HRP : Ces musiques pour le Rp http://www.mixpod.com/playlist/72681261

Je me sentais mal : je m'étais énervé avec mes frères et soeurs par rapport à l'examen des chuunins, j'avais dit que j'hésitai à utiliser Rokubi pendant le combat. Nous nous sommes énervé j'ai glissé une parole que ma mère a entendu et ça l'a profondément attristé.

- Si Yokô-kun, devient comme moi, vous allez regrettez que Oba-sama n'aie pas fait deux fausses couches !!

Ma propre parole raisonnait dans ma tête, elle avait été irresponsable et quand je vis le visage horrifié et attristé de ma mère, j'avais une horrible sensation, d'abord comme si j'avais poignardé ma propre mère et comme si j'avais déchiré mon coeur sans l'aide de personne. Je pris mon paquet de cigarettes, une bouteille de saké et je fuis en dehors du village. Je prévins les ninjas qui surveillaient les frontières et m'en allait vers l'étang du péché. J'y étais déjà allé, ou plutôt, je revenais de là-bas avant-hier. Y retourner sans bougie cela met peu de temps. Je courais en utilisant le kekkei genkai pour gagner du temps et de la vitesse.

J'étais énervé contre moi-même et mes frères et soeurs. Je devais l'avoir profondément déçu et ça pouvait se révéler fatal pour Yokô-kun. Pour l'instant je n'étais pas dans mon assiette. Une fois arrivé à l'étang je me mis à ralentir avant de l'arrêter complètement. J'ouvris ma bouteille de saké, pris trois gorgées, la referma et la lançai dans un buisson. J'enlevai mon haut et mes protections intérieures et les jeta dans le même buisson que la bouteille.


Quand je sentis qu'il y avait assez de chakra dans mes pieds, je me mis à marcher sur l'eau. Au début, mon pied plongea dans l'eau puis se mit à flotter. C'est alors qu'il se mit à pleuvoir des trombes. Chaque goutte qui perlait sur mes épaules me faisait subir la tristesse que ma mère avait dû subir à cause de cette phrase à bannir. Je levai la tête et sentais les gouttes perler sur mon visage, mes joues pour descendre à ma pomme d'adam, continuer sa route sur mes pectoraux pour la terminer au bas de mon abdomen. Je me mis à crier aussi fort que mes cordes vocales me le permettait. Les décibels que j'émettais devait s'entendre jusque dans le désert de Suna puis je me calmai et baissai la tête pour essayer d'observer le fond de l'étang. C'est alors que je sentis une présence, j'eus le réflexe de me retourner.