Sujet: Assaut du nord-ouest [Kimary et Obito] Mer 31 Oct - 10:14
Ça y est, c’est le grand jour, enfin. L’attaque sur Suna allait réellement commencer d’ici très peu de temps. Le capitaine met en ce moment même les derniers préparatifs en route avant le grand départ. Apparemment, il souhaite faire des équipes de deux voir trois pour nous, des équipes qu’il déterminera en fonction des réponses de chacun et peut-être même des connaissances qu’il à sur eux. Première impression, les jinchuriki ont été placé dans trois équipes différente, Nariamo manque donc à l’appel. D’ailleurs c’est vrai que les clans aussi ont été dispersé, personne ne possédant le même nom de famille se retrouve associé, fait exprès ? Peut-être veut-il donner plus de diversité à chaque groupe pour que nos chances de victoire soit finalement bien plus grand que ce à quoi nous nous attendions jusque lors. Décidemment ce Shizen Tsuyo va peut-être s’avérer plus intéressant que ce à quoi je m’étais alors attendu, vivement la fin de cette bataille, le pays du vent sera à nous, nous ferons tout pour remporter la victoire coute que coute. La dernière phrase allait encore longtemps résonner dans mon crane je présume, Kimary et Obito avants-post du nord-ouest. Pour nous c’est donc un saut dans l’inconnu hein !? Ça me plait bien, je pense même que pour la première fois depuis bien longtemps le Nibi va devoir se joindre à la bataille, cette fois je ne l’emporterai peut-être pas seule, je ne dois pas être une cible à protéger pour Obito, non je dois être pour ce coup-ci l’allié de premier choix ! Je ne dois pas être un fardeau que l’on traine derrière sois mais plutôt être telle une plume porter par le vent que l’on essaie tant bien que mal de conserver à ses côtés. Aujourd’hui, je serais cette plume ! Nous serons soit disant accompagné par la volonté, la force et le courage de village, de bien belle parole dites ici, tenterait-il d’amadouer chaque équipe et ainsi la rendre plus docile avec des paroles que chacun de nous voudrait entendre ? Si tel est le cas, il est tombé sur un os. Je ne suis pas comme la plupart d’entre eux ici présent, je ne suis pas une assoiffée de sang, je ne prends pas la décision de donner la mort à la légère, je sais ce que c’est que d’avoir les mains Sali par le sang, mais aujourd’hui il n’y a guère d’autre choix et je donnerais de ma personne pour atteindre les objectifs de Kiri. A priori chacun de nous était prêt à se battre, chacun de nous s’arrêtait à partir vers le port de l’ouest avant de monter dans l’un des nombreux navires de guerre affréter pour cet événement, mais avant même que je ne débute ma marche, une main vint se poser sur mon épaule. Me tournant délicatement, c’est le marchand d’arme qui m’apportait finalement ma commande prépayé, un nouveau katana, des fumigènes flash bombe et autres senbons, c’est beau tout cet armement décidément. Le remerciant brièvement de s’être déplacé, je fini par suivre le groupe et marchait à mon tour, accélérant même le pas pour rejoindre Obito qui semblait déjà partit, après tout nous sommes une équipe, il serait bien que nous embarquions dans le même navire.
Trois heures, voilà le temps qu’il fallu finalement à chacun d’entre nous avant de rejoindre le port de l’ouest. Les navires se remplissaient petit à petit, finalement il y avait plus de monde que ce à quoi je ne m’attendais. Dans ma tête une seule et unique chose travaillait, les avants-post nord-ouest Obito et moi, on ne connaît rien de l’ennemi, comment allons nous réellement faire pour sortir de cette guerre en vainqueur alors que l’on part dans l’inconnu ? Avant d’embarquer, je partis rapidement remplir deux gourde sur le port, dans ma tête c’était la chose principale à faire, nous allons dans un désert après tout. Il ne me fallu que quelque minutes avant de finalement rejoindre le second navire de guerre, je m’attelais à la tache, je devais être prête désormais. Je partis rejoindre Obito lui offrant une des deux gourdes que j’avais rempli puis s’asseyais à même le sol. Si nous sommes là aujourd’hui c’est uniquement pour ce battre, pourquoi devrions-nous déjà commencer à tourner en rond, s’exciter où avoir je ne sais qu’elle autre réaction à dormir debout ? C’est donc en position assise que je sortis chacun de mes deux katana un neuf, l’autre presque. Mes lames gouteront au sang touareg et m’en redemanderai toujours plus je le sais, mais pour cela, encore faut-il être capable d’avoir des lames prête à tranche tout ce qui passera. Je m’attelais donc forcément à la tâche, j’affutais mes armes avec tout mon savoir et mon amour que j’éprouve pour chacune de mes armes, le but n’est pas d’être prêt sans erreur, mais d’être sure de sois, de son équipement et de son ou ses alliés. Ci ce point là n’est pas complet, vous ne l’emporterez jamais ! Fini en une bonne demi-heure, je n’avais pas décroché le moindre mot, profitant e la brise matinale se frottant sur mes joues. Je regardais chacun d’entre nous, certains semblait vraiment confiant, peut-être trop même alors que d’autre tremblait déjà d’effroi, de peur de mourir d’autre restait de marbre, n’affichant aucun de leurs sentiments et c’est bien sur cette catégorie de personne qui serait sans aucun doute la plus robuste. Les personnes capables de ne rien laisser paraitre seront les seuls maitres du jeu au final, il ne faut pas faire de sentiment, on a pas la place pour cela après tout. Tué ou être tué, c’est la seul chose que l’on doit garder à l’esprit. Je me relevai délicatement et déposa ma main sur l’épaule d’Obito afin qu’il comprenne que je partais faire un petit tour, rien de plus rien de moins. C’est à la proue du navire que je fis une étrange découverte. Un homme d’une vingtaine d’année, un katana dans la main. Jusque lors il le contempla, son regard trahissait une certaine anxiété, il ne semblait pas prêt pour ce battre et pourtant il le fallait, qu’il le veuille ou non. Je m’approchais de lui tranquillement et lui ôta le katana des mains avant de l’affuter celui-ci aussi. L’homme semblait utiliser un dialecte que je ne comprenais pas ou du moins, mes oreilles ne semblaient pas vouloir écouter les mots de ce dernier. Rendant la lame suffisamment tranchante pour faire céder la roche, je la lui remis avec un large sourire et entamais une longue conversation avec ce dernier. Apparemment ses yeux ne mentaient pas, il a réellement peur de ce qu’il va trouver dans le pays du vent. Le pire dans tout cela fut le moment où il précisa que sa copine l’attendait à Kiri, mais qu’il n’était même pas sur de revenir alors qu’il le lui avait promis, idiot ! Un large sourire apparut de nouveau sur mon visage afin de lui expliquer que ce genre de promesses ne se fait pas, elle se tient ! Nous allions bientôt débarquer sur le continent, tous ensembles et nous reviendrons tous ensemble. Ce n’est qu’une question d’organisation et de croyance. Si chacun de nous à foie en sois et ses équipiers alors il ne nous arrivera rien. Je fini par me tourner dans la direction d’Obito, lui, je sais que je peux me battre les yeux fermer et lui peux en faire de même, on a mutuellement confiance l’un en l’autre sur un champ de bataille. Il semblerait que je vienne de rassurer l’homme en question, suffit de voir son regard ou bien même sa façon de tenir son katana à présent, il avait repris confiance en lui et venais de prendre conscience de la chance que l’on a d’être ici entourer de nos amis pour se battre, il n’est pas encore l’heure de ne pas croire en notre victoire, cette heure n’arriveras pas de toute manière. Je m’en allais rejoindre ma position de base et laissais défiler le temps, quelques jours s’étaient écoulé avant de n’arriver à rejoindre le pays du vent.
Les bateaux jetaient l’ancre les uns après les autres, nous étions arrivé et la différence ce faisait déjà sentir. Le soleil est omniprésent et que dire de cette chaleur insupportable ? Arriverons nous réellement à tenir ici et à nous battre alors que ce soleil va considérablement réduire nos capacités qu’elles soient intellectuelle ou physique. C’est dans des moments comme celui-là que l’on voit mon intelligence ressortir, je sortis un tissu léger, un morceau de drap exactement, que je me mis sur la tête avant d’attacher mon bandeau par-dessus histoire de l’attacher. Je sortis un second tissu identique et le donnait désormais à Obito lui disant qu’il ferait mieux d’en faire autant, c’est le plus logique pour des gens comme nous habitué à la pluie, le soleil aurait raison de nous bien trop rapidement. Sortant une boussole de mon autre poche, la caverne d’Ali Baba était prête, je la dirigeais de façon et correcte et tendis ma main en direction du nord-ouest, là-bas !
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Sujet: Re: Assaut du nord-ouest [Kimary et Obito] Lun 5 Nov - 21:19
Nous avions foulé les terres du pays du vent il y a peu de temps. Chaque groupe avait déjà pris la direction de son objectif alors que nous, nous étions en train de nous préparer pour pouvoir tenir le plus longtemps possible dans ce désert aride. Gourde à la taille, tissu sur le crane, mes katana dans le dos et ma boussole en main, pour ma part j’étais prête à partir, et c’est ce que je fis. Mon objectif était simple, aller au nord-ouest et prendre tranquillement le contrôle des avant-postes. Ma marche serait longue, nous avons débarqué au sud-est, le pays du vent est vaste. Chanceux sont les attribué au nord et à l’est, ils ne sont pas excessivement loin de leurs cible, mais nous... Non je n’étais pas seule, plusieurs ninjas ont été attribué à cette tache, pas uniquement les avant-postes, mais aussi les campements. Nous n’avons pas le choix, si nous n’attaquons pas les campements et nous rendons directement dans les avant-postes, nous manquerons de vivre à un moment ou un autre, soit on devis notre route, soit on meure de faim ou de soif, finalement avons-nous réellement le choix concernant l’itinéraire à prendre ? Tout le monde partait, tout le monde sauf notre groupe, nous étions encore sur place, certes nous serions les dernier en position et les derniers à finir, mais cela importe peu, dans le fond ce qui compte réellement est cette mission que l’on a reçu, cette mission commune, non pas qu’à ce groupe mais à tous, la victoire à Suna. C’est écrit comme ça, nos action ne finiront que de cette manière là, une victoire à Suna, on devra retourner le village, le récupérer et ainsi montrer au monde la force de notre armées. Kiri n’est pas composés de ninja, mais de soldats. Dans le fond, le rang importe peu, le plus utile reste simplement la stratégie que l’on emploi pour remporter la victoire. Si l’on m’avait donné le choix, c’est une technique de guérillas que j’utiliserais, divisé pour mieux régner. Des troupes embusquées par ci et là en position d’attente. Dans l’action un nombre dérisoire de ninja qui conduirais leurs poursuivants à leurs pertes, mais nous ne pouvons pas nous le permettre, il ne faut aucun survivants !
C’est décidé, nous prenions maintenant le départ. Chacun de nous avait ses vivres sur lui, il ne fallait pas lésiner sur l’économie de vivre, on ne peut pas se permettre de trop en utiliser, nous devons rester attentifs à tout ce qu’il se passe en ces terres et surtout s’informer sur tout. Le désert, un endroit chaud, trop chaud pour nous autres membres du pays de l’eau, mais pourtant nous n’avions pas trop le choix, il faut avancer au plus vite et avec la plus grande finesse. Je ne voulais pas d’un troupeau, et ça je l’avais déjà exprimé avant le départ. Nous avions formé plusieurs groupe de trois espacer de plusieurs dizaine de minutes chacun environ. Les séparations se firent en route. On se gardait de vue, mais l’espacement entre les trois premiers et les trois suivant n’avait rien de significatif, des groupes en missions, rien de bien alarmant. Si chacun avait fait son travail de façon correct, nul doute que personne ne se doutera que Kiri venait en réalité de déclarer une guerre à Suna, mais il fallait s’assurer de ne pas croiser le village du sable, chose loin d’être évident puisque nous ne connaissions pas sa localisation exacte. Nous avancions donc non sans mal, sirotant de temps à autre quelques gorgée de ma gourde bien rempli, j’économisais mes ressources, je le devais. J’avais dans le fond une importance capitale pour mon groupe, après tout, je suis médecin... Alors que le sable glissait sous nos pieds guidés par le mouvement de nos pas, bientôt je fini par m’arrêter net et chaque groupe derrière moi en fit de même. Chacun de nous se baissant au milieu des dunes de sables afin de se dissimuler au mieux.
D’un signe de main que j’avais préalablement expliqué aux différents ninjas, un ninja sensoriel s’approcha de moi et se concentra afin de déterminé la distance nous séparant des premiers ennemis approximativement et surtout leurs nombres. Apparemment les ennemis les plus proches se trouvaient approximativement à un kilomètre de nous, quatre sur place à l’heure actuelle, facile à prendre en soit. Mise en place de la première stratégie pour le coup. Les utilisateurs du Taijutsu resteraient en arrière en tant que dernière ligne, la ligne de couverture. Accroupi dans le sable ils serviront avant tout à empêcher les fuyards de partir si jamais il y en a. Devant eux certains adepte du ninjutsu Raiton et Doton. Allongé dans le sable et cacher par se dernier, ils serviront à prendre par surprise ces même fuyard en les immobilisant grâce à leurs techniques se glissant dans le sol. Les avant-postes semble très espacer, mais il est bien trop dangereux d’utiliser cette force que je possède, ce serait nous faire repérer dans la foulée, je dois me contenter de mon attribut de départ. En première ligne, les manieurs d’armes, techniques de mercenaire, une attaque discrète directe. Mais pour cela nous ne seront que trois car j’ai un plan plutôt bon pour cela. Derrière nous en embuscade se trouvera l’unité de ninjutsu offensif. Au signal ils ouvriront le feu directement sur le camp, aucun survivant n’est toléré, ma stratégie ne doit donc avoir aucune faille.
Chacun se mit en place, rampant au sol tel des militaires en guerre sous le feu des cannons, les adeptes de l’offensif se placèrent en cercle large, allonger derrière les dunes formé naturellement attendant simplement que le signal soit donner. Les lignes de défenses était en places, les sensoriels et autres médecins quand à eux restait en retrait et restait en position pour soigner d’éventuel blesser et repéré les fuyard, ça ne pouvait pas échouer, c’était impossible ! Avec moi un sensoriel maniant les armes et un ninja maitrisant le Suiton. Nous commencions donc notre avancée jusqu’à l’avant poste et le sensoriel me confirma bien la présence de quatre ninjas, pas un de plus. Je fut repéré, mais c’est le but. Je levais la main tenant un papier et m’avançais un peu plus encore du poste. Je leurs indiquais posséder un ordre de mission m’invitant à passer dans le désert, mais que je devais me faire recenser à un endroit où un autre et cet endroit fut le premier point visité. L’homme semblait sceptique, les quatre ninjas étaient là. D’un bref repérage, le ninja toussa quatre fois, c’est donc confirmer, ils sont quatre, nous sommes trois, les autres en embuscade. On doit être rapide et discret. Les deux ninjas étaient derrière moi, la marque sur mon épaule s’illumina, ils comprirent. Alors que l’homme baissait la tête pour observer l’acte de mission, je saisis un katana et lui tranche la tête. Dans le même temps, le sensoriel sectionna la carotide d’un autre et le dernier noya le troisième dans une prison aqueuse, mais... il en manque un ! Lançant un kunai en l’air, chacun des ninjas offensifs en embuscade se relevèrent et attaquèrent en cœur le malheureux qui prenait la fuite actuellement. Tout le monde rappliqua à l’emplacement de l’avant-poste pendant que les spécialistes du doton se dépêchaient de faire disparaitre les corps sous terre. Dispersions, des tentes, on trouve les rations et on repart avec. Je laisserais sur place cinq hommes avec pour ordre de tuer toutes personnes qui ne sera pas de Kiri, mais ça, ce sera prévu avant le départ.
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Sujet: Re: Assaut du nord-ouest [Kimary et Obito] Lun 5 Nov - 23:25
Voici enfin, le groupe du Nord-Ouest, accompagné d'un homme à la carrure imposante et effrayante, c'est malgré tout aux jeunes que le contrôle de l'attaque fut donné, Shizen n'était là que pour superviser et tuer tous ceux s'approchant de lui. Il s'agissait plus d'une machine de guerre qu'il ne faut enrailler et qu'il vous faudra contrôler qu'un homme à commander. Progressant de façon organisée et distinguée, Kimary Hoto menait ses troupes en compagnie de ses autres compères comme il se doit. Des lignes d'attaques, de défense, de poursuite et de chasse étaient formées, le tout évoluait progressivement vers les premiers habitants de ce désert, le premier combat fut engagé avec l'un des Shinobi, puis le deuxième et le troisième, ne prêtant aucunement attention à une variable importante dans ce genre d'attaque. la possibilité d'une présence de l'ombre, la présence d'un clone relié à son créateur pouvant mettre en déroute un plan aussi bien pensé et aussi bien pensée. Le chef des avant-postes à cette position, s'était préparé à toute éventualité et c'est en conséquence à cette agression qui se releva, un sourire narquois dessiné sur le visage
— Une attaque?! Voilà une chose bien curieuse... Prévenez nos Shinobi, l'un de nos campements a été pris de court et se voit submerger d'une offensive ordonnée et parfaitement organisée ! En marche Shinobi ! Ils sont à découvert dans un terrain qu'on ne connait que bien trop. Abattez-les tous et pas de prisonniers !
Le monde est basé sur le principe d'équivalence, mais aussi de celui des opposés. Ceci est assez simple à comprendre, on ne peut atteindre un but sans avoir sacrifié quelque chose d'équivalent, on ne peut vivre sans combattre, on ne peut progresser sans fournir d'effort. Se regroupant en plusieurs escouades, les combattants du désert se lancent à l'assaut de Kiri ayant foulé leurs terres afin de les repousser et les abattre. Leur meneur était un fin stratège et un vieil homme plein de surprises, il fait partie de l'ancienne école de combat, celle du temps des clans, prônant un assaut total que plusieurs offensives coordonnées. Une surprise sans doute pour les envahisseurs, qui ne s'attendait sans doute pas à ce genre de manœuvre.
À quelques pas de là, lamentablement étalé par terre, un homme était en train de mourir. La gorge ouverte, son corps s'agitait encore de spasmes tandis que le sang jaillissait en de grands bouillonnements de son cou tranché. Alors que Shizen se redressait, il sentit une présence, celle d'une silhouette noire, toute proche. Celle-ci se découpait légèrement derrière lui contre la lumière du soleil.grande, imposante, elle bougeait autant qu'une sombre statue. Dans ses mains, deux sabres. L'une était rapière d'acier bleu, luisait doucement. L'autre était plus large et recourbé, mais il était en bois, et son tranchant était garni d'une série de crocs de requin. Une voix grave et froide, absolument dénuée d'expression s'éleva alors, venue des ténèbres qui formaient son visage encapuchonné. Elle annonça au Général que son heure était arrivée et qu'il fallait inévitablement qu'il perde la vie. Il se fait rapidement entourer par de nombreux ninjas de Suna qui l’empêchent de poursuivre son avancée ou même de venir en aide à ses camarades et soldats ordonnés.
— C'est lui qu'il vous faut éliminer, ne le laissez pas se joindre à notre combat, TUEZ-LE !
Un sabre siffla à l'horizontale, et plusieurs crocs d'une lame acérés se fichèrent dans la gorge d'un Shinobi qui menait la troupe. Dans un vif mouvement de bras, l'un des hommes s'effondra dans un horrible gargouillis, d'autres tentèrent d'esquiver l'assaut ennemi, un groupe de le contrer et le reste se laissa tomber dans les bras d'une mort rapide et pour le moins douloureuse. C'était la guerre et bien souvent c'est cette chair à canon qui nous entoure qui se fait emporter la première, cet homme aux apparences baroques et particulières se représentait en une divinité absolue voir une entité vénérée envoyée par un chef de village sans connaissance de ces lieux. Ils attaquèrent tous, chacun à leur tour en une combinaison rapide et efface, il voulait les terrasser, ces Shinobi s'étant attaqué à leur pays.
Une fillette fragile portant une moitié d'un Katana s'avança vers Kimary, elle tenait fermement son arme, les yeux fermés, pleurant la mort de son père et cherchant à venger sa mère. Elle observa la jeune demoiselle, les yeux en larme, le coeur affligé et brisé pour une fille de son âge, s'étant mêlé à un combat qui n'était pas le sien. Prompte et enflammée, c'est le Jinchurki de Nibi qu'elle visa, qu'elle veut éliminer et tuer . Tremblant comme une feuille une nuit d'automne, c'est ravagé qu'elle mène son combat intérieur et extérieur. Les ordres étaient simples, éliminer tous ceux de Suna et ne faire aucun prisonnier, celle qui était fragile et incomprise pouvait-elle en faire les frais et se faire tuer ? Des enfants et des personnes âgés, dont la sagesse n'est plus à vérifier, s'étaient ajoutés au combat. À une guerre lancée par un village, par un pays, par un esprit !
De l'autre coté on pouvait apercevoir le Shinobi aux yeux de carmins, se battre tel un lion sauvage, ne se laissant en aucun intimider par ses opposants, étant pris entre deux flancs, le nombre de Shinobi de Suna grandissait à vue d'oeil et bientôt l'offensive menée par Kiri se fera repousser, bien trop nombreux, bien trop téméraire, ils entouraient chacun d'eux et se jeter littéralement sur eux, au risque de se faire tuer pitoyablement pour limiter leur mouvement et les renverser. Des actes parfois suicidaires, qui s'illustraient en un amas de poussière et de sang. Kimary, l'investigatrice de cette attaque se devait d'agir et donner des ordres précis à ces quelques Shinobi restants, ils attachèrent tous à un moment ou un autre leurs regards à sa personne. ils avaient peur,
Leurs personnes percluses de tourments, qui n'a jamais senti l'adrénaline affluer dans ses veines alors que son rythme cardiaque accélérait, tant parfois son coeur rataient un battement tel un moteur à court d'essence ? Mais aussi de l'angoisse. Causes multiples à cet état de vulnérabilité aussi bien physique que mental. Des jambes en coton, ça n'aide pas à avancer. Ça n'aide pas à fuir. Mais les prisons de suna se déplacent, vous savez et il fallait se mouvoir et réussir sa mission.Votre crainte est même sans doute la plus insupportable de tout, celle dont on ne s'échappe jamais vraiment. Les proies traquées savent sans doute ce que c'est. C'était le cas de certains Shinobi de Kiri qui s'était laissé prendre par ce sentiment et se laisse échapper vers une solution de facilité en abandonnant la tour de force...
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Sujet: Re: Assaut du nord-ouest [Kimary et Obito] Mar 6 Nov - 13:48
Un avant-poste venait d’être récupérer sans la moindre difficulté. Stratégie infaillible ou piège rondement bien mené ? Nous devions nous rassurez et nous ressaisir le temps de mettre en place une seconde stratégie pour le prochains point de contrôle. Dans ma tête tout était en place, il ne me restait plus qu’à leurs annoncer. Je comptais cette fois ci changer complètement d’idée, j’avais trouvé quelque chose qui plairais sans doute à tous les puristes présents dans notre groupe, mais pour le moment il fallait chercher. Cinq soldats restèrent en attentes aux abords du post afin de contrôler la situation. Si des ninjas autres que ceux de Kiri passaient alors ils seraient éliminer sans la moindre hésitation, c’étais ça leurs seule règle du moment. Alors que nous nous activions pour trouver les vivres caché sur place, un message retentit dans mes oreilles, une attaque ? Déjà ? C’est impossible ! Sortant de la tente et voyant le nombre de personne nous entourant, je me frottais la nuque. Quatre ninja, les quatre ont été abattu, à quel moment est-ce j’ai pu seulement faire une erreur ? Je suis pourtant sure que ce que je venais de faire était parfait, je l’avais travaillé dans ma tête tout au long du chemin, c’est quelque chose que j’avais déjà prévu depuis mon domicile, à quel moment cela à échouer ? Regardant chacun, nous organisions plusieurs lignes de défense, il fallait coute que coute remporter la victoire ici, cet avant-poste nous appartient, nous ne pouvons nous permettre de la perdre, pour Kiri !
Les envahisseurs de Suna avançaient de plus en plus, à vue d’œil ils sont beaucoup plus nombreux que nous, travail de sape. Première ligne attaquez ! Les ninjutsu fusaient de toute part, aucune place pour les survivants. Feu, eau, foudre, terre et vent, tous les éléments étaient réunis pour aider. Les ninjas adverses tombaient les uns après les autres, mais cela n’étaient pas suffisant, nous devront coute que coute entamer le corps à corps. Les médecins, armés vous de katana et autres, il y en a dans la tente et tenez vous prêt. Ils doivent se défendre et rester en vie, on aura besoin d’eux pour les soins suivant l’assaut, la défaite ici n’est pas une option. Les adeptes du Taijutsu encerclèrent les médecins afin de leurs assurer une couverture défensive, ils sont les soldats à protégez à tout prix, notre survie dépend en partie d’eux. Plus le choix, le combat rapprocher est inéluctable, aux armes ! Que chacun se tiennent prêt pour l’affrontement, pas de quartier, pas de survivants ! Tuez ou être tuez tel est l’issue de ce combat.
Rapidement la situation deviendrait critique, ils étaient de plus en plus nombreux, c’est comme-ci plus on en tuait et plus il en arrivait, on risquait de ne pas y arriver. Enfermer dans ce petit périmètre qu’elle est la force réelle qui nous serait nécessaire pour nous en sortir ? J’en ai bien une idée, mais je ne peux m’y résoudre, je l’utiliserais si vraiment c’est une peine perdue. Plus de place pour la stratégie, la seule chose qui compte ici c’est la victoire par tous les moyens. Des vieux, des femmes, des enfants, pas de sentiments ou c’est la mort qui vous attends ! A la guerre les sentiments doivent être noyé par cette folle envie de survie, soit vous noyez vos sentiments soit ils vous emportent dans l’au-delà sans même vous demander votre avis. Mes deux katana en main, je me battais corps et âme. J’étais actuellement le seul médecin sur le champ de bataille, c’est moi qui les aies mené ici, je ne peux me résoudre à les abandonner à leurs sort. Je les ai conduis vers une mort certaine, je dois les en sortir, pas le choix ! Puis devant moi surprise, une petite fille tenant un katana cassé de moitié. Les yeux fermés, des larmes coulant de ses derniers. Soit on a tué ses parents et pour une raison qui m’échappe elle croit pouvoir se venger ou alors c’est une simulatrice, boarf on s’en fou ! D’un coup horizontal, je fis tomber sa tête à même le sol, pas de place pour un quelconque sentiment, dommage que tu n’es pas compris cela en t’en prenant à moi !
Nous étions pris sous un raz-de-marée, nos chances de survie diminuaient de plus en plus, chaque calcul que je pouvais faire actuellement s’avéraient être de simples échecs. Je ne pouvais guère prendre du temps afin de réfléchir, mettre en place une stratégie dans cette condition était impossible, mais chacun se battait avec fougue, personne ne voulait baisser les bras malgré que dans le fond ils devaient savoir que c’est ma stratégie qui n’a pas été bonne, j’ai omis de calculer un détail important, une possible stratégie ennemie. Les médecins s’activaient à soigner les blessés pour le moment en espérant qu’ils pourraient rapidement retournés à la bataille, mais sous mes yeux beaucoup sont déjà mort par ma faute, je me devais d’agir, c’est à moi et à moi seule qu’incombe cette tache après tout ! Ninja de Kiri, replis ! Restez derrière moi, je vais devoir agir à ma manière ! Restez attentif, ne vous faites pas déborder ! Ramenez-le plus de blessé en arrière, pour Kiri ! Le choix ne m’appartient plus désormais, le seul choix restant est cette solution de dernier recours. Je sais au fond que j’aurais finalement épuisé mon chakra à la fin, mais qu’importe, j’aurais très certainement sauvé les soldats présent à mon côté qui ont la chance d’être encore en vie !
Devant moi les cadavres gisaient, tuer par ma faute, par mon erreur de calcul personnelle. J’ai échoué comme une débutante dans une stratégie qui me semblait sans faille et pourtant si, il y en a eu une, un clone ! Voilà ce qui a eu raison de cette belle attaque, un clone et ça, je ne peux m’y résoudre, je ne peux l’accepter ! Un manteau de chakra se forma autour de moi et deux queues firent leurs apparitions avant de finalement laisser place à une transformation compète. La Kimary que tout le monde connait, médecin maniaque des armes, gentille d’apparence mais pas moins cruelle avec ceux s’opposant à elle, mais là, c’est une face cacher, la face du démon, la transformation total du Nibi. L’entrainement dans les montagnes aura finalement servi, j’ai enfin réussi à puiser dans cette force que le monde m’a transmise, ce n’est pas une malédiction, mais bien une bénédiction pour son utilisateur. Avec cette transformation, je prenais l’apparence exacte de mon démon, le Nibi, soit un chat gigantesque recouvert de flammes bleus et de loin l’un des plus terrifiants, mais ce n’est pas tout, sa puissance est aussi considérable. L’offensive de Suna s’arrêta, laissant ainsi place au doute et à la peur, une peur de mourir dans d’atroce souffrance si vous voulez mon avis. Me baissant afin de placer la tête à hauteur des insectes puants ayant essayé de nous détruire, j’ouvris la bouche et envoyais directement une violente boule de feu sur mes adversaire, ce n’en est pas seulement un qui tomba, mais bien plus. Le doute pouvait maintenant ce faire sentir dans les rangs des hommes des sables, mais pour moi pas d’importance. Ils ont humilié ma stratégie, tuer les hommes présent pour cette bataille, ils m’ont rit au nez en envoyant cette fillette pour me tuer, à mon tour de rigoler ! J’envoyais plusieurs boule de feu, dans tout les sens, le but était simple détruire chaque personne ayant osé s’en prendre à nous, d’ici quelques instants nous reprendrions l’avantage, un avantage certain sur cette bataille. Le bras droit du mizukage était là lui aussi, peu importe son opinion, le mien est choisis, tout le monde doit mourir ! Enfants ou âgé, ninja ou civils, tout ceux appartenant au pays du vent verrons leurs mort maintenant ! Un homme courageux réussi à franchir mes boules de feu et je jetai sur moi kunai en main bien sur que nous l’avions vu, c’est bien pour cela que la patte avant gauche que je levais, fini par tomber pour écraser l’homme. Il souffrait, il hurlait à l’aide, pour je ne l’écrasais pas... A j’ai failli oublier, tout ceux qui me touche seront bruler par les flammes de ce corps, ceci explique donc ces cris de douleurs. Continuant ainsi mon offensive, au mieux que je le pouvais, je fini par reprendre mon apparence et mes alliés s’occupèrent des quelques survivants en quelques minutes. Sauvé, nous sommes sauvés, c’est vrai, mais pour combien de temps ? C’est donc le sourire aux lèvres grâce à cette victoire que je m’effondrais avant d’être pris en charge par les médecins de l’équipe. Décidément, cela me demande beaucoup trop d’énergie, c’est du suicide, même pour moi ! Après avoir avalé une pilule énergétique avec le plus grand mal, je pu me tenir assise là où les médecins m’avaient placé. Il semblerait que l’on soit tranquille pour le moment, ils semblaient s’activer pour soigner les blessés et enterrer nos morts pendant que d’autres achevait les blesser de l’autre camp avant de faire des tas avec leurs corps. Cela montrera notre force et notre détermination, mais nous n’avons pris qu’un seul camp, on a intérêt à garder l’œil ouvert, il faudra monter la garde à tour de rôle ce soir pour ne pas se faire surprendre.