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 Mission de rang C: Espion

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MessageSujet: Mission de rang C: Espion   Mission de rang C: Espion Icon_minitime1Jeu 30 Aoû - 23:05

Il faisait froid ce matin, l’air frais du soleil levant ennuyait le jeune Genin, il aimait sentir la chaleur sur son corps, mais il ne pouvait rien y changer, la nature et le temps sont des choses qu’un être humain ne pourra jamais contrôler. Sortir de son lit était difficile, mais il se força et déjeuna quelques céréales qu’il restait. Santoryo aimait se lever de bonne heure, il pouvait comme cela apprécier chaque moment de la journée. Cependant le matin était une épreuve pour le jeune homme, il était lent, le sommeil semblait toujours prendre le dessus et le laissait tranquille après une heure. Il aimait cette sensation étrange. Une fois mis sur pied et l’esprit bien au clair, Santoryo se rendit compte qu’aujourd’hui, il n’avait complètement rien à faire, mais puisqu’il était debout, il allait faire quelque chose. Un entrainement ? Non, il en a déjà assez vu avec celui de Yukina. Une journée vidéo ? Non, Santoryo n’aimait pas trop ce genre de journée. Une mission ? Voilà une idée qui lui plaisait. Il était content de son idée, il se sentait prêt mentalement à gérer ses émotions et mener à bien une mission. Après tout, c’était la base du Ninja, c’était son rôle, remplir des missions. Le jeune homme rangeait donc tout ce qu’il avait utilisé dans son appartement et sortait en direction du bureau du Mizukage. Le chemin n’était pas long, mais Santoryo avait le temps d’observer à nouveau le ciel, à présent les nuages qui annonçait un temps pluvieux se sont écartés et ont laisser places à des éclaircis et une hausse de température avec les rayons du soleil qui illuminait le ciel et le sol. Il était devant le bâtiment, il était assez imposant, s’il devait arriver quelque chose au village, c’était bien le bâtiment qui tiendrait le plus longtemps, il semblait si dur et si impénétrable, mais il rentra. Il rejoignait le bureau du Mizukage, il toqua une voix signala d’entrée. C’était le Mizukage en personne. Santoryo lui signalait qu’il désirait faire une mission, celui-ci lui pointa le tableau où étaient les missions, il n’avait plus qu’a choisir. Santoryo n’hésita pas, il se dirigea, sur de lui, vers les missions de rang C, une mission de contre espionnage, bien, c’était intéressant. Le jeune Genin décrocha l’affiche et salua le Mizukage en refermant la porte. Il était maintenant prêt, la mission pouvait commencer. Il commençait à analyser son objectif … Ramener, vivant, un ninja de rang Chuunin, bien, ça ne sera pas du gateau mais il devrait pouvoir s’en sortir, Santoryo aimait les challenges, surmonter les difficultés, et il savait que durant cette mission, il allait en avoir. Tout d’abord, il devait trouver un moyen ou plutôt une stratégie afin d’obtenir déjà quelques indices. Pour l’instant, il n’avait rien, que des soupçons sur une personne qui pouvait être tout le monde. Santoryo commença schématiquement à dresser une liste de chose qu’il devra faire dans sa tête :

*Tout d’abord, je vais devoir surveiller les environs, savoir qui doit travailler dans le bureau, car au fond, les informations n’étaient nulle part d’autre que là ! Ce qui veut dire que je vais devoir aller retrouver le Mizukage afin d’obtenir les fichiers administratif des employés. Je ne sais pas si ça sera facile de l’avoir, mais bon, pour le bien de la mission. Ensuite, je devrais peut être allé voir sur le terrain même, où essayer de placer du matériel de caméra afin d’enregistré les allés et venue des personnes. C’est à ce moment là que je devrais remarquer quelque chose normalement, et c’est là que je devrais intervenir. Bien, maintenant que le plan est élaboré, je dois me mettre en action ! *

Santoryo se marchait donc sur ses pas afin d’aller à nouveau dans le bureau du Mizukage, cette mission l’excitait, il ne savait pas sur quel genre de personne il allait tomber, ni si son plan fonctionnerait réellement, mais c’était une bonne façon de procédé lui semblait-il. Une fois devant le bâtiment, il se permit une seconde fois de rentrer et se mit sur le chemin de la porte du bureau du Mizukage, une fois devant, il toqua une nouvelle fois et cette fois-ci, personne ne répondit, Santoryo ne savait pas pourquoi, mais ça lui semblait bizarre, mais il avait besoin de ses documents, et à part lui, il ne savait pas très bien qui pouvait les détenir. Il prit donc son courage à deux mains et entra, le jeune Genin approchait du bureau et sur un tas de feuille reposait un dossier « Les employés ». Santoryo était gêné, il n’avait pas reçu l’autorisation de rentrer, ni de prendre le dossier, mais il le fallait, il devait le faire pour avancer. Il sortait donc en fermant la porte calmement et en se dépêchant de sortir du bâtiment avec les documents sous les bras, il se laissa même penser que c’était lui l’espion. mais au seuil, il ne s’attendait pas a voir le Mizukage, Santoryo pâli alors que l’autre s’amusa, il le rassura et lui dit qu’il le cherchait, il avait oublier de le fournir.

Bien, il pouvait donc commencer, il s’installa sur le contour d’une fontaine, sur la place, et feuilletait le dossier, il était maigre, chance pour lui. Il n’y avait, en effet, pas beaucoup d’employés. Deux femmes de ménages, trois assistants, un bras droit, mais bien sur, Yukina ! et une secrétaire. Santoryo n’eu aucun mal à retenir leur tête. Elles ne se ressemblaient aucune, et il avait l’habitude d’observer, donc il retenait. Santoryo se baladait dans le village, cherchant un magasin où il pourrait acheter des caméras de surveillance, mais discrète, car s’il était réellement Chuunin, il devait faire attention à ce système. Il était confiant, il voulait mener sa mission à bien et il aperçu une solderie où un article l’intéressait, une ensemble de mini caméra, reliées à un écran. C’était tout ce qu’il lui fallait. Santoryo se rendait donc content de lui, à nouveau vers le bâtiment que chaque Ninja de Kiri considère comme un endroit sacré. Une personne attira cependant son attention, il portait le bandeau de Kiri, mais regardait furtivement de chaque direction, comme s’il se sentait observer, et s’empressa de rentrer. Dans la tête de Santoryo, la situation était claire, c’était son homme. Il se mit à foncer vers le bureau du Mizukage, entra en quelques secondes et monta les escaliers, tout en prenant soin de ne faire aucun bruit. L’homme louche était là, devant la porte, il l’avait entre-ouverte, il regardait du coin de l’œil dans la serrure et dans l’espace qu’il avait permit en ouvrant la porte, Santoryo l’avait observé quelques secondes avant que cette personne tourne la tête en sa direction et claqua la porte et passa à travers la fenêtre. Santoryo courait lui aussi, il le suivait, mais il était prit soudain de panique, qu’allait penser le Mizukage lorsqu’il verra ça ? Mais il chassait ses idées et se concentra sur l’homme qui courait de plus en plus vite, mais il semblait se déplacer assez lentement pour un Chuunin, Santoryo n’avait aucun mal à le suivre, il aurait pu même le dépasser, ce qu’il s’avisait peut être à faire, et aussi, il s’éloignait du centre et se dirigeait vers le lac, c’était l’idéal pour Santoryo, il devait donc pour l’instant se contenter de lui suivre pour ne pas faire plus de dégâts dans le village.

Une fois sorti, on pouvait dès à présent voir le grand lac, c’était sa chance, Santoryo accéléra son rythme de course, visiblement, ça semblait plus facile que prévu. Il se plaça derrière lui et lorsqu’il était à peine un mètre de lui, Santoryo fit des signes des mains et prononça « Taihoudan "Large projectile" », mais c’est alors que l’autre montrait enfin ses capacités, il le méritait après tout, savoir gérer cela sans même sans doute ne l’avoir vue, car lui aussi était jeune, il ne semblait pas avoir vécu des batailles sanglantes et affreuses. Il avait esquiver la boule d’eau.

Bien, je vois je vois que tu ne me lacheras pas, je vais donc devoir te combattre.

Santoryo ne répondit pas, après tout, une personne qui vendait son Pays ne méritait pas de vivre, mais il le devait, au moins pour le Mizukage. Le jeune homme fonça sur son adversaire avec des mouvements court en diagonale et prononça « Kage Bushin no jutsu » deux autres Santoryo était maintenant là. Santoryo avait une chance, c’était qu’il était rapide, il savait envisager des offensives très vite et les appliquait comme si sa vie en dépendait, bien que dans la situation où il se trouve, elle en dépendait quelque peu. Santoryo s’était éclipsé, le vrai, il avait profité de l’écran de fumé de ses clones pour essayer de passer inaperçu et plaça furtivement derrière son adversaire, celui-ci se défendait des assauts des clones, Santoryo sentait la pression monté en lui en un instant, il savait qu’il n’avait pas droit à l’erreur il devait le battre, il devait arriver à le capturer pour mener à bien sa mission et aussi, pour ne pas se faire blesser ou pire. Une fois derrière, le Genin fit à nouveau des signes de main et prononça « Taihoudan "Large projectile" » une large boule d’eau se dirigeait vers son adversaire, et laissant l’espace d’une seconde s’écouler, il s’empressa de refaire une nouvelle fois des signes et dit « Suiton, Mizuame Nabara », sa technique préféré. Au même moment, l’adversaire du jeune homme fit lui aussi des signes et en repoussant les deux clones, cracha de sa bouche une boule de feu. L’attaque de Santoryo avait elle fonctionnée ? Était-il bien emprisonné ou plutôt coller au sol ? Il espérait avoir réussi à piéger son adversaire avec la diversion de la boule pour l’eau versée sur le sol, mais l’explosion de la collision des deux boules empêche qui que ce soit de voir.
Victoire ! Il avait réussit ! Santoryo ressentait quelques douleurs au crane, avec les bourrasques de vent, le jeune homme s’est vu tombé quelques mètres en arrière et se frappa l’arrière du crane, mais son adversaire lui semblait presque inconscient, et il était couché dans l’eau baveuse. Bien, Santoryo se sentait fier, il avait donc réussit son objectif. Cependant il se méfiait toujours, bien qu’étant allongé et supposé être coller au sol, il restait un Ninja, et il pouvait toujours avoir une possibilité surprise, mais à son grand étonnement lorsqu’il choisi de l’assommé, avant de le libéré, il n’avait nullement réagir. Santoryo lui tapa quand même un bon cou de bois sur la tête histoire qu’il reste tranquille le temps d’annuler la technique et de le ligoter pour l’amener chez le Mizukage. Une fois les détails régler, Santoryo mit l’homme sur son dos et se dirigea vers le bureau afin de lui livrer l’homme et obtenir une récompense.

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