✘ Nom: Nara. ✘ Prénom: Hatsuharu. ✘ Age: 22 ans. ✘ Nindo: Ne jamais s'arrêter, toujours continuer quelques soit les difficultés, affronter la vie et ses épreuves la tête haute et le faire jusqu'à la mort. ✘ Village désiré: Konoha.

Fait de contraste, incarnation de la dualité entre deux opposés, je concilie les deux par une sorte force tranquille. Bien que je sois de nature paisible, on peut dire que d'une certaine manière je suis enjouée, heureuse et reconnaissante de la vie qui me fut donnée. Bien sûr, cela ne se traduira pas par des cris hystériques ou des énormes laïus sur mes motifs de contentement, mais simplement par un sourire franc et sincère. À l'inverse, et bien que je sois d'un première abord avenante et soucieuse, je n'en demeure pas moins méfiante et distante envers les autres. C'est sans nul doute dans la logique des choses venant d'une femme ayant grandi aux côtés d'hommes et n'ayant guère connue sa mère. Je ne suis pas d'une nature dominatrice, je préfère au contraire me confondre dans le silence et m'enrichir des avis extérieurs. Toutefois, il y a des fois où la femme que je suis dois savoir user de ses charmes et faire entendre sa voix, mais cela n'est guère dans mes habitudes. Je ne suis pas de celles qui s'insurgent pour un homme et qui, en dépit de leurs missions, préfère jouer d'arrogance.

Notons aussi que j'ai toujours favorisée mes liens ancestraux, pour ne pas perdre le fil de réalité et ainsi oublier l'importance des liens du sang. Femme Shinobi depuis des années, je suis pleine de ressources et déterminée, démontrant une volonté de feu à l'instar du pays que je sers. Sachant me faire discrète quand il le faut, mes réactions ne peuvent être calculées d'avance, du moins pas par un esprit exempte de réflexion et d'enseignements stratégiques. Après tous, je demeure une descendante du clan Nara et grâce à cette ascendance, je peux prétendre à un certain niveau de réflexion. Toutefois, je mentirais en ne revendiquant que les bon côtés de mon clan, car outre un sens stratégique et un genkai, j'ai aussi subit l'influence de mes frères au travers de leurs flâneries. Cependant, cela demeure plus un caprice et une habitude plus qu'un besoin. Comme tout bon ninja, je suis devenue maître dans l'art de la dissimulation, que cela soit physique ou émotionnel, faire abstraction de ses sentiments pour s'infiltrer dans les terrains visés afin d'exécuter sa tâche est devenue au cours des entrainements un simple jeu d'enfant.

Au fil des rencontres, j'ai appris à laisser parler mon instinct et mes premières intuitions et ce afin de pouvoir définir au plus vite l'urgence des situation. Calme et sereine, je vous conseil de ne pas vous laissez pas prendre part mon comportement, car bien que je représente aux yeux de tous l'exemple du Shinobi, je n'en demeure pas moins sensible et fragile face aux malheurs qui frappe tous ninja. Pourtant, je me dois d'avoir un certain détachement pour la vie que je mène, mes émotions et tous les évènements qui s' enchainent d'une manière générale, il est ainsi très rare de me voir perdre le contrôle de moi même.

Chaque évènement, aussi infime soit-il, n'est que le maillon d' une longue chaine que les humains fabriquent et subissent en même temps.






Lorsque votre regard tombe pour la première fois sur mon corps, il vous apparaît évident que je suis une femme aux courbes douces et feutrés faite, de toute évidence pour la vitesse et la souplesse, mais jamais il ne vous viendra à l'esprit que la personne dont vous détaillé le corps est en réalité une descende du clan Nara spécialisé dans les combats à longue distance. Pourtant, en laissant notre regarde se pencher vers moi, on peut apercevoir des lèvres pulpeuses magnifiquement tracées d’un miel adouci par la présence d’un rose blanchie contenue à l’intérieure d’une chaire tendre, mouillé donnant l’impression de briller voir illuminer mon visage. Déposant vos yeux un peu plus haut, il n'est pas impossible que vous vous laissiez prendre dans mes yeux. Sachez que les yeux sont le miroir de l'âme et qu'il suffit d'un regard pour en entrevoir l'essence... Fille du clan Nara, je me devais d'hériter de la noirceur des cheveux de mon père, mais aussi de son regard fort et dur porté sur le monde. Au lieu de cela, j'héritais d'un regard more doré aux reflets cuivres évoquant sans peine les flammes d'un brasier sauvage. L'éclat brulant de mes yeux semblèrent s'animer, durant de nombreuses années, d'une lueur farouche et profonde. La beauté des couleurs se rapprochant plutôt d’une mêlée de feuilles diverses donne l’impression de vivre un instant de paix totale. Clignant des yeux pour laisser apparaitre clairement mes sourcilles noir corbeau qui, de part leurs tracés fins, révèlent l'intensité de mon regard.

Il n'est pas nécessaire de détourner les yeux pour apercevoir des cheveux rayonnants, coloré d’un noir tendre, se rapprochant de part et autre d'un feuillage automnale, des mèches brunes voir rousse venant briser la monotonie de ma chevelure. Ondulant dans une cascade faussement négligé, ils s'arrêtent quelques centimètres en dessous de ma poitrine. Pour le reste, mon corps n'est que le résultat de plusieurs années d'entrainement intensif. Un corps souple et maniable qui s’impose, avec une silhouette athlétique bien ficelée tracée de traits naturels. Une taille moyenne d’un mètre soixante-dix pour un poids de plume de quarante-cinq kilogrammes. Une taille et un corps sculptait pour rester le plus loin possible des opposants, un corps pouvant, lorsque le danger se ferait trop présent, abandonner et succomber à la fragilité de ses déliés.

Je ne pourrais pas vous en dire plus, car n'ayant pas une très grande estime de la beauté, je ne fais que vous répéter les mots d'un père aimant sa fille et désirant sans nulle doute la protéger et l’honorer de quelques compliments.




Face à moi se dressait un homme au bandeau barré, n'ayant aucune illusion sur ses attentions, mon regard ne se détourne pas, pourtant mon esprit définit déjà les limites du terrain, évaluant les avantages et les défauts de ce dernier. Une brise secoue alors quelques feuilles et le ninja en profite pour attaquer. Réagissant rapidement, j'esquive et dans un mouvement fluide disparaît dans les arbres. Pourtant l'ennemi ne détourne pas les yeux, fixant dans la direction opposé la personne qui lui résiste. Moi, ou plutôt un clone. Mon oreillette grésille alors et annonce l'arrivée imminente des renfort. Ne pouvant me permettre de maintenir cette position, je sais déjà que les secours arriverons trop tard... Je dois agir. Liant mes doigts, j'exécute quelques signes avant que mon ombre s'échappe vers le déserteur, glissant vers lui en silence tandis qu'il demeure figé dans son attitude offensive. Croit il encore que ce qu'il l'oppose est un ninja ? Ou se joue t'il de moi ? Trop tôt pour le définir, mon attention se reporte sur mon ombre s'apprêtant à embrasser la sienne. Je n'étais plus en possession de mes moyens et je me retrouverais rapidement à court de chakra, je devais gagner du temps et me jouer du terrain afin de limiter mes dépenses. C'était primordiale. L’attrapant enfin, je le tire loin du clone qui disparaît déjà dans un nuage de fumée, l'attirant à moi avant de l'immobiliser définitivement. Un combat silencieux qui tendait vers l'épuisement, un épuisement qui conduirait à la mort de l'équipe, un épuisement que je devais combattre pour ne pas échouer davantage. Lutter pour trouver en sois les ressources nécessaire, puiser et user sa puissance dans un combat que l'on sait perdu. Comment la situation avait-elle pu au point déraper ? Et puis lentement ma prise cède, l'ennemie avance, bien qu'il ne m'ai pas encore vue, j'étais à présent trop faible pour pouvoir lui échapper et sauver le reste de l'escouade. Abandonner ? Hors de question, c'était bon lors d'un examen ou l'on sait que l'enjeux n'est pas celui de vos coéquipiers, mais là, je ne pouvais pas, je devais. Toutefois, alors que ma prise se rompait et que je le voyais déjà se retourner, je sentis quelqu'un passer à côté de moi. Aurais-je ignorer un ennemie ? Mon estomac se serra avant que le soulagement ne me prenne. L'équipe de secours. Ce jour la, alors que je retrouvais la sécurité du village, je ne pus m’empêcher d'attendre à l’hôpital, guettant un médecin afin de connaître l'avenir de mes coéquipiers tombé lors de cette mission de rang C qui, suite à une succession de coup du sort, vira au rang A. C'est alors que, assise sur un banc, la fatigue me rattrapa, me plongeant alors dans les souvenirs du passé.


Sortant de l'ombre, un vieil homme soutenu par une canne s'avançait vers l'entrée si prestigieuse d'un des clans majeurs du village. La nuit était froide, et la brise glaciale, le village semblait s'être endormie cessant, pour un temps, son brouhaha ardent. Se détachant des rampes marbrés de blanc, un homme, bien plus jeune que le premier s'approcha du vieillard. Tendant une main amicale au vieil homme, ce dernier l'accepta bien gentiment et ainsi gravit les dernières marches qui les séparés encore. Il y avait une ressemblance frappante entre les deux hommes, un lien puissant remontant aux origines de leurs vies, et tout deux semblaient heureux de se retrouver en cet instant. Il y avait de la joie et de la fierté dans leurs regards et il apparut évident qu'en ce jour, les mots et les paroles n'auraient guère leurs places. C'est alors en silence qu'ils s’avancèrent au plus profond du clan, passant d'innombrables maisons pour enfin arriver à une bâtisse marqué par le temps et empreinte par les marques du passé. Pénétrant dans un souffle, l'obscurité nocturne céda lentement sa place au rayonnement chaud d'une bougie, dessinant dans une douceur savante les traits d'une femme alité, le visage exaltant de bonheur. Il ne fallut pas longtemps au vieil homme pour tendre les bras et ainsi réclamer le précieux trésor emmitouflé dans les bras, encore tremblant de fatigue, de la femme. Il découvrit alors le visage joufflue d'un petit être aux cheveux noir et cuivre, un petit être endormie et confiant qui semblait si innocent. Cet être, à peine née aux premiers jours du printemps, venait de faire son entrée parmi le clan Nara, cet être, c'était moi et c'est ainsi que commença mon voyage initiatique.

Un monde s’ouvrit à moi et les premières heures de ma vie furent là pour m'unir à mes ancêtres, à mon clan. Déjà bien entouré par les bras protecteur de ma mère, elle fut la première que je vis dans ce monde, la première à croiser mon regard encore claire de nouveau-née. Et puis, le regard bienveillant de mon père tomba sur mon visage et, par un simple sourire, me signifia qu'il serait toujours avec moi. Ce fut alors dans un vacarme du tonnerre que je découvris mes deux frères qui, déjà à l'époque, ne pouvaient s’empêcher de se chamailler. Vint alors mon grand-père et ses bras tremblant sous l'émotion, puis le reste de la famille et quelques proches amis de mon père. Ma première année dans ce monde fut sans aucun doute éprouvante pour mes proches, entre ma naissance aux premières chaleur du printemps et la mort de ma mère en hiver. Mais jamais ma famille recula, me couvrant du mieux qu'ils pouvaient de leurs amours. Pour ma part, j'étais trop jeune pour comprendre réellement l'impacte de cette disparition et même en grandissant, je fus incapable de pleurer sa mort, car au fond de moi, je la savais à mes côtés.

Beaucoup me comparèrent à elle, trouvant sous mes traits enfantins, le reflet de sa beauté, mais ce fut au final au travers de mon père que l'on me reconnut. Quelques peu turbulente, je n'étais pas une enfant violente, ni agressive, j'étais juste bien souvent en avance sur les autres. Il suffisait de me voir au terrain de jeu pour comprendre que j'avais hérité de mon clan. Usant de mon intelligence et de mes qualités d'observatrice, j'en fis chanter plus d'un en échange d'un cadeau et d'une amitié et cela ne prit pas fin à mon entrée à l'académie. Disons juste que les procédés changés et s'adaptés à cette nouvelle situation.

En effet, je fus rapidement parmi le peloton de tête de classe, et j'aurais pu travailler pour atteindre la première place, mais j'en avais moyennement envie. Pourquoi ? Simplement car je n'étais pas intéressée par cette place de leader qui m'aurait obligée à faire une démonstration à chaque exercice et que surtout, pour y arriver j'aurais sans doute du commencer à travailler et qu'il était plus intéressant pour moi de passer mon temps avec mes frères à apprendre les techniques de notre clan. Et puis franchement, l'académie était sans aucun doute l'endroit le plus blasant du village. Je préférais mille fois aller avec Papa dans la réserve du clan et m'occuper des cerfs plutôt que de voir les petits génies rouler des mécaniques. C'était marrant un temps, mais ça manquait de profondeur. À croire que, comme dirait Papa, j'avais besoin d'action et d'un véritable challenge pour m'investir pleinement dans quelque chose. Et, bien que ce que dit mon père ne soit pas toujours parole d'Évangile, je devais reconnaître que les situations réelle me permettait de m'occuper l'esprit. Pourtant, en grandissant, je commençais doucement à m'assagir, à comprendre que le monde n'était pas fait que de chose agréable et qu'il fallait savoir prendre sur soit afin d'un jour pouvoir honorer mon clan et mon village. Et c'est en comprenant cela que je quittais définitivement l'enfance pour rejoindre un monde plus dur et plus froid, un monde où la douce symphonie des rires enfantins ne résonnerait plus qu'en souvenir dans ma mémoire.

Mon destin fut comme celui de bien d'autre avant moi, l'enfance prenait fin à ses douze ans et ceux qui refusaient de la quitter prenaient le risque de mourir avoir d'avoir pu accomplir la moindre tache pour leurs villages. Pour ma part, et grâce à ma famille, j'avais depuis quelques mois passé le stade de l'enfance pour me plonger à corps perdu dans l'apprentissage des Jutsus de mon clan. Ce fut donc sans surprise que je devins ce que l'on attendait de moi. Réussissant sans grande difficulté mon examen Genin, je rejoins une équipe de quatre composé de trois élèves et d'un professeur. Dès lors, je devins une charnière stratégique, calculant et préparant un plan d'attaque à plusieurs coup d'avance, je demeurais dans l'ombre pour mieux agir. Toujours détaché par rapport aux autres, je n'hésitais cependant pas à les aider quelques soit leurs demandes, m'investissant avec eux pour la construction d'un avenir nouveau. Au final, je fus reconnu comme étant un élément important, du moins dans la génération de ninja d'ou j'étais issue. Une fierté pour mon père qui, au travers de nos actions, ne pouvait que repenser à ma mère et aux sacrifices qu'elle avait fait.

Aujourd'hui, bien des années ont passées depuis ma sortie de l'académie. Des drames m'ont poussés à pleurer des amis, mais je ne fis jamais demi-tours. En réalité, je ne désirais qu'une chose à présent, monter le plus en grade possible afin de pouvoir aider et protéger le Kage. J'aurais pu aussi espéré devenir Kage moi aussi, mais je ne m'en sentais pas capable et puis, je préférais rester dans l'ombre. Dans un sens, protéger le Kage revenait à protéger le village et d'une façon détournée, j’atteignais mon but et celui de mon clan.

Grandir n'avait pas uniquement fait de moi quelqu'un d'accomplie dans mon art et dans mes objectifs, j'avais aussi découvert d'autres voies, d'autres façons d'exploiter mon sens de l'observation. Et durant toute ma formation je ne me limitais jamais dans mes entrainements, au contraire : c'est au prix de la sueur que l'on empêche le sang de couler.

Durant ma vie, il m'a été donné de me lier à nombre de grand ninja, qu'ils soient jeune ou vieux, leurs rencontres furent toujours instructives. Mais avec le temps, ce ne fut plus moi qui tira le plus d’enseignement de ses rencontres et un jour, je fus celle qui conseilla, guida et protégea. Et le premier que j'aidais fus un jeune garçon d'une dizaines d'années. L’événement se passa en fin de journée alors que le village, encore en ébullition face au retour du jeune fils de notre Kage, s'apprêtait à cesser toute activité. J'étais sur le chemin me ramenant à la maison lorsque je fus arrêter par quelques vocifération. Décident dans un premier temps d'ignorer la situation, je repris la route, mais je fus de nouveau arrêté, cette fois, les propos me déplurent et sans chercher davantage, je m'avançais vers le lieu du conflit. Devant moi, le jeune Ibuki face à un gamin qui était connu comme étant un cancre doublé d'un incapable. Et bien évidement, il était en compagnie de ses petitscopains, l'aurait-il fait seul ? Ne fléchissant pas, j'arrivais à leurs hauteurs, m'interposant entre eux, je fixais avec nonchalance le responsable de tout ceci. Ne se démontant pas, il commença à jouer les fier et je le démontais rapidement, lui faisant ainsi comprendre qu'il était aisé de se moquer des autres, mais qu'il était facile pour eux de le faire. Ridiculisé et visiblement blessé dans son amour propre, il partit sous les rires de ses camarades. Restant un instant silencieuse, je finis par me retourner afin de découvrir le visage combattif du jeune garçon. Dès cet instant, un lien particulier nous lia. Il était mon premier protéger, celui qui, malgré la distance que je mettais dans mes relations, était le plus cher à mes yeux. Sa blessure était l’absence de sa mère, une absence que j'avais aussi vécu et c'est sans doute pour cela que je sus lui parler et le comprendre.

22 ans après le jour de ma naissance, je vis toujours dans la maison familiale, cela ne me dérange pas et puis, ayant grandi avec des hommes, j'ai rapidement compris qu'il y aurait un problème le jour où je partirais. Déjà toute petite, je préférais faire à manger plutôt que de subir les substance brulées de mon père, et puis ils s'y habituèrent et aujourd'hui encore, lorsque je reviens de mission tard le soir, je sais très bien qu'ils m'attendent. Un mission de plus qui, bien qu'elle soit parfois fatigante, je m'y tiens comme toute les autres, après tout, sans mon père et mes frères, je ne serais sans doute pas la femme que je suis aujourd'hui, une femme fidèle à son pays et se battant pour ce dernier.


Ma vie n'est pas bercé par la haine et le sang, et bien que je fus privé de ma mère alors que je n'avais pas encore un an, je ne considère ces événements que comme ce qu'ils sont. Des coups du sorts servant à rappeler que mon clan défendra Konoha et servira l'Hokage quelque soit le prix. Ils sont là, pour me rappeler ce qu'est un ninja, ce qu'être un Shinobi signifie et implique. Et quelques soit ces coups du sorts, quelques soit la douleur et la peine, ils ne feront que renforcer ma volonté à servir mon village et à le faire jusqu'à ce que ma vie soit entièrement consumer par le feu qui anime chaque Shinobi de ce pays.






CODES DU RÈGLEMENT (2) :

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