Shiyo Hakuzu Ninja Inconnu
Messages : 76 Date d'inscription : 14/08/2012 Age : 34
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| Sujet: Quand le fils d'un homme apparaît au grand jour Mar 14 Aoû - 1:57 | |
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Ibuki.
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✘ Nom: Ryunosuke
✘ Prénom: Ibuki
✘ Age: 15 Ans
✘ Nindo: La guerre appel la puissance.
✘ Village désiré: Konoha
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Description psychologique
Se laissant bercer souvent par son intuition et son premier contact avec une personne pour la cataloguer selon sa propre jauge analytique mettant de coté les dires de ceux qui ont pu la connaitre ou aurait entendu parler d’elle, il réussit curieusement à s’en fixer les véritables et insécables attraits spirituels, comme un mental s’accommandant particulièrement à un physique quelconque. L’habituelle flopée d’êtres humains arborant des caractéristiques banales se voit substituer par l’originalité base de l’individualité et du détachement fastidieux qui rend si particulier notre leader opaque. Si par mégarde votre regard vient se croiser avec celui d'Ibuki, indubitablement, la première esquisse qui se dégagerait de votre esprit ce serait ce charisme mystérieux. Cette aura à la fois sibylline et macabre. Placide, flegmatique et patient, il s’amuse à récupérer toutes les informations que peut son ennemi connaitre avant de lui ôter la vie, qu’il s’agisse d’une croyance erronée, d’un homme oublié, sa curiosité grandissante n’arrive jamais à être ébranlée par ce qu’il aspire comme informations écrites ou dites oralement. En dernier lieu, nous allons reprendre le point impavidité ainsi que d’autres qui resteront à jamais abstrus. Le premier se forge en ces mots en un vœu de duel constant, préférant un combat en solitaire pour ne pas dire suicidaire qu’un combat mêlant antagoniste et protagoniste en tout genre, comme épris par la dignité d’un samurai en face de son ennemi. De nature calme et détendue, on le retrouve habituellement assis au milieu d’une chambre vide désinfectée entourée de bougies sans odeur en train de méditer et prier si ce n’est se concentrer pour un futur combat. Jambes croisées, colonne vertébrale droite, menton rentré et nuque étirée. Les mains en position mudra, apposé sur les cuisses bloquées contre le bas du ventre et enfin les yeux couleur de nuit fixés sur un point vide de la salle mêlée à un rythme respiratoire distingué par son expiration silencieuse par le nez et une inspiration non forcée qui suis le cours des choses. Pour continuer sur cet ordre , nous allons parler de cette fameuse peau couleur de sang faisant son apparition pendant les combats de grandes envergures tantôt noire couleur des ténèbres lui permettant décrocher plusieurs victoires. Selon certain il s’agirait d’une transformation démoniaque composée d’un casque en forme de dragon volant formant un « U », une cuirasse de torse et de dos faits de matériaux résistants et tissu rigide composé avec une once de cuir pour renforcer le tout ainsi que des épaulières sur lesquelles on a imbriqué une sorte de plaquettes métalliques colorées d’un rouge écarlate ,des jambières et protèges pieds en fourrure le tout luisant d’une touche artistique bien particulière symbolisant les sept vertus des samurai accompagnées de l’illumination intérieure.
Qu’on a légué à Ibuki lors de ses combats lui permettant de se surpasser et mettre à terre tout ses ennemis, mais qu’on est-il vraiment ?
Description physiologique
Passons à la description du faciès. Doté de traits fins, le paradoxe survient avec cet air rembruni dénué d’apparents défauts, vient éclore l’œuvre finalisée d’un travail méticuleux. Cette facette patibulaire et prépondérante malgré elle, se voit compléter des cheveux bleus décrêpés particulièrement lisses bordés de mèches éparses et imparfaitement coiffés, retenus en arrière par une ficelle bleue en soie. Une couleur de peau proche de la blancheur, une teinte de visage adoucie mettant en avant son fidèle sourire à la fois moqueur et joyeux ainsi qu’une paire d’yeux d’un doré subjuguant cette petite frimousse, cachée plus tard par la présence d’un masque de guerrier.
Vient accompagner ce visage musculeux, mais sans aucun doute ovale, une stature imposante ainsi qu’une envergure et une carrure de choix. Une posture sévère s’ajoute à tout cela, préférant la méditation à la musculation, son endurance physique et sa capacité à combattre munie d’une arme blanche s’est vu diminuer au fil du temps. Ce qui ne l’empêche point à mettre en pratique ses connaissances en Iaidō qui se focalise plus sur la spiritualité et l’harmonie des actions que la puissance de la technique en elle-même et sa difficulté d’exécution qui à travers plusieurs étapes inflige des dégâts minimes d’une efficacité médiocre. Comme on s’y attendait, ne possède qu’un poignard insignifiant léguer par son grand-père, léger, simple qui peut lui servir avant tout pour se dégager d’une agression que la provoquer. A coté de ce nombre important de « défauts » vient se placer en membre d’or, un travers ayant embrigadé bon nombre d’humains, il s’agirait de ses dits penchants aux cris hystériques des donzelles, les femmes en langage commun. Notre jeune ami ne peut s’empêcher de succomber à cette chaleur tropicale qui remplit instantanément son corps à la vue d’une créature aux formes affriolantes et ragoutantes qui caractérise la gent féminine de toute taille généralement. Coureur de jupon ? Bien sûr que non, enfin vous il préfère cet élixir corporel que les buvettes rapides altérant le fragile esprit masculin dont il dispose.
En dernier lieu, nous allons reprendre le point impavidité ainsi que d’autres qui resteront à jamais abstrus. Le premier se forge en ces mots en un vœu de duel constant, préférant un combat en solitaire pour ne pas dire suicidaire qu’un combat mêlant antagoniste et protagoniste en tout genre, comme épris par la dignité d’un samurai en face de son ennemi.
Votre Histoire
Chapitre I.
Quand le ciel laisse apparaître un voile néfaste sur le monde ceci ne présage rien de bon. Une femme nommé Ikimoshi Ryunosuke accoucha suivit de très près par une multitude d’homme la pourchassant pour ce qu’elle était, la fille qui avait couché avec un chef de clan pourchassé depuis la nuit des temps. La fille qui avait eu le malheur de tomber enceinte de ce même homme sans que celui-ci ne le sache, s’il était venu à l’entendre l’histoire aurait été toute autre mais il avait disparu durant bien trop longtemps, il avait disparu et prétendu mort. Cette femme resta donc seule avec en son ventre l’unique héritier du clan de son père. Elle était traquée tel un animal sauvage qui avait terrorisé un village entier. Alors que la pauvre n’avait fait que tomber amoureuse de l’homme à abattre, tomber amoureuse de l’homme traqué lui aussi pour avoir développé une puissance qui lui avait valu de devenir une légende. Mais pourquoi tant de haine ? Simplement parce que le monde actuel n’acceptait pas de voir un homme se dresser au-dessus du lot. Mais elle que venait-elle faire dans cette histoire ? En réalité elle n’était qu’un moyen d’atteindre son amant. Elle n’était que l’objet que les lâches avaient choisi pour viser plus haut. Elle était femme d’une légende, mais elle devint femme traqué par le monde entier.
Une nuit alors que la lune tombait à peine, elle était là entrain de courir pour sa survie quand soudain sans s’en rendre compte elle percuta une racine qui dépassait et se fendit le crane en deux, la douleur était telle que n’importe quel shinobi aurait abandonné mais pas elle pas après les huit mois passé à survivre pour que son enfant puisse naitre elle avait donné trop d’effort pour mourir maintenant, elle était la femme d’un Hakusu, elle était la femme d’un chef de clan qui avait été cru anéantis, elle était femme d’une légende et en tant que telle elle serait elle aussi une légende à sa façon, son enfant naitrait qu’elle y laisse la vie si cela s’avérait nécessaire. Elle prit son courage à deux mains et se releva pour marcher encore et encore en titubant. Mais après quelque heure de marche elle tomba nez à nez sur un lac immense avec au fond de celui-ci une magnifique cascade. Mais la fatigue se fit sentir et c’est alors qu’elle tomba tête la première dans cette étendu d’eau. Elle était effondrée et surtout persuadé qu’elle n’arriverai pas à faire naitre son enfant avant de mourir. Voyant la mort venir la chercher, elle se mit à pleurer mais il n’en était rien en effet ce n’était pas la mort qui venait la saisir mais un homme d’on elle n’arrivait pas à discerner les traits, les premiers signes de la fin étaient là, elle n’avait plus le contrôle de son corps, elle n’arrivait plus à voir les différents formes qui l’entouraient, les couleurs s’unifiaient petit à petit pour ne donner qu’un blanc immaculé rappelant la pureté sans limite que la mort elle-même pouvait lui apporter.
Mais soudain une douleur vint la sortir de son état de transe, une sorte de coup lui étant porté au niveau du ventre, le travail était en route et comme si quelqu’un était auprès d’elle et lui insufflait la force de se réveiller elle commença à faire instinctivement ce qu’elle avait à faire. Puis quelque heure plus tard le travail était fini, mais elle ne sentait plus son petit ni même l’eau qu’elle était sûre d’avoir percuté plus tôt, elle sentait une douce chaleur provenant très certainement d’un feu à proximité, mais en plus de tout ceci elle savait qu’une personne prenait soin d’elle mais malgré cela elle sentait sa mort venir à grand pas, et elle décidé de prononcer ses dernières paroles en se confiant à la personne qui était présente à ses côtés, elle voulait que celle-ci retranscrive tout ceci sur un parchemin qu’il lirai une fois en âge de comprendre et en âge de faire ce qu’il avait à faire. Mais elle ne savait que dire, elle souhaitait lui dire combien il était important pour elle mais elle n’en aurait certainement pas le temps. Pourtant le temps était une notion qui lui avait été inconnu durant c’est neuf mois de fuite incessante, elle avait tout oublié tout sauf son amour pour Shiyo Hakusu et pour son fils Ibuki. Puis dans un moment de lucidité elle se décida à dicter son opposant inconnu d’une fois vacillante et faible comme sur le point de s’éteindre à tout jamais.« Mon chère Ibuki, à travers cette lettre je vais t’expliquer qui tu es, qui est ton père et ce que j’espère tu feras plu tard, mais avant cela mon fils j’aimerai que tu sache que tu as été la plus belle chose qui me soit arrivé de faire, tu es la dernière chose que j’ai réussi dans ma vie et sans toi jamais je n’aurai connu le bonheur de donner vie. Sache que tu n’as pas été abandonné, j’ai été chassé pour avoir aimé ton père pour que sa seule faiblesse soit exploité, mais sans savoir que j’étais enceinte de toi, ton père a disparu il a été prétendu mort mais au fond de moi je sais qu’il ne l’est pas, peut-être que tu pourras toi aussi le ressentir je l’espère du plus profond de mon cœur, mais j’aimerai que tu comprenne que j’ai faits cela pour vous protéger toi et ton père. Ne lui en veut pas de ne pas savoir que tu existes je t’ai caché à lui pour qu’il ne puisse connaitre la vérité sur ma mort, pour qu’il ne se torture pas par dégout de lui-même. Tu sais il est quelqu’un de bien malgré sa froideur apparente, il est profondément bon tout comme toi j’en suis sure. Cherche le et pardonne lui son ignorance tout comme j’aimerai que tu me pardonne mon absence. Tu me manqueras mon fils j’aurai tant aimé te tenir dans mes bras et te voir grandir. La personne qui te donnera cette lettre sera la seule en qui tu pourras avoir confiance hormis ton père. La famille rien d’autre ne compte.»Ce fut donc les dernières paroles d’une mère à son fils, les dernières parole d’une guerrière qui se donna corps et âme pour un enfant qu’elle ne verrait jamais grandir qu’elle ne pourrait éduquer ni même voir devenir à son tour parent. Les derniers gestes qu’elle réussit a faire fut simple, une main posé sur le front de son enfant avant de doucement tomber au sol preuve qu’elle n’était plus, et que son âme allait rejoindre un lieu meilleur ou aucune souffrance ne la ferai vaciller, elle était devenu une légende parmi les mères, mais une légende inconnu de toute, seul son bienfaiteur connaitrait ses derniers instants seul lui était en mesure de révéler ou non les véritables souhaits d’une femme aussi courageuse que forte. Cet homme qui l’avait aidé n’était autre qu’Hashirama Senju un Shinobi connu lui aussi pour sa puissance, lui n’aurait pas de mal à comprendre la position de la jeune fille morte sous ses yeux lui n’aurait pas de problème à éduquer un fils avec un si lourd poids sur ses épaules. Le poids d’une mort, le poids d’une recherche qui ne finirai jamais car hormis un nom qu’avait-il ? Rien, rien de plus qu’un nom et un prénom, c’était bien trop mince pour commencer des recherches même pour Hashirama, mais un jour qui sait peut-être referait-il surface si comme Ikimoshi le pensait il n’était pas mort. L’amour à t-il une limite à ce qu’il peut accomplir ?
Chapitre II.
Rare sont les hommes ou les femmes capable de réel sacrifice, ceci est un acte de foie, d’amour ou encore de folie, mais tous s’accorde à dire que c’est dans les moments cruciaux que les gens réalise ce qu’ils sont réellement capable d’entrevoir du monde qui les entourent. Quand une personne réalise que sa vie passe après celle d’un autre cette personne comprend alors toute la beauté que la vie lui apporte, mais quand les personnes s’obstine à croire que leurs vie est plus précieuse qu’une autre c’est à ce moment précis qu’ils perdent toute crédibilité c’est ce moment spécifique qui fait d’eux des morts en sursis. Et qu’es qu’un homme mort sans même le savoir ? Il n’est plus rien plus digne de quoi que ce soit, c’est là que l’honneur prend toute son importance, depuis les temps anciens des hommes cultives l’honneur apprennent à vivre avec un code de l’honneur, celui-ci était très simple, un homme sans honneur est un homme sans vie. C’est dans cette optique là qu’Ibuki fut éduqué par Hashirama non pas car leurs visions étaient pareils mais parce que la mère du petit avait demandé cela au Hokage, elle lui avait demandé de toujours garder un certain respect des traditions d’Ibuki, descendant d’une longue ligné de Samouraï il ne devait pas déroger à cette coutume. Il serait le digne fils de son père hors pair en combat au sabre et certainement une futur légende mais pour cela c’était à lui de se forger un nom à travers les combats et les difficultés de la vie.
A l’âge de cinq ans il était déjà aussi expérimenté qu’un Chuunin dans le maniement des épées, en ninjutsu Il maitrisait déjà de Katon, l’élément opposé à son dit père le Hokage, mais malgré le fait qu’ils ne soient pas réellement de la même famille, leurs complicités étaient particulièrement forte, et cela n’échappait pas aux yeux des autres habitants du village, à l’école tous respectaient Ibuki mais ils étaient aussi pour la plupart extrêmement jaloux même s’ils savaient ou du moins pensaient qu’il était le fils génétique du Kage. C’est donc pourquoi personne n’osaient dire quoi que ce soit au petit garçon. Toujours âgé de cinq ans, Ibuki parvenait encore et toujours à époustoufler le village de par ses exploits au corps à corps préférant s’entrainer avec l’élite plutôt qu’avec les enfants de son âge, ceci fut sa toute première erreur, la raison était évidente, les enfants le trouvèrent trop imbu de lui-même alors qu’en réalité ce fut sous l’ordre direct de l’Hokage qu’il agissait celui-ci pensant que ses capacités étaient trop dangereuse pour être utilisé même en entrainement avec ses coéquipiers. Une idée survint alors dans l’esprit du jeune homme, celle de ce faire passer pour mort aux yeux de ses coéquipiers mort durant une mission, lui permettant ainsi de progresser sans le regard accusateur de ses amis, l’idée fut approuvé et c’est depuis lors qu’un ninja sans nom fit son apparition dans le village de Konoha.
Réputé pour être le ninja le plus fort de sa génération Ibuki ne cessa jamais de s’entrainer sans contrainte sans y être forcé, ceci démontra qu’il était le digne fils de son père, ce qui fit alors comprendre au Hokage que le temps arriverait très prochainement ou la véritable identité du jeune homme devra lui être révélée. Mais le temps n’étant pas encore propice à cela, l’entrainement du jeune était toujours plus difficile toujours plus complexe, les missions qui lui étaient accordé étaient elles aussi en constante augmentation, augmentant ses capacités ainsi que son expérience, malgré son jeune âge, il était parvenu à accomplir des missions classé comme étant bien trop dangereuse même pour une équipe de Chuunin bien sûr il n’était jamais seul, toujours accompagné de son binôme étant lui membre de l’élite de Konoha. Avec le temps les deux coéquipiers se mirent à forger certain liens tel deux frères, mais ceci n’était pas une bonne chose pour le jeune homme, lui qui avait perdu toute identité il n’était pas censé s’attacher à quiconque outre Hashirama. Mais le père adoptif comprenait la situation, Ibuki était tout le temps seul sans jamais personne pour discuter personne hormis lui, c’était donc naturel pour un enfant de son âge de s’attacher aussi facilement. Après tout Ibuki n’avait pas encore atteint sa dixième année, il était encore naïf et au combat pure malgré sa puissance surpassant celle d’une personne de son âge.
Le temps passait et avec lui Ibuki grandit il devint très rapidement un très beau jeune homme sa longue chevelure bleu était l’une des raisons de sa beauté mais les filles elles craquaient plus pour son regard couleur or était l’élément déclencheur de la folie furieuse des femmes, mais bien loin de s’intéresser à la gente féminine, trop jeune sans doute, ou alors préoccupé par ses entrainements ? Ibuki était devenu un homme froid avec le temps, les scènes de torture et de mord auxquelles il avait assisté l’avaient profondément touché et il se créa une carapace que personne ne parvenait à franchir même le Kage ne le reconnaissait plus, à croire qu’il n’était plus celui qu’il était jadis, comme si son manque d’identité lui avait collé à la peau. Mais au fond c’était compréhensif, il avait lors d’une mission perdu son seul ami, qui avait sacrifié sa vie pour que lui puisse survivre et sans le savoir le schéma de sa naissance avait été reproduit avec une exactitude troublante, même pour le Kage cette situation lui semblait perturbante. Ce jeune homme semblait être poursuivit par un schéma prédéfini auquel sa vie entière serait basé. Mais cela ne se pouvait, après tout il n’était pas né durant les évènements remontant à sa rencontre avec Hashirama. Le destin rattrapait-il cet enfant ? Ou alors Ibuki parcourait exactement le même chemin que son père depuis lors disparu.
Le moment était-il venu pour le Kage d’annoncer à son fils adoptif qu’il n’était pas son véritable père ? Ou alors il n’était pas encore près pour supporter une telle nouvelle ? Quoi qu’il arrive personne ne peux prétendre connaitre Ibuki pour la simple et bonne raison que même lui ne se connaissait plus réellement, son identité était perdu entre sentiment positif et négatif, mais à première vu ses mauvais côtés prenaient le dessus. Mais il n’était question que de neutralité, un fond néfaste pour encaisser et un bon fond pour dialoguer. Mais Ibuki ne disparaissait pas, il grandissait dans un monde ou les enfants n’ont pas leurs places dans un monde ou la gentillesse n’a plus aucune valeur humaine. Les guerres incessante on rendu la terre sauvage et dure ne laissant aucune chance aux faibles. Pour chance, Ibuki ne faisait pas partit de cette classe la. Il était fort et fier tel ses parents, il était juste et sage. Mais il était aussi le mal et le bien que le monde engrainait chaque jour un peu plus
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