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 Partir ou mourir? La malédiction de la brume frappera. [Mission rang D]

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MessageSujet: Partir ou mourir? La malédiction de la brume frappera. [Mission rang D]   Partir ou mourir? La malédiction de la brume frappera. [Mission rang D] Icon_minitime1Mer 7 Nov - 12:51

Spoiler:

Ma longue cape blanche et bleu que m'a légué mon père me recouvrait le corps et ma capuche cachait le haut de mon visage comme toujours. Mes doubles lames d'épéistes étaient rangés dans deux étuis magnifiquement décorés sur mon dos. Traversant la brume recouvrant le village j'apparus devant la liste des requêtes. Je survolai rapidement les thèmes avant d'en choisir une. Celle-ci consistait à chasser un groupe de vagabonds gêneurs qui ne comprenait pas que non c'est non. Ils obstruaient alors l'entrée du village en faisant payer ceux qui voulaient entrer ou sortir. Ils avaient même installé un camp. Les ordures, ils se prennent pour où ! Kiri ne s'est jamais fait assiégé alors ce ne sont pas eux qui vont réussir. Je comptais leur faire vite décamper. Mais il était dit qu'ils étaient nombreux et que la ruse était la meilleure solution.

Je ne suis pas une brute épaisse sans cervelle, je sais bien sûr agir avec intelligence au lieu de foncer tête baissé. Bien que parfois je me laisse emporter le combat pur et dur. Mais pour l'instant, ils allaient se rendre compte qu'un assassin est aussi un stratège. Il le faut, un assassinat parfait ne se fait pas à l'improviste après tout. Je ne me dirigea pas tout de suite vers la porte d'entrée du village, je fis d'abord un détour. J'avais déjà prévu un plan pour me jouer de ces imbéciles et j'avais besoin de matériel. Quelques parchemins explosifs et un long fil de fer. Il me manquait deux outil que j'allais trouver dans les laboratoires ninjas de Kiri. Je m'y rendis et demandai à ce qu'on me donne une petite quantité d'un poison qui me permettrai de semer le trouble chez mes adversaires. Les experts me donnèrent un poison qui, une fois injecté dans le sang, perturbait le contrôle des membres de la cible avant de le rendre tout vert et lui faire perdre connaissance pour 48 heures. Je réclama également un parchemin où été scellé une quantité d'eau respectable. Contenté par ces offre, je les remerciai et alla remplir ma mission.

Arrivée aux portes, je constatai qu'il y avait en effet une vingtaine de personne qui s'était installé non loin de là en plein sur le chemin. Grâce au henge no jutsu, je pris l'apparence d'un vieillard sénile équipé d'une canne. Avançant pas à pas sur le chemin, tel un vieil homme tremblant, j'arrivai face au camp des « refusés ». L'un deux me bloqua le passage et m'ordonna de lui donner cent ryos si je souhaitais passé. Le regardant dans les yeux je me mis à dire qu'il n'avait aucune respect pour les veilles personnes en lui pointant ma canne au nez. J'ajoutai ensuite que la malédiction du brouillard maudit allait les frapper tous s'il continuait à se montrer hostile à Kiri. Il se mit à rire et appela son chef en lui disant de venir rire aussi en écoutant les pitreries que le vieillard que je suis lui sortait. Je continuai en demandant s'il ne savait donc pas ce qu'était la cette malédiction et que leur ignorance allait leur coûter cher. Le chef en ricanant me demanda de lui raconter ce soi-disant mauvais sort. M'appuyant sur ma canne je me mis à raconter l'histoire sortit entièrement de mon imagination. J'expliquai qu'il est dit que le brouillard entourant le village est vivant et peut se manifester sous forme de monstre et jeter une malédiction sur ses ennemis.. Il y a longtemps le Mizukage a réussi à pactisé avec lui et il est désormais dévoué à la protection du village. Quiconque est l'ennemi de Kiri devient son ennemi et sera donc éliminer. Voilà pourquoi Kiri n'a jamais connu de siège ennemi.

Le monstre apparaît la nuit, lorsque le brouillard s'amplifie. Dit-on qu'il manie tout les éléments. Il peut faire exploser le sol, enflammer l'air, fendre le vent, noyer les forêts et apparaître sous la forme d'un monstre de foudre. Il y avait aussi sa malédiction mortelle. Celui qui aura le malheur de la subir perdra le contrôle de ces membres, sa peau changera de couleur, il finira par perdre connaissance. Ce ne sera alors qu'une question de temps avant que la mort ne l'attrape. La seul solution pour se libérer de ce sort est d'avoir la clémence de l'esprit de la brume en corrigeant la faute dont il vous reproche. Après mon monologue, tout les bandits ayant écoutés mon histoire éclatèrent de rire. Leur chef me dit ensuite qu'il me laissait passé gratuitement pour cette fois car je les avais bien amusé. Je lançai un dernier regard méfiant vers les gêneurs puis partit et disparut à l'horizon. Lorsque je n'étais plus visible par les vagabonds, je repris ma vraie forme et entra dans la forêt. J'attendis que la nuit tombe, préparant bien mon plan. Lorsque le soleil quitta le ciel, je m'approcha du camp en restant caché dans la forêt qui portait le sentier qu'il bloquait.

La plupart des hommes étaient réunis autour d'un feu et se saoulait avec du saké. Il n'y avait que que deux ou trois qui montaient la garde. Je sortis mon fil de fer et le plongeai dans une bouteille d'huile très inflammable. Je le coupai en deux et attachai un kunai sur chacun d'eux. Comme je l'ai dit, leur camp se trouvait sur un sentier bordés par des rangées d'arbres de chaque côtés. Je me situais dans la zone forestière à gauche du chemin. Me plaçant vers le bord du camp tout en restant dans les arbres, je guettai le moment où les gardes avaient moins d'attention et lançai le fil vers la rangée d'arbre opposée. Le shuriken s'enroula autour d'un arbre et j'enroulai mon bout du fil sur l'arbre près de moi. Je fis de même à l'autre bout du camp. Ainsi deux fils de fer invisible grâce à l'obscurité de la nuit encerclait l'entrée et la sortie du camp. Il était temps de passer à l'action. J'allais utiliser une de mes technique personnelles.

Fixant le rassemblement des bandits autour du feu, je plaça ma main au sol après avoir fait des mudras. « Nimpô, l'onde souterraine ». Du chakra sortit de ma main pour entrer dans la terre et prendre la forme d'une onde. Elle fonça sous le feu de camp et une fois arrivée, sortit de terre violemment, provoquant une explosion du sol qui projetait les cendres du feu un peu partout. Les bandits se levèrent d'un coup cherchant le coupable, c'est alors qu'il virent deux rangés de flammes en volantes à l'entrée et à la sortit de leur camp tel des feu-follets. C'était tout simplement les flammes ayant été éparpillés par l'explosion du sol qui tombèrent sur le fil huilée, ce qui l'enflamma. Alors que les fils avaient déjà été consumés par les flammes en quelques secondes, d'autres cendres tombèrent aussi sur les tantes et les enflammèrent. Les gardes étaient donc occupés à éteindre le feu. Pour leur compliquer la tâche j'utilisai deux fois de plus ma technique afin d'exploser la terre. Après ces actions je décidai de m'arrêter pour ce soir. Le lendemain les vagabonds n'étaient plus en fête. Ils avaient du passer la nuit à empêcher le feu de brûler leur campement. De plus ils ne comprenaient pas qui avaient causé ces explosions et ce feu. Les imbéciles, je me jouai d'eux et cela allait encore continuer.

La nuit suivante je procédai à la suite de mon plan. Cette fois j'entrai dans le camp sans me faire repérer. Je me cacha derrière une tente et fis apparaître mes chaînes sur mes avants-bras. Je les fis agrandir et, suivant l'obscurité pour ne pas faire repérer, elles déchiraient les morceaux de tentes ou de vêtements qui passaient à sa portée. Les bandits eux ne voyaient pas les chaînes, ils voyaient juste les tissus se déchirer comme-ci s'était le vent lui même qui faisait cela. Changeant par moment de place je continuait à me jouer d'eux. Quand je fis l'un d'eux sortir de sa tante pour voir ce qu'il se passait, je lui égratignai un morceau de peau. Un autre se trouvait sur la route des chaînes et subit le même sort. Je rappelai ensuite mes chaînes et retournai me cacher dans les arbres. En faite j'avais verser quelques gouttes du poison qu'on m'avait donné sur mes chaines. Ainsi lorsqu'elles ont blessé les cibles, ces-dernières ont été empoisonnée. Ce n'est qu'une question d'heure avant que celui-ci ne fasse effet.

Au petit matin je constata la réaction du poison. L'un des hommes touchés était de garde et l'autre taillait les armes à ce moment là. Ils se mirent à marcher comme des saouls, à frapper partout sans se contrôler. Leur compagnon qui s'approchait d'eux pur essayer de les aider finissait toujours par recevoir un coup. C'était encore plus dangereux pour celui qui taillait les armes car lui avait une lance en main à ce moment. Il agitait donc son arme dans tout les sens au risque de blesser un allié. Après quelques minutes ils tombèrent au sol, le corps tout vert. Ils allaient dormir une bonne 48 heures désormais. C'est alors que les vagabonds commencèrent à s'inquiéter. Ils se posaient des questions sur ce qui leur arrivaient. L'un d'eux reparla de la malédiction dont que leur avait raconté le vieillard. Le chef l'arrêta tout de suite en disant que cela ne peut être vrai et que c'est simplement ou une coïncidence ou quelqu'un qui leur joue des tours. C'était la deuxième solution l'exact mais j'allais les convaincre du contraire. Le troisième soir arriva.

Tout à coup un garde se mit à appeler les autres. Il venait de retrouver le corps d'un de ces camarades électrifié par terre. Tout le monde commença à s'inquiéter mais le chef resta sur sa position et ordonna que tout le monde reprenne ses occupations. Mais c'est alors qu'il eut un autre cri. Tous s'empressèrent. Cette fois l'homme n'était pas paralysé, du moins par entièrement, seulement les jambes. Il raconta alors avoir vu le monstre du brouillard. Celui-ci était formé de foudre et étaient accompagné de deux serpents de foudre. C'étaient ces deux là qui avaient électrocuté les jambes en les ligotant. Il n'avait pas vu son visage mais seulement ses yeux rouges à travers le brouillard. Cette fois même le chef commençait à se poser des questions. Ils se réunirent au milieu du camp pour faire le point sur la situation. Quand tout à coup, une vague d'eau apparut de nul part et noya le camp pendant quelques secondes avant que le niveau d'eau redevienne à quelques centimètres de hauteur seulement. L'un des hommes se mit à hurler que c'était la malédiction du brouillard. Les 5 éléments les avaient frappés, la première nuit la terre avait explosé, le feu était apparu de nul part, la seconde nuit, le vent avait déchiré les tissus et deux gardes furent frappés par la malédiction et enfin ce soir la vague d'eau les avait frappé et le monstre de foudre fit son apparition. Tout les signes étaient là.

Tout à coup, le monstre de foudre apparut. Il n'était pas seul, plusieurs autres créatures identiques sortirent de l'obscurité pour encercler les vagabonds. Chacun posa sa main sur l'eau qui recouvrait le sol, leur électricité s'éparpilla alors dans l'eau ce qui augmenta le champ de portée. Ainsi toutes les personnes furent paralysé. Le monstre de foudre dit alors : « Partez ou vous mourrez. » d'une grosse voix grave. Puis il disparut dans les ténèbres de la nuit. Tout cela était faux bien sûr. Le monstre de foudre étaient en faite moi qui avait utilisé l'armure de foudre pour me recouvrir entièrement le corps d'électricité. En touchant l'eau j'avais utilisé le verrou de foudre pour tous les immobiliser. Les deux serpents de foudre étaient simplement mes chaînes imprégnés eux aussi de l'armure étant relié à mon corps. Quant à toutes les copies semblables qui les avaient encerclés ce n'était que des simples bushin qui avait mon apparence lorsque je suis couverte de l'armure mais ils n'étaient pas réel. Tout ces stratagèmes que je mis en place eurent l'effet recherché. Dès le matin, tout les vagabonds rompirent leur camp et disparurent de Kiri. Désormais tout le monde saurait qu'il ne faut pas être l'ennemi de Kiri ou l'esprit de la brume abattrait sa malédiction.


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94 lignes.

Techniques apprises:
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