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 Un vieil ami.

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MessageSujet: Un vieil ami.    Un vieil ami.  Icon_minitime1Sam 19 Jan - 23:25

Je marchais péniblement sur le sable chaud de la ville de Suna. J'avais dépassé l'immense faille qui se trouvait entre les deux grandes falaise de l'entré du territoire du village du sable. Mon ancien ami était kage de ce nouveau village, j'avais parcourut un immense chemin pour parvenir jusqu'ici, mon ancien village. La vue des rues m'étaient totalement nostalgique mais étrangère dans le même temps: elles avaient changé. Après tout, à quoi m'attendais-je, en autant de temps, le monde change vite, comme les Hommes et puis... j'étais mort une fois. Beaucoup d'hommes m'avaient racontés une légende dans le nudisme. Le légendaire roi nudiste revivra de ses cendres, renaîtra avec un lambeau de couverture. Et c'était ce qu'il venait de se produire avec moi même, fervent admirateur du nudisme. Je venais de ressuscité il y a de cela, quelques jours seulement, j'étais revenu avec seulement une couverture de couleur kaki, en long, descendant jusqu'à mes chevilles et dont la fin de celle-ci était arrachée, mis en lambeau, comme dit dans la légende.

Très vite, je parcourais le village en direction de la bâtisse de mon ami. Je vais vous avouer une partie de mon passé à Suna. j'étais connu, réellement très connu dans le monde de la mafia shinobi. Je gouvernais la plupart des familles dans le monde. Je ne doutais pas une seconde qu'ils seraient très vite au courant de mon retour. En parlant d'eux, un homme avec une capuche noire et un manteau noir m'arrêta dans l'ombre. Il me demanda si j'étais bien Sawada tsunayoshi. A travers sa capuche, je reconnaissais les traits de son visage. Mes pupilles brillèrent, changèrent de couleur, une flamme apparut sur mon front, une dent aiguisée et plus pointu poussa au coin de ma bouche, du chakra sombre forma sept filaments, représentant sept queues et, enfin, j'avais une flamme à la main. Un sourire se forma sur son visage, il hocha la tête.

" Sawada Tsunayoshi, hôte de Shishibi. Nous vous croyons morts, Tsuna-sama. Suivez moi. "
Il fit un mudra, une porte s'ouvrit à travers le mur. Des bibliothèques remplissaient le vide de cette salle. Une table était au centre de cette nouvelle pièce, deux cierges étaient allumés sur celle-ci, mettant la salle dans une ambiance sinistre mais aussi apaisante et intrigante. Sans qu'il ne me le demanda, je m'asseyais sur le fauteuil au bout de la table. Une table, l'une des meilleures choses qui existent dans ce monde, dans un monde shinobi. Nous pouvions citer vingt cinq louages divines à l'honneur des tables, et, si nous étions de réels fervents défenseurs de l'ordre des tables, nous connaissions le vingt sixième commandements, le commandement caché. Discrètement, je frottais mes mains sur celle-ci. Elle était faîte dans un vieux chêne d'au moins mille an. La douceur de cet objet était merveilleux. Je tapotais maintenant les quatre doigts de ma main, l'un après l'autre, dans un rythme de quatre croches constants. Le son qui résonnait de cette table était magique, divin. L'homme avait enlevé sa capuche, il avait de long cheveux noirs et raides, quelques balafres sur son nez et sa joue droite. Il avait vieillis et m'avoua qu'il était surpris de voir que je n'avais pas prit un seul ride. Je rigolais. Enfin, il me donna une boite, boite ressemblant très fortement à un coffre. Je la prenais entre mes mains et l'ouvrait. Des feuilles, un grinder et un sceau contenant du cannabis. C'était parfait, la seule variété qui existait en ce monde et ma propriété. Après de maintes et maintes efforts, des pertes immenses sur de précieuses graines, Shishibi et moi même avions reussis a donner naissance à une sorte de plante dont les effets touchaient non seulement les humains mais aussi les bijuu. La plante a fumé faîtes exprès pour les Jinchuuriki et leur démon. Tout en prenant du plaisir avec cette somptueuse table, je roulais un joint en son honneur, avec mon autre main et discutais de ce qu'il y avait de nouveau dans le monde mafieux. J'avais finit de rouler, il était temps de l'allumer. Rapidement, je le mettais dans mon bouche et, en claquant mon index et mon pouce, je faisais apparaître une fine flamme afin d'allumer le bout de de ma feuille à rouler. Je faisais voyager mon la fumée dans mes poumons et la recrachais avec une forme de rond, épais et voluptueux. Je saluais mon interlocuteur et repartais en direction du bureau du kazekage tout en sortant de la bâtisse. La fumette était bonne, Shishibi en était content. Nous avions gouté le dur fruit de notre labeur. En sortant, de la ruelle pour arriver sur un toit, une pierre crochue avait enlevé ma couverture. Je ne l'avais pas encore remarqué, je me trouvais à présent sur une maison, les jambes écartés et les points fermés sur leur hanches respectives, le coude quelque peu plié et, bien entendu, le joint à entre les lèvres. Je criais un puissant "Yosha" et c'était partit pour ma course jusqu'au bureau de Haosha.

Pendant mes sauts, de toit en toit, j'avais pu apercevoir une femme, sur son balcon, cachant les yeux de ses deux jeunes filles, elles avaient l'air d'être adorables jumelles et je ne comprenais donc pas ce qu'il se passait. Ayant assisté à cette scène, bien que très brièvement, j'avais regardé aux alentours mais rien ne se passait. Je décidais de passer outre et continuer ma route. Je remarquai que les regards des quelques personnes qui se trouvaient dans les ruelles étaient portés vers moi, là non plus, je n'arrivais pas à comprendre, néanmoins, comme pour la mère et ses deux enfants, je faisais abstraction des regards malsain. Je m'arrêtais sur le dernier toit, concentrai mon chakra dans mes pieds et me propulsais directement, en prenant appuie sur les tuiles, jusque la fenêtre du Kage. J'entrai par celle-ci, en la cassant.

Un bruit de verre, un bruit distinct de quelque chose que se brisait résonna dans la pièce. C'était mon entrée plus que fracassante. Mon ami était là, assis sur sa chaise mais ne portant pas le chapeau de son titre. Il y avait toujours sa permanente argenté sur sa tête, alors il avait toujours cette foutue permanente.. Haha, il n'avait pas changé, de dos, du moins. Très vite, il se retourna. Son visage fut surpris, pendant une seconde et redevient celui que j'avais toujours connu: le visage d'abrutit de Haosha. Il savait être sérieux quand il le voulait, mais ne le montrais que quand il le fallait, en ce point, nous nous ressemblions parfaitement. Nous nous trouvions maintenant face à face. Mes deux bras étaient croisés, contre mon torse, mes jambes étaient écarté, suffisamment pour donner un point de vue magistrale à mes organes génitaux et toujours mon joint à la bouche. Je prenais de la fumée et la recrachais sur le visage de mon ami d'enfance. J'avais un morceau de verre planté derrière le crane, de fine giclé de sang en sortant, par intermittence mais je ne le remarquai pas.

" Yo Hao, ça faisait longtemps. T'as le bonjour de Shishi. Tu veux un joint? c'est une weed d'enfer! Sinon, je vois que ta permanente se porte toujours aussi bien? "
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Mizutirigi Haosha

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MessageSujet: Re: Un vieil ami.    Un vieil ami.  Icon_minitime1Dim 20 Jan - 18:08

Doucement, un trousseau de clé glissa d'entre ses mains, et retomba péniblement sur le sol, dans un bruit sec. Une semaine, ou même deux, il ne savait plus vraiment depuis combien de temps il se trouvait à la tête de ce magnifique village qu'était celui du sable. Tout ce qu'il pouvait en conclure pour le moment était visible sur son visage, des traits, enfoncés par le manque de sommeil, des jambes faibles, la stature de l'homme en avait pris un coup. Certes, quand il devait se présenter face à ses citoyens, il faisait tout ce qui était en son pouvoir pour élever un peu sa condition, et qui sait, peut être servir d'exemple à qui que ce soit. Mais, une fois arrivé chez lui, il n'en avait que faire, après tout, personne ne le suivrait jusque chez lui, à moins que la presse people n'en ait décidé autrement o:. Enfin, le jeune Kazekage se jeta tel un phoque sur son sofa, le visage totalement aplati contre le cuir du meuble. Au mieux, il pourrait au grand maximum tirer cinq heures de son passage jusque sa demeure. Rapidement, son esprit repartit dans ses vieux travers, et il repensa une nouvelle fois à ce qu'il était, à ce qu'il est, toutes les questions s'emmêlèrent dans son esprit à la limite d'imploser. Il y avait déjà de cela plusieurs années, l'homme était déjà couché sur ce vieux sofa, imprégné de cette vieille et symbolique odeur, recouvert de ces vieilles écorchures. Rien n'avait changé, mais tout avait disparu. A l'époque, il n'était encore un gamin, qui n'espérait rien de sa vie, ou du moins rien de plus, jusqu'à ce jour, où la folie de la jeunesse, ou peut être la lâcheté l'avait emmené si loin de son lieu d'existence, à l'autre bout de ce monde, dans le village de Kiri. Durant toutes ces années, il n'eut plus aucun contact avec ce qui composait son passé, sa famille, ses amitiés. Ce n'est qu'à son retour que la dure réalité le frappa une nouvelle fois, il ne restait plus rien, tout avait disparu. La maison dans laquelle il vivait était devenu vide, l'absence avait empli les lieux, et personne ne savait. Oh, il avait cherché, oui, mais, tout ce qu'il avait retiré des archives du village, était que du jour au lendemain, sa famille entière avait disparu, sans aucune raison apparente.. Une quête s'ouvrirait, une large quête..

~~~

Un grand halo de lumière traversait la pièce, et du vieux sofa rongé par le temps, s'ouvrit difficilement un oeil, ébloui et endolori par le paysage qui lui provenait de la fenêtre. Dans un mouvement qui parut déchiré le corps du jeune homme, il observa l'heure, indiquée sur le réveil, situé à son côté. D'un coup sec, porteur d'une large violence, le réveil s'envola, et vint s'exploser contre l'un des murs de la pièce. Hm, il fallait dire que le jeune homme était plutôt ronchon au réveil.. Encore plus quand celui-ci possédait un retard d'environ deux heures.. Après tout, un nouveau Kazekage incapable d'honorer ses horaires, c'était plutôt imposant, non ? Au maximum de son empressement, il récupéra tout l'attirail qui lui était nécessaire, après une douche rapide. Alors que celui-ci ouvrit sa propre porte d'entrée, dans l'idée de rejoindre aussi rapidement que possible son bureau, un de ces l'y attendait. D'une voix rapide et probablement stressée, il lui indiqua qu'un homme particulièrement bizarre avait été vu traversant le désert, avec des habits plus que succins. Si il n'était pas aussi fatigué, ses yeux se seraient surement écarquillés.. Dans un langage presque inaudible, le jeune Kazekage s'exprima. "Allez donc m'acheter un nouveau réveil, mon ancien a cru qu'il pouvait s'envoler :/. Fouillez dans les tiroirs de ma maison, il doit bien y avoir quelques pièces pour ça.", lui indiqua le jeune homme, lui tapotant l'épaule tout en lui tendant son trousseau de clé. A vrai dire, Haosha n'appréciait pas vraiment ce ninja, un jeune ninja embué dans les vieux principes de la condition ninja, et pour qui tout le vocabulaire du risque était presque synonyme de blasphème. Bref, s'écartant rapidement de son ninja, il partit dans la rue principale du village tout en trottinant, il faisait particulièrement chaud aujourd'hui, et le soleil semblait déjà vouloir frire sa peau. Mais, son corps particulièrement parfait n'était point affecté o: (loulilol). Il ne lui fallut que quelques minutes pour arriver, les cheveux au vent, tout en haut de sa tour, dans son bureau. Là-haut, il se mit à repenser à l'indication que l'autre abruti lui avait donné. Un homme, presque nu, qui voyageait dans le désert. En y repensant, il se mit à frissonner, et si la prophétie disait vrai ? Et si il était temps qu'il revienne parmi les vivants.. Il y a de cela quelques années, il avait suivi les préceptes d'une ancienne idéologie Sunaïenne, et, il devrait peut être affronter le retour en force de celle-ci.

Enfin, son travail de Sunakaje put reprendre, avec le va et vient habituel de tous les ninjas qu'il pouvait voir, des jeunes genin en quête de mission, des petites vieilles dames offusquées, et tout ce que la petite cité du sable pouvait lui offrir. Ce ne fut que plus tard dans la journée qu'il reçut un papier de la plus haute importance, son titre : "Parties génitales et enfants". Il n'est pas difficile d'imaginer sa réaction à l'instant où il lut cela. Mais, le titre était aussi intéressant que le contenu. Les autorités compétentes venaient lui indiquer qu'un jeune homme, probablement dangereux se baladait à moitié nu, dévoilant ses parties intimes au rythme de son parcours, dont à certains enfants. Un sourire apparut sur le visage du Kage, non pas qu'il aimait l'idée que des enfants voient un sexe masculin (en fait, si, il aimait l'idée :trolololo: ), mais, la situation était assez drôle, et sous peu, il recevrait des centaines de visites de femmes, quittant leurs cuisines pour venir se plaindre (soit les deux passe-temps favoris des femmes sifle ). Indiquant la porte de sortie à l'émissaire, il tourna le dos à la porte, afin de pouvoir être plus tranquille, et pouvoir réfléchir à tout cela sans qu'on vienne le déranger. Enfin, réfléchir.. Cela aurait été bien plus facile si sa fenêtre ne venait pas d'être éclatée en morceaux. Il ne lui fallut qu'un instant pour se retourner, et la vision qu'il eut fut plus que surprenante. Un homme, se tenait là, devant lui, dans une position particulière, qui offrait une vision encore plus particulière. Il ne lui fallut que quelques secondes pour le reconnaître, ses cheveux roux faisaient la différence. Rapidement, Haosha se releva de sa chaise, tandis qu'un voile de fumée lui recouvrait le visage. Oh non, il n'avait pas changé, absolument pas. Celui-ci lui adressa directement la parole ~.

"Bonsoir. En effet, ça fait très longtemps que je ne t'ai pas vu par ici, les caribous t'auraient donc libérés ? Désolé de ne pas avoir payé la caution :/. Tu dois bien savoir que mon rang ne me permet pas d'excès mon enfant. Et oui, ma permanente tient plutôt pas mal, j'avais oublié que le roux se faisait encore en couleur de cheveux o:. Oh, c'est vrai, être roux est puni par la loi depuis trente ans :/. Désolé, avec toutes les blagues qu'on doit faire sur tes cheveux, tu dois être au bout du roux-leau (olololololololo)."
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