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 Légende d'automne [Pv Haosha]

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MessageSujet: Légende d'automne [Pv Haosha]   Légende d'automne [Pv Haosha] Icon_minitime1Lun 5 Mar - 14:37




Certains entendent les voix qui sont en eux avec une grande clarté et ils obéissent à ce qu’ils entendent, ceux là deviennent fous ou deviennent légende. La kunoichi courait dans les bois hors des frontières de Kiri, c’était la nuit des feuilles qui tombent. Pour en admirer le paysage et profiter de l’air changeant des saisons. Sa course se poursuivait vers les montagnes près des quelles elle disait vouloir perdre sa folie derrière les montagnes et recommencer. Ses pieds frôlaient l’herbe rouge sous ses pieds y touchant à peine. Les rayons de la lune perçaient entre les feuilles multicolores des arbres de la forêt éclairant le regard opale d’Ashrah. S’enfonçant de plus en plus dans la forêt, celle-ci s’éloignait d’avantage du village de Kiri pour pouvoir mieux réfléchir ainsi que se vider la tête avant d’aller rencontrer le Mizukage pour lui faire part de sa requête voulant rejoindre l’académie. Les heures défilaient devant elle jusqu’à ce que sa course ne s’arrête de l’autre coté des montagnes sur la rive d’un lac. La terre y était humide et molle, les arbres autour d’elle étaient en santés et de bonnes tailles. Des boulots avaient prient racine près de la berge maintenant inondée donnait l’impression que les arbres avaient poussés sous l’eau pour ensuite grandir. Sous une brise fraîche et douce, les cheveux de la jeune femme se mirent à suivre le courant de l’air lui caressant les bras et le derrière de son dos. Pour empêcher ses cheveux de se mouiller au contacte du sol, celle-ci prit sa longue tignasse lui arrivant jusqu’aux chevilles et les remonta pour faire une longue et épaisse n’ayant pas besoin d’élastique celle-ci pouvait faire tenir stablement ses cheveux en les enroulant logiquement sur eux même.

Se déplaçant de façon dérisoire sur le bord de l’eau, la jeune femme n’avait plus vraiment de problème avec ses longs cheveux maintenant remontés jusqu’à ses genoux se trouvant plus utile pour une marche en terrain hostile et humide ce celui-ci. Devant elle était enfoncé dans la terre un énorme rocher recouvert d’une petite mousse verte sèche, Ashrah escalada la roche avec agilité même si elle était assez petite comparativement au rocher lui-même. La jeune fille s’assied sur la surface de la roche et regardait l’horizon. L’eau était calme, autour d’elle résonnaient les grillons et les grenouille dans un bassin de nénufar et de lotus un peu plus loin. Assise comme un félin les jambes pliés sur les cotés et les mains placée tout simplement devant elle contre la roche avec les bras tendus, celle-ci commençait à fermer les yeux et à rêvasser dans ce calme. Seule avec elle-même et la nature. La jeune femme ne se concentrait plus que sur les bruits qu’elle pouvait entendre autour d’elle, sur les odeurs et les chants des animaux nocturnes. Paisible balade, cette dernière profitait de cette nuit pour reprendre ses esprits et se calmer. Mettre ses idées et ses pensées en place pour ensuite mieux dormir la nuit suivante. Faire le vide et relaxer, voilà ce dont la kunoichi avait besoin. Un moment que pour elle afin de penser à tout ce dont elle avait besoin de penser. Comme il l’était bien souvent dit, la nuit porte conseil. Alors cette jeune fille en profitait comme il le fallait.

La lune éclairait autour d’elle les couleurs de la flore ; rouge, marron, orange et jaune. L’air et le parfum était doux et étrange, une odeur entre la terre et le mouillé, l’humidité au grand air. C’était comme si elle était assise au milieu d’un jardin après la pluie. Ce doux parfum des boisés lui caressait son odorat la calmant et enlevant peu à peu la pression de sur ses épaules. Après quelques bonnes minutes d’admiration sur la vue qu’elle avait, la kunoichi se releva et décida de commencer un entraînement sous la lune et les étoiles. La lune, qui là haut s’allume sur les montagnes du Yuukan. Voyait-elle comment les hommes pouvaient souffrir d’amour. Belle astre solitaire qui meurt quand revient le jour entend t’elle monter vers elle le chant de la terre ? Les yeux levés vers celle-ci, la jeune fille lui demandait silencieusement « Lune, qui là haut s’embrume, avant, que le jour ne vienne, entends rugir le cœur de la bête humaine. » Après cette mure pensée, Ashrah se redressa se levant debout sur la roche. Pour ensuite se servir de l’angle de la lune pour apprendre à bien maitriser son ombre cherchant à la bouger à l’aide de quelques mudras et de son chakra. L’ombre de la jeune fille se mit à trembler et commençait à s’étirer pour passer sous ses pieds et avancer devant elle. Regardant bien droit devant elle, la kunoichi baissa les yeux vers son progrès mais déconcentrée, la technique échoua et l’ombre recula pour retourner à sa place. Alors une seconde fois, celle-ci concentra son chakra dans son ombre et composa quelques signes pour exécuter la technique de la manipulation des ombres.

Après quelques reprises et plusieurs minutes d’essaie même peut-être une heure de plus, la jeune fille pouvait voir au loin le soleil se lever dégageant la lune du ciel. L’aube prenait place dans cet endroit. La brume était basse et la rosée s’installait peu à peu suite au changement de température entre le froid et le chaud. La condensation glissait sur les feuilles l’herbe était bien humide et sur le lac, un drap de brume glissait très lentement. En peu de temps, le soleil semblait déjà avoir monté. La jeune femme s’assied une fois de plus sur la roche et regardait le temps passer ainsi que les changements de la nature. Les bruits nocturnes s’étaient maintenant tut, les oiseaux commençaient à s’échauffer et à commencer leurs plus tendres chants pour émerveiller cette journée qui s’annoncerait exigeante pour Ashrah, une bonne journée d’entraînement pour cette Kunoichi, elle devait commencer à bien contrôler son chakra pour peut-être ben un jour faire partit de l’académie elle aussi. Avant, celle-ci n’aurait jamais eut la chance de faire un jour partie de ce rang qu’on appelait ninja, jamais elle se serait crue capable d’y arriver jamais elle n’aurait pensé intégrer le village de Kiri no kuni pour de vrai. Il ne lui manquait plus qu’à rencontrer le Mizukage et tout sera enfin officialisé. En admirant ce levé de soleil, derrière elle, quelques bruits se firent entendre. Rapidement elle tourna la tête en direction des craquements de des pas qui s’avançaient vers sa position. Sans trop hésiter, celle-ci avança lentement vers le devant du rocher et se laissa glisser pour tomber les pieds dans la boue. Après une petite grimace de dégoût, la jeune femme fit quelques mudras en chuchotant les mots « Hen’kai Hyou ».

Sous un faible éclaircis de lumière, la jeune femme commençait à changer rapidement d’apparence jusqu’à en tomber sur ses quatre pattes velues. S’étirant légèrement, le fauve noir s’avançait discrètement dans la boue et commençait à contourner le rocher pour mieux voir vers la forêt. Se penchant sur ses pattes, celle-ci se positionna en position de chasse gardant ses yeux jaunes très claire rivés sur la forêt observant attentivement. N’étant pas forcément voulu, la kunoichi malgré la situation entraînait sa discrétion. Voyant quelque chose se frayer un chemin entre les arbres celle-ci continuait de se baisser piétinant légèrement le sol sous ses pattes et ayant le menton presque collé contre le sol, la panthère observait attentivement ce qui arrivait. Lorsque la silhouette eut passé la brume, les yeux de la jeune femme s’arrondirent. Un grand homme un sortit. Ses cheveux étaient blancs, ses vêtements étaient noirs et blancs comme un kimono cependant étrange. L’homme sortait de la forêt peut-être se dirigeait-il vers le lac. Pour éviter d’être vue, celle-ci fit demi-tour pour continuer de longer la roche et de regarder où il allait et ce qu’il comptait faire. Toujours dans la terre humide, la panthère agitait lentement la queue se préparant à réagir face à la situation. S’il la découvrait ou s’il se mettait dos à elle. Attendant alors sagement dans son coin, Ashrah l’espionnait en cherchant à voir s’il portait une marque sur lui informant d’où il venait car pour le moment, elle ne voyait rien, peut-être que si elle le voyait mieux elle pourrait savoir. Cependant, ce qui était sur, c’était qu’il n’était pas ninja de Kiri. Car avec l’allure qu’il avait elle l’aurait sans doute déjà vue et déjà remarqué
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