Rien à faire se monde est belle est bien pourris il me faut prendre l’air, suite à une discussion avec le chef de l’organisation dont je fais maintenant partit je me mets à marcher et après quelques kilomètres je me mets à crée mes ailes de papier pour partir en direction d’un village près du lieux de ma naissance, quelle ironie du sort non, me voilà en train de revenir sur les pas de mon passé sans même le savoir, enfin je sais que ma mère a accouché près de Kiri dans un immeuble près à s’effondrer, plus mon chemin s’approche de ses terre qui paraisse maudites, plus le temps se montre hostile, quelle belle harmonie de son et de lumière qu’impose un temps pareil, la pluie et les toners, montre une rage que la terre impose aux hommes. Il doit rester une vingtaine de kilomètres à faire la brume peut me permettre de voler encore une quinzaine de kilomètre sans me faire repérer mais qui sais qu’elle astuce Kiri à dans sa poche se village est loin d’être la moins hostile du globe et surtout c’est l’une des plus puissante, entrer dans ce village ne sera pas mince à faire, enfin je me mets à atterrir puis à faire cinq clones, les clones et moi nous nous mettons à nous métamorphoser en marchand ambulant, bien sûr je n’avais aucun produit à vendre , mais cela n’est qu’un détail, je continue ma route sous une pluie battante pendant trois bonnes heures avant de voir les portes du village, je me mets à marcher mes clones à côté de moi, d’après les rumeurs plusieurs vagabonds c’est vus rentrer dans le pays ils doivent avoir besoin d’hommes pour travailler, j’aperçois maintenant les deux gardes du villages, une chose plutôt normal, d’un calme habituel j’arrive à leur niveau, ce n’est pas ce genre de chose qui va me faire peur je vais même allés plus loin, même la peur d’une possibilité de mourir ne m’effraie pas, m’y voilà je ne regarde pas les gardes et tente de rentrer dans le village, vont il m’arrêter pour me poser des questions ? Pourquoi ? C’est une très bonne question. Le lieu est des plus sinistres un village dont l’âme de la plupart des hommes est aussi sombre que la mienne.
Sujet: L'arrivé dans se village 
Lun 16 Jan - 20:44