surprise de noël

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Je me promenai dans les rues de suna.
Il faisait jours et le soleil était chaud, trop chaud.
J'avais l'impression de brûler malgré ma petite ombrelle habituelle. Je ne savais pas ce qu'il se passait, je n'avais jamais eu autant chaud auparavant. Je devait être malade.

Je marchai vers l’hôpital afin de me faire osculter par un de nos brillant médecin.
J'avais hâte de revoir khimair, j'avais prévu de demander une autorisation spécial afin de pouvoir allez lui rendre visite a kiri, je lui ferai la surprise en espérant qu'il ne serait pas en mission a ce moment précis.
Je ri seul a mes pensées et les gens me regardait l'air de dire " le soleil lui a taper sur le tête a celle la".
Je sentais mon corps qui devenais de plus en plus lourd, j’accélérai alors le pas afin d'arriver plus vite.

J'arrivai enfin a l’hôpital. j'entra et senti la ventilation me chatouiller le visage. Je frissonnai et alla m’asseoir dans la salle d'attente. 1heure passa et je me sentait patrac.
Une envie de vomir me submergea et je couru aux toilettes de l’hôpital afin de ne pas salir le parterre. Une infirmière arriva chez moi, un peu inquiète.

Mademoiselle vous allez bien????

Juste au moment ou je voulait lui répondre je perdit connaissance.
Je me réveilla quelque temps plus tard dans un lit d’hôpital. Je vit le médecin qui se retourna vers moi .

Ahh vous vous ete enfin réveillez

Quesqu'y ces passez...

Je bougeai légèrement et vu que mon ventre était recouvert d'une pommade froide et gluante.

Et pourquoi j'ai sa sur le ventre??

Le médecin souri.

Félicitation a vous et a votre copain. Ces un beau cadeau de noël que je doit vous annoncé.

Je ne compris pas... Il me parlai de cadeau de noël alors que j'était dans un lit d’hôpital...

Vite s'il vous plait je dois allez chercher un cadeau pour mon copain...

Je craint que vous devriez rester ici quelque jours

Pourquoi?!

Vous ete enceinte

Je me figeai, tandis que le médecin souriais.
J'attendais un bébé....

Invité

Une large goutte de sueur coula le long de son visage, une fois de plus... L'entraînement était pour lui indispensable s'il voulait atteindre le prestige et la puissance à laquelle il aspirait. Alors il s'entraînait, encore et toujours. A la seule force de sa volonté, Khimair ne lâchait absolument rien et n'avait que l'avenir en tête, bien qu'il n'avait aucune idée ce que ce dernier lui réservait. Ce jour-là, il s'était durement entraîné physiquement, multipliant les exercices pour étoffer sa musculature déjà parfaite, chose qui lui faisait défaut du fait de sa corpulence élancé dont il était le possesseur. La désert un endroit très propice aux entraînements du fait de superficie, de ses différents dunes éparpillés un peu partout au sein de ce lieu, ainsi que de sa proximité du village. C'est pour toutes ces raisons que le jeune Shinobi de Kiri avait décidé de travailler ici. La journée passa, jusqu'à ce que le soleil commence à se coucher, signe pour le jeune homme qu'il était temps de rentrer, se ressourcer afin de récupérer.

Réajustant son épée dans son fourreau, notre protagoniste se hâta de rentrer au village, l'envie de se détendre, et de profiter des derniers rayons du soleil miroitant dans son esprit. La fatigue se faisait tout de même bien ressentir, des crampes emplissant ses membres en grande partie. Les remparts furent passés sans soucis, notamment grâce à son bandeau frontal qui représentait son appartenance à Kiri no Kuni. Le soleil semblait tendre à son dernier souffle quand il arriva sur le toit de sa maison. La chaleur était toujours présente, et malgré tout, il pouvait toujours sentir des rayons caresser son fin visage. Le sourire aux lèvres, il contemplait les nuages. Il était parvenu passer outre la haine des autres à cause de son appartenance aux Loup, justifiée par une différence bénigne... Maintenant qu'il était devenu ce dont il avait toujours voulu devenir, il avait pour but de retrouver la trace de ses origines, et pour cela, il était certain qu'il allait devoir voyager. Pour faire ceci sans encombre, il lui fallait du pouvoir. Ses réflexions n'allaient pas plus loin. Perdu dans ses pensées, il ne se rendit même pas compte que ses yeux se fermèrent, sous le poids de la fatigue.

Chez Khimair, un facteur reste tout de même prédominant, passant bien avant son but personnel ; tout donner pour son village. Celui-ci lui avait tout donné, depuis que toutes sa famille l'avait abandonné pour rejoindre l’au-delà. Ils l’auraient sûrement éduqué pour le faire devenir l'individu qu'il était aujourd'hui. Il lui avait inculqué des valeurs, un esprit, une façon de penser. Même si tout le monde n'avait pas été tendre avec lui, le demi loup était très attaché à son village. Il serait prêt à donner sa vie s'il pouvait le protéger. D'ailleurs, lors de la soit disant possible attaque contre son village, notre jeune homme pourrai réaliser son rêve : Mourir pour les autres, de toute façon qui plaindrait sa mort ? .La dernière fois qu’il s’éloigna pour se contenter d'aller dans réfléchir en solitaire, dans les hauteurs de Kiri no Kuni, à son retour le destin voulu qu’il y découvrit les cadavres de ses frères et sœur gisant au sol sans vie...

Quand il rouvrit les yeux, il se rendit compte que le soleil avait bel et bien disparu. C'était au tour de la lune et de sa lumière blafarde d'éclairer son visage. Le village était d'un calme le plus total... Quelle heure était-il ? Il devait être bien tard à première vue. Le jeune homme ne s’en soucia guère. Les frissons qui parcouraient son corps entier lui firent comprendre qu'il fallait qu'il rentre dans sa maison s'il ne voulait pas mourir de froid. L'automne et sa fraîcheur. L'expression de son visage faisait plus penser à un individu nonchalant et pas très volontaire. Voici tout le contraste de ce personnage : motivé, énergique - trop même - ; parfois las, mou, mais qui pourrait lui en vouloir……il pourrait être arraché a la femme qu’il aime sans même s’en rendre compte. Mais alors qu'il s'apprêtait à se relever pour aller se coucher dans son lit tiède et confortable.

-Pourquoi ne pas aller boire un truc tien,devant une bonne partie de poker ?

[b]UN JOUR PÉNIBLE......

Tout ceci est vraiment consternant. Non mais comment peut-on être si stupide ? Toujours concentré sur le jeu avec la dernière personne, je vois une choppe de bière vide passer devant mes yeux avant d'aller se fracasser sur le crâne d'un autre. Anticipant la vengeance couplé à son état d'ébriété avancé, je me penche alors légèrement en avant pour éviter d'être la cible de dégâts collatéraux. On peut plus jouer en paix maintenant ? Dans un ultime geste vendicateur, j'abats ma main, un sourire narquois dessiné sur mes lèvres.
Dans tes dents ! Ca fait quoi de perdre face à deux paires ? Pressé de partir de cet endroit damné où la musique des chanteurs se mêle à la mienne, je récupère tout le shmilblick et commence à jouer au zigzag parmi toute cette agitation. Des coups de poings en folie, des dents qui volent et où il pleut de la salive. Super ambiance, vraiment. Arrivé à la porte, j'agite ma main en guise d'adieu même s'ils en ont rien à foutre, ça me fait plaisir.

Et alors que j'allais me tourner… PAF un verre en plein la tronche… Il fallait bien que ma chance tourne, hein ? Me relevant avec peine, un léger filet de sang fraie son chemin sur mon visage, ils y sont pas allés de main morte ces badauds. Maintenant à mes pieds, j'écrase un peu plus les morceaux de verre responsables de ma légère blessure avant de lever le pied pour en retirer les morceaux qui aiment un peu trop mes chaussures. Ah… je soupire et fais volte face, pour m'éloigner d'ici, pas la peine de s’énerver pour si peu, lorsque je me retrouve face à un homme défiguré à moins de dix centimètres de moi.
Une expression de dégoût de voir une personne aussi laide se dessina sur mon visage,mes yeux trop habitué à la beauté de Lily restèrent choqué par une gueule comme la sienne.
Action non stop et effet ralenti.
Dans l'étonnement total je me suis incliné en arrière pour mettre de la distance avec son visage et… fatale erreur. Me voilà retombé sur les fracas de silice et ce geste d'autodéfense vient de me coûter d'autres égratignures ainsi que des vêtements abîmés. Merci, vraiment.

» Tin mais vous êtes qui vous pour vous foutre juste derrière moi ? Ca fout les j'tons !
» Khimair, non ? J'ai besoin de tes services pour aller me chercher une boite dans un village tout proche… j'ai vu tes capacités et tu auras une récompense qui t'intéressera si tu me l'apportes intacte.
» Eih ?Mais que'se tu veux gros lard?!
Mais attendez, ce gars là, c'est pas un des gars de ma table ? Si, il a le même menton et sa cape rouge foncée est reconnaissable entre dix. Mais pourquoi il me demande ça d'un coup ?
» Je suis un peu vieux, tu vois. Et c'est un paquet très important… un de tes amis m'a conseillé de faire appel à toi et j'ai des cadeaux qui pourraient t'intéresser.

Silence. Je veux bien savoir qui est le salaud qui a dit ça à ce type et surtout, lui dire où je passe mes vacances en ce moment. Mais là… des cadeaux,un cadeau pour ma copine surtout… je ne peux vraiment pas cracher dessus. De retour en position orthostatique, j'enlève ma veste pour encore une fois virer les parasites de verre et en profite pour réfléchir. Un village voisin, hein. Mouai, mais je dois dire que cette partie d'Iwa croule pas vraiment sous les bons samaritains et je sais pas trop quelle genre de boite je vais avoir à trimballer. Bah… pas comme si ça allait me gêner. Allez.

» J'accepte. dis-je simplement en pliant sur mon avant bras ma veste.
» Bien. Alors va donc apporter ça à un roux qui devrait attendre près de la fontaine. Il te donnera ce qu'il faut m'apporter. Je n'attendrai pas plus d'un jour ici…

Je trouve quand même qu'il se prend pour quelqu'un d'important à me traiter de la sorte,pourquoi ne pas l’avoir envoyer contre le mur ?je sais pas. Mais un job est un job et si j'ai de l'argent à vouloir… les ce qu’on appelle les cadeaux uniques sont beaucoup plus durs à avoir. Ma main droite attrape le morceau de papier et me voilà déjà parti alors que les échos du combat tavernal résonne encore au loin. Plus qu'à remettre mon casque pour passer le temps. Deux heures de marche à l'aller, et deux pour le retour. Ca promet surtout que je vais rentrer de nuit…
L'aller se fait sans encombre. Des pas lents, une nature morte et des chants d'oiseaux muets pour mes oreilles envahies par des sons plus violents. Le soleil se couche en même temps que j'entre dans le nouveau village. La déco ne m'intéresse pas donc mon regard reste fixe, l'architecture n'est pas mon trip. Je suppose que le lieu se trouve au milieu de la bourgade et me dirige donc sans faillir vers cet endroit. L'homme attend les jambes croisées et toutes ses pensées tournées vers ses pieds. Je l'interpelle pour en finir vite tout en sortant le papier froissé du vieillard.

» Yo. Je viens chercher le cadeau pour…
» Tiens et tire-toi maintenant. Il a déjà payé. me coupe-t-il avant que j'ai eu terminé ma phrase.

Ce gaillard est même tellement sympathique qu'il me cogne le ventre avec deux boites de bois, l'une sensiblement plus petite que l'autre mais pas plus légère. Le temps d'examiner l'ensemble qu'il a déjà disparu journée de merde,et ma patience commençais à se briser,mais au moins, ça c'est fait... Je soupèse le tout d'un œil suspicieux avant d'agiter légèrement de droite à gauche le plus gros paquet. Non, pas possible… J'approche mon nez du tas et une légère odeur âcre sue au travers de la boite. Des explosifs. Même avec l'âge les vieux savent encore jouer avec ce genre de choses, hein. Je me demande ce qui se trouve dans l'autre… Mais pas le temps de m'y attarder, faut que je me grouille, j'ai bien envie de voir quel genre de relique il a pour moi, enfin……pour ma chérie !

EN COURS

Invité

Un crissement retentit à gauche et mes yeux dérivent par réflexe. Je n'ai pas trop envie de trouver une bête qui a senti cette odeur à exploser et qui va venir me bousculer. Vu la fabrication artisanale j'ai fort à parier qu'au moindre choc brutal je suis bon pour la casse et en petits morceaux. Même le Royal Game ne me sauverait pas. J'adoucis légèrement le volume de mes écouteurs et plisse les yeux. J'y vois que dalle. Depuis quand la nuit tombe si vite en cette période ? Et pourquoi il fallait que je traverse la seule partie boisée sur des kilomètres ? Y a des pics, des falaises partout normalement mais bon, ce chemin est relativement plat même s'il faudrait pas que je tombe du mauvais côté. En somme, un parcours facile.
Enfin… Si on omet cette branche que je viens de me prendre dans la figure.
Las, je pousse la tige de bois dans un geste négligeant avant de soupirer. Je peux le dire, je suis dans un bien piètre état et même pas à cause d'un combat mais bien de malchance. D'abord la furie de l'auberge, le verre dans la figure, le sursaut suite à la vision d'horreur, les morceaux de verre dans le dos, les explosifs à transporter, la branche que je n'ai pas esquivé et maintenant quoi ?

Je crois quand même que je n'aurais rien dû dire… Mon regard tentait toujours de percer le l'obscurité lorsque j'ai butté sur une racine. Et imaginez bien que j'ai tellement de chance que sur le coup, je me rattrape à une branche qui cède sous mon poids, les deux boitiers s'envolent dans les airs et devant moi et que maintenant, j'ai le genou dans une fourmilière.

» Et MERDE !

Et voilà le cri universel lorsqu'il nous arrive un tel truc. Sans compter que toute ma vie défile devant moi… Mais vous voyez, une personne normale revoit sûrement tous les moments qui ont fait sa vie. Personnellement, voilà que je vois toutes les blagues que j'ai faites et les merdes qui me sont arrivées. A compter par la meilleur :Ma rencontre avec ma chère Lily,mais pas de bien sans mal….même d’avoir maudit mes frères de devoir vivre pour eux,sans cela je serais sûrement dans l’au-delà a leurs coté.
Mais revenons à nos moutons car j'ai pas envie de manger les pissenlits par la racine avec les dents aux quatre coins du monde. Prenant appui sur le sol infesté d'insectes mécontents que j'aie écrasé leur maison avec un style de gorille, je me propulse en avant puis effectue des signes stressés mais justes. Apposant mes mains au sol, la terre devient juste un peu meuble, juste ce qu'il faut pour éviter à la boite de prendre un choc et… de faire KABOOUM… Le temps s'est arrêté. Je retiens ma respiration durant la dernière seconde qui va déterminer la suite de ma vie…

Merci petite seconde. Un bruit ténu vient de se faire tout comme un petit roulement. Je suis sauf si on en oublie les fourmis qui s'amusent à me mordre dans le but d'emporter un bout de mon mollet comme trophée ou repas. Ils ne m'auront pas ! J'agite violement ma jambe et expulse les derniers squatteurs entrain de faire une rave party dans mes poils. Il est temps de finir ma mission ! Enragé et éreinté, je cherche à tâtons les colis qui fut récupéré après quelques minutes de recherche.

» Je vais vraiment lui faire payer à cette balance…

Le voyage qui aurait dû me prendre deux heures au retour m'en pris quatre. Les rares torches animant la ville meurent lentement, crachant leurs dernières lueurs tandis que j'avance le dos courbé au milieu des routes désertes. Je traine des pieds et j'en ai bien le droit… Si les paquets sont saufs, je peux pas en dire pareil de moi. Largement dans les temps je m'approche du vieillard qui affiche une mine des plus satisfaites et lui tends les deux paquets.

» Bon… j'espère que tout ceci en valait la peine… parce que le voyage a pas été facile, putain… et je peux savoir ce que vous comptez faire avec des explosifs et ce qu'y a dans la dernière boite.
» Tout d'abord merci Khimair… Mes occupations ne t'intéressent pas, je pense. Et pour ta récompense la voici.

Enfin. Même s'il n'a pas eu envie de me raconter ses petites magouilles, je vais avoir mon cadeau. Ouvrant le petit colis, il en ressort une bague divinatoire révélant dessous un objet à la forme… phallique. Je n'y fais pas vraiment gaffe et récupère mon dû en ayant quelques regrets. J'aurais pu ouvrir le truc et me tirer mais… je remarque bien vite que la récompense est vierge. Aucune insigne, aucune inscription, rien… Je me retrouve certes avec une bague splendide mais totalement vides. C'est quoi ce délire ?

» Ne te fie pas à sa tête. C'est là ta possibilité de créer ton propre souhait,dans la limite du raisonnable,car j'en ai usé aussi par le passé. Fais-en bon usage… et maintenant il est temps d'aller me faire plaisir avant de casser la baraque…

Mon regard voit l'ombre qu'il devient s'enfoncer dans une maison. Il a abandonné la petite boite et a pris l'objet qu'elle contenait, je n'ai même pas envie de savoir ce qu'il compte en faire. Déportant mon attention sur ma nouvelle possession, je ne peux retenir un sourire. Toute mon imagination allait pouvoir être utilisée… je n'avais plus qu'à trouver une chose qui pourrait être utile à ma Lily et lui donner vie à cette bague.Allez, malgré la fatigue je vais bouger. Rester à Iwa plus longtemps va me rendre fou avec tous ces déglingués de la tête. Je n’ai pas envie d'être contaminé.

Ce qui nous amène à l’instant précis: à l'entrée de l'hôpital, une foule dense d'individus grincheux et gémissants piétinait, et je m'y frayai un passage tant bien que mal – véritable épreuve pour moi, qui abhorre totalement la foule... en tous les cas, je finis par pénétrer dans le bâtiment, en espérant n'avoir pas trop bousculé de blessés. Arrivé dans ce qui devait être l'accueil de l'hôpital, je m'adressai à une jeune femme, qui mit un peu de temps avant de comprendre que je tentais de capter son attention :
« Excusez moi... S'il vous plaît... Mademoiselle ? Mademoiselle ! »

Quand enfin elle daigna m'accorder un regard, elle me dit, pleine de suffisance :
« Désolée, jeune homme, mais il faut attendre votre tour comme tout le monde.. »

Et, sans plus de cérémonie, elle détourna le regard, s'adressant à un vieil homme qui murmura quelque chose expliquant que lui, de son temps, ne se serait jamais permis ça... le discours habituel des vieilles personnes un peu aigries. Ma nature mais surtout mon sens du devoir fut le plus puissant. Je me raclai la gorge, et entrepris à nouveau de capter son attention, à grand renfort de gesticulations :

« Ehoo !!!, je vous parle et vous allez m’écouter, une belle fille ne serait pas venu par hasard ? Elle porte toujours une ombrelle sur elle, ces derniers temps elles semblait souffrantes, je me suis dit qu’elle pourrait être la…...

« O…oui une jeune fille est venu ici,elle se trouve à l’étage,deuxième porte a gauche,mais seul le person…….Monsieur ?!

A peine entendu les indications,je partis en direction de Lily en me faisant toutes sortes de film…Malade,Blessé,Morte ?!!!au moment ou je souilla l’entré de la chambre l’infermiere prononça à ma chérie des mot qui me laissèrent cloué au sol

Vous etes enceinte

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Vous ete enceinte

Je me figeai. Moi enceinte... Et en plus il peu être que de khimair...
J'avais les larmes aux yeux, mais pas de tristesse. Plutôt de joie. Je croit qu'avec ma rencontre avec l'homme que j'aime, ce bébé etait la chose la plus manifique qu'il me soit arriver. Je pleurait maintenant.
Le medecin s'approcha doucement::

Mademoiselle sa va?! Vous avez mal?!

Je souriait

Non tout va bien ... Tout va merveilleusement bien...

Je senti une nouvelle fois que j'allait vomir et couru au toilette. Mais cette fois si je n'arriva pas jusqu'a la bas et... pauvre médecin... Sa veste blanche avais pris une couleur bizarre et je me sentai de nouveau faible.. Je manqua de tomber et de me cogner la tête mais le docteur me ratrapa a temps:

Mademoiselle?! INFERMIERE!!

Je l'entendais mais n'arrivait pas a réagir. J'était épuiser. Une infirmière rentra.

Chercher de la glace!! Elle a trop chaud!!

Donc c'est la chaleur... Cette chaleur que je supportai plutôt bien d'habitude. Je vis une ombre à la porte... Je ne pouvait distinguer qui c'était mais cette personne semblait vouloir rentrer a tout prix.

Monsieur vous devez attendre dehors!!

J'entendit L'homme, car a sa voix sa ne pouvait être qu'un homme, hurler d’énervement.
Je sentis qu'ont me soulevais pour me remettre sur mon lit.
Puis ensuite je sentis une chose glacer sur mon front.

Ce n'est que 5min plus tard que ma température baissa. Je me réveilla et fut ébloui par la lumière de ma chambre...

Invité

[

Il sut directement que son état devait être grave, puisque l’homme gardait un visage sérieux.

-« Nous l’avons mis en REA depuis son arrivée mais elle reste dans un profond coma. Elle ne réagit à aucun des test et nos meilleures spécialiste n’arrive pas à découvrir se qu’il peut bien avoir… »

-« Il faut avouer que vous êtes débordés » Répliqua le demi loup parce qu’il se doutait que les médecins ne s’était pas vraiment penché sur son cas, du moins pas en profondeur, mais avec un hôpital bourré de gens, ils devaient être encore plus prit d’assaut.

Le jeune homme ne doutait pas que la vie de Lily ou de son enfant était hors de danger, mais le cas de coma était quand même préoccupant. Celle-ci pouvait aussi bien se réveiller dans quelques minutes que dans des années.

Le Zampaku ne lui en porta pas préjudice tandis que ses yeux ne pouvaient pas lâchée du regard, la silhouette étendu dans des draps blancs. La jeune fille avait presque l’air fragile, fantomatique de là où il se trouvait. Le demi loup prit une bonne inspiration et s’enfonça dans la pièce. Il ferma les yeux, pour chasser tous sentiment et se plonger dans son rôle.
Se fut d’un pas sûr, qu’il se dirigea vers le lit, sans aucune hésitation, il palpa le corps tout entier de sa chérie pour tester sa réaction mais comme on l’enseigne dans son clan, il n’y avait aucune réaction. Il passa délicatement une griffe dans un des doigts de Lily. Les yeux de du jeune homme s’agrandirent de surprise quand elle constata que le sang, coagulait presque directement. Comme si la jeune fille avait été plongé dans un bain glacial.

Sans qu’il ne le veuille ses mains commencèrent à trembler, il s’ordonna au calme. Il ne devait pas se faire d’idée très vite. Prenant une seconde inspiration, il mit ses mains sur le sommet de la tête de sa chérie .Ce n’était pas le même effet que des blessures, vu que les médecins avaient bien fait leur travail. Non, Khimair ressentait comme une gêne, comme si les organes avaient été figés. D’un mouvement sec, le jeune homme prit dans ses mains une poignée de cheveux de l’Uchiha et put constater qu’il en avait bien entre les doigts.

Un sourire se fit sur ses lèvres, un sentiment de profonde chaleur venait de naître dans son cœur. Parce qu’il savait comment soigné sa fiancée mais cela impliquait également beaucoup de chose. D’un geste mesurer, il sortit de sa sacoche, une boite en bois rectangulaire. Il ouvrit celle-ci et fit coulisser le premier emplacement sur la gauche puis fit jouer ses doigts sur les fioles du fond. Un deuxième sourire vint jouer sur la bouche du Zampaku tandis qu’il tirait avec délicatesse une fiole avec un liquide argenté.
Khimair rangea la boite dans son emplacement alors qu’il tenait fermement dans sa main le tube en verre. Il alla placer une de ses mains derrière la nuque de la jeune filleafin de la surélever un peu tandis que de l’autre main, il envoya plus loin le bouchon à l’aide de son pouce et de l’index. Une fois la fiole libre de toute contrainte, le demi loup approcha celle-ci de la bouche de sa cherie et y fait glisser avec lenteur et mesure une petite gorgée. Il enleva rapidement l’antidote, celui-ci pourrait être aussi néfaste que le poison, si la jeune fille en avalait de trop.

Dernier Espoir...

Un sourire me naquit sur les lèvres alors que je vit enfin les paupières de Lily frémirent, signe qu’elle n’allait pas tarder à ce réveiller. Une nouvelle vague de chaleur me saisit le cœur et renforça mon sourire. Si les « premiers soin »avait parfaitement fonctionné, cela ne pouvait signifier qu’une chose. Ma chérie était bel et bien en vie, l’idée qu’on me l’ avait arraché lui effleura l’esprit mais la voir reprendre ses esprits, ne laissait aucun doute.

Même si étant enchantée de constaté que Lily n’avait rencontrer des difficulté de grossesse,je ne pouvait qu’éprouver un sentiment un peu amer à son égard. Ne pouvait-elle pas m’envoyer un simple signe de détresse ? Je savait bien entendu que ce n’était pas réalisable, cependant au fond de moi, j’aurais aurait vraiment souhaité, qu’elle puisse avoir cette délicatesse.
Je secoua la tête intérieurement pour ne plus y penser, surtout que j’avais d’autre chose à faire, la femme de sa vie reprenant pleinement conscience. Celle ci semblait essayer de se relever mais la faiblesse de son corps ne lui permit pas, cela ne l’empêcha pas de véhémence. J’aurais pu être heureux d’avoir la confirmation d’un témoin, que Lily ou le bébé n’était pas mort, cependant son état semblait être des plus préoccupant. J’étais surtout désolé envers elle, de ne pas avoir compris ce qu’il se passait plus tôt………..

Finalement je m’immobilisai sur le bord du matelas,lui prit la main et la remercia de ne pas m’avoir abandonnée…..Sûrement épuisé par cette journée qui en fin de compte deviendra sûrement la plus de ma vie.Je m’approcha d’elle et je sortis la Bague divine.

-« Exprime un voeu ! » d’une voix qui n’admettais aucune réplique.

Invité

Je me reveillai dans cette chambre blanche et froide. Je senti des larmes monter et essaya de me lever mais mon corps ne bougeai pas. Etait ce normal ce qui m'arrivais?? Comment allais mon bébé?? Où était mon chéri??
Des tonnes de questions comme celle ci ce bousculais dans ma tête. J'avais un drole de goût dans ma bouche et toussota légèrement.
Soudain une main chaude et douce pris la mienne. Je n'était donc pas seul. Je tourna doucement la tête et vit la silhouette d'avant.

Je reconnu Khimair,deja une question de moins dans ma tête, et je souriait.
Il s'approcha et me murmurai des mots de remerciements pour ne pas l'avoir abbandonnés. J'essayais de parler mais aucun son ne sortai de ma bouche qui était tres sèche. Puis il me tendis une bague..
Elle était somptueuse mais semblait terne et sans couleur.Il s'empressa de me dire d'un ton assez ferme.

-« Exprime un voeu ! »

Je le contemplais sans écouter se qu'il m'avait dit. Puis mis ma main sur la sien et dit d'une voix faible et désécher.

Je veut rester avec toi...pour toujours...

C'est quand mon voeu fut formuler que la pierre blanche qui ornait la bague pris une couleur rouge vif . C'était la couleur de l'amour.
Je souriait , complètement épuiser par cette journée, et sera la main de mon amoureux. J'était tellement heureuse qu'il soit la. Je ne savais pas si il était au courant pour le bébé. Je mis donc, faiblement et avec un peu de mal, sa main sur mon ventre et chuchota.

Il avait hâte de rencontrer son papa...

Je vit un verre d'eau sur la table de nuit, elle aussi blanche, et essaya de l'attraper afin de me réhydrater. Mais rien n'a faire, je laissa tomber mon bras ou souffla d'agacement.

Les médecins t'on dit pourquoi je me suis évanoui?.....

Je le regardai faiblement et clignant pas mal de fois de yeux a cause de la lumière..

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