Parlons de l’écologie de la biodiversité présente dans les lieux ou les hommes ne peuvent vivres. Quelle moyen celui-ci à t il trouvé pour prouver sa détermination à contrôler le monde, et bien c’est simple comme tout, il décide de tout anéantir détruisant la vie ou d’autre espèce vivante vivaient. Les lieux les plus connu étant les forets et les Océans, mais nombre de personne réprimandait la destruction forestière, mais qui, qui s’occupait des étendu d’eau ? Personne du moins de réellement impliqué, moi Shinki j’étais l’un des hommes les plus admiratif de l’océan préférant y passer des journées entière plutôt que de me retrouver dans une ville surpeuplé par des personnes mal intentionné. Aujourd’hui comme toujours j’étais là près du lac dormant au pieu d’un arbre, avec une sacoche pleine de pomme pour me servir de diné. Mais je fus réveillé par une femme très peu vêtue en cette journée pluvieuse, mais ce ne fut pas ses habits qui me troublèrent mais sa chevelure violine, cela me faisait toujours un effet particulier de voir une femme avec une couleur de cheveux différente de l’ordinaire. Elle me donna le rouleau comportant les instructions sur ma futur mission en y rajoutant que j’avais été choisi en connaissant mon lien avec l’eau, après avoir ainsi décrit les raisons de mon assignation, celle-ci disparu sans donner son reste. Je n’en avais pas grand-chose à faire ce fut la mission qui me troublait. Après lecture, mon visage qui était si souriant se transforma laissant une colère s’exprimer très clairement. En chemin j’étais entrain de juré encore et encore sur l’ignominie d’un tel acte, comment un homme pouvait sans réelle nécessité construire un pont sur un endroit protégé, de surcroit y inscrire un symbole qui n’était pas celui de Konoha alors qu’il était dans son pays. C’était un acte de guerre pure et dure. Arrivé sur les lieux du carnage, je puis constaté l’étendue des dégâts, énervé, je pris quand même la peine de me calmer pour allez lui parler, bien que l’envie de tout détruire était présente. Arriver près de l’habitation du constructeur, je me mis à toquer assez fort pour qu’il entende mais pas suffisamment pour casser la porte. Lorsqu’il me vu et qu’il prit conscience de l’inscription sur le bandeau que je portais sur mon épaule celui-ci se brusqua très rapidement, laissant involontairement un rictus de dégout s’inscrire sur son visage. Sans rien dire à se sujet je lui ordonna de supprimer le symbole inscrit sur le pont tout en restant le plus poli possible celui-ci referma la porte sur moi mais mon pied était présent et bloqua la fermeture, surprit, il prit cela pour une agression et devint insultant envers moi et mon village, je gardais mon calme l’air de rien mais le saisi par le col le trainant avec moi au pied du pont les pieds dans l’eau, celui eux peur que je le noie volontairement, mais il n’en était rien, je comptait tout d’abord effacer la marque du village de la roche, ce que je fis très rapidement mais je n’en avais pas fini avec cette individu, je comptais bien lui faire comprendre que chaque acte avait des conséquence, mais il se mit une fois de plus à manquer de respect envers Konoha laissant mon visage changer à nouveau pour afficher cette haine sans fin.

Après quelque minute à le fixer sans dire un mot celui-ci essaya de s’excuser comme pris de panique, mais il n’en était rien il ne cherchait qu’a gagner du temps ce qu’il fit avec brio je tomba tête la première dans l’eau après mettre pris un coup de genou dans la tête, j’étais alors a la merci de mes adversaire du moins le pensaient-ils, ne faisant du coup plus attention à mes gestes et hurlant à tu tête qu’ils étaient les meilleurs shinobis de leurs village, avaient-ils conscience que leurs adversaire n’était autre que Fureku ? Non j’en doutais mais je n’en avait que faire je restais là à marmonner la tête sous l’eau. S’ils étaient en mesure de m’entendre alors ils prieraient pour que je ne les assassines pas sans retenu. Quelque seconde après avoir récupéré mon calme je me releva délicatement tout en donnant un grand coup avec le fourreau de mon sabre dans la tête de mon agresseur, celui-ci se mit à saigner à foison ne comprenant pas d’où le coup provenait j’en profita pour le désarmer et le mettre au sol plantant dans son estomac mon katana. Puis mon regard se tourna vers ses trois acolytes. Qui se mirent à foncer tête baissé sur moi comme des furies.

Encore des acolytes ne connaissant pas leurs adversaire, c’était amusant que dis-je divertissant, je n’étais pas un sadique sans cœur mais lorsque l’on touche à mon élément, c’est comme déclencher une tempête à en faire trembler les plus puissant, j’étais certes simple Genin mais mon chakra lui était imposant écrasant lors de mes rares montés de colère. Et quand je dis colère je ne parle pas des simagrées de gamin pleurnicheur et débile. En somme je parle d’une fumeur laissant apparaitre un manteau de chakra blanchâtre formant une énorme vague comparable à un tsunami avec en son centre une terrifiante tête démoniaque possédant des cornes retombant au niveau de mes cotes. C’est au moment de cette apparition que mes adversaires se bloquèrent net comme s’ils avaient peur de moi, je n’avais pas conscience de la matérialisation de mon chakra et ne comprenais jamais le pourquoi de ce regard terrifié de mes adversaires lors de mes crises de nerfs. Mais moi malgré cette perte de confiance en eux, je ne peux m’empêcher de souhaiter leurs morts. A peine eut-ils stoppé leur attaque que je me lançais moi-même dans l’action. Agrippant l’un des hommes par le coup me laissant pivoter et brisant la nuque de l’individu tout en projetant mon sabre entre mes pieds pour le stabiliser et trancher la tête de l’uns des autres ennemis. N’en laissant plus qu’un adversaire dominé par la peur, mais lui je ne voulais pas le tuer comme cela je voulais le voir mourir lentement, c’est pourquoi j’étais décidé à utiliser la seule technique que j’avais développer pour punir les hommes de leurs avarice. Mais avant cela je vins me placer à l’arrière du constructeur sans même qu’il ne pu réagir, mes bras se placèrent autour de son coup pour laisser place à un coup net, lui brisant la tête mais comme ci cela n’était pas suffisant, je continuais à tourner arrachant la tête à main nue.

Toujours sous le coup de ma colère je fis un mudra et ma position ne changea pas, l’homme qui restait disparu et fut emporté dans les profondeurs du lac, seul moi était en mesure de voir la scène, du moins c’était ce que je pensais, car je me croyais seul alors qu’il n’en était rien. Cette scène était sublime du moins lors de mes montés de haine, mon ennemi était entrain de se débattre et moi j’en riais aux larmes, car je savais que plus il se débattait plus il souffrait jusqu’au moment où il cessât et je sentis la vie le quitter. J’étais heureux de ce spectacle mais je n’étais pas rassasié et ma mission n’était pas achevé, j’avais encore une chose à faire, l’anéantissement du pont. Sans attendre, je refis une série de mudra, laissant par la même occasion un sourire particulièrement malsain se dessiner sur mon visage, laissant mon espionne voir de ses yeux le véritable visage de mon coté obscure. Ma technique n’était pas fini, des typhons vinrent se former sous chaque pilier pour les détruire, laissant le pont tomber dans le lac dégageant de grande vague remuant tout sur leurs passage. Et créant par la même occasion de nouveau habitant pour le lac. Ma mission terminé, ma haine se dissipa et mon visage redevint neutre laissant mon manteau de chakra disparaitre. Je pris alors la route du village de Konoha pour y faire mon rapport écris, je savais que si j’avais à parler de cette évènement je serais alors rempli de remord envers moi-même.