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 |  Sujet: Ashrah Nara, la panthère noire de Kiri  Lun 6 Fév - 1:34 | |
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Votre personnage
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✘ Nom: Nara.
✘ Prénom: Ashrah
✘ Age: 17 ans
✘ Nindo: Ici.
✘ Village désiré: Kiri no kuni
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Description psychologique
Énergique, courageuse, efficace et loyale. Voilà les principales qualités que possède Ashrah. Pour se sentir bien dans sa peau, celle-ci doit toujours travailler physiquement et bouger. Elle aime beaucoup qu’on la contredire car elle sait très bien qu’il est impossible de lutter contre les gens qui cherchent toujours la conciliation et la lutte l’exalte sous toutes ses formes. Grand cœur et grande colère, celle-ci se sent comme un aventurier à la conquête d’aventure toujours près à aider la veuve et l’orphelin. Mais ce qui la motive surtout, ce sont les gens qui lui mettent la pression et ceux qui la mettent au défi, ce genre d’Attitude lui donne plus d’énergie pour continuer. Par dessus tout, cette femme déteste la monotonie. Toujours faire la même chose, jamais ! Comme toutes bonnes personnes natives du signe astrologique du bélier, Ashrah représente le changement. Étant un bélier, on parle souvent d’un éléphant dans un magasin de porcelaine, imaginez la : bélier, furibond, au milieu d’assiettes et de jolies tasses, il y a de quoi faire des dégâts. Ce qu’a besoin cette Nara, ce sont de nouveaux défis et de nouvelles choses à entreprendre. On dit d’elle qu’elle est agressive et sanguinaire. Toujours prête à relever des défis quels qu’ils soient et s’il y a quelqu’un en travers de son chemin qui cherche la bagarre il sait qu’il est tombé sur la bonne personne. Ashrah adore se bagarrer et jouer de façon assez brutale avec les gens. Comme les panthères, ce genre de jeu l’amuse énormément. Mordiller, taquiner, griffer et grogner voilà ce que ferait cette genin toute la journée. Enfin, si seulement d’autres ninjas aimeraient jouer ainsi avec elle et avec autant d’agressivités et de force qu’elle en a.
Pouvant avoir l’air d’une fille extravertie, celle-ci est surtout très renfermée et gênée. C’est entre autre sa timidité qui l’empêche d’aller voir les gens. Elle rougit facilement et a du mal à s’exprimer convenablement. Ayant parfois l’aire d’une petite fille dans un coin, elle a malgré cela un grand caractère et si elle réussit un jour à reprendre d’avantage confiance en elle et à combattre sa timidité, elle deviendra une femme avec une forte personnalité et se démarquera de tous. Mais d’ici à être ainsi elle devra sortir de son cocon et un peu d’aide ne serait pas de refus non plus. D’un naturel passionnel, en amour elle serait certainement fougueuse et enthousiaste. Ashrah aime les journées vivantes et aime être active, très active et s’ennuie juste à l’idée d’aller se coucher. Même si elle est une jeune femme timide, on dit d’elle qu’elle est autoritaire. Mais n’est-ce pas un bon moyen de pouvoir faire ce que l’on veut ? Et si cela pose un problème à quelqu’un, il y a toujours des gans à jeter par terre. On dit d’elle qu’elle est une personne assez directe. Il est vrai qu’en tentant de s’exprimer elle peut blesser ou vexer les gens qui l’entoure contre son gré et même sans vraiment s’en rendre compte. Craintive de blesser les gens de façon émotif comme elle l’avait si longtemps été, elle ne prend pas son temps pour s’excuser et même qu’elle s’excuse assez souvent. Trop sympathique et naïve, celle-ci a souvent tendance à s’attacher aux gens trop rapidement. Dépendante affective ? Peut-être bien, mais comment en être sure. Il faudrait d’abord qu’elle trouve quelqu’un à qui s’attacher et avec qui elle partagera son affection.
Mais comme toutes personnes, Ashrah a aussi des défauts. Étant candide : Une jeune fille innocente, chaste et simple, elle possède des défauts. Ashrah cherche surtout à être son propre chef et à rallier les gens à sa cause. Elle serait un bon meneur oui, si seulement elle serait moins timide et moins égoïste. Oui, personne n’est parfait, cette jeune femme toujours adolescente est quelque peu égoïste mais celle-ci préfère traiter ce thème en parlant d’indépendance et de soif de liberté. Lorsqu’elle est en colère ou qu’elle se sent persécutée, la kunoichi peut parfois faire preuve de brutalité et d’impulsivité envers la personne qui lui cause du tord. Se mettant rapidement en colère, celle-ci a surtout du mal à bien prendre les blagues qu’on lui fait. Imprudente ? Oui elle l’est, pensant pas deux fois à ce qu’elle fait, elle se met souvent dans des situations embarrassantes ou dangereuses. Imprévoyante, elle doit surtout improviser dans bien des situations où elle s’est mise sans crier garde. Cependant, même avec tout ces défauts, elle reste toujours une jeune fille intéressante à découvrir et avec une charmante personnalité. Après tout ce qu’elle a vécue, elle commence une vie normale et c’est surement ce qui la ramènera et ce qui l’aidera à devenir moins timide, ce qui lui permettra d’apprendre à vivre avec ceux qui l’entoure et à différencier les bonnes des mauvaises personnes. Nu jugeant pas personne, celle-ci se fait une propre opinion sur chaque personne qu’elle rencontre ne se fiant sur aucun stéréotype ou sur aucune rumeur. Ayant été jugée toute sa vie, elle sait ce que ça fait que d’être juger pour ce qu’on n’est pas et c’est douloureux. Personne ne veut vivre de cette façon et avoir une image de lui comme les gens l’imaginent aux lieux d’avoir l’air de ce qu’ils sont vraiment. Alors que ce soit le statu sociale de la personne, son rang ou son village, ce n’est pas sur ces informations là que se basera Ashrah pour se faire une image de qui est vraiment cette personne elle attendra de le connaître.
Description physiologique
La panthère noire des brumes de Kiri. Voilà comment les gens la surnomment. Pourquoi les villageois du village caché de la brume l’appel ainsi ? C’est en partit pour sa démarche féline, son regard jaune très claire, sa longue chevelure en pagaille noire et son ombre. C’est ce regard doré qui effraie bien des gens car il n’est pas commun et ne prédit rien de bon. Ces perles de pureté ont longtemps été salit par la peur et la peine, les larmes on lavée toute clarté et toute brillance dans ce regard d’enfant. Comme tout animal sauvage lorsque captif, la vie qui brulait dans son regard disparait à petit feu et peu à peu, il perd l’espoir de retourner dans la nature. Un regard sa reflet, s’y plonger, c’est comme tomber dans le vide. Ces yeux opaque cachent au plus profond de vielles étincelles, une braise sous ce tat de cendre qui autre fois étaient des souvenirs. Des souvenirs tous autant terrible les uns que les autres. Même les meilleurs lecteurs ne seraient lire dans ces yeux là. Espièglerie qui se traduit par un reflet métallique vif et passager. Brutalité par une lumière permanente près de la pupille. Et l’amour, plus profond englobant toute l’iris, qui fait des vagues dans la couleur de ses yeux. La forme de ses yeux définie sa curiosité, des arcs ronds mais délicatement relâchés rehausse ses sourcils.
Par manque de fond et d’entretien, jamais une paire de ciseau a touché les longs cheveux d’Ashrah. Jamais elle n’a voulue se faire couper les cheveux non plus d’ailleurs. Celle-ci tenait à laisser allonger sa tignasse afin d’être aussi jolie que les sirènes, pour enfin penser qu’elle était jolie et arrêter de faire fuir les gens comme la peste autour d’elle. Chevelure flamboyante sous ses reflets bleus métallique dans ce noir ébène, ils éblouissent et brilles sous les rares percées de soleil de Kiri. Époustouflante pagaille aux couettes éméchées. Exprimant toute sa liberté et sa sauvagerie, ceux-ci explosent au lieu de tomber délicatement comme une chute le long de son dos jusqu’à ses pieds. Oui ses pieds. Passer dix-sept ans sans les faire couper et à les entretenir comme elle faisait car c’était la seule chose qui démarquait sa beauté. Voilà ce que représente cette chevelure pour Ashrah, la beauté d’une femme et sa liberté.
Sourire est une chose bien difficile à faire lorsqu’il faut se battre pour survivre, tenter d’exprimer une certaine joie parmi toute cette colère et cette frustration. Parmi ces pleures et ces crises de famines. Lorsque la pauvreté et le besoin domine une vie il est rare de vouloir sourire et montrer sa joie à ceux qui évitent ces gens comme s’ils étaient contagieux. Le bonheur n’est pas donné à tous malheureusement. Mais un était venu où elle laissa ses lèvres s’étirèrent lentement au dessus de ses dents entre quelques coups d’hésitation. Ces magnifiques lèvres rosées normalement scellés ensemble laissèrent apparaître sous eux des dents droites mais pas totalement blanches cependant pas jaunes non plus. Et comme très peut de gens, les canines de cette jeune fille sont longue et larges comme si elle était un prédateur ou réellement ce félin. Ce sourire mesquin semblait avoir enluminé le visage de l’enfant pour la première fois et depuis sous ce sourire elle y cache les pires mensonges et la douleur. Comme ces douces lèvres d’anges peuvent bien embrassées et dire de belles choses ils peuvent également dissimuler le pire des venins. Mais tout ce lit dans l’étirement du sourire et sa franchise. Seriez-vous lire ces sourires ?!
Pour ce qui est de sa silhouette de jeune femme, Ashrah a de quoi être fière. Ses formes et son balancement ne sont qu’atout à la beauté qu’elle porte. Pour sa structure, cette dernière semble avoir été inspiré du félin : À l’apparence fragile. Petite, mince et souple. Celle-ci ne mesure pas plus d’un mètre et soixante dix centimètre soit cinq pieds cinq. Pour son poids, cette jeune femme porte quarante neuf kilo soit cent dix livres. Dans son balancement, tout le poids en majeur partie dans sa poitrine. Sur ce corps frêle mais rigide grâce aux muscles dissimulés, la colonne de cette jeune fille doit porter un quatre-vingt cinq double D soit 32 double D. Ses hanches ramènent la largeur de la poitrine pour créer une certaine similitude. Maigrichonne alors fragile ? Les apparences sont trompeuses. Peut-être même qu’elle lève plus lourd que toi qui sais. Cependant, l’ombre de cette femme ne fait que rappeler son surnom. Lorsque bien longue et étendue selon la position du soleil, l’ombre s’allongeant semble créer le visage d’une panthère noir. Comme marque, Ashrah a un tatouage bleu claire commença sur son flanc gauche à partir du haut de sa cuise montant sur ses cotes. Ce tatouage décor légèrement le sein gauche de celle-ci montant sous ses vêtements vers la nuque pour se terminer dans son cou sur le coté droit.
Coté habillement, maintenant celle-ci ne porte plus de vielles guenilles sales et trouées. Elle porte des sandales hautes de ninjas noirs, un pantalon large noir style anbu. Au haut de sa cuisse gauche elle porte des bandages entre lassées et à son mollet droit, le même genre de bandage. À sa cuisse droite, un petit sac noir pour porter des armes de jet. Sous ce pantalon elle porte des mini shorts noirs un morceaux avec le haut qui monte le long de ses cotes se collant à sa peau dans un matériel chauffant lorsqu’elle est en contacte avec l’eau. Recouvrant ensuite sa poitrine, ce vêtement va se terminer sur ses épaules. Le ventre et le dos dégagé, laisse un avant gout sur le tatouage. Par-dessus le vêtement chauffant, cette dernière porte un petit haut serré cachant sa poitrine mais gardant un décolleté plongeant. Ce top au collet haut ne cache pas beaucoup son corps mais la rend légèrement plus habiller. Cette adolescente porte également des gans courts bleus marins comme le petit top avec sur chacun une plaque de métal servant à bloquer les coups de katana ou autre. La kunoichi ne porte pas très souvent son bandeau frontal mais lorsqu’elle le porte il pend de la poche arrière de son pantalon. Celle-ci porte également quelques piercigs : Deux sous les lèvres du bas et un à son sourcil droit
Votre Histoire
Je hais la femme et l’homme qui m’ont donnés le jour.
Ils l’ont abandonnés sans lui donner d’amour, ils l’ont laissé seule sur l’Île de Kiri no Sato, sans nom et sans sa famille, celle bohémienne ignore tout de ses origines. D’où vient cette belle étrangère, fille du ciel ou de la terre, bel oiseau de paradis que vient-elle faire par ici ? Cette fille de grand chemin ne sait le pays d’où elle vient. Peut-être de par de là la mer ou les montagnes. Mais cela elle ne le saura probablement jamais. Elle a passée toute son enfance pied nue dans les rue de ce village, elle pauvre gitane et eux bourgeois de ce village. Eux qui avaient pitiés d’elle mais trop avares pour l’aider. Seule et abandonnée dans les rues de Kiri, elle faisait son possible pour survivre ayant comme seule attention auprès des gens : des injures et des parjures. Les gens passant dans la rue la traitant d’étrangère ou de bohémienne mais cela n’était rien face à ce qu’elle entendait plus souvent, des noms tel que : Sorcière, chienne, chatte de gouttière… Un animal qui traine pied nus sur les pavés, pour eux c’est un pêché mortelle à regarder. Pourtant elle ne faisait que survivre. Ils auraient préféré la voir en cage que vivre ainsi polluant l’apparence du village. Cependant, même dans ces conditions, la vie continuait et la jeune femme vieillissait. Et changeait. Avec le temps il n’y avait pas que sa mentalité ou son regard, mais son corps changeait, désormais elle n’était plus qu’une enfant et les gens commencèrent à la regarder différemment. Une jolie jeune femme fleurissait lors de son adolescence.
Remarquant que plus personne lui lançait des pierres ou ne la dévisageait plus autant qu’avant, celle-ci commençait à se servir de son corps pour attirer les regards et faire un peut d’argent. Dansant et chantant dans les rues, elle pouvait gagner assez d’argent pour survivre et s’acheter quelques vêtements. Tant pour les hommes fidèles et les hommes de loi, elle était comme l’incarnation du démon les forçant à détourner leurs yeux vers elle, avait en eux ce désir charnel les empêchant de regarder vers le ciel espérant un jour de glisser leurs doigts dans ses cheveux. Elle semblait porter en elle le pêcher originel faisant aux hommes qu’ils étaient des criminels. Celle qu’ils prenaient pour une fille de joie une fille de rien, semble soudain porter la croix du genre humain. Belle, c’est un mot qu’on dirait inventer pour elle. Malgré ses grands yeux jaunes qui ensorcellent, sous son jupon des couleurs de l’arc-en-ciel elle leur fait voir monts et merveilles. Cependant bien magnifique et agréable à regarder, ce genre de choses attiraient les curieux et les plus malhonnêtes. De nombreuses fois elle avait évité les ennuis de justesses mais un jour arrivera où elle n’y pourra rien. Même dans les plus beaux Pays on y trouve les langues les plus fourchues. Mais dans ces Pays il y avait toujours des gens aptes à aider ce genre de personne, on les appelle les ninjas.
Seule dans les rues de Kiri, elle se préparait à partir en rangeant ses outils pour danser et faire ses tours de magie. Ramassant ses quelques pièces, Ashrah n’entendit que quelques bruits derrière elle sortant de l’ombre. Était-ce son ombre qui la suivait ou un fantôme dans la nuit ? Après un moment d’hésitation elle se demandait pourquoi son ombre serait aussi différente et si grande. Le courage au ventre, la panthère des brumes de Kiri se tourna vers l’ombre lui demandant qui était-ce, ce qu’elle voulait et de se démasquer. Sans voix, l’ombre continuait de s’avancer vers elle. La peur la prit et la jeune femme se mit à reculer et tomba au sol. Alors à ce moment, de l’ombre sortit une grande silhouette noire se jetant vers elle. Aussitôt s’interposant entre les deux une autre silhouette se mit devant Ashrah face à l’agresseur pour l’affronter. Par la suite d’autres homes sortirent des ruelles pour attraper l’homme qui voulait s’en prendre à la gitane. Le premier qui intervenu ordonna aux autres de l’arrêter et de l’enfermer pour la nuit. Les hommes disparurent et l’homme se tournait vers la jeune femme pour l’aider à se relever pour la blottir contre lui. Ce dernier se présenta, il se présenta sous le nom de Junko, épéiste légendaire de Kiri, il disait être de service cette nuit et qu’il faisait son travaille. Chargé de la sécurité de tous les bohémiens et de tous les bohémiennes.
Il proposa à celle-ci de la raccompagner hors de la ville où vivaient les siens. Lui rétorquant qu’elle n’était pas intéressé, cette dernière lui dit devait mieux passer tout droit et la laisser tranquille car il devait se tromper sur elle. Étant solitaire et différente des criminels à l’extérieur elle ne se comparait pas à ceux-ci. Surpris la réaction de la jeune femme, l’homme se recula en la laissant le repousser. Elle tenta de s’éloigner, mais le ninja l’interrompu en lui disant que si elle tenait à faire partie de ce village, il pouvait faire en sorte qu’elle y soit admise comme étant un ninja et qu’il pouvait même se charger de son éducation dans ce domaine. Celle-ci se tourna vers l’homme acceptant sa requête. Elle qui n’aurait jamais eux la chance d’être acceptée dans ce village, elle pouvait maintenant avoir la chance de devenir une ninja de Kiri no kuni ce qui signifiait beaucoup plus qu’une simple habitante. De cette façon elle allait pouvoir s’intégrer et gagner le respect et la confiance de tous ses habitants. C’est alors que le lendemain à l’aube elle laissa derrière elle ses robes et ses accessoires de magies et de diseuse de bonnes aventures pour se mettre à l’entrainement. La vie de la jeune femme ne faisait que commencer. Elle arrivait enfin à prendre une bonne tournure et à bien s’annoncer. Le temps d’attente avait value la peine alors voilà que celle-ci entrait enfin dans le monde en tant que Kunoichi de l’académie de Kiri no Sato au rang de genin. Plus ville que les autres certes, mais elle avancerait au même rythme même peut-être plus rapidement qu’eux qui sait. Seulement avant tout cela, elle devra faire une rencontre avec le Mizukage pour assurer son intégration au saint de l’académie de son village ayant comme Sensei Junko, un des épéistes du village.
CODES DU RÈGLEMENT (2) : J'suis Sasi Barbre à papa Goût Fraise -.-
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Dernière édition par Nara Ashrah le Dim 26 Fév - 15:54, édité 17 fois |
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Daisuke
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| | Sujet: Re: Ashrah Nara, la panthère noire de Kiri Dim 26 Fév - 15:57 | |
| Validé, donc comme tu veux Genin, 4 techniques gratuites. Tu connais le reste. |
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