Sur le pont de la fascination [PV avec Obakee Yukan]

L'inconnue de la brume Sur le pont de la fascination [PV avec Obakee Yukan] Txt60011

Hasard ou mal-vaillance ? Sur le pont de la fascination [PV avec Obakee Yukan] Txt60011

Les grands voyages. Vous savez, ces longues marches qui durent des jours, des marches longues et silencieuses que nous faisons lorsque nous sommes seuls et que nous voulons prendre un air nouveau, un peut de changement, voir le reste du monde. Et bien ces lors de ces longs voyages que nous pensons le plus, que nous réalisons beaucoup de choses et que nous pardonnons. C’est dans ces moments de solitude et de tranquillité que nous prenons le temps de se poser des questions et d’y répondre. Et souvent, cela nous aide à passer par-dessus beaucoup de choses dont des moments tragiques, marquants ou difficiles. C’est également comme cela que nous portons plus d’attention aux choses les plus importantes également qu’elles soient tristes ou heureuses, tant que ce sont des moments à immortaliser. Dans le cas de Sasilvia, il y a beaucoup de chose qu’elle aimerait oublier, mais il y a des choses qu’on ne doit pas oublier pour rester qui nous sommes et pourquoi l’on vit car souvent, ce sont ces souvenirs horribles qui nous font devenir quelqu’un et qui nous donne un but, un sens à notre vie. Le moment le plus marquant pour la Kaguya, c’était de voir son frère partir avec ce vil serpent blanc qui l’a ensuite prit comme cobaye et l’a laissé mourir de la même maladie de sa mère. Depuis ce jour, elle rêve de voir ses vêtements et sa peau tâché du sang de cet homme serpent, cet Orochimaru.

Oui, Sasi avait fait un long voyage à partir de Suna no Kuni jusqu’aux alentours de Kiri no Kuni. Encore et toujours Kiri. Pourquoi ? Même s’il y avait d’autres endroits frais ailleurs et bien moins dangereux pour elle que là, elle préférait y être parce qu’elle se souvenait, elle était fière et aimait Kiri même si elle en était banni et qu’elle était inscrite dans leurs bingo book pour une bonne somme d’argent, tout ça parce qu’elle faisait partit du clan Kaguya, un clan qui a été anéantit en menant le village de la brume dans une guerre sanglante et périlleuse pour le clan de cette jeune femme. Tous ont été tués. Simplement parce que le chef du clan en avait assez du Mizukage et de toutes ces règles à suivre, il voulait être libre, mais cela l’avait mené à sa perte. Que voulez-vous, l’intelligence n’est pas donnée à tous le monde. La Kunoichi s’avançait vers le long pont menant à l’île principale de MizuGakure no Sato, l’île où se trouvait le village de Kiri no Kuni. Elle en était qu’à une centaine de mètre, ce n’était pas loin et pensait à ne pas le franchir de peur d’y rencontrer quelqu’un d’indésirable comme un anbu ou un Oi-nin qui lui causerait bien des ennuies car elle pouvait risquer d’être enfermé ou bien tuer en s’y aventurant de trop près. C’était un choix difficile car elle voulait tant marcher sur ce long pont encore une fois, sentir la bonne brise froide la pousser et lui caresser la peau. Elle voulait voir l’eau sous ses pieds, les grandes vagues emporté des trésors et observer les goélands pêcher. Elle voulait plus.

Une fois arrivée devant le pont, elle s’arrêta pour le regarder. Ses cheveux fuyaient dans le vent et sa logue cape rouge de satin semblait s’être prise d’affection avec le vent qui l’emportait dans une danse sensuelle. Sasilvia prit une bonne respiration profitant de cet arome de rosé du matin que dégageait jour et nuit ce pays, c’était merveilleux. C’est alors que sur un coup de tête elle prit une décision, elle allait marcher sur ce long pont d’environ plus de trois-cent mètre même s’elle ne pouvait pas voir à plus de dix mètres devant elle car le brouillard était si épais qu’il brouillait la vue de tous, c’était à la fois un avantage et un désavantage de vivre dans ce pays de la brume, un pays magnifique. Pour effacer toutes preuves et toutes trace d’où elle vient, la jeune femme retira son bandeau frontale et l’attacha à son cou de façon à ce que la plaque de métal représentant le village du sable ne soit pas visible car elle mit cette face vers sa gorge donc hors de vue des gens qui se prononceraient devant elle, qui que ce soit. Car il était sûr qu’elle allait tomber face à face avec un ninja en marchant ainsi découvert, mais si jamais elle se trouvait dans une situation hostile, elle n’aurait qu’à sauter en bas du pont même s’il se trouvait à au moins vingt mètres au dessus de l’eau, mais si elle exécutait un magnifique plongeon, elle ne se ferait aucun mal une fois dans l’eau, les seules choses dont elle aura à se méfier rendue là, ce serait des créatures sous-marines comme les requins.

Lors de sa marche sur le pont, la kunoichi prenait bien soin à ce que le capuchon de sa très longues cape de satin rouge qui lui couvrait tout le corps ne se laisse pas emporter dans le vent risquant de dévoiler sa très longue tignasse blanche et ses points rouges dans son front étant des marques de son clan tout comme le rouge qu’elle avait sous ses beaux grands yeux verts électriques. Elle portait également un masque de tissus rouge moulant sa gorge, son menton, sa bouche ainsi que ses joues et son nez pour réduire la visibilité de son visage ainsi que les chances de la reconnaitre. Elle marchait la tête haute pour bien regarder autour d’elle, cette vue magnifique et ce qu’il l’était plus, c’était la fine couche de brouillard au dessus de l’eau qui se laissait bercer par les vagues, un magnifique spectacle. Sasilvia s’arrêta un instant pour aller se tenir à la rampe du pont et regarder l’eau agiter envoyer des vagues de bonnes tailles attaquer l’eau calme créant des centaines de petites vagues fougueuses et rebelles. Un joli spectacle se présentait à elle et c’est alors que soudain, [… À vous d’intervenir]

Spoiler:

Invité

Nuit agitée pour le jeune Obakee. Alors que la pénombre du soir régnais encore sur Kiri, dans la maison du Yukan, le garçon bougeait dans tous les sens sur son lit. La raison de cela, un rêve, plutôt un cauchemar… Difficile a décrire… Cela semblait même être le juste de milieu entre le rêve et le cauchemar. Ce rêve avait l’air si réel qu’on aurait cru que cela se passait réellement…

*Le Rêve*

Obakee se voyait dans un décor caché par la brume. Ce brouillard était si épais qu’il ne voyait à peine ses pieds. Le garçon ne semblait même plus avoir l’équilibre et pourtant ne pouvait tomber ou même bouger. Il ne voyait vraiment rien par cette brume aveuglante. Soudain, en face d’Obakee, le brouillard s’écarta en deux laissant découvrir un grand ponton s’étendant sur la mer. Obakee entendait tout d’abord le bruit des vagues s’échouant sur le sable du rivage, puis se fut un bruit de vaguelettes se cognant aux piliers en bois du ponton. Alors Obakee se sentit comme de nouveau capable de bouger mais il n’avait aucun contrôle sur son corps qui bougeait seul. Ses pieds l’ordonnèrent de s’avançait vers le ponton. Au fur et à mesure qu’il marchait sur ce-dernier, la brume qui l’entourait semblait s’adoucir alors qu’un timide soleil au couleur flamboyantes apparaissaient à l’horizon. Soudain il vit une personne debout sur le pont à 10 mètres de lui. Cette personne était de dos et portait une longue cape de satin rouge dont le capuchon cachait son visage. Obakee ne voyait pas très bien la personne mais il semblait que c’était une femme. Elle regardait l’océan se laissant caresser par la brise. Le Yukan ne savait quoi faire et eut comme l’envie de s’approcher de la femme, mais lorsqu’il s’avança, des kunais surgirent de nulle part et blessa la jeune inconnue. Elle semblait avoir été touchée au bras et courut vers le fin du ponton laissant des traces de sang derrière elle. Alors qu’Obakee allait courir l’aider, il vit deux personnes caché par un manteaux noir et par un masque sur blanc et rouge sur le visage, poursuivre la femme. Le garçon courut a leur poursuite à son tour. Mais lorsqu’il arriva, il était trop tard, il vit la jeune femme se faire transpercer par le katana d’un des hommes a la fin du ponton. Alors que l’homme retira son katana, la capuche de la femme tomba et Obakee put voir une belle jeune femme à la chevelure blanche avec deux points rouges sur le front. Le regard de cet femme contenait un sentiment que le Yukan ne connaissait pas, impossible d’expliquer ce qu’avait ressentit le garçon en croisant le regard de détresse de cet inconnue. Obakee voulu l’aider mais alors qu’il voulut courir à la rescousse de cette femme, ces jambes semblèrent paralysé et il regarda impuissant les deux hommes partir avec le corps saignant de la belle inconnue…

*Fin du Rêve*

Soudain Obakee se leva en sursaut. Il ne comprenait rien à ce qu’il venait voir et ne savait si cela c’était bel et bien produit ou non. Le garçon resta plusieurs minutes assis sur son lit sans bouger à comprendre ce qu’il avait vu. Bizarrement, il avait du mal à se souvenir du rêve qu’il commençait à oublier petit à petit. Mais même si il ne se rappelait plus de ce qu’il avait vu, il gardait toujours cet impression étrange d’avoir vécu ce rêve. Obakee s’efforça de se lever du lit péniblement et partit de petit pas tremblant vers la salle de bain. Il prit une douche chaude afin de se reprendre ses esprits. Il s’habilla et sortit de la salle de bain.

Il se sentait mieux désormais, en tout cas il croyait car lorsqu’il passait près de la fenêtre de sa chambre et qu’il regarda à travers, il eu comme un flash qui lui rappela un moment de son rêve. Ce qu’il voyait à la fenêtre était exactement identique à ce qu’il avait vu dans son rêve. C’était le soleil levant à l’horizon. Les magnifiques couleur flamboyantes que produisaient le soleil était exactement le même que dans le rêve. Une fois de plus Obakee resta sans bouger devant ce magnifique spectacle. Alors qu’il était en train de boire un verre de lait, il regarda de nouveau le soleil flamboyant et eu une irrépressible envie de quitter son habitation. C’est-ce qu’il fit, il déposa son verre sur la table, prit tout juste le temps de mettre sa sacoche latéral et son katana à sa ceinture et quitta sa maison.

Obakee ne savait pas vraiment où il allait mais ces pied semblèrent le guider vers le soleil levant. Il courait à travers les rues calmes et endormit de Kiri. Rien n’y était, pas un bruit, même pas un simple courant d’air ou le bruit d’un animal de nuit. Il semblait être le moment parfait où les actifs de nuit partent s’endormirent au levés du matin alors que les personnes et animaux de jours ne sont pas encore réveillés. Le Yukan continuait à courir face au soleil sans savoir où cela le mèneraient. Soudain, il traversa une rue sombre et sinistre avant d’arriver sur le rivage du port de Kiri no Kuni. Obakee retrouva alors l’usage propre de ces jambes. Il ne savait pourquoi son instinct l’avait mené ici mais cela lui semblait familier. Mais familier a quoi? Obakee n’arrivait pas à faire la liaison alors que cet endroit lui rappelait quelque chose.

Le Kirisien suivi le bord du rivage marchant sur le sable humide. Soudain il vit d’immenses bâtiments se dresse face à lui, le port de kiri. Son instinc l’avait mené au gigantesque port de Kiri. Le plus grand port de mizu no kuni qui est sans cesse animée par des bruits de marchands, pêcheurs, cris de mouettes, etc. Et pourtant le port était calme à ce moment, pas un bruit, pas une personne, pas un oiseau, rien à part la douce brume du port. Soudain Obakee entendit un bruit, un bruit familier, un bruit d’eau, précisément le bruit de vague s’échouant au rivage. Encore un flash survint en l’esprit du Yukan. Il se rappela alors d’une autre partie de son rêve. Ces bruits de vagues était exactement les mêmes que dans le rêve. Obakee entendit un nouveau bruit de vagues mais cette fois différent de précédent. Le son n’était pas celui de vagues sur le rivage mais celui de vagues heurtant un grand obstacle en bois.

Obakee se tourna soudainement dans la direction du bruit et vit un grand pont de bois battit sur la mer partant depuis le port. Il eut nouveau flash lui montrant le pont de son rêve. Ce pont était exactement identique à celui du rêve et même la position de face du soleil par rapport au pont était le même. Obakee s’avança sur ce pont et regardait le magnifique paysage qui s’offrait à lui. C’est alors qu’il remarqua qu’une personne était au bord du ponton à regarder la mer. Cet personne portait une cape de satin rouge dont le capuchon cachait son visage. Soudain Obakee eut un nouveau flash cette fois plus intense que les autres. Il revit en flash cet personne et souvint alors que ce fut la femme qu’il avait vu dans son rêve bien qu’il ne se souvenait pas de ce qui lui était arrivé après. Le Yukan tenait sa tête d’une main à cause la douleur, il murmura d’abord:

-Non…ça ne peut pas être elle…

Il se redressa et interpella l’inconnue:

- Vous là-bas! Qui êtes-vous? Que faites-vous seul ici à une heure pareil? Êtes-vous du village de Kiri?

Obakee se tenait à une dizaine de mètre de la femme et n’osa pas avancer plus près. L’inconnue écartait les mains afin de sentir la brise la traversé puis se retourna vers le garçon… [ A toi d’intervenir ]

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Hrp: Lors d'un rp à deux on a une réduction de dix lignes sur chaque technique alors pense à éditer sur ton rp d'au-dessus.

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71 lignes gagnées.

Technique Apprises:

Spoiler:

71 - 30 - 40- =1 lignes restantes

Pourquoi l’océan était-il aussi beau, pourquoi le chant des vagues était si doux à l’oreille, pourquoi ce magnifique spectacle la charmait autant ? Kiri avait conquit son cœur, rien ne pourrait le lui enlever, même pas ces anbus qui étaient à sa recherche. Des pensées nostalgique lui hantait la tête, elle regrettait ce qu’avait peu faire son clan à ce si bon village, cet erreur retira la vie de tous les membres du clan Kaguya et avait obligé Sasilvia à quitter le village sous peine de mourir. Mais malgré tout, elle ne restait pas sans vie. Son activité au village de Kiri était toujours là, même si elle se faisait discrète lors de ses petits séjours, elle risquait toujours sa vie, mais tout cela se trouvait à être très excitant, ce sentiment, cette peur d’être prise au piège, de se faire repérer ou d’être reconnue, toute cette d’ose d’adrénaline emmagasiné la secouait. Des frissons lui traversait tout le corps et la chatouiller lorsqu’un son inconnue faisait son entrer, toujours prête à prendre la fuite ou à bondir en cas d’attaque tel une chatte à la chasse. L’ambiance commençait à changer, comment ? C’était étrange, c’était comme si ce moment de solitude venait de se terminer, elle n’était plus seule. Comment le savait-elle ? Sasilvia avait beau regarder autour d’elle, elle ne voyait personne. Le brouillard était trop épais et tout était simplement plus silencieux que ça ne l’était il y a quelque minute de cela. C’est alors que des pas commençaient à se faire entendre, des claquements de botte sur le bois du pont, dans le brouillard semblait se dessiner une silhouette. Alors pour ne pas dévoiler son visage, la Kaguya regarda de nouveau l’eau sans rien dire lorsque soudainement, un homme prit la parole.

Celui-ci lui demandait qui elle était, ce qu’elle faisait là à cette heure et si elle venait de Kiri. Le cœur de la kunoichi commençait à battre plus vite et plus fort, l’adrénaline montait en elle, cette situation l’inquiétait. Elle espérait par-dessus tout que ce ne soit pas un anbu car de la façon dont l’homme venait de s’adresser à elle, il semblait ne pas avoir peur et ni s’en faire, il devait être un puissant ninja pour ne pas hésiter face à une ninja ainsi mystérieuse. C’est alors que la genin prit une bonne respiration avant de tourner la tête vers le kirijin. Il semblait s’être rapproché et se tenait devant elle. Sasilvia le voyait très bien alors que lui ne voyait que le bas de son visage se résumant de son nez jusqu’à son sa gorge. La jeune femme entre-ouvrit la bouche pour commencer à lui dire quelque chose mais elle n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit, qu’elle tourna rapidement la tête en balançant son corps pour ainsi être dos au nouveau venu qui n’était décidément pas seul. Des sifflements se firent entendre, le sifflement des kunais envoyé au loin, l’un lui déchira le haut de sa cape au niveau de l’épaule gauche la coupant faiblement, un autre lui coupa entre deux cotes du coté droit et un se planta dans sa cuisse fauche. Dans un court gémissement, la ninja s’effondra au sol et retira rapidement le kunai de sa cuisse et le garda dans sa main fixant dans la direction d’où venait les kunais sans quitter des yeux ce brouillard épais.

Sasi faisait passer ses respirations entre ses dents qu’elle serrait très fort en essayant de se contrôler pour ne pas se recroqueviller afin de presser ses blessures comme tout humain ferait dans cette situation délicate. La Kaguya appuyait sur le trou qu’elle avait dans sa cuisse avec sa main libre et se mit à se pousser vers l’arrière avec sa jambe non douloureuse pour s’adosser sur le bord du pont. La femme respirait très fort et gémissait à quelques reprises de douleurs. Celle-ci se sentait encerclée, elle ne voulait plus bouger de peut que celui qui se trouvait très près d’elle ne l’attaque à son tour, c’est alors qu’elle pointa vers lui le kunai qu’elle avait en main en le regardant le visage caché dans l’ombre du capuchon et sous le tissus de celui-ci. Pendant qu’elle fixait l’inconnue qui n’avait pas de masque blanc et rouge sur lui, deux hommes sortirent de la brume de là où venaient les armes de lancer. Elle pointa donc l’arme sur eux, les deux s’avancèrent et fixaient la kunoichi de suna avec leur masque sans expression et sans vie. Ces visages cachés sont néanmoins les pires visages que l’on peut voir avant de mourir car ils sont loin d’être de bons souvenirs. Assise par terre face à sa mort, elle pouvait voir sa vie défiler devant ses yeux, la vie qu’elle aurait due vivre si ce jour ne serait jamais arrivé. Le vent semblait avoir arrêté de souffler, tous les bruits autour d’elle semblaient s’être mit en sourdine, comme si elle approchait de plus en plus de sa mort. L’un des deux hommes sortit un long katana, le sifflement de la lame contre le fourreau était le seul bruit qu’elle entendit.

Sasilvia dressa le kunai devant elle et tourna la tête vers le ninja l’ayant abordé avant l’attaque. Elle laissa son capuchon tomber sur ses épaules et riva ses yeux vers les yeux bleus océan du kirijin. Elle lui lança un regard de détresse, ses yeux humides semblaient retenir des larmes et sa bouche commençait à s’entre-ouvrir pour laisser passer quelque spasme et respirations saccadés. Les cheveux blancs de la genin lui caressaient le visage et suivaient le rythme du vent. L’anbu s’emblait s’approcher pendant qu’elle regardait le ninja qui était probablement pas en équipe avec les deux ninjas spéciaux en charge de la tuer, elle semblait même compter sur ce dernier pour l’aider à la sortir de là. C’est ensuite que dans un souffle et lui dit :

- Sasilvia…

Spoiler:

Invité

La jeune inconnue se retourna vers Obakee mais ce-dernier ne pouvait voir entièrement le visage de la femme qui était a moitié caché par un voile. La femme fixa le Yukan avant de se retourner de nouveau brusquement. Trois kunais lancé se firent entendre et se dirigeaient vers l’inconnue. L’un déchira sa cape au niveau de l’épaule gauche, l’autre la coupa entre-deux côtes et le dernier se planta dans sa cuisse gauche. La femme s’effondra alors au sol et arrachant le kunai de sa cuisse, elle le pointa vers l’endroit d’où provenaient les kunai. Soudain Obakee eu un nouveau flash. Une fois de plus il revoyait son rêve. Il se souvint alors ce qu’il s’était passé dans ce rêve. Ce rêve était-il plus qu’un rêve finalement? Cela avait-il été une prémonition? Quelque soit ce que cela pouvait être, Obakee ne pouvait laisser cela se reproduire . Il voulut porter secours à la jeune femme mais soudain il se retrouva comme tétanisé. Son corps ne lui répondait plus, ses pieds refusaient d’avancer et ses mains d’aider l’inconnue. Quel était donc ce sentiment qui paralysé Obakee? De la peur? De l’angoisse? De la crainte? Ou peut-être qu’au plus profond de lui il ne voulait pas aider cette personne?

Non impossible, Obakee voulait vraiment aider cette personne qui souffrait devant lui mais quelque chose l’en empêchait et ce quelque chose venait de lui… La femme recula grâce à sa jambe intact afin de s’adossa au bord du pont. Cette-dernière poussait des cris de douleurs et n’osait plus bouger. C’est alors qu’elle pointa son arme vers le garçon se méfiant de lui. Deux hommes sortirent du brouillard et s’avança vers l’inconnu qui pointa son arme vers eux. Ces hommes étaient une fois de plus les même que dans le rêve prémonitoire du Yukan. Deux hommes se cachant derrière leur masque rouge et blanc. L’un d’eux dégaina son katana de son fourreau provoquant un long bruit grinçant de métal. La femme tourna désespérément sa tête vers Obakee lui lançant un regard plein d’émotion tout en faisant tombé sa capuche libérant ces beaux cheveux blancs éclatant. Ce regard était rempli de désespoirs, mais enfoui dans ce regard, Obakee put voir un autre sentiment qu’il avait longtemps connu, ce sentiment qu’il avait repoussé au fond de lui jusqu’à le faire disparaître. Ce sentiment qui nous rends à la fois si fort et si vulnérable. On ne pouvait même pas vraiment dire que ceci était un sentiment mais plutôt un mélange d’un grand malheur reçu dans le passé. Ceci n’était d’autre que le manque d’amour. Le fait d’avoir perdu ce qu’on avait de plus cher, d’avoir perdu notre famille, nous conduisant à s’attacher désespérément à nos souvenirs ce qui nous empêches de voir l’avenir. Ce sentiment, Obakee l’avait longtemps connu et l’avait conduit vers le chemin des ténèbres. Ce sentiment l’affaiblissait de jour en jour et le faisait plongé vers le malheur mais une fois retourné sur le droit chemin, on en ressort plus fort et ce sentiment devient notre plus grande force…

Cette fille semblait avoir vécu la même chose que le jeune Yukan mais semblait être encore perdu sur le mauvais chemin. Ce qui l’avait conduis ici devrait sans doute être des souvenirs. Elle devait être toujours accrochée à des souvenirs au point de venir à un endroit où elle savait qu’elle risquait sa vie. Obakee voulait l’aider mais son corps était toujours paralysée. Dans un courageux souffle la femme parvint à dire:

- Sasilvia…

Soudain ce seul mot parvint à faire réagir Obakee. Sa détermination et son courage prirent soudain la place de la peur et il retrouva le contrôle de son corps. Il fallait réagir, il ne pouvait laisser cette femme se faire tuer devant ses yeux. Mais si ces hommes étaient des ANBUS de kiri il ne pouvait ni faire le poids ni trahir son village. Alors que l’homme tenant le katana le pointait vers l’inconnue, Obakee remarqua quelque chose sur le bras tenant l’arme. Sur ce bras ce trouvait le tatouage d’un dragon embroché par plusieurs épées sur tout le long du corps. Cette marque était le symbole du groupe Takéo. Ce groupe était un grand gang de malfrats qui sème la panique au pays de l’eau. Les hommes de ce groupe sont généralement des bandits qui tuent et pillent pour le plaisir, mais un nouveau chef à récemment prit le contrôle du gang et celui-là a de plus grande ambition. Il n’engage pas que de simple bandit mais des ninjas déserteurs. Sous la direction de ce chef, le groupe à récemment rejoins ce qu’on appelle les « chasseurs de têtes » et se font ainsi payé pour la mort de personnes.

Mais pourquoi cible-t-il cette femme? Est-elle recherché elle aussi? Quelqu’un a-t-il déposé une prime sur sa tête à payer les Takéo pour qu’il la tue? Pas le temps de réfléchir, il faut l’aider! Ces hommes se font passer pour des ANBU mais ne le sont pas. Si ils font vraiment partit du groupe Takéo, Obakee doit les capturer afin de les interrogé et avoir des renseignements sur leur gang mais aussi sur la raison pour laquelle ils ont attaqué cet femme. Les jambes d’Obakee s’arrêtèrent afin de trouver et ce-dernier retrouva une position stable et sûr de lui. Il s’élança alors entre les hommes tout en dégainant son katana. D’un mouvement de poignet faisant pivoter son katan, Obakee parvint à désarmé l’homme armée. Le katana désarmée tomba au sol en se plantant juste à la gauche de la femme. Obakee fit un tour sur lui-même tout en faisant agrandir ses chaines de ses avant-bras.

De plusieurs mouvements de poignets il parvint a faire en sorte que chacune de ces chaines entourent un homme au niveau du torse y comprit les bras. Il resserra alors l’étreinte de ses chaines afin d’immobilisé le haut du corps de chacun des hommes. Il rengaina son katana, exécuta des mudras et utilisa technique afin de les faire tenir tranquille: « Ikadzuchi no Utage ». Habituellement cette technique est utilisé sur le sol afin que l’électricité se propage vers la cible, mais cette fois Obakee se contenta de touché ces chaines avec ses mains. Les chaines étant conducteurs et les mains étant chargée de chakra raiton électricité, l’électricité devrait circuler à travers les chaines et paralysé les deux hommes ligoté par les chaines.

Ces-derniers tombèrent électrifiés et sonné. Obakee relâcha alors ses chaines et les ramena à ses bras. Il était clair qu’il ne se relèverait pas avant une dizaine de minute. Le Yukan en profita alors pour s’approcher de la femme blessé et se baissa pour se retrouver à son niveau. Il lui dit alors:

- Est-ce que ça va? Ils t’ont sérieusement touché, laisse-moi t’aider.

Obakee sortit de sa sacoche une pommade et un rouleau de bandage qu’il donna à la femme:

- Tiens met un peu de cette pommade sur tes blessures, ça devrait de soulage et enroula ce bandage sur ta cuisse afin d’arrêter le sang.

Obakee voyait que cette femme ne lui faisait pas trop confiance, c’était normale vu que deux hommes vinrent tout juste l’attaqué. Le Yukan lui adressa alors un sourire amical afin de lui montrer qu’il ne voulait rien de mal. Elle accepta de prendre la pommade et le bandage, de toute façon elle n’avait pas vraiment le choix où elle y resterait. Obakee l’aida à mettre le bandage sur sa cuisse. Il l’aida ensuite à se relever puis lui demanda:

- Que veulent ces deux hommes qui t’ont attaqué? Malgré leurs masques ce ne sont pas des ANBU de Kiri mais des bandits travaillant au sein d’une organisation criminelle. Nous allons les interroger. Je ne sais pas pourquoi mais tu me rappelles quelque chose…

En effet cette femme lui rappelait une description mais laquelle. Il ne s’attarda pas la dessus car les hommes allaient se réveiller, il les ligota sur les poteaux en bois du pont avec du fil de fers puis commença à les faire parler.

- Que vouliez-vous à cette femme? Les marques sur vos bras m’indiquent que vous faites partit du groupe Takéo. Alors si c’est le cas vous allez me donné toute les informations que avez sur votre groupe et sur la raison pour laquelle vous avez attaquez cette femme!

Les bandits restait muets et refusaient de céder. Obakee resserra alors les cordes afin de les faire parler par la douleur:

- J’ai essayé gentillement mais si vous continuez à vous taire je continuerais moi aussi à vous faire souffrir.

L’un des bandits accepta enfin de céder à la parole:

- Arrggh… Bon d’accord. Je vais parler mais arrêtes ça! Je ne vois pas pourquoi tu sauve cette femme, vous aussi les kirisiens en avez après elle!

Obakee fut alors prit d’étonnement. Pourquoi Kiri en aurez après cette jeune femme? Aurait-elle comis quelque chose de mal? Le bandit continua ensuite:

- Je vois que tu n’as toujours pas saisis. Cette femme est une Kaguya! Elle doit être la sel survivante de ce clan exterminé. Les Kaguya ont longtemps essayé d’attaquer le village de Kiri mais ont été exterminé! Ce clan était connu pour ses puissantes techniques héréditaires. Nous avons été payé par un client afin de capturé une kaguya survivante afin qu’elle subissent des tests pour qu’on réussissent à recrée ces techniques héréditaires à partir de son ADN. Voilà je t’en ai dis assez! Relâches-nous maintenant!

Voilà donc pourquoi cette femme avait un air familier. Ces cheveux blancs et ses deux points rouges sur le front aurait du l’éclairé! Ce sont les signes distinctifs du puissant clan Kaguya ayant la capacité d’utiliser leurs propres os pour combattre. Obakee tourna la tête vers la femme puis regarda de nouveau le bandit:

- C’est moi qui donne les ordres! Tu n’iras nulle part tant que tu n’auras pas révéler des infos sur Takéo! Quand à cette femme, il est vrai qu’elle a longtemps été recherché à cause de son clan. Mais aujourd’hui n’est plus comme avant, le Mizukage a changé et celui-là ne s’attarde pas sur les histoires passé mais ce concentre sur l’avenir. Pour l’instant l’avenir du pays de l’eau est en danger si votre groupe continue d’exister alors je dois remédier à cela! Alors parle moi de Takéo!

L’homme semblait se moquer d’Obakee et laissa échapper un sourire moqueur sur son visage puis un court ricanement. Obakee sera alors son poing droit tout en concentrant du chakra dans cette partie. Il frappa alors le morceau du tronc de bois dépassant au dessus de la tête de l’homme attaché sur ce tronc. Le bois explosa en plusieurs morceau dont un morceau vint érafler le visage de l’homme en dessous. De son autre main Obakee plaça son katan sous sa gorge. Celui arrêta aussitôt son ricanement et prit peur en voyant le regard terrifiant du Yukan. Il parla enfin:

- Bon Ok! Mais enlève ce truc sous mon cou. Notre QG se trouve à 4 kilomètre au Sud-est d’ici. Pour ce qui est de la position de notre chef impossible de le dire. Il se déplace sans cesse et seul les meilleurs d’entre-nous on l’honneur d’être à ses côtés.

Obakee souria alors et utilisa de nouveau sa technique « Ikadzuchi no Utage ». Il plaça ces mains directement sur les visage des deux hommes afin qu’il soit sonné pour un bon moment cette fois. Il se releva puis se tourna vers la femme qui était resté durant toute l’interrogatoire. Il dit alors:

- De vrais ANBU devrait bientôt passait là, il les recouperont et les emmèneront à la prison. Quand à toi, comme je l’ai dit tu n’es plus recherché mais si tu es d’un autre village cela pourrait-être un crime d’être venue sur les terres de Kiri sans permission. Mais je fermerai les yeux si tu accepte de venir m’aider à la recherche de ce gang. J’ai déjà entendu parler de l’histoire des kaguya et leur détermination et courage qui leur à couté la vie. Mais toi as-tu en toi le cran de ton clan pour me suivre?

Obakee regardait la femme d’un regard déterminé. Il voualit lui faire comprendre que si elle venait elle devrait se battre à mort et ne pas être un boulet et si elle ne venait pas elle devrait quitter Kiri sur le champs. Obakee continua alors:

- Alors tu viens… Sasilvia….

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129 lignes gagnées + 1 lignes dispo = 130 lignes disponibles.

Technique Apprises:

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Sasilvia avait fermée les yeux lorsque le moment fut venue, elle pouvait sentir le mouvement de la lame qui montait pour prendre son élan pour lui administrer le coup fatale. Soudain, rapidement un bruit d’atterrissement puis des échanges de coups avec des katanas se faisaient entendre en de petits grincements sourd. Lorsqu’elle entendit deux katanas tomber au sol, la jeune femme ouvrit les yeux et voyait le ninja de Kiri avec un katana et les deux anbus sans leurs armes dans leurs mains. Dans un mouvement rapide l’homme fit sortir de ses avant bras des chaînes pour capturer ses ennemis. Des chaînes de ses avants bras, un sceau ? Enfin, Sasi se mit à regarder l’homme qui à l’aide d’une technique raiton électrifia ses chaînes pour assommé les deux anbus ? Mais qui était-il pour vaincre deux anbus et en plus, de son village ? Un traitre, un puissant ninja ? En tout cas ce qui était sur, c’est qu’il était en quelque sorte une menace pour Sasilvia car elle ne ferait pas le poids, il valait mieux rester sage et ne pas l’importuner comme elle le ferait normalement mais malgré tout, elle risquait d’être une mégère. Après s’être occupé de ces anbus, l’homme se tourna vers elle pour s’en approcher. Comme réflexe, la jeune chuunin recula rapidement se collant d’avantage sur le bord du pont, mais lorsque l’adrénaline partit quand que l’homme s’en approcha trop, elle crispa de douleur, en laissant s’échapper de l’air entre ses dents.

L’homme prit aussitôt la parole. Il lui demanda si ça allait puis lui dit qu’ils l’avait sérieusement touchés. Ha oui vraiment ? Ce n’est pas parce qu’il y avait un trou de trois centimètres de profondeur dans sa cuisse qu’elle était sérieusement blessé. Elle essaya de lui monter qu’elle pouvait se lever mais la douleur que lui causait sa blessure lui en empêchait, il était peut-être mieux de rester assise dans ce cas là. Aussitôt, l’homme lui tendit un pot de pommade et un rouleau de bandage qu’il avait sortit de sa sacoche à Sasilvia. En lui montrant les outils qui allait l’aider à guérir il lui dit gentiment de mettre un peu de pommade sur ses blessures pour soulager pour enrouler le bandage autour de celles-ci. La chuunin baissa les yeux vers les outils de guérison d’un air méfiant, enfin qui ne le serait pas dans cette situation. Elle les leva pour regarder le visage de l’homme qui semblait sincère et qui lui fit un léger sourire, un garçon si mignon ne pouvait être que gentil, alors elle prit la pommade pour commencer et en mit autour de la blessure de sa cuisse et essayait d’en mettre de plus en plus près mais la douleur l’empêchait d’en mettre dessus, elle essayait tout de même mais pas sans gémir. Celle-ci s’arrêta pour faire tomber sa cape rouge le long de son épaule gauche pour la découvrir et regarder l’éraflure. Elle leva ensuite la tête vers l’homme qui commençait à lui bander la jambe, la pression qu’il faisait était douloureuse mais en valait forcément la peine. Elle mit légèrement de pommade sur la petite écorchure qu’elle avait à son épaule gauche puis sous sa cape du coté droit, elle passa son doigt avec de la pommade pour l’étendre sur l’éraflure qu’elle avait entre ses deux cotes. Ces blessures étaient très peu douloureuse, celles-ci ne faisaient que bruler légèrement, rien de grave, elle ne saignaient déjà plus.

Après lui avoir bandé la jambe, l’homme la regarda sincèrement en lui demanda ce que ces hommes lui voulaient. L’ignorait-il vraiment ? Il enchaîna aussitôt pour lui dire que ces deux anbus n’en étaient pas mais ils étaient des criminels de kiri s’étant fait passé pour eux. Alors c’était donc pour cela que cet hommes les avaient attaqués, il n’était ni un traitre ni un ninja d’élite ou d’avantage plus, enfin, elle ne devait pas le juger. Celui-ci continua sa phrase en disant qu’il fallait les interroger. Maintenant, elle n’était pas obliger de le dire, puisque ces hommes allaient lui donner les réponse, elle décida donc de rester muette et de ne dévoiler aucune information. Le jeune ninja termina sa phrase en lui disant qu’elle lui rappelait quelque chose. Sasilvia regarda ailleurs et l’homme alla ligoter les deux ninja au pont avec du fil de fer, elle prit en note et regardait attentivement. Les deux hommes se réveillaient lentement et semblait être étourdit. L’un d’eux la fixait avec un regard inquiétant et ne semblait pas vouloir regarder ailleurs. C’est ainsi que l’homme prit la parole. Il demanda aux hommes pourquoi en avaient-ils après elle et leur dit qu’il savait qu’ils venaient du groupe “Takéo” Qu’est-ce que c’était que ce groupe ? Enfin... Le ninja de kiri leur dit que si c’était le cas, ils devaient donner des informations sur leur groupe et sur la raison du pourquoi est-ce qu’ils attaquaient Sasilvia. C’était un interrogatoire assez généreux et assez humanitaire, il était claire que les hommes ne diraient rien s’ils on une bonne confiance en eux.

Suite à un court silence, le jeune homme tira sur les fils de fer assez ferment et les deux criminels en habit d’anbu se mirent à gémir et à essayer de respirer. Toujours le regard river sur elle, le premier criminel ne disait rien mais le second lui prit aussitôt la parole en lui disant qu’il allait parler mais que d’abord le kirisen devaient arrêter de serrer c’est qu’il fit puis le criminel prit la parole. Il lui dit qu’il ignorait pourquoi est-ce qu’il la sauvait car lui aussi en avait après elle comme tous les ninjas de Kiri. La ninja de suna ferma les yeux en expirant. Le ninja l’ayant sauver ne semblait pas vouloir répondre. Alors le membre de Takéo reprit la parole en lui disant qu’il ne semblait pas avoir tout saisit. Il dit au et fort qu’elle était une Kaguya. Que pouvait-elle faire de plus, lui dire un petit merci pour l’avoir dit ainsi ? Pfff... Il continua en lui disant qu’elle devait être la seule survivante de ce clan dissimulé lors de la guerre qu’ils avaient engagés à Kiri. Il semblait même en savoir beaucoup sur son clan car il informa le ninja de Kiri que son clan était reconnu pour ses puissantes techniques héréditaires. Il continua également en disant qu’un client avait payer pour l’avoir vivante afin de recréer ses techniques héréditaires pour se les approprier. Sasilvia ouvrit aussitôt les yeux. Un cobaye, moi ? Non pas question ! Après avoir tout dévoilé les informations sur ce qu’il devait faire, il ordonna à l’homme de les relâcher. Celle-ci ouvrit les yeux et regarda ce dernier qui tourna la tête vers elle puis regarda ensuite les deux lurons.

L’homme aux cheveux blonds reprit la parole et dit que c’était lui qui donnait les ordres. Il lui dit que pour savourer sa liberté, il devrait dévoiler des informations sur Takéo. Il enchaîna en parlant de la jeune femme leur disant qu’il était vrai qu’elle fut longuement recherché à cause de son clan, mais maintenant que la Mizukage a changé, elle ne l’est plus car ce nouvel homme ne s’attardait pas sur le passé mais sur le futur et le futur était le danger qui menaçait le village et ce qui menaçait le village était Takéo. La kunoichi fut surprise d’entendre cela, elle n’avait plus rien à craindre maintenant, la seule chose qu’elle avait à se méfier c’était qu’ils ne découvrent pas de quel village elle vient. Il ordonna donc à l’homme de parler de Takéo. Ceux-ci semblaient bien sur se moquer de lui en souriant et ricanant légèrement. Ceci sembla offusquer l’interrogateur car il s’élança pour frapper le poteau de bois du pont sur lequel les deux hommes étaient ligotés. Le haut de celui-ci explosa et les morceaux érafla les visages des deux ninjas puis le Kirijin glissa rapidement son katana sous la gorge de l’un des deux qui prit aussitôt la parole en lui ordonnant de retirer son katana de sous sa gorge. Il dit à l’homme que leur QG était à quatre kilomètres au sud-est de leur position et tant qu’à leur chef, il l’ignoraient car il n’était jamais au même endroit. Il acheva sa phrase en disant que seul les meilleurs d’entre eux savaient sa position car ils avaient la chance de l’accompagner pour le protéger. L’homme lui ayant sauvé la vie s’approcha des deux hommes et posa ses deux mains sur les joues de ceux-ci puis utilisa de nouveau sa technique raiton, de nouveau inconscient mais cette fois pour plus longtemps, les hommes se laissèrent tomber sans force pour retenir leurs membres.

Le ninja se tourna vers Sasilvia pour la regarder dans les yeux. Il lui affirma qu’elle n’était plus recherché mais que si elle était venue d’un autre village sur les terres du pays de l’eau, c’était un crime mais il lui dit qu’il fermerait les yeux sur ceci si elle acceptait de le suivre pour exterminer l’organisation Takéo. Il lui parlait du courage et du dévouement de son clan. Il était vrai que son clan était connu pour être constitué de ninjas puissants ayant une volonté de faire et du courage à revendre. Un cran sans faiblesse et un cœur de fer. Mais malgré cela, ils ont tous péries pour un hochement de tête et l’égoïste du père de Sasi. Elle ne se vantait pas de faire partit de se clan pour tout ce genre de chose car ils ont été si ridiculement tués. C’est en fuyant que la jeune femme eut la chance de survivre. La ninja fixait toujours le kirijin dans les yeux sans détourner le regard. Il semblait de tout avis à y laisser sa vie s’il fallait. C’était de bonnes qualités et un bon dévouement mais c’est également ce genre de qualités qui nous amène rapidement vers des chemins dangereux. Ce dernier enchaîna en utilisant son prénom pour lui proposer de le suivre. La ninja ferma les yeux en soupirant :

- Je tiens à t’avertir, je ne suis pas facile à vivre alors si je viens, tu devras te consentir à m’endurer tel la femme que je suis...

La ninja se prit sur la rampe du pont de bois pour s’aider à se lever puis regarda l’homme. Elle lâcha la rampe et mit tout son poids sur sa jambe intacte pour regarder autour d’elle. puis points à sa droite en regardant dans cette direction :

- C’est là-bas qu’il faut aller...

Celle-ci remit son manteau de satin rouge sur ses épaules et remit son capuchon sur sa tête. Étant légèrement plus petite qu’elle l’homme, elle se plaça à ses cotés puis le regarda en lui faisant un petit sourire sans trop d’attache :

- Je te suis.

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