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 Un apprentissage par la mort ...

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Nazu

Ninja Inconnu

Nazu

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MessageSujet: Un apprentissage par la mort ...   Un apprentissage par la mort ... Icon_minitime1Sam 8 Jan - 9:27


Le ciel était si beau, ce matin paraissait comme les nouveau rayon de soleil au delà d'une montagne. Un symbole peut-être, ou une vie qu'on se dit monotone, et cela par choix de notre humeur. Il est aussi dit, que nous ne somme que des être sans espoirs, qui au moindre faux pas agissent sans l'ombre d'un. Dont nos âme ne sont plus qu'en fait pour nous guider. Et nos attente renaissent chaque jour que dieu nous fait. Comme une certaine phobie de savoir ce que l'on pourrait être, nous n'attendons du jour qui se lève au delà nos ailleurs, qu'il nous soit béni et enclin par la joie. Qu'il ne soit pas hanté par de simple méfait dont on se sait sensible. Mais même si l'on aimerait ne plus être accueillis que par cette haine qui ronge, l'homme ne pourra jamais en changé. Car cela, par défaut sera toujours sa réel nature. Et en parlant, alors se mettent a pensée les hommes, se disant que même par l'infini il n'y a endroit si propice que celui de notre terre. Recouvert par ce si beau ciel que nous voyons, car voler a toujours était le rêve d'un homme, tellement qu'il y est nicher l'espérance de sa fin. Lors ce ciel au matin sera toujours si beau. Resplendira d'une nouvelle espérance ...

Moi je n'était qu'a quelques kilomètres de partir de ce village, de Oto, qui malheureusement avait été détruit. Une bande de déserteur malfamés, qui aimait se battre pour des choses qu'il croyait amusantes. Un jour je les en ferais payer le prix. Je m'en allais tout droit sans but, j'erre comme un homme n'ayant plus de condition a se porté ou se croire obligé ... oui comme un déserteur parfaitement. Non seulement je le haïssais eux, mais je me haïssais en pensant a ce que j'étaie devenu en l'espace de quelque heures. Me retrouverais-je, moi et mon âme au sommet d'un gouffre ? Ou la clémence de celui qui nous observe me fera aller moins haut. Je m'arrêtais parfois sur intarissable chemin, ou la nature me mené, ou l'homme était déjà passé. La arbres était très vert, la nuit n'était pas encore tombé. Des feuilles par le vent on pouvait voir chuté, leur tronc semblait frissonnait. Il était comme un soir ou l'on regarde la nouvelle génération naitre, une feuille tombe, une autre s'aguerris.
Je n''était peut être qu'a quelques kilomètres de connaitre une autre vie. Celle-ci avait chuter, une nouvelle s'apprêter a commencer.

J'étais arriver devant un village, il semblait petit et assez gris. Ses maisons étrangement était suspendu aux arbres, des planches de bois les recouvrait. Ainsi que de la paille pour le toit. J'avançais a pas incertain dans ce village qui ne m'était pas familier. Sur des le bois tapissait pour le sol, je continuait mon chemin bien que j'eus était tenter de ne plus bouger. L'on pouvait traverser les maison, qui était en fait des sortes de magasin qui ne se fermé jamais. Les fenêtres restait entre bayer, pour prendre la bise réconfortante qui semblait s'y trouver. Au dessous de nos pieds se trouvait en fait le vide, au dessous encore de ces planches si l'on y réfléchissait. Je n'étais pas vraiment a l'aise de marcher sur ces choses, certes j'aurai mieux m'appuyer sur un sol conséquent sur lequel on peut compté. Pas sur l'un ou a chaque pas l'on ressente la frayeur de tombé. Heureusement sur les bords des pontons ou l'on voguait entre chaque maison, avait par prévenance était installé des rembarres. Des sortes de cordes qui ne céderait pas, si par ailleurs l'on ne s'amusait a passer au dessus.

Les gens eux, n'était que des sortes d'âmes errantes, certes le mot était un peu osé. Mais ils affichaient chaque minutes, une mine aussi grise que le vide de leur élan. En effet il semblait vraiment très lent, leur teint en était aussi pale. Je n'eus alors savoir ce qui valait bien croire de ce curieux village. Peut être une malédiction les empêcher t-il de rire, d'être joyeux, ou même de sourire ? Leur maison tremblaient, pourtant il ne faisait pas froid. Et je ne semblait toujours pas deviner, ce que leur vie venait a être un tourment. Puis au fur et a mesure que je grappillaient les quelques mètres que j'osais entamer, je m'apercu au descend de ce vide, qu'un cimetière était apposer. Peut être était-ce le fait de ce si pale accueille ? Je décida d'aller jeter un petit coup d'œil, même si cela n'était que par curiosité. Sous ma cagoule, j'observais ses drôles d'air. Plus se tapissait la venu de ce cimetière, plus ses personnes étaient indifférente, ou était passer leur âmes ? De plus il n'y avait aucune dans ce triste village, ce qui me semblait dommage vu la carrure qu'il aurait aimer imposer, on le pressentais. Et ce n'était pour rien que des gardes avait été poster a toutes les entrées. Ceux-ci par leur vain jeu de lèvres, semblait sourire a garder un secret, que les gens peut-être par la force ne voulait révéler.

Ce cimetière au abord, après avoir l'approcher, était tous ce qu'il y avait de plus banale. Je n'osais pas y pénétrer, après tout aucune personne de ma famille n'y avait été enterrer. Il était gris, ses peintures semblait ne pas avoir été refaites depuis un bon moment, et des fissures pouvait se percevoir au bas de ses murs. Au travers le grillage, les plantes avait épris les tombes, mais certainement n'avait pas encore étaient souillés. Certaine était entrouverte, la terre gémissait de celle-ci. D'autre était fermées mais ensevelis sous des tas d'herbes folles. Tandis qu'encore d'autre n'avait plus la pierre qui leur servait a se faire connaitre même par delà la mort. Pourtant une chose m'intriguer, même si l'irrespect de ces âmes semblait largement probable, le portail usées qui servait a y pénétrer, lui était fermé. Il me semblait même qu'il n'eus jamais été ouvert. Je regardait de pars en pars, cherchant une âme se promenant dans ce triste bâtiment, mais rien ... Quel sombre mystère cacher cette étrange village ? Je décida alors de partir, avant que cela m'intrigue, au point que je ne puis que l'élucider. Je refit le pareil chemin en inverse vers la sortie.Tout en jetant en pensé, un dernier regard sur ce cimetière qui me paraissait cacher de nombreuses choses.

Arrivait a ma destination, je lançais un regard dangereux au gardes qui ne cessait de sourire malicieusement. Pour leur faire comprendre qu'il devait se méfier. Je ne sais pas pourquoi mais ils m'intriguaient, leur sourire semblait faux ... Je m'imaginer des choses qui n'eus lieu quand des mondes irréel, ou du moins encore inconnu. Peut-être était-ce eux qui avait volé les sourires, a toute autre personnes ? Lorsque soudains surgissant d'un nul part, qui en ce village ne semblait trop quoi dire. Un déserteur me rentra dedans, j'aurais du peut être l'arrêter, mais j'étais encore trop occuper a me questionner. Mais cette fois les gardes l'avais poursuivi, je me doutais qu'il avait un problème pour que de gens semblant aussi fausser s'attarde a cette in-convenu. Leur arme en main il s'était mis a courir, assez droitement je dois dire. Pas un seul de leur membres n'était plier, ni même leur dos qui pourtant supportait une charge lourde. Je m'approchai alors de la sortie, mais voyant qu'ils ne revenait pas. Je m'apprêtai a partir a leur recherche, ainsi que de leur dépouille si jamais le criminel aurait pu s'avérer dangereux.

Plus loin, a quelques centaine mètre alors que la foret ou il s'était engouffré venait d'être entamer. Je sortit mes deux épées d'argent, mes ennemis en ces lieux pouvaient se dénicher n'importe ou. J'avançais prudemment, presque les genoux touchant le sol. La main sur cette terre, d'où je ressentais les êtres. Je n'attendais qu'un mouvement, un geste, même un pas pour connaitre leur position. Alors qu'attendant silencieusement, je perçu un bruit qui s'ecartais de toute les autre bruissement, ni de feuille, non bien plus imposant, ni de vent, non bien plus frissonnant, ni de pas non bien plus grondant .... Une odeur de brulée arrive peu a peu a mes narines, je perçoit que des arbres sont en train de mourir, j'avance rapidement dans la foret bousculant certain buisson par mes pas haletants. Je ne regarde ni derrière ni au devant, je fonce droit d'où la senteur m'est venu. C'est une vaste champ, entourée d'arbre et de chant imbécile d'oiseau, on dirait qu'eux aussi me regarde. Je suis au point le plus sensible d'où mes senteur ont sentit cette odeur, pourtant rien, pas un incendie. Alors que je me retourne pour me remettre a ma traque, une gigantesque coulée de lave arrive sur moi, elle est imposante fière et folle. Je reste statique sans plus bouger un doigt, mon ennemi est surprenant, il me traquait durant tout ce chemin.

Immédiatement je joue de mes affinités j'utilise le doton pour bloquer l'attaque, je m'enfonce sous terre et réapparait derrière lui en lui assénant un coup de pied.
Il se balance dans les airs pour se reprendre facilement, il est agile c'est un ninja qui pourrait causer du mal. Il faut en finir au plus vite. Il me regardait, nous nous regardions, ce visage me rappelait quelqu'un ....

FLASHBACK

Son regard luisait, ses yeux pourtant semblait aussi sombre que les limbes il venait d'un monde qui coutoyait la paisibilité de celui de Nazuki, mais cela jusque présent il avait ignoré. Ses halètes était aussi grave que sa couleur et ses pas, qui ne se tarissait jamais a l'aube d'une frayeur. Il se stoppa et dévisagea Nazuki, qui lui installé mal-aisément sur le sol était effrayé. Cette hâte ne dura quelques secondes assez pour qu'un enfant soit traumatisé rien qu'au souvenir de ce moment. Cette chose n'était pas banale, elle n'avait été créer que dans le but infâme de mettre fin au règne des shinobi, il était le yonbi.

FIN FLASHBACK

Papa ? .... Papa c'est bien toi ... alors tu n'était pas mort durant toutes ces années ? Et voila que tu passe ton temps a friponner le mal-être des gens ? Ne pense tu pas qu'il aurait mieux fallu t'occuper de moi-même, plutôt que de ton argent et de TOn bonheur ? Vois-tu ce que je suis devenu ? Rien qu'un orphelins, croyant que son père avait été emporté ... ce jour ... ce jour ou le destin s'était acharné contre un petit et si fringant bambin .... N'a tu pas eu de pitié pour ce qui m'est arrivait ? J'ai passé mon enfance dans une prison ou des choses indigne de l'homme m'ont été enseigné, prodigué, et tout en un exemple pratique .... J'ai vu des choses, et est vécu des atrocité que même en une vie tu n'aurais pu connaitre ... jusqu'au jour ou une voix clémence vint m'aider a en sortir ... Sais-tu qui était cette voix Papa ? ... Non ce n'était pas dieux, comme tu m'avait appris a y croire si fortement ! Ce n'était pas toi non plus ! Non Papa ce n'était pas les bras réconfortant d'un père, ni l'habit troué du vieux chasseur que j'aimai tant ! Ni de l'homme qui disait être mon père ! Cette voix était un inconnu ... Un inconnu Papa ! Un inconnu et toi ... toi tu n'était pas la ...


Alors c'est ca que t'es d'venu toi ... un misérable qui s'recroqueville sur son sort ... t'a bien tirer de ta mère hein ! Toujours a me faire la morale c'te greluche !


... ?!

Pourquoi t'est autant surpris hein ?! Ptit blanchin ... de qui tu tient ses'cheveux blanc tu crois ?! De Moi ? T'est qu'un bâtard qu'on a sorti du cul d'un aut'e taureau !

Je m'approcha et le saisis par le col ...

Arrête ! Tu ne parle que pour des bêtises ! Tu est alcoolisé !

Oh le ptit frippon de fils qui est si sensible ... ouh tu aimé tellement ton père et ta mère ... ouh on va pleurer ! Si tu tenais tant que sa a nous, c'est toi qui nous aurait trouvé !


J'ai crever, entend-tu ! J'ai crever, en pensant que vous n'étiez plus la !


Bou Bouh A ga ga, tu n'est toujours rester qu'un sale gosse d'artiste !


Une larme coula le long de mes paupières, javait la tête baissé comme cherchant a me réconforter ...

Fuis papa ... Fuis ! Ecarte-toi de mon chemin fatal, Hélas sans le vouloir je te ferait du mal ...


Pff aller viens j'tattend, tu n'a jamais parlé que pour rien dire !


Je pris ma lame et lui perça le ventre, on entendit un cri léger émané du corps de mon père ... qu'avais-je fais ! J'avais assassiner mon père ! Je déposa sa carcasse sur le sol, mes bras qui essayait d'attendrir une dernières fois son appuis. Il me regardait pratiquement le regard perdu et me dit en me tendant son bras.

Approche toi ... prend ceci ... tu aura le pouvoir absolu ... euu hh ...

Papa ...

Nazuki ta mè...mère vit encor' ... elle se trou..ve ou nous ... ...


Maman ?! Père ou se trouve encore maman ...

Je le secoua énergiquement pour qu'il puisse me répondre, hélas rien ne sortis de sa bouche saignante, je resta ici des heures a le pleurer puis l'enterra en sachant qu'en seconde partie de mon cœur s'était enfuis ... il n'en rester plus qu'un tiers, je ne voulais cette fois que personne ne puisse l'arracher.





Dernière édition par Nazuki Chikuno le Sam 8 Jan - 10:16, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Un apprentissage par la mort ...   Un apprentissage par la mort ... Icon_minitime1Sam 8 Jan - 10:15

Joli Smile, bon bah tu peux apprendre le Hyoton Smile
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