle-même et sa difficulté d’exécution qui à travers plusieurs étapes inflige des dégâts minimes d’une efficacité médiocre. Comme on s’y attendait, ne possède qu’un poignard insignifiant léguer par son grand-père, léger, simple qui peut lui servir avant tout pour se dégager d’une agression que la provoquer.
A coté de ce nombre important de « défauts » vient se placer en membre d’or, un travers ayant embrigadé bon nombre d’humains, il s’agirait de ses dits penchants aux cris hystériques des donzelles, les femmes en langage commun. Notre jeune ami ne peut s’empêcher de succomber à cette chaleur tropicale qui remplit instantanément son corps à la vue d’une créature aux formes affriolantes et ragoutantes qui caractérise la gent féminine de toute taille généralement. Coureur de jupon ? Bien sûr que non, enfin vous il préfère cet élixir corporel que les buvettes rapides altérant le fragile esprit masculin dont il dispose.

En dernier lieu, nous allons reprendre le point impavidité ainsi que d’autres qui resteront à jamais abstrus. Le premier se forge en ces mots en un vœu de duel constant, préférant un combat en solitaire pour ne pas dire suicidaire qu’un combat mêlant antagoniste et protagoniste en tout genre, comme épris par la dignité d’un samurai en face de son ennemi.




Votre Histoire





Chapitre I.


Quand le ciel laisse apparaître un voile néfaste sur le monde ceci ne présage rien de bon. Une femme nommé Ikimoshi Ryunosuke accoucha suivit de très près par une multitude d’homme la pourchassant pour ce qu’elle était, la fille qui avait couché avec un chef de clan pourchassé depuis la nuit des temps. La fille qui avait eu le malheur de tomber enceinte de ce même homme sans que celui-ci ne le sache, s’il était venu à l’entendre l’histoire aurait été toute autre mais il avait disparu durant bien trop longtemps, il avait disparu et prétendu mort. Cette femme resta donc seule avec en son ventre l’unique héritier du clan de son père. Elle était traquée tel un animal sauvage qui avait terrorisé un village entier. Alors que la pauvre n’avait fait que tomber amoureuse de l’homme à abattre, tomber amoureuse de l’homme traqué lui aussi pour avoir développé une puissance qui lui avait valu de devenir une légende. Mais pourquoi tant de haine ? Simplement parce que le monde actuel n’acceptait pas de voir un homme se dresser au-dessus du lot. Mais elle que venait-elle faire dans cette histoire ? En réalité elle n’était qu’un moyen d’atteindre son amant. Elle n’était que l’objet que les lâches avaient choisi pour viser plus haut. Elle était femme d’une légende, mais elle devint femme traqué par le monde entier.

Une nuit alors que la lune tombait à peine, elle était là entrain de courir pour sa survie quand soudain sans s’en rendre compte elle percuta une racine qui dépassait et se fendit le crane en deux, la douleur était telle que n’importe quel shinobi aurait abandonné mais pas elle pas après les huit mois passé à survivre pour que son enfant puisse naitre elle avait donné trop d’effort pour mourir maintenant, elle était la femme d’un Hakusu, elle était la femme d’un chef de clan qui avait été cru anéantis, elle était femme d’une légende et en tant que telle elle serait elle aussi une légende à sa façon, son enfant naitrait qu’elle y laisse la vie si cela s’avérait nécessaire. Elle prit son courage à deux mains et se releva pour marcher encore et encore en titubant. Mais après quelque heure de marche elle tomba nez à nez sur un lac immense avec au fond de celui-ci une magnifique cascade. Mais la fatigue se fit sentir et c’est alors qu’elle tomba tête la première dans cette étendu d’eau. Elle était effondrée et surtout persuadé qu’elle n’arriverai pas à faire naitre son enfant avant de mourir. Voyant la mort venir la chercher, elle se mit à pleurer mais il n’en était rien en effet ce n’était pas la mort qui venait la saisir mais un homme d’on elle n’arrivait pas à discerner les traits, les premiers signes de la fin étaient là, elle n’avait plus le contrôle de son corps, elle n’arrivait plus à voir les différents formes qui l’entouraient, les couleurs s’unifiaient petit à petit pour ne donner qu’un blanc immaculé rappelant la pureté sans limite que la mort elle-même pouvait lui apporter.

Mais soudain une douleur vint la sortir de son état de transe, une sorte de coup lui étant porté au niveau du ventre, le travail était en route et comme si quelqu’un était auprès d’elle et lui insufflait la force de se réveiller elle commença à faire instinctivement ce qu’elle avait à faire. Puis quelque heure plus tard le travail était fini, mais elle ne sentait plus son petit ni même l’eau qu’elle était sûre d’avoir percuté plus tôt, elle sentait une douce chaleur provenant très certainement d’un feu à proximité, mais en plus de tout ceci elle savait qu’une personne prenait soin d’elle mais malgré cela elle sentait sa mort venir à grand pas, et elle décidé de prononcer ses dernières paroles en se confiant à la personne qui était présente à ses côtés, elle voulait que celle-ci retranscrive tout ceci sur un parchemin qu’il lirai une fois en âge de comprendre et en âge de faire ce qu’il avait à faire. Mais elle ne savait que dire, elle souhaitait lui dire combien il était important pour elle mais elle n’en aurait certainement pas le temps. Pourtant le temps était une notion qui lui avait été inconnu durant c’est neuf mois de fuite incessante, elle avait tout oublié tout sauf son amour pour Shiyo Hakusu et pour son fils Ibuki. Puis dans un moment de lucidité elle se décida à dicter son opposant inconnu d’une fois vacillante et faible comme sur le point de s’éteindre à tout jamais.