Il arrive dans l’existence, qu’un jour, un individu se demande « Qui, il est vraiment ? » Et tout le monde sans exception, passait à ce stade pour évoluer. Même la délicate et réservée Hotaru, ne faisait pas altération. A vingt deux ans, elle avait l’impression de se chercher encore. Malgré qu'elle avait réussi à se faire une idée précise de certaines, qui se déroulait. Pour s'aérer, l'esprit, alors que Kirigakure était paisible et que certains habitants dormaient à points fermés, elle décida d’aller faire un tour aux alentours du village. Accompagné de sa vipère, qui resta bien enroulée autour de son cou. Lorsqu’elle quitta les habitations, passant par la porte, elle se rendit en ces lieux qui n’étaient pas toujours accueillants et quelque peu dangereux, surtout à la nuit tombée et encore plus pour une demoiselle seule. N’ayant nullement peur de ce qui pourrait surgir d’elle ne savait où, elle fit table-rase des futilités et rumeux, qu'elle avait entendu à propos de ces lieux. Des rumeurs, qu'elle ne connaissait que trop bien, vu qu'elle venait souvent traïner par-là.

Lorsqu’elle s’éloigna du village, elle se faufila dans la forêt et alla s’asseoir à un endroit, où elle pouvait percevoir l’horizon lointain. Se mettant ainsi, elle admira les rayons de lumière qui provenaient des étoiles du ciel nocturne. Qui semblaient lancer un appel à travers les âges. Ses rayons arboraient des couleurs incapables de pâlir ni même de faner pour la moindre chose. La demoiselle perçut étrangement en cela, des pleurs qui se reflétaient dans ces yeux étincelants. Une métaphore bien étrange, pour une personne, qui ne pouvait désormais plus verser de larmes. Elle ferma ses yeux, puis caressa Viper. Celle-ci resserra son étreinte autour du cou de son amie, l’enveloppant encore plus.

*A quoi songes-tu, belle petite Luciole solitaire ?*

Lui demanda-t-elle intriguée, de la voir dans une position qui ne lui ressemblait pas. Elle semblait être happée par ses chimères, toutefois, cette fois, elles paraissaient être plus poignantes qu’auparavant. Hotaru resta dans sa position, assise, elle ramena ses jambes à son cou, levant à nouveau ses yeux vers le ciel. Malgré qu’elle ait entendu la question de son amie, elle ne lui répondit guère. Se doutant que son amie, recherchait désespérément des réponses à la raison de ton existence. Et ce qu’elle était au fond, Viper ne renouvela donc pas sa question, mais prit l’initiative de lui parler pour la rassurer.

*Ne t'inquiète pas, en gardant confiance en ce en quoi tu crois, tu peux continuer d'avancer. Et dis-toi qu’après une pluie, dans l'asphalte qui se sera installée, il y’aura un arc-en-ciel qui apparaîtra pour illuminer ton existence.*
« Je ne me suis jamais sentie aussi vide, que je ne me sens maintenant, Viper…Je me sens tel un de ces individus quelconques embarqués dans le bateau du destin, tandis que les vagues continuent à allaient et venir. Ne lui laissant aucun espoir d’échappatoire. Alors que lui se demande, ce qui arrivera, si jamais il venait à perdre son chemin. Croyant désespérément que les vagues viendront le guider à travers un autre jour. Sans même avoir aucun espoir palpable...»
*Petite Luciole solitaire, lève tes yeux vers le ciel et regarde, les étoiles qui brillent. Tu les vois ? Chacune contribue avec sa propre lumière, tout comme les gens sur cette planète, ainsi que toi-même…*

Hotaru hocha la tête après les dires de son amie. Quelque peu, réconfortée par ce qu’elle venait de lui dire. Elle ne chercha donc pas à poser quelconque question de plus. Sa réponse n’était certes pas des plus plausibles, ni des plus claires en son ensemble, mais elle avait étonnamment suffit à dissiper son malaise. Ainsi, la demoiselle ramena ses prunelles vers le ciel étoilé. Où les étoiles brillaient de toute leur somptuosité. Ces dernières faisaient luire ses magnifiques prunelles violettes, qui brillaient de mille éclats, dans cette immense nébulosité. Désirant sur le coup, devenir une étoile à son tour, pour pouvoir briller ainsi et étaler sa splendeur. Ou même aller se déchoir sur la personne de son choix. Fermant les yeux, elle s’imagina se transformant en une étoile. Qui monterait haut dans le ciel, tanguant dans tous les sens, apportant ainsi l’allégresse, à tous ceux qui poseraient leurs yeux sur elle. Partie dans ses chimères indélébiles, Hotaru en sortit, lorsqu’elle entendit sa vipère émettre des sifflements, qui signifiaient qu’il y’avait une personne dans les parages. Hotaru se releva très rapidement. En peu de temps qu’il ne fallait, elle avait balayé ses doutes et s’était mise dans une position de garde. Dans le but de prévenir une quelconque attaque, qui surgirait sans crier gare. Elle scruta les alentours, guettant où allait surgir la personne, qui était tapie dans l’ombre à l’espionner.

Alors qu’elle admirait le ciel, se posant des questions vaines et sans doute inutile pour son état, Hotaru se fit surprendre par les sifflements de sa vipère, qui lui indiquaient, qu’il y’avait une personne dissimulée dans les alentours, non loin d’elle. Cela obligea la jeune femme à se relever rapidement. Elle se plaça dans une position de garde, afin d’être prête à parer quelconque attaque qui surgirait. Mais alors qu’elle pensait, que quelqu’un de malveillant allait sortir de ses feuillages, pour se précipiter vers elle armé, elle fut surprise, de voir se présenter devant elle, un homme au teint encore plus pâle que le sien. Il avait carrément la peau aussi blanche que celle de sa vipère. Celle-ci luisait sous la lueur de la lune, qui la laissait paraître rayonnante, donnant un air mystique au porteur. Ce teint si incolore, surprit Hotaru. Qui de toute son existence, n’avait jamais vu une personne avec un éclat aussi blafard que celui de cet homme. A qui, elle ne pouvait de ce fait, donner un âge précis. Même sa défunte mère, de qui elle avait tout obtenu et qui avait une peau très claire, ne l’avait pas aussi laiteuse.

Tantôt, surprise par cette apparition soudaine, elle sentit une sensation de frissonnement. Se demandant d’où cela pouvait-il provenir ? Elle crut sentir, les battements de son cœur se faire de plus en plus intermittents. Etrangement, dans tout cela, elle ne sentait aucune hostilité quelconque provenir de son intérieur. Elle, qui pourtant n’était pas du genre à rester calme. Devant un inconnu qui plus est. Sa propre attitude, la déconcerta, au plus profond de son être. Ne comprenant pas pourquoi, elle ne ressentait aucune malveillance envers cet homme, qu’elle n’avait pourtant jamais aperçu auparavant.

-Je n'avais jamais vu quelqu'un d'autre avoir un serpent comme animal de compagnie. Je suis étonné de rencontrer quelqu'un comme ça ici.

Déclara-t-il. Hotaru, encore troublée et interloquée, ne pouvait se mouvoir d’une quelconque façon que ce soit. Se figeant sur place, comme si elle venait d’être pétrifiée par un sort inconnu, qui lui interdisait de se mouvoir comme elle le voulait. Ou encore, comme si elle était émerveillée devant cet inconnu, au point de perdre notion de toute chose ainsi que le contrôle sur elle-même. Alors, qu’elle essayait d’arborer une attitude normale et dégagée, elle sentit Viper desserrer son étreinte autour de son cou. Cette dernière alla s’enrouler autour du cou du mystérieux interlocuteur d’Hotaru. Qui resta sans voix. Elle ne comprenait pas, la raison qui venait de pousser sa vipère à aller ainsi se placer autour du cou de cet homme. Alors que d’habitude lorsqu’elle se trouvait en face d’un inconnu, elle réagissait autrement. Elle se montrait hostile et très vite, montrait de la distante. Ce qui ne fut pas le cas, sur l’instant.

« Mais…que fais-tu Viper ?...Pourquoi es-tu allée t’enrouler au cou de cet homme, que tu ne connais même pas ? »
*Détrompe-toi hebi hime. Je connais cet homme, mieux que tu ne le pourras jamais. C’est à lui, que tu dois ton existence, ainsi que ce que tu es…Hotaru, laisse-moi te présenter Orochimaru. Tu peux t’incliner devant lui, car s’il n’avait pas été là, tu n’aurais jamais vu le jour. Et surtout ta mère n’aurait jamais eu la chance de se voir devenir mère…*

Abasourdie par les dires de Viper, Hotaru écarquilla ses prunelles. Balbutia tout bas, avant de se laisser mollement tomber au sol. Elle se plaça à genoux et fixa le dénommé Orochimaru. Hotaru se sentit aspirée par une spirale nébuleuse sans fin. La révélation de Viper, venait de lui infliger un coup dont, elle n’était pas prête de se relever.

« Comment…comment…est-ce possible ?...C’est quoi cette histoire ?... »
*Tu es un sujet d’expérimentation vivant, dont Orochimaru en est l’investigateur. Tes techniques qui te permettent d’entrer en contact direct avec moi, ainsi que de comprendre les serpents, te viennent du fait que tu n’es pas aussi humaine que tu l’imagines…*

Les mots que prononça Viper commencèrent à raisonner dans l’esprit d’Hotaru, qui ne cessait d’entendre : « Tu es un sujet d’expérimentation. » Tel un poison ce mot s’infiltrait en elle, faisant en sorte qu’elle ne puisse plus bouger de sa position. Alors qu’elle était entrain de se demander, qui elle était vraiment au fond, voilà qu’elle venait de rencontrer un inconnu, qui était apparemment l’être à qui elle devait la vie. Elle qui avait toujours pensé avoir été engendrée par l’amour de ses deux êtres, qui furent ses parents. Désemparée, Hotaru resta inerte, les yeux aussi vides qu’un espace infini.

Voici la phrase qui ne cessait désormais de raisonner dans l'esprit d'Hotaru. Qui venait d'entendre des révélations plus qu'insensées à son sujet. Ainsi durant si longtemps, sa vipère s'était tenue de lui dire qu'elle n'était pas une humaine, mais une expérience ? Le contrecoup de la nouvelle brisa en elle, quelque chose qu'elle ignorait. Choquée d'entendre cela, elle se laissa emportée dans une spirale sans fin. Qui la plongea dans les méandres de l’anéantissement. Elle qui avait toujours pensé, qu’elle était née comme tout enfant, de l’amour d’un père ainsi que celle d’une mère, elle fut désorientée. Atterrée au sol, elle entendit les dires de son véritable Créateur, à qui elle devait ce qu’elle était, d’après Viper.

-Une expérience réussie, semble-t-il. Je suis heureux de te rencontrer après toutes ces années, Hotaru.

L’homme fit quelques pas vers Hotaru, qui était toujours enclin à la dépression. Il s'accroupit, se mettant à son niveau, pour à nouveau lui parler.

-Mais je te demanderai de ne pas te voir comme une créature difforme ou contraire à la nature. Comme ton serpent l'a dit, tu n'es pas si humaine que tu l'imagines. Cependant, tu penses, tu agis, comme n'importe quel humain. Considère-toi comme... une réussite. J'ai pratiqué l'expérience qui t'a donné la vie pour continuer à faire progresser le genre humain. Le fait que tu sois en vie, et en bonne santé, prouve que cela est possible. D'une certaine façon, tu es plus proche de la perfection que la plupart des gens qui peuplent ce monde.

Orochimaru se redressa. Les paroles qu’il venait de prononcer avaient mis un temps, mais avaient réussi à atteindre le fond de la demoiselle. En effet, il avait raison. Même si elle n’était pas humaine, elle agissait et faisait tout comme eux. Elle ressentait les mêmes émotions, donc d’une façon ou d’une autre, elle avait un fond d’humanité en elle. Et le fait d’entendre son Créateur lui dire qu’elle était proche de la perfection ne fit que l’enchanter. Il avait réussi à créer un être, qui avait développé des pensées si confuses, mais tellement ordinaires et semblables à ceux des humains. Un être qui pouvait facilement atteindre des sommets insoupçonnés et qui pouvait représenter l’avancement. Hotaru se dit finalement, qu’elle n’était pas qu’une contrefaçon, comme elle le pensait au moment où elle apprit la réalité de ce qu’elle représentait. Elle comprenait pourquoi, elle réussissait à communiquer avec certains animaux, sans avoir besoin de se fatiguer. Ainsi que pourquoi, elle pouvait sentir des choses dissimulées. Ses questions concernant le pourquoi du comment de son existence, venaient de trouver des réponses claires. Ainsi, afin de pouvoir faire face à celui à qui elle devait tout, elle essuya délicatement les larmes qui avaient commencé à se montrer, puis se releva tout doucement. Une fois, qu’elle fut debout, elle fixa Orochimaru.

« Votre expérience est en effet une réussite Orochimaru. Vous pouvez être fier de ce que vous avez réussi à accomplir, pour l’amélioration du genre humain…Je suis très honorée de faire votre connaissance, même si je suis bouleversée par cette soudaine nouvelle. J’aurais préféré être mise au courant très tôt, sur ma nature véritable… », sa dernière phrase s’adressant à sa vipère, Hotaru se tourna vers elle.
*Ne m’en veux pas Hebi Hime, mais je n’aurais jamais pu t’avouer toute la vérité comme ça. J’avais promis à ta mère de veiller sur toi, que tu grandisses bien et qu’il ne t’arrive jamais rien jusqu’à l’apparition d’Orochimaru. Maintenant mon travail est fait, je suis quelque peu libérée de ma promesse…Ta mère avait peur que tu te sentes rejetée par ce que tu n’étais pas humaine, au fond. C’est pourquoi, elle ne voulait pas que je te révèle la vérité tant que tu ne serais pas prête…L’apparition d’Orochimaru, était le bon moment pour toi d’apprendre la vérité. Maintenant qu’il est là, c’est à lui de décider si je dois rester à tes côtés pour t’aider à progresser encore plus, jusqu’à atteindre plus que la perfection…*

Viper n’avait toujours pas quitté le cou de son véritable Maître. A présent qu’Hotaru avait fini par accepter sa situation, la mission de Viper, qui lui avait été donnée par la mère d’Hotaru était terminée. C’était maintenant à Orochimaru de prendre la décision si Viper devait continuer à veiller sur la jeune femme, afin de l’aider dans l’accroissement de ses capacités et de veiller aussi à ce que cette expérience ayant atteint la perfection ne connaisse pas la destruction. Ou si au contraire, Viper pouvait disparaître de l’existence de celle-ci. En emportant tous ses souvenirs avec elle, pour la laisser vivre telle une humaine. Mais cela, Viper ne le dévoila pas à Hotaru, puisque cela Orochimaru devait le savoir. Après avoir côtoyé la femme qui porta son expérience, il ne pouvait que deviner la chose. Il y’avait aussi une chose qu’avait fait la mère d’Hotaru avant que sa fille ne voie le jour. Elle effectua une technique, laissant un sort sur Viper, que si jamais Hotaru n’arrivait pas à accepter sa véritable nature, Viper n’aurait qu’à activer ce sort afin d’effacer la mémoire de la demoiselle. Mais cela, Orochimaru allait-il le permettre ? Ou au contraire, il allait la laisser ainsi avec les capacités qu’elle possédait de pouvoir entrer en communication avec des animaux ? Le destin de la demoiselle reposait à présent à présent entre les mains de son Concepteur. Le seul qui possédait un droit de vie sur elle.

Tout doucement, Hotaru avait fini par intégrer dans son esprit ce qu’elle était réellement. Cela lui sembla quelque peu invraisemblable, mais elle dût se résigner, lorsque celui qui était à l’origine de sa nature véritable, confirma qu’elle était bel et bien une expérience. Ce fut avec beaucoup de difficulté que la demoiselle qu’elle accepta la nouvelle, qu’on venait de lui annoncer. Après qu’elle se soit plus ou moins lamentée sur son sort, elle se releva, essuya des larmes qui s’étaient logées au niveau de ses joues, puis finit par faire face à son Créateur. Celui-ci avait réussi avec quelques mots à la dissuader, de ne pas se voir qu’uniquement qu’en tant qu’expérience ou un monstre. Il voulait qu’elle voie au-delà de ce qu’elle venait d’apprendre. Car pour lui, elle était une expérience visant à améliorer le genre humain. Il ne put se tenir de lui dire, qu’elle était une réussite. Ce qui mit du baume au cœur de la jeune femme, qui le confirma par la suite. Elle était contente de le savoir. Se tournant vers sa vipère, elle apprit que cette dernière avait terminée la mission qui lui avait été confiée par la mère d’Hotaru et qu’à présent c’était à Orochimaru de décider, si elle devait encore rester à côtés de la jeune femme ou non, pour l’aider à avancer. En entendant cela, Hotaru fut abasourdie. Comment est-ce que celle, qui avait toujours été à ses côtés depuis qu’elle était enfant, pouvait ainsi parler de la quitter sans le moindre scrupule ? Sans même avoir une pointe de remord dans le regard ? Alors qu’Hotaru allait poser une question à Viper, elle ne le put à cause de l’intervention d’Orochimaru.

« Evidemment. Le but de mon expérience était que tu atteignes le stade ultime. Et tout ce qui pourra t'y aider doit être utilisé…Tu vas rester auprès d'elle et l'encourager à se surpasser à chaque instant. Et tu m'informeras régulièrement de son évolution. Toutes les informations que tu me fourniras pourront m'être utiles dans mes recherches. », finit-il par conclure en s'adressant à Viper.

Hotaru était quelque peu chagrinée, concernant l’histoire de sa vipère. Elle qui était celle, qui la connaissait mieux que quiconque. Au bout de vingt deux ans qu’elles avaient passées ensemble, Hotaru s’était toujours sentie heureuse à ses côtés. Et voilà, qu’elle venait de se rendre compte, que si sa mère n’avait pas fait promettre à la vipère de veiller sur elle, elle ne serait jamais à côté. Tout cela, la troublait. Mais le fait qu’elle entende son Créateur demander à la vipère de rester encore auprès d’elle, la soulagea. Mais pour un court instant. Elle s’expliquerait certainement avec sa vipère, une fois, qu’elles seraient seules, ça c’était certain. Pour l’heure, elle se tourna vers Orochimaru, qui lui demanda jusqu’où elle avait progressé ?

« Je ne suis pas encore à niveau très impressionnant, j’ai juste la capacité de faire prendre une taille imposante à Viper en lui insufflant une partie de mon chakra, pour qu’elle intervienne lors de mes combats. Rien de bien extraordinaire en somme…Je ne sais absolument rien des capacités que possédait ma mère, mais je suis sûre que ses talents en matière de jutsus liés à l’utilisation des serpents, étaient bien plus intéressants que les miens… »

Hotaru arbora un visage chagriné. Se rendant compte elle-même, qu’elle avait du chemin à parcourir, pour pouvoir totalement faire honneur à son Créateur. Qu’il puisse se dire, qu’il était fier de l’avoir créée. Car elle avait beau être une expérience réussie, il n’en restait pas moins que pour le moment, le seul domaine où elle excellait était l’utilisation de ses techniques raiton et non l’utilisation d’une technique kuchiyose de serpent ou autre de ce genre.