Une première mission, c’est un peu comme un premier baiser, un moment de stresse suivit d’excitation et puis au final on se dit que ce n’était pas si terrible que ça et qu’on recommencerait bien. Bon, vous allez me dire que ce n’est pas ma première mission, mais c’est la première que je fais à Kiri et surtout en tant qu’aide médical. Je m’y connaissais beaucoup en médecine soignante, mais c’était surtout ce que j’avais appris dans les livres. Mais mon histoire réelle, celle de Kagura c’était surtout dans la confection de poison. Enfin, cela ne voulait pas dire que je n’avais aucune expérience, bien au contraire, si je savais confectionner toute sorte de poison, je savais aussi comment créer l’antidote. C’est bien simple l’une chose ne va jamais sans l’autre. Quoi qu’il en soit, j’étais partie aux premières lueurs de l’aube et une heure après seulement je réussi à atteindre l’hôpital. C’était terrible de ne pas avoir le moindre sens de l’orientation, mais heureusement cette fois je ne pris qu’une heure pour arriver à l’endroit destiné… Alors qu’il fallait seulement 15 minutes normalement… Enfin bref, j’étais donc finalement bien arriver à l’hôpital et j’ai réussi à passer plus de 20 minutes à me faire enguirlander par une vieille femme au air pas vraiment sympathique… Je savais qu’elle avait raison, mais au lieu de passé 20 minutes à me casse les pieds, elle aurait simplement put m’amener au vestiaire pour que je puisse me mettre en tenu et non pendant 20 minutes elle me dit :
Vieille infirmière : Non, mais franchement, vous croyez que cela serait normal si tout le monde arrivait avec 45 minutes de retard ?
Moi bien évidemment je restais calme, mais j’avais quand même le poing fermé prêt à lui en coller une. Mais je savais que cela ne se fessait pas et puis surtout je n’aurais aucune envie de la soigner cette vieille peau. Il fallait donc mieux que je reste calme en attendant qu’elle me lâche les bottes. Une fois cela enfin fait, je pouvais enfin me mettre en tenu et commencer le travail, celui-ci était plutôt simple, je devais m’occuper des blesser légers, leurs faire leurs bandages et soigner leurs petit bobo… Franchement, je sais que je suis une ninja vagabonde comme on dit et que je n’ai aucune expérience officiel médicale, mais quand même. On laisse cela aux apprentis infirmier et infirmière… Enfin, je présumais que je n’avais pas le choix et qu’on ne me fessait pas encore assez confiance pour m’occuper de blesser un peu plus grave… Peut-être même que sans l’accord d’Obakee, on n’aurait jamais voulu de moi… Enfin bref, je devais faire mauvaise fortune bon cœur comme on dit. Et pour commencer, je me mis à m’occuper d’un petit garçon qui devait seulement avoir 4 ou 5 ans seulement et qui c’était tordu la cheville… Cela ne me prit que 5 minutes pour faire mon analyse et le soigner. Franchement, cela n’était pas la peine de l’amener ici pour un si banal blessure qui aurait guérie toute seule d’ici un jour ou deux maximums.
Le client suivant, lui était un peu plus énervant. C’était un homme qui devait avoir tout juste la trentaine. Il c’était plutôt salement couper et cela avait saigné relativement abondamment. Mais malgré la coupure profonde, aucune séquelle grave n’était à déplorer… Sauf peut-être son côté pervers mal saint. En effet, je devais m’occuper de lui pour faire une anesthésie de son bras et refermer sa blessure avant de lui faire un bandage. Un travail assez simple en soit, mais le problème était que cet homme ne pensait qu’as me draguer. A croire qu’il l’avait fait expert pour pouvoir séduire une petit infirmière sans défense… Pas de chance pour lui, mais je n’étais pas ce genre de femme. Si un homme devait me séduire se serait un homme, un vrai. Enfin bref, je lui fis l’anesthésie et ensuite je refermais sa blessure et lui fit son bandage. Mais pendant la mise en place du bandage, il fit une chose qui était vraiment trop pour moi. Il glissa sa main valide sur l’une de mes cuisses. Pour moi c’était la goutte d’eau qui déborda le vase. Je finis le bandage quand même sans trop le serrer car cela risquait d’être dangereux et une fois fini, je lui dis :
Ato : Voilà, j’ai fini le bandage, pas contre, il faudra aussi vous occupés de votre nez.
Homme : Pourquoi ? Mon n’as rien de … Aïe !!!
Rien qu’une petite droite bien placer pour lui casser le nez. Cela peut vous sembler grave, mais il s’en sortait plutôt bien, je peux vous le dire. Si je voulais je lui réduisais son nez et le rester de son corps en charpie, mais je suis là pour aider les gens et non les détruire… Quoi qu’il en soit, je lui proposai d’aller voir une autre infirmière pour son problème de nez en lui signalant que si j’apprenais qu’il avait fait les mêmes avances, il reviendrait vite et pour autre chose qu’un nez casser… Je n’avais même pas besoin de lui faire un dessin qu’il semblait déjà avoir bien compris quel était mes intentions éventuelles. Je m’en fichais de me faire viré, je n’étais pas du village, je travaillais juste temporairement et donc ne risquait pas grand-chose… Et puis surtout il le méritait et je pense que dans le fond, il le savait. Enfin bref, le programme suivant était assez simple et banal. Il ne m’arriva donc plus rien de spécial jusqu’à l’heure de la pause. Je pris donc mon temps de midi tranquillement sans avoir de nouvelle de mon petit pervers. Sans doute qu’il avait évité de parler de moi et du petit souvenir que je lui avais laissé comme je l’avais prévu. Mais une fois revenue les affaires semblaient s’être véritablement corsées. En effet, un terrible accident c’était produit blessant gravement une dizaine de personnes, j’avais cru comprendre que c’était un bâtiment en constriction qui c’était effondrait à cause d’une erreur humaine.
Finalement j’allais avoir de l’aventure, vu le drame soudain et l’arrivée d’un grand nombre de blesse grave, je fis demander dans le service d’urgence. Un homme blessé gravement avec de multiple fracture sur diverses parties du corps, mais le plus grave était sans doute l’os de sa jambe qui était carrément sortie. Un spectacle vraiment pas joli à voir. Du au choc l’homme avait perdu connaissance et ses signes vitaux baissait vraiment rapidement. Le problème était que fut l’urgence, la réorganisation c’était faite de façon un peu hasardeuse était j’étais tombé sur un jeune médecin fraichement sortie qui ne s’attendait pas vraiment à ce genre de situation. Il finit d’ailleurs pas paniquer voyant l’ampleur de la tâche, les autres infirmières aussi paniquait en voyant le médecin. Je n’avais pas le choix, je devais intervenir ou l’homme allait périr. Je poussai un peu violemment le médecin en lui disant :
Ato : Bordel, ce n’est pas le temps de dormir tu veux qu’il meurt ou quoi ? Vous faites lui une anesthésie général et vous mettez lui quelque choses dans la bouche… Avec le sang qu’il perd on n’a pas le temps que l’anesthésie fasse effet. Je fais replacer l’os tout de suite, il risque donc de se réveiller d’un coup sec à cause de la douleur, il faudra donc le retenir de toute vos forces. Un, deux,… Trois !
L’homme se réveilla bien d’un coup sec tellement violemment que les infirmeries ne purent le retenir. Une fois l’os remit en place, je lui envoyai un bon coup de poing au visage qui le remit au pays de songe rapidement. Ensuite, je dis d’une voix plutôt forte :
Ato : J’ai dit de le retenir bon sang !
Infirmière : Il crache du sang, cela veut dire quoi ?
Ato : Cela veut dire qu’une cote à toucher le poumon. Il va falloir l’ouvrir retirer l’os du poumon évacuer le sang du poumon et refermer. Il va falloir aussi sans doute le faire une cricotomie pour vérifier les voie respiratoire.
Toute l’opération dura presque une heure, cela fut long et fastidieux, mais finalement je réussi à mettre l’homme hors de danger. On referma ses plaines après avoir placer des broches aux côtes au bras droit et à la jambe. Je précisai qu’il faudrait aussi qu’il porte une attelle et marche en béquille pendant au moins trois mois. Avec mes compétences médicales, je peux améliorer la cicatrisation, mais je ne pouvais pas non plus faire de miracle. Le médecin qui progressivement avait fini par reprendre ses esprits me remercie alors que moi je lui répondis qu’il devrait garder son calme la prochaine fois et je partie me laver les mains. Ensuite la journée fut assez calme. J’avais plutôt bien travaillé, j’étais d’ailleurs assez fiere de moi et donc je retournai à l’auberge avec le plaisir du devoir accomplie, j’avais fini ma mission et mon travail et demain matin, j’irai au bureau du Mizukage Obakee pour faire mon rapport.
Sujet: Ato ninja-médecin 
Jeu 3 Mai - 9:53